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Réveillon d'enculé
Nous n'avions rien de prévu pour le 31. À la demande de mon mec, j'avais repris contact avec Dominique, un ancien pote de baise que mon copain aimait bien, et qui avait d'ailleurs un faible pour lui. Je n'avais pas à être jaloux et d'ailleurs Dominique, rencontré sur un lieu de drague où il m'avait tiré direct, m'avait bien utilisé pour se vider les couilles à chaque fois qu'on l'avait revu " indoor " ; encore un actif pur et dur. Mais nous ne l'avions pas revu depuis 8 ans ! Finalement, il a pu se libérer en soirée pour le 31. Nous l'avons attendu après diner. Il n'a pu venir qu'à 22 heures. Selon la coutume, mon mec était habillé, pantalon noir et chemise blanche, très classe. Moi aussi, je me suis mis sur mon 31 : des chaussettes blanches, des skets bien propres et un gilet en cuir. Rien d'autre. Pour une fois, je ne portais pas de plug, mais mon copain m'avait déjà plusieurs fois enculé dans l'après-midi et j'étais aussi ouvert que d'habitude, excité à l'idée de servir de vide-couilles une fois de plus. Du moins je l'espérais.
Dominique, le bien nommé, est arrivé. Mon mec l'a accueilli sur le pas de la porte. Comme ils sont fumeurs, lui et mon mec ont allumé une clope et ont commencé à discuter. Je me suis approché de l'entrée. Dom en me voyant a levé les sourcils, est resté un peu interdit puis s'est exclamé : " Toi, dans la tenue où tu es, je suppose que tu ne vas pas sortir ? C'est sympa ton gilet, mais ça ne couvre pas grand-chose ! " et il a refermé la porte d'entrée en riant. Mon mec et lui ont discuté dehors un petit moment, de quoi je ne sais pas. De retour dans la maison, mon copain m'a dit de servir un verre à notre hôte, qui s'était assis à table. Puis il a claqué des doigts et m'a fait signe d'aller sucer Dominique. Je me suis mis à genoux devant lui, lui ai ouvert son fute et ai commencé à prendre sa queue qui grossissait rapidement dans ma bouche. Lui et mon mec, qui était debout à côté de Dominique, ont commencé à se rouler des pelles, et il est devenu clair que je devais rester à ma place à leurs pieds, me contentant de prendre alternativement leurs queues dans ma gueule de chienne, cantonné à ce rôle d'instrument. Peut-être mon rôle se limiterait-il à cela toute la soirée, ce que je trouvais quand même frustrant. Mais je n'ai pas voix au chapitre. Ils discutaient entre eux, mais ne m'ont pas adressé la parole. Sans doute une mise en condition voulue par mon copain et décidée en concertation.
Au bout d'un certain temps, mon mec a eu pitié de moi et a dit à Dominique : " Tu veux la tirer ? Elle est là pour ça ". Il m'a fait me relever et m'a placé devant un meuble bas auquel je pouvais m'appuyer. Tête baissée, je me suis cambré pour présenter mon trou. Mon mec a pris du gel et a commencé ostensiblement à me travailler le cul, en me mettant un, deux puis les cinq doigts : humiliant et excitant. À vrai dire, c'est la queue de Dom, un gros calibre, qui est entrée en premier. Mon mec n'est pas très verbal, mais Dominique, lui, s'exclamait : " Putain c'est une vraie chatte, tu as de la chance d'avoir une telle salope à ta dispo ". Puis il s'est interrompu et ils ont remonté leurs pantalons pour aller de nouveau fumer dehors. Je n'ai pas bougé de ma place. Quand ils sont revenus, mon mec a commencé à me claquer le cul et à me baffer avant de me niquer à son tour.
De proche en proche, il était presque minuit. Mon mec a dit à Dominique : " 2019, c'est l'année des enculés. Tu vas la tirer pour qu'elle ait une queue dans son trou de salope juste au moment de la nouvelle année. " Mon mec a scandé le compte à rebours en me claquant le cul, tout en roulant une nouvelle pelle à Dominique. 2019 était arrivé. Dominique s'est interrompu une nouvelle fois et a rentré sa queue dans son pantalon. Il était temps de boire une coupe de champagne. J'ai fait le service, me sentant bien ouvert et bien graissé, ayant un besoin vital qu'on y mette n'importe quoi dedans, une queue, un gode ou un plug. Mon mec, qui me connait, m'a demandé de m'assoir à table assis sur un gode qu'il était allé chercher, en expliquant à Dominique : " Quand tu vois l'état de sa chatte, tu comprends qu'elle a besoin d'être remplie ". On a trinqué, je me suis empalé moi-même sur le gode avec des mouvements de bassin, un peu honteux, mais très excité. On est une lope exhib ou on ne l'est pas. Dominique n'en revenait pas et a dit à mon mec que c'était la première fois qu'il passait le réveillon avec un des convives cul nu ! " Je ne savais pas qu'on pouvait être aussi salope ! ", a-t-il ajouté. Mon mec a souri, je crois qu'il est fier d'avoir une bonne petite lope à sa dispo ; et comme il est de nature généreuse, il aime bien partager et sait que j'aime servir de vide-couilles. Je ne me suis jamais dérobé et j'ai toujours accepté de prendre toutes les queues proposées. J'ai juste un blocage concernant le fist.
Comme il travaillait le lendemain matin, hélas pour lui, Dom n'a pas voulu s'éterniser. Mais il voulait se vider avant de partir. Contre toute attente, il a choisi non pas de me tirer une nouvelle fois, mais de me gicler sur la face, pendant que mon mec lui roulait une pelle et lui caressait les couilles. Il a pris congé et, alors que je croyais qu'on allait remettre cela avec mon copain, celui-ci m'a dit : " Je suis fatigué maintenant, mais la journée qui vient, tu la passeras avec le cul rempli ! Et interdiction de t'essuyer, tu gardes le foutre de Dom sur toi ".
J'ai eu du mal à dormir après ça, faisant des efforts surhumains pour ne pas me toucher car j'aurais giclé en une seconde. Je passe sur les détails de ce qu'a été mon 1er janvier, entre plugs, godes, boules anales, queue de chien, en alternance avec de longues séances de pipe : mon mec adore regarder un film avec sa queue au fond de ma gorge ; il me tient la tête en place et je suis capable de le sucer comme ça pendant toute la durée de la fiction... dont je ne vois rien. Il peut aussi regarder des vidéos X, j'entends alors les halètements des mecs à l'écran, mais je dois m'en tenir à mon rôle de chienne. La récompense a été que mon mec m'a dit plusieurs fois " je t'aime ! " au cours de la journée ; c'est ça qui est dingue : plus je suis pute, plus il me prête, plus je me fais niqué, plus je rampe, plus il aime... Avec lui, c'est électrique. Je me ferais titrer par un régiment s'il me le demandait... et seulement parce que c'est lui. Je suis heureux (heureuse, si l'on veut) à ma place. C'est mon accomplissement de pute exhibée à dispo.
Lopexhib
woofy@wanadoo.fr
Autres histoires de l'auteur : Ma vie de lope exhib