Un sauna de verre où je me suis fait curariser le conduit anal
Vous avez connu ces lieux en plein centre-ville ? Un grand espace à la clim adaptée à notre nudité, avec des cabines de verre de taille raisonnable juxtaposées, bien propres aucune intimité possible pour ceux qui s'y enferment, mais ils ont la place pour baiser sous le regard des voisins. En tous cas pas d'écran vidéo dans les cabines ce sont les mecs qui font le " spectacle ". Les noms les lieux, le nom du produit ont été changés pour les raisons de protection juridique que l'on comprendra. D'ailleurs, y compris sur AGAYN, l'espace shopping gay de Cyrillo, depuis existe toute une gamme de lubrifiants, chauffants et anesthésiants qui vous éviteront de prendre des produits présentant des risques.
Il y a, juste à côté des vestiaires, non loin de l'accueil, le coin repos tout en teck... en attente d'un " hook-up "
A l'accueil une pancarte : " Pour la glisse le CXX c'est ex... ski ! Exquis ! ah c'est malin !
Il y a quantité de ce lube, dans un présentoir, sur le comptoir * :
*Aujourd'hui cette vente hors pharmacie d'un pareil produit pharmaco-actif serait prohibée.
Comme j'ai bien l'intention de m'éclater et d'en prendre pour mon fric cette aprèm'- là et que je ne vois pas d'autre lubrifiant à la vente, j'en achète un tube en payant mon entrée à la caisse.
L'endroit semble tranquille. Pas grave, des hautparleurs crachent de la musique électro comme si on était au Badaboum. Le préposé me remet le kit de base : une serviette blanche et la clé de mon vestiaire. Je me mets nu et, une serviette et mon tubde lube sous le bras, hop en chasse !!!! Il y a deux étages, et sur la terrasse du haut de nombreuses chaises longues tapissent un deck en bois imitant le pont d'un voilier, des lumières IKEA sont suspendues à différentes parties du mur et de petits hautparleurs diffusent de la musique électro, mais beaucoup plus adoucie qu'en bas. De quoi faire rêver les restos à déjeuner les plus tendance. J'oublie même quelques instants que, sous nos pieds, plein d'inconnus sont en train de baiser.
Des néons guident nos pas et une belle façade en planches de teck surplombe le spa.
J'amorce la visite de l'endroit, nu-pieds. Saluons la propreté des lieux. Les planchers sont luisants, les cabines impeccables, et même l'eau du spa semble bien filtrée. Ça m'aide à oublier momentanément la quantité de fluides corporels qui doit mariner dans l'eau du spa et ça ne me donne pas envie d'y aller ! Humm ! une autre fois !
C'est d'ailleurs près du spa, près d'un écran géant sur lequel on présente un film porno gai muet, que l'on me fait mes premières avances. De manière assez directe. Un homme pose lentement sa main sur ma cuisse, sans dire un mot. Je la retire délicatement : Pas encore, pas maintenant.
Mis à part quelques gémissements de plaisir et la musique de fond, c'est assez silencieux. Les gens viennent ici majoritairement baiser.
Il y a beaucoup d'action sous-jacente. Comme cet homme qui, positionné à quatre pattes sur son matelas, lance une invitation assez claire aux passants du couloir d'accès aux cabines.
Il semble y avoir plusieurs types de clients : ceux qui viennent accompagnés avec l'intention de coucher avec cette personne seulement, ceux qui veulent participer à différentes activités sexuelles, avec un ou plusieurs partenaires, et les autres, voyeurs, qui souhaitent simplement observer les ébats. Pour le moment je suis voyeur, à moins qu'on ne me drague. Mon coeur bat.
Le mobilier des cabines se résume à une plaque en mousse recouverte de plastique sur une couchette fixe à hauteur de... sexe - lol -.
L'éclairage rougeâtre amplifie cette ambiance, mais permet de bien voir tout ce qui se passe dans les cabines vitrées. Certains trouvent plus excitant de la garder entrouverte, pour permettre aux visiteurs de se rincer l'oeil ou de se joindre à eux. Je ne vois pas l'utilité d'entrer dans une cabine vide où je m'ennuierais à guetter un "client", mais je remarque que dans la cabine voisine, "mes voisins" s'en donnent déjà à coeur joie. L'un des hommes fait une fellation à l'autre. La porte est grande ouverte et on entend tout. : " - Tu veux que je te baise ? " Cette question me sidère et je n'en reviens pas et je me mets à les mater. Il n'y a pas de plafond. Mais bon, personne ne se plaindra de l'exigüité de la " chambre " : c'est un espace pour baiser !!!. Le gars a dû répondre oui, car je le vois tendre son cul en travers de la couchette, pieds au sol et se faire prendre. Je mate, je mate, je mate, ça ne gêne personne : ici ça semble être l'habitude.
Je me déplace pour les voir de face. Ça encule cule cule - lol - . L'actif me regarde dans les yeux tout en baisant. Il veut que je voie. Il sort son levier. Un énorme chibre au gros diamètre. Bien évidemment ça me fait un effet " boeuf ", mais même si j'envie le jeune enculé, ce n'est pas pour moi, c'est pour lui et pour lui seul ! et en plus je juge " l'engin " trop gros pour moi. Je bande un peu à l'extérieur de la cabine transparente et je me branlotte ! tandis que le baiseur a réintroduit son monstre dans le petit cul tendre et que le jeune couine son bonheur sans retenue. (te gêne pas pour moi p'tit, on est pareils !)
Mais là se produit un évènement de taille ! De la même taille de cette bite gigantesque ! Le baiseur de premier ordre qu'il est, d'abord de la tête et du menton, puis explicitement de sa main, me fait signe de les rejoindre.
D'emblée je réponds non en secouant la tête. Il a un trop gros calibre pour un petit cul presque puceau comme le mien ! .
Alors il sort, tout bandé, le sexe tout luisant des " humeurs " de l'autre et me tracte à l'intérieur de la cabine sans me ménager. Comme vous savez je suis nu, ma serviette et mon tube de cétavlon à la main. D'une force herculéenne il me prend par la nuque et me place ventre sur la couchette, côte à côte avec son soumis. Le voilà avec DEUX soumis que visiblement il veut baiser en même temps comme le lui dicte son Saint Patron (qui vous savez). OUi, mais il y aun " hic " : peut-être que l'autre est " calibré ", lui, mais moi j'ai jamais pris gros. Sans prendre aucun temps pour m'expliquer je lui dis (et l'autre entend) " - Désolé t'es trop bien monté tu pourras pas. " Le jeune alors me manifeste des gestes d'amitié, me caresse, me donne des bécots, bref, me montre que ça lui plairait ce partage. Dans ma tête je veux cette bite et la folle idée que ça représente et, en même temps, la peur me saisit. Je l'entends gémir longuement quand la bite le reprend, je sens contre moi ses vibrations de plaisir. Quand le rythme exige plus de lui il hoquète, et moi je fonds de désir et d'empathie, je lui caresse le flanc, les côtes, le bas du dos, les fesses où me frôle la main le pubis du baiseur rentré à fond.
J'en désire autant, mais c'est un inutile et fou désir. " Notre' baiseur m'a mis une main à plat sur le dos et me frictionne avec douceur. Le tube de Cxxxx est passé dans sa main. Il a plein accès à mon anus. Il se lâche tout en continuant l'enculage de mon "copain". Il prend un peu de la crème blanche et "affectueusement" m'en masse les lèvres anales. Puis, très vite, sans que je puisse protester, profitant de cette première lubrification, m'enfouit un bon quart tdu tube dans mon puits d'amour et le presse à fond. En m'embrassant et me tournant sa langue dans ma bouche il me dit à voix très basse : "- attends, laisse agir le produit, je te promets des merveilles de jouissance" Je n'y crois pas, mais je profite de toutes ces tendres attentions ainsi que de celles de mon compagnon d'infortune -lol- je devrais dire de fortune ! qui me prodigue halètements complices, bécots et frôlements sensuels.
Bien après je rends hommage à son sens du partage avec un égal -moi-, certes, mais aussi un inconnu.
Mon conduit a "gobé" la crème. N'était la peur, mon anus a bien envie que le lubrifiant serve : tout le contenu du tube est entré dans mon boyau empli de désir.
Je me pose des questions sur la suite tandis que notre baiseur allonge ses coups en de longues entrées et sorties qui font gémir et baver mon voisin. Lui aussi a dû se faire remplir de crème et, barratté dans son cul, ça doit jaillir sur les bords de sa rondelle, ses lèvres anales forment un bourrelet humide qui rentre et sort avec la bite du baiseur inconnu... qui sait merveilleusement faire jouir mon compagnon, au point qu'il éjacule et criotte son émerveillement, se frottant aux deux autres dans une joie qui se répand en spasmes infinis.
Donnons un nom à notre bienfaiteur. Giriek si vous voulez bien. Il a bien l'allure d'un gars de l'est, mais brun. Il n'a pas joui. Et maintenant il va vouloir me prendre à mon tour.
Je crois que c'est de désir, mais mon anus est dilaté et sans cuire, ça fourmille même au-dehors. Est-ce un effet exki du produit exquis du tube ? Je touche mes lèvres anales et vois de la crème au bout de mon index. Je suis impatient si ça se réalise- que Giriek de sa bûche magique fasse entrer plus avant l'abondant lube qu'il m'a introduit dans l'intimité. J'imagine déjà, toujours sans y croire, qu'il pousse la crème bienfaitrice comme une vague au fond de mon ventre.
Bien après je rends hommage au sens du partage de celui qui vient de me précéder dans la baise commune qui se présente. Il a reçu la monstre-bite de Giriek et vient maintenant aider à réaliser ce miracle de faire entrer une queue de 10 cm de diamètre dans un petit trou presque innocent. Appelons-le Chris si vous voulez bien. Chris entretient la raideur de Giriek en le suçotant tout le long de sa hampe de plus de 20cm, en le masturbant en flattant le corps de notre baiseur commun...
Depuis qu'il m'a garni, j'ai gardé une position identique à celle de Chris. Ce dernier fait entrer ses doigts dans mon puits à plaisirs. Mais ce n'est que prémisses : il guide le 'bazooka' du slave vers ma fente.
Je vais avoir mal...
Miracle NON. Que de la joie. Mon âme chante un hymne intérieur. Giriek, n'a pas à manifester de mâle brutalité. Il me possède et me remplit tout à fait et Chris surveille, accompagne le coulissement de l'engin qui m'a pris. Il aime ça comme il aime se faire enculer. C'et une baise en trio. Comme me prendre occupe ses mains et le bas de son corps, Giriek 'ne fait que me baiser' (et croyez-moi ça suffit) et pour parfaire mon plaisir-et je crois le sien- Tandis que mon ventre ressent jusqu'à l'estomac et même à la gorge la pénétration et l'occupation par ce manche hors du commun, Chris me frictionne, me caresse partout, m'abreuve de pelles et de salive... Je lui fais approcher sa bite et le suce. Je me fous qu'il y ait du 'produit'. Comme quand après qu'il ait joui dans mon cul, je vais me foutre qu'il y ait aussi un peu de ma merde sur la bite de Giriek et que je le sucerai du mieux que je pourrai.
Comme ici, dans ce sauna, tout le monde voit tout, on se branle, on fait cercle...et le succès n'est pas pour Chris et moi, mais c'est laqueue de Giriek qui a la vedette ... dans ma tête, Chris et moi sommes aussi des héros.
Cxxxx : un produit tout simple délivré sans ordonnance, mais dont on ne mesure pas les effets sexondaires aussi bien que secondaires. Il est recommandé de lire la notice avant usage, surtout pour les enfants et les personnes âgées. Pour moi je suis au nirvana, en pleine opération chirurgicale sous anesthésiant. On me parle gentiment, je réponds plein d'affection et de reconnaissance. Je jouis, grands dieux sans me toucher dans les mêmes spasmes délicieux et infinis que Chris a connus tout à l'heure. Vient de naître cette amitié qui unit brièvement sur le moment, mais durablement dans mémoire deux baiseurs 'occasionnels'. Chris, Giriek, vous êtes et demeurerez toujours dans mon Panthéon, ayant rejoint quelques 'magiciens' qui vous avaient précédés... et serez rejoints par quelques rares autres...Tâchez d'être heureux dans vos oeuvres ! je vous le souhaite !
NOTE : L'un des effets à attendre du Cxxxx est que l'utilisation sur la muqueuse rectale peut entraîner une atonie comparable à celle observée avec les curarisants. Je vous assure que je n'avais pas mal et qu'on peut se prendre des beaux calibres.
Glaudoun
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