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69 - Mon accident, troisième partie.
Samedi matin après mon petit déjeuner, si je peux l'appeler ça comme ça, j'ai envoyé Dimitri nous chercher deux bons cafés et deux croissants. J'ai à peine eu le temps de finir mon café que le kiné venait me chercher.
Dimitri : Sur ce temps je vais rentrer chez moi et me changer. Je reviens ensuite Pat.
Moi : Comme tu veux mais sois prudent en voiture, surtout avec ton bolide.
Dimitri : Je roule calmement avec car j'en ai un peu peur. Je voudrais que Stéphane me donne des cours de conduite. Pour avoir été en voiture avec lui, il sait conduire rapidement.
Moi : Passes au garage au lieu de venir ici, tu lui dis que c'est moi qui t'envoie et tu lui demande.
Le Kiné : On peut y aller ? Je n'ai pas toute la journée.
Moi : Euh oui pardon excusez-moi.
Je laisse Dimitri et le kiné me fait faire le trajet à pied. J'ai déjà moins mal mais j'ai une gêne en marchant. Arrivé à la salle, il me fait encore souffrir mais après la séance, la gêne est passée. De retour à la chambre Jona est là.
Jona : Bonjour Pat, monsieur.
Moi : Monsieur est le kiné de l'hôpital.
Jona : A partir de mardi, c'est moi qui prends le relais et les exercices que j'ai reçu par émail sont assez spécifiques.
Le kiné : C'est moi qui vous les ai envoyés.
Jona : Merci. Peut-il sortir et marcher ?
Le kiné : Oui, c'est même recommandé.
Jona : Alors habilles-toi et viens avec moi !
Le kiné s'en va.
Moi : Ce n'est pas bientôt fini de me donner des ordres ?
Jona : En tant que ton kiné, je suis à mon travail donc tu fais ce que je te dis ! C'est toi qui as imposé cette règle, il faut la suivre.
Ce petit con à le sourire aux lèvres mais il a raison. Je me change et je le suis. Il me fait faire le tour du parking. Il fait bon et je marche lentement. Arrivé près de sa moto, il me fait arrêter.
Jona : Voilà. Je t'ai fait sortir pour une raison bien particulière. Après ce qui s'est passé avec mes parents et ton accident, je voudrais te demander d'être mon légataire testamentaire.
Moi : Pourquoi ? Tu es encore jeune ?
Jona : S'il m'arrive quelque chose, un accident ou autre, je veux que ce soit toi qui décide. J'y ai bien réfléchi et Felipe n'en serait pas capable tellement il m'aime mais j'ai appris par ta maman que tu avais dû prendre la même décision pour ton papa. Je t'aime comme j'aime Felipe. Tiens, voilà les papiers préparés par Louis. Signe-les.
Moi : Jona je t'aime aussi mais ce que tu me demande, c'est aux dessus de mes forces.
Jona : Fais le par amour pour moi, s'il te plaît.
Moi : Donnes-moi les papiers ! Je vais les signer mais je ne veux plus en entendre parler, compris ?
Jona : Merci.
J'ai signé ces foutus documents à contre coeur, Louis me payera le fait de ne pas m'avoir prévenu. J'enrage et j'ai surtout envie de pleurer à l'idée qu'il pourrait lui arriver quelque chose. Nous avons ensuite repris le chemin de ma chambre. Il a vu que je n'étais pas content. En chemin, il s'est arrêté à la boulangerie et nous a pris une pâtisserie. Moi qui ne mange pas de pâtisserie mais bon. Je suis content de regagner mon lit. Je m'aperçois que je n'ai même pas touché à mon paquet de cigarette que mon homme m'a amené la veille. L'infirmier arrive, ça fait une demi-heure qu'il me cherche. Je lui explique que j'étais sorti prendre l'air avec mon kiné personnel. Il me change le pansement que j'ai sur la cuisse et je peux voir les cicatrices.
L'infirmier : Le chirurgien veut vous voir jeudi à 11h00 en consultation pour vous retirer les fils.
Il me change le pansement et met un plus léger. Ce n'est pas plus mal pour ma mobilité.
L'infirmier : Je vous le change demain matin, ensuite, il faudra le changer tous les jours jusque jeudi.
Moi : Ok merci.
L'infirmier une fois parti, Jona m'a proposé un massage des jambes pour éviter une phlébite. Je ne pense pas que ça soit nécessaire mais j'accepte. Il me demande d'enlever mon pantalon de training et prend une huile de massage qu'il avait pris dans un petit sac. Il m'a massé comme un pro, j'en ai bandé dans mon boxer.
Moi : C'est bien beau ton massage mais qu'est-ce que je fais de ça ?
Jona : Je me lave les mains et je m'en occupe maître.
Il est revenu et m'a sucé bien profond, je n'ai pas tenu longtemps.
Moi : Tiens, voilà de la crème fraîche pour ta pâtisserie. Avales !
Il a tout pris avec un miam, il en rajoute ce petit con.
Moi : Nettoies ma queue !
Jona : Oui maître.
Il eut juste le temps de terminer que Sylvain et Damien sont arrivés. Damien a fait un geste à Jona pour lui montrer qu'il avait un peu de sperme aux commissures des lèvres. D'un coup de langue, ce fut réglé.
Moi : salope !
Jona : Oui maître et je le revendique.
Nous éclatons de rire.
Damien : Je vois que tu ne t'ennuies pas.
Moi : Faut bien passer le temps. Et vous ça va ?
Damien : Oui ça va, nous avons décidé de repartir sur d'autres bases dans notre relation.
Moi : Ah. Je suis content de l'apprendre. Claudia m'a dit que tu devais aller chez le médecin lundi ?
Damien : Oui, il perd beaucoup de poids depuis 15 jours et pourtant il mange comme quatre.
Moi : Ce n'est pas à cause du sport ?
Damien : Non, j'ai surpris monsieur qui se faisait vomir dans les WC, soit disant pour me plaire mieux et pouvoir me sucer à n'importe quel moment sans vomir.
Moi : Mais tu es con ou quoi ?
Sylvain : Je ne sais pas ce qui m'a pris.
Damien : Tais-toi, tu es puni ! Ne l'oublie pas !
Sylvain : Mais...
Damien : Tu as gagné, tu auras une nouvelle punition en rentrant.
Sylvain : Oui mon homme.
Moi : C'est ça tes nouvelles bases ?
Damien : Je n'ai pas dit que je diminuerais ma domination sur lui. Je lui laisse plus de liberté du moment qu'il me prévient. Ici, il est puni jusqu'au rendez-vous chez le médecin. Je vais demander une prise de sang et qu'il lui donne un médicament pour qu'il reprenne son poids normal.
Moi : J'ai plus simple pour un con pareil, car tu es un con. Regardes-moi quand je te parle !
Il relève les yeux.
Moi : J'ai plus simple pour qu'il ne se fasse plus vomir. Pendant un mois, et c'est moi qui te file la punition, après avoir mangé, Damien te placera s'il est présent un baillon, et ce pour la nuit. S'il n'est pas là, tu le placeras toi-même et je vérifierai tous les matins ton poids au travail. Si tu le malheur d'en avoir perdu, je te donnerais personnellement 10 coups de fouets. Tu m'as compris ?
Sylvain : Oui maître.
Moi : Avec ton autorisation Damien.
Damien : Tu l'as mais dis-moi, tu sais être un bon dominateur toi ?
Moi : Tu me connais mal. Pour ce genre de connerie, je suis intraitable. Il m'arrive de dominer mon homme et de lui faire peur, malgré mon caractère soumis envers lui.
Damien : Nous irons tout de même chez le médecin lundi. J'ai vu ta voiture, tu as eu beaucoup de chance, de plus, l'expert judicaire a estimé que tu étais totalement en droit.
Moi : Je me souviens juste de l'arrivée de la voiture ensuite plus rien.
Sylvain : Pourtant tu étais conscient.
Damien : Tu vas te taire !
Sylvain : Pardon.
Damien : Oui, tu nous as parlé et tu hurlais de douleur, nous étions juste derrière toi, on a vu l'accident.
Moi : Je ne me souviens de rien. Tout ce que je voudrais c'est sortir le plus vite d'ici, je commence à en avoir marre. Vous n'avez pas envie de boire quelque chose à la cafétéria ?
Damien : Tu peux sortir ?
Moi : Oui à condition de prévenir.
Damien : Et bien ok.
Je lève le drap et merde, j'ai oublié, je suis en boxer.
Moi : Jona donne-moi un coup de main.
Jona : Oui maître.
Damien : A propos, j'ai ça à te remettre.
Il me rend mon plug en or.
Damien : Sylvain a demandé qu'on te le retire dans l'ambulance. Un des deux ambulanciers est gay et va au bar de Sven. Il a voulu t'éviter l'humiliation.
Moi : Merci Sylvain, tu es un pote.
Sylvain : Merci maître.
Une fois habillé, j'ai prévenu l'infirmier qui m'a dit que si quelqu'un venait, il le dirigerait vers la cafeteria. Nous avons pris un verre que j'ai payé, ayant récupéré mon portefeuille depuis deux jours. J'ai pris un verre de vin blanc et le petit aussi, j'ai demandé à avoir quelques morceaux de fromage et de saucisson. Sylvain prit une bière et Damien un coca car il est de service cette nuit. Nous avons discuté Damien et moi de l'accident, Jona lui était avec Sven au téléphone. Sylvain est resté muet pendant un bon moment. Il s'est absenté pour aller aux toilettes et quand il en est revenu 5 minutes plus tard, on pouvait voir clairement qu'il avait pleuré.
Damien : Qu'est-ce qu'il y a encore ?
Sylvain : Rien mon homme ça va passer.
Damien : Si, il y a quelque chose, je le vois bien. Parle !
Sylvain : J'aurais mieux fait de rester à la maison, je ne sers à rien et je ne peux rien dire. En plus se soir tu vas me placer le bâillon pour la nuit, c'est trop.
Damien : C'est à cause de tes conneries mais je t'autorise à parler et ce soir il n'y aura pas de bâillon. Je te pèserais après avoir mangé et si demain tu es en dessous du poids de ce matin, je mettrais moi-même la punition de Pat en application et je t'attacherais au lit en plus pour la nuit. Tu m'as bien compris ?
Et là, Sylvain sort de la cafétéria en courant et en pleurant. J'essaye de me relever pour le rattraper, peine perdue avec ma hanche. Assis, pour me relever, il me faut un coup de main. Je n'ai pas assez de force sur ma jambe. Damien, lui, est plus rapide et court après. Ils reviennent au bout de dix minutes. Damien tient Sylvain dans ses bras.
Moi : Ça va ?
Damien : Oui, il craque émotionnellement et c'est ce que je cherche. Ça veut dire aussi qu'il m'aime mais que je lui en demande encore de trop.
Damien : Je veux que tu restes naturel mon coeur, ne cherche pas à vouloir absolument me satisfaire à tout moment. Je suis exigeant, c'est pour ton bien. Tu es à moi maintenant et tu dois comprendre qu'avec moi, c'est comme je veux et pas autrement.
Sylvain : Je sais mais c'est difficile. Comme je te l'ai déjà dit, j'ai l'impression d'être marionnette, voir même rien.
Damien : Tu es l'homme que j'aime et je te domine pour la simple et bonne raison que tu as besoin d'être soumis. C'est dans tes gênes. Ce soir je vais te faire l'amour et tu vas garder mon jus en toi. Tu vas faire comme Pat avec un petit plug, le garder et le digérer en toi comme ça, tu n'auras pas l'impression de dormir seul. Je serais près de toi.
Jona, qui a fini au portable depuis un instant : Miam.
Moi : Tiens-toi tranquille !
Jona : Oui maître, mais si Felipe pouvait me dominer comme ça.....
Moi : Et merde, Damien tu déteins.
Damien : Je vais finir par vous piquer vos deux petits jeunes.
Moi : Ils sont à nous et nous appartiennent. De toute façon ils sont tous les deux sous contrat, comme tu as fait avec Sylvain.
Sylvain : On a déchiré le contrat. Il m'a demandé en mariage et c'est pour ça que je me fais vomir. Je veux être aussi présentable que vous deux pour notre mariage.
Damien : Alors c'est pour ça ? Mais je t'aime comme tu es, moi !
Sylvain : Je l'ai compris quand tu m'as surpris dans le WC mais j'ai peur du mariage, même si je t'ai dit oui.
Damien : Bon on rentre il faut qu'on ait une discussion. Pat tu nous excuseras ?
Moi : Il n'y a pas de souci tant qu'il y a de l'amour entre vous deux et si tu te tiens à carreaux pour ton poids, il n'y aura pas de punition. Je viendrais tout de même avec une balance au bureau.
Sylvain : Je vais manger et je fais la promesse de ne plus me faire vomir.
Damien : Allez viens on rentre. Je vais te faire l'amour plus d'une fois avant de partir travailler. Tu le mérite pour avoir enfin avoué ce qui se passait. Je vais me faire moins sévère avec toi et te laisser plus de liberté mais ne me déçois pas.
Sylvain : Promis, je t'aime.
Ils sont partis et, avec un coup de main de Jona pour me lever, nous sommes retournés dans la chambre. Sur le chemin :
Jona : Il va falloir que tu arrives à te lever tout seul.
Moi : Je sais, ce n'est pas que je n'y arrive pas mais ça tire au niveau des points de suture. J'espère que ça ira mieux demain et après-demain. Une chose qui me manque, j'ai envie de Stéphane, j'ai envie qu'il me fasse l'amour mais j'ai peur d'avoir mal. Mes côtes me font mal et ma hanche aussi. Par contre, mon bras ça va.
Jona : On va faire un exercice dans la chambre. Tu vas te mettre à quatre pattes et on va voir si tu as mal.
Dans la chambre il me fait mettre en position. Je n'ai pas mal aux côtes et ma hanche c'est supportable. Par contre ma main avec mon plâtre ce n'est pas confortable. Jona me fait mettre alors sur les coudes ce qui est mieux.
Jona : Dans cette position, Stéphane pourra te prendre facilement et en te cambrant mieux, tu devrais apprécier qu'il te baise.
Moi : Je l'espère. Merci Jona.
Jona : De rien maître. J'aimerais rester mais Sven a besoin de moi au bar ce soir.
Moi : Alors donnes-moi un coup de main pour me mettre au lit et files.
Jona : Merci maître.
Il s'en va en reprenant ses pâtisseries. Je m'assoupi et dors un peu. Des fleurs me sont livrées. La patronne du magasin de sous-vêtements. Je prends mon portable pour lui téléphoner et la remercier Je remarque alors une flopée de messages et d'appels en absence. Les messages sont pour me féliciter des affiches publicitaires. Ça va du " superbe " au " tu es canon en maillot de bain ", ou encore " vous êtes bandant sur l'affiche ".
Désiré : Ouah on est superbe, je n'arrête pas de me faire draguer depuis ce matin.
Mon téléphone sonne, c'est Stéphane.
Stéphane : Mon coeur, c'est bien beau tes affiches mais je n'arrête pas de recevoir des messages de félicitations.
Moi : Moi aussi et Désiré, lui, se fait draguer.
Stéphane : Dimitri m'a fait part de ses peurs avec sa voiture.
Moi : Oui je te l'ai envoyé, c'est ça demande et comme c'est toi notre maître, en bon soumis je t'ai laissé gérer.
Stéphane : Ok. Felipe et moi allons fermer le garage. Il va au bar de Sven, apparemment ils attendent du monde ce soir.
Moi : Oui, Jona me l'a dit.
Stéphane : Bon je vais donner un cours accéléré au petit et nous montons te voir ensuite.
Moi : Ok j'ai envie de toi, ta queue me manque horriblement et j'ai surtout envie de sortir de l'hôpital. Les journées sont longues et ennuyantes.
Stéphane : Soit patient, tu pourras sortir lundi mais je veux que tu te reposes !
Moi : Oui, pfff.
Moi : Je raccroche, le médecin est là.
Ce n'est pas vrai mais j'en ai marre qu'il me dise que je doive me reposer. Je ne fais que ça depuis que je suis ici. J'ai l'impression d'être en cage. Je prends ma tablette et vérifie mes emails, ensuite, je mets la TV mais rien ne m'intéresse. A 18h30 le traiteur me livre. Je prends mon apéritif et ensuite je commence à manger. Stéphane et Dimitri arrivent en combinaison cuir.
Stéphane : Je suis venu en moto, plus facile pour se garer. Comment vas-tu ?
Moi : Je me fais chier comme pas possible et j'ai envie de sortir. Je reçois une tonne de SMS et d'emails pour me féliciter de ma première grande campagne de publicité et je ne peux même pas voir ce que ça donne en réel.
Stéphane : Je vais voir le médecin pour voir si tu ne peux pas sortir demain.
Il quitte la chambre. Dimitri monte sur le lit et vient se blottir contre moi. Son cuir me fait bander. Il le fait exprès ma parole. Avec son gant, il masse mon entre jambe.
Moi : Suces-moi !
Il a plongé sur ma queue et l'a avalé d'un trait. Malgré que je me sois déjà vidé aujourd'hui, il me fait un bien fou mais il a envie de ma queue dans son cul. Il dé zippe sa combi à l'arrière et enleve un petit plug que je suppose, mon homme lui avait placé et il vient s'empaler d'une fois sur moi. Il est bien ouvert donc mon homme est passé il y a peu de temps.
Moi : Serres ta chatte ! On dirait celle d'une femme.
Il ressert son anus et je suis mieux dedans. Il s'est baisé tout seul et en moins de dix minutes je le fécondais. Il m'a nettoyé la queue et a replacé son plug. Stéphane est rentré à ce moment-là et c'est lui qui lui a remonté son zip.
Stéphane : Il te fallait son jus aussi ? Tu es insatiable !
Dimitri : Pardon maître. J'en avais envie. Envie d'avoir vos deux jus en moi. Le jus de mes pères.
Stéphane : Ça va, on a compris, tu n'es qu'une petite salope en manque.
Moi : Il n'y a pas que lui qui est en manque. Qu'a dit le médecin.
Stéphane : Tu dois rester jusque lundi, il est catégorique.
Moi : On aura essayé mais j'ai envie de toi, moi.
Stéphane : Tu n'es pas en état mais je te promets que lundi, une fois que tu es à la maison je te fais ton affaire toute la nuit.
Moi : Ton cuir me donne envie.
Il s'approche de moi et dé zippe celle-ci. Il sort sa queue.
Stéphane : Dimitri surveille la porte.
Stéphane : Tiens, suces-moi !
Je me suis mis sur le côté pour éviter d'avoir mal mais mes côtes se font tout de même sentir. Je l'ai sucé comme je le pouvais mais aussi comme un affamé. Il n'a pas duré longtemps avant de me remplir la bouche dans un râle.
Stéphane : Tiens prend ça, ça te fera patienter jusqu'à lundi.
J'ai tout avalé tellement j'en avais envie. Je lui ai nettoyé sa queue et il a rangé son matériel.
Stéphane : Ca va tu es satisfait ?
Moi : Ma bouche oui mais mon cul non. Tu sais que je n'aime pas les hôpitaux et ta présence dans le lit me manque terriblement la nuit.
Stéphane : Lundi tu es dehors et je te promets une nuit de folie, en espérant ne pas te faire mal.
Moi : Ma hanche ça va, j'ai une gêne en marchant mais elle s'estompe et j'arrive à dormir dessus. Mes côtes elles sont toujours douloureuses quand je m'appuie dessus. Mon bras je ne sens plus rien. Le problème, c'est pour marcher avec la béquille mais j'y arrive mieux avec le nouveau plâtre. J'ai vraiment envie de sortir, je ne comprends pas pourquoi il me garde.
Stéphane : Arrêtes de ressasser et reposes-toi ! Je vais y aller avec le petit. Fais-moi plaisir et dors.
Moi : De toute façon je n'ai pas le choix.
Ils m'embrassent tous les deux et je me retrouve seul dans la chambre. Je regarde un peu la TV mais rien. Je me décide d'essayer de dormir.
Pattlg
Autres histoires de l'auteur : Domination par Stéphane mon futur mari