Etudiant, je passe le plus clair de mon temps à l'université entre les laboratoires de biologie et la bibliothèque. La semaine dernière, au lieu de bosser sur mon mémoire, je regardais un peu ce qu'il y avait sur Grindr. Toujours les mêmes mecs, rien de particulièrement passionnant, car la plupart sont très (trop) timide pour une rencontre spontanée sur place. Cependant, un profil attira mon attention.
Un simple selfie où on apercevait un joli visage ovale, des yeux bleus et un bouc court bien entretenu. Niveau informations, j'apprenais que ce jeune homme avait 28 ans ; un peu plus jeune que moi ; qu'il faisait 171 cm pour 70 kg et qu'il avait une relation.
Ma curiosité attisée, je lui ai écrit un court " bonjour " et envoie ma photo. Il a répondu rapidement, mais ne semblait pas particulièrement être intéressé et écrivait vraiment le minimum. Après son troisième " ok ", je décidais de ne pas approfondir la discussion et de me remettre au travail.
En milieu d'après-midi, je remarquai une notification. Ce jeune homme m'avait écrit et me demandait s'il m'arrivait de m'amuser aux toilettes. Je répondis par l'affirmatif et celui-ci semblait tout à coup plus enclin à la discussion et me raconta que cela l'excitait de s'imaginait comment je me branlais au lieu de bosser. Alors il me demanda si j'avais plus de photos. Il reçut donc rapidement une dickpic et une bodypic de ma part, mais lui-même n'envoya rien en retour, car il n'en avait pas.
Intrigué, je lui demandai s'il voulait qu'on se rencontre vite fait en live pour aller plus loin. Puis ce fût de nouveau silencieux.
Une heure plus tard, je reçois un message de ce mystérieux jeune homme :
" En fait, je pense qu'on se connait. Mais je me trompe peut-être, comment tu t'appelles ? ".
" Okay, t'es sûr, moi je n'ai pas l'impression de te connaitre ? Moi, c'est Aymeric et toi ? "
" Henri "
Je regarde la photo " Henri... ", " Henri Charpentier ? "
Il me répond alors " Toujours intéressé ? "
Suite à cette révélation, j'étais vraiment très excité, mon coeur battait fort, ma bite se raidit. Henri Charpentier avait été notre tuteur de laboratoire pendant deux semaines, un an plus tôt. Je n'avais jamais pensé qu'il soit gay. Tiraillé entre l'excitation et la peur d'avoir fait une grosse bourde, je me disais qu'il n'y avait plus rien à faire d'autre que de continuer.
" Oui. Retrouvons-nous dans 10 minutes dans le couloir de l'aile est du bâtiment. C'est assez tranquille là-bas. "
" OK "
Le coeur battant à tout va, je me suis dirigé vers le couloir. Qu'étais-je en train de faire. Mon excitation me faisait trembler les membres, ma bite était déjà raide. En arrivant, je le reconnus. Il portait une casquette et un t-shirt. Me fit un sourire qui fut suffisant pour faire baiser la pression et ne laisser place qu'à l'excitation.
" Suis-moi, ici il y a des toilettes pour personnes handicapées, on aura pas mal de place. " On se dirigea vers les toilettes, une fois à l'intérieur, je lui dis que je le trouvais vraiment sexy depuis notre première rencontre, et il commença à m'embrasser. Son baiser avait le gout du café, puis petit à petit nos salives ne faisaient plus qu'une. Il m'embrassait langoureusement contre la porte et il commençait à m'ouvrir le pantalon, se mit à genou, fit sorti mon chibre qu'il goba directement. En général, je préfère sucer, sinon j'ai du mal à jouir, mais la situation était vraiment bandante et il se débrouillait aussi bien avec sa langue qu'avec les pipettes en laboratoire. Précis, consciencieux et sûr de lui. Je le fis se relever et me mis à genou pour le sucer, son pénis n'était pas encore complètement érigé. Mais après quelques coups de langue je laissai son organe grossir da ma bouche. Il faisait bien 17 cm, une jolie courbure avec des veines bien saillantes. Un délice que je prenais plaisir à sucer en gorge profonde. Mais il m'arrêta rapidement. Il semblait qu'il était tout aussi excité que moi et souhaitait profiter du moment. Nous nous embrassions puis avons recommencé les fellations plusieurs fois. Malgré l'endroit quelque peu sordide, le moment était très agréable et nous avons continué pendant 20 minutes.
Je décidai alors de me lubrifier la rondelle avec un peu de salive, puis me tourna dos à lui, me frottant sur son membre dur. Je lui dis : " J'ai toujours voulu me faire prendre pas un de mes profs ". À peine ma phrase terminée, je sentais sa bite rentrer lentement dans mon trou. J'étais tellement excité que je mouillais en abondance et son membre ne rencontra aucune résistance. Dans le miroir, je pouvais voir mon tuteur barbu en train de me prendre. On échangeait nos regards dans le miroir, je sentais sa bite raidir encore plus en moi. Ce moment de flottement était magique, ses va-et-vient butaient bien contre ma prostate, ce qui me fit jouir sur le carrelage blanc des toilettes. Les contractions de ma bite et de mon anus eurent un effet immédiat. J'entendis quelques gémissements et il déchargea son fluide dans mes entrailles. En sortant sa bite quelques gouttes de spermes tombèrent sur le sol pour s'écraser non loin du mien.
Il me retourna et nous nous embrassâmes à nouveau, avant de nettoyer les lieux et de repartir travailler.
Cette histoire est un mélange en fiction et réalité. Les noms et lieux sont purement inventés, tout comme le sexe bare. Dans la fiction, il n'y a pas d'IST, ce n'est pas le cas dans la réalité. Protégez-vous !
Aymeric
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