Il devait être minuit, cela faisait bientôt deux heures que je me baladais sur l'application Grindr à la recherche d'un plan près de chez moi... D'ordinaire, je suis surtout du genre à prendre mon temps, échanger quelques messages, mais ce soir-là, je ne voulais qu'une chose : du sexe, rien d'autre. Aucun sentiment, aucun message préalable. Je voulais qu'on m'envoie un message pour me demander mon adresse et qu'un mec arrive un quart d'heure plus tard, la queue au garde-à-vous.
J'étais sur le point d'abandonner quand je reçus une dernière notification. J'ouvris le message : " salut, plan ? "
Mon premier réflexe fut d'aller visiter le profil de ce nouvel inconnu et quelle surprise quand des traits familiers apparurent sur mon écran. Je connaissais cette personne, on était tous les deux au même lycée deux ans auparavant. On ne s'était jamais parlé, à vrai dire, je ne l'aimais pas tellement. Il était mignon, grand, brun et avait un beau sourire, mais il avait aussi cet air supérieur qui m'insupportait. Je souris en voyant sa photo de profil. J'avais toujours eu des doutes sur sa sexualité. Et je pense que lui aussi avait des doutes. Il n'était jamais sorti avec une fille au lycée et les quelques regards qu'on s'était parfois échangés ne trompaient personne.
Néanmoins, il ne savait pas qui j'étais. Mon profil n'a aucune photo de moi.
Un nouveau message : " photo ? "
J'hésitais un instant puis je me décidai. J'envoyais une photo de mon visage.
Je dus attendre une dizaine de minutes avant de recevoir une réponse : " on se connait ? on était au lycée ensemble ? "
Je lui répondis " oui " et reçus une nouvelle réponse, plus rapide cette fois-ci : " chaud pour ce soir ? "
Je lui répondis " oui ".
Les vingt minutes d'attente me semblèrent interminables. J'en profitai pour reprendre une nouvelle douche, rangeai un peu mon appartement et allumai une petite bougie parfumée.
L'interphone sonna, je répondis et le laissai entrer. Quelques secondes plus tard à peine, on frappait à ma porte.
J'ouvris et le fis entrer. On s'assit tous les deux sur le canapé dans un silence embarrassant.
" Alors comme ça... tu es gay ? me demanda-t-il
- Bi... et toi ?
- Gay... "
Et de nouveau le silence.
" Je ne m'attendais pas à ce que ce soit toi, m'avoua-t-il
- Et qu'est-ce qui t'a fait venir ici ?
- L'envie de me faire plaisir... et c'est toujours mieux avec quelqu'un qu'on connait...
- On ne s'est jamais parlé au lycée, dis-je
- C'est vrai... mais j'ai toujours pensé que t'étais gay...
- Moi aussi. "
On rit tous les deux, et de nouveau le silence.
Après quelques longues secondes de malaise, il ouvrit la bouche :
" Alors, on commence ? "
Je ne lui répondis pas, mais embrassais ses lèvres. Ce fut étrange. Mais il embrassait bien. Il avait des lèvres douces. Ses mains se baladèrent sur mes jambes, puis mon torse, dans mes cheveux. Il retira mon t-shirt et je déboutonnai sa chemise. Sous ses vêtements, il cachait en réalité un corps fin et dessiné. Plutôt mignon. C'était le même corps que j'avais pu observer parfois en cours de sport, mais plus viril cette fois-ci...
Tandis qu'il baisait mon cou, sa main malaxait mon entrejambe. Je retirai ma ceinture et ouvris ma braquette et une fois l'accès libéré, il saisit ma queue déjà dure dans sa main et commença à me masturber lentement tout en continuant ses baisers dans mon cou... sur mon torse... sur mes tétons... et bientôt, sur mon gland qu'il décalottait avec délicatesse.
Je me laissais tomber dans le canapé et il commença à faire glisser sa langue de mon gland jusqu'à mes couilles tout en tripotant mon téton droit de sa main libre. Et puis il la prit en bouche. Elle faisait 16 centimètres. Je ne m'étais jamais considéré comme étant un mec avec une grande queue ou quoique se soit, mais le voir hésiter avant de tout prendre en bouche me fit sourire et m'excita encore plus. Le voilà, ce mec du lycée, aujourd'hui à mes pieds, ma queue dans la bouche, à me lancer des regards langoureux tandis que mes mains passaient dans ses cheveux.
Je pouvais voir qu'il aimait ça, il la léchait, suçait mon gland et faisait glisser ses lèvres tout le long de ma tige. Il la prenait en entière et pouvait la garder en bouche pendant plusieurs secondes. Pendant qu'il me suçait, il en avait profité pour sortir sa queue de son pantalon et se branlait lentement.
Après une de ses gorges profondes, je pris ma queue en main et la claque plusieurs fois sur sa joue et sur sa langue. Il aimait ça...
" Tu veux me prendre ? me demanda-t-il en se levant
- Oui. "
Pendant qu'il retirait totalement son pantalon et son boxer, j'enfilais un préservatif. Il se rapprocha ensuite, s'assit sur mes genoux et recommença à m'embrasser tandis que je guidais mon gland jusqu'à son trou. Quand il sentit ma queue entre ses fesses, il s'assit dessus et je rentrai lentement, mais sans grande difficulté. Et là, il commença lui-même à faire les mouvements sans que j'aie besoin de bouger. Le rythme s'accéléra et on pouvait bientôt entendre le claquement de nos deux peaux dans le petit appartement.
Après quelques minutes, il voulut changer de position, je me retirai et il s'accroupit sur le canapé, le cul face à moi. J'écartai ses fesses et passai plusieurs coups de langue sur son trou déjà ouvert avant d'y enfourner ma queue et de commencer les va-et-vient. Je l'entendais couiner et mes couilles qui venaient claquer contre son cul devaient l'exciter, car il recommença à se branler tout en me demandant d'y aller plus fort.
Au bout d'un moment, je ne pouvais aller plus fort et je sentais que je n'en avais plus que pour quelques secondes avant de cracher mon jus.
" Je vais juter... je glisse entre deux gémissements. "
Il se retourna aussitôt et me présenta son visage, la bouche grande ouverte. Je compris aussitôt.
Je retirai la capote et me branla pendant quelques secondes à peine avant de tout lâche sur son visage. Le jus gicla dans sa bouche, sur ses lèvres et quelques gouttes l'atteindront jusqu'au front. Je n'avais même pas fini de me vider sur son visage qu'il prit ma queue en bouche et pompa jusqu'à la dernière goutte.
Je me mis ensuite à genoux et m'empressa de le sucer jusqu'à sentir son jus couler dans ma gorge comme une récompense...
Il ne resta pas longtemps après l'acte, mais avant de partir il me dit : " On aurait discuté plus tôt, on aurait pu s'amuser plus au lycée... à plus tard. "
Louisallenk
louisallenk1999@caramail.fr
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