Vendredi 23 h. Je traine un peu sur le net, pour passer le temps et me débarrasser de l'érection qui m'empêche d'aller dormir. Branlettes en cam to cam sur d*rtyroulett. Rien n'y fait, je n'arrive pas à jouir. Alors je continue et me fais contacter par un mec un peu plus jeune que moi et plutôt direct qui me demande de reculer ma cam pour me voir en entier. Je vois juste son visage, mais je ne veux pas le refuser de me voir mieux.
Il a alors aperçu la capote pleine que j'avais posée contre ma cuisse, à portée de main. J'aime bien me branler avec une capote de jus ; ça me fait toujours bander de laisser couler le foutre de mon bzeur de la veille sur le bout de mon gland.. Ou à l'entrée du fion pour le lubrifier tranquille.
Voyant la capote, il a entamé une petite discute condom lubrif et foutre et m'a alors montré en cam qu'il en avait une aussi (de capote foutrée) à côté de lui. Gourmand comme moi, quoi. Alors quand ils m'ont dit qu'il pouvaient venir chez moi, lui et la capote, en 30 mn, j'ai refait mont lit et ma mise en plis.
Un peu incrédule je trainasse. Mais, à l'heure, voilà l'interphone qui sonne et moi qui vibre. Le mec entre, ouf, pas mal. Et surtout je suis tout de suite convaincu : il a cherché ma bouche, une bonne longue et grasse pelle, ma main sur sa bite et lui sur mon cul. Super entrée toute simple pour patienter avant le plat de résistance. Ce mec me plait bien et comme il bande autant que moi ce serait bien dommage de ne pas se sucer. Son sexe sent bon. Sans doute quelques gouttes de pisse séchée et de foutre du matin. Pas laver, mais tout doux, mélangé à l'odeur musquée de la transpiration de ses couilles. J'aime trop lécher son gland baveux à petit coup de langue et ensuite à pleine bouche en espérant qu'il décharge dans ma gueule. Je veux son foutre. Petite pause pour reprendre souffle et se branler tout doux.
Il cherche dans son blouson et sort la capote foutre qu'i a apporté. Je lui demande s'il l'a gouté, mais il n'a pas eu besoin de répondre pour que je sache qu'il y avait mis la langue. Je lui ai tendu ma capote, celle restée sur mon fauteuil. On s'est rapprochés, on s'est touché, caressé et on s'est bouffé la bouche à grandes goulées baveuses. On a déchiré les capotes pour boire les jus se les étaler sur le corps, sur le gland, et sur le fion pour mieux jour avec mes godes et pour s'enculer sans penser à rien d'autre. On a fini par jouir tous les deux à un court intervalle, sur son torse, dans ma bouche. Putain que j'âme le gout du foutre, le mien, le sien, les autres. Bien plus tard, quand il est reparti on a échangé nos slobards (boxers) en essuyant nos bites et nos culs dedans. Chacun gardera l'odeur de l'autre. On se revoit pile dans une semaine pour savoir quel slobard sera le plus odorant. Défense de crader le coton (pas la peine de pisser dessus tous les soirs) : ça doit rester naturel et éviter les traces de pneu. Pas top secouer la goutte en pissant, un où deux coups de foutre bienvenus. Et si on ne se lavait pas le zob?. Non !!!!Ça sera en troisième semaine. Toi aussi t'aime le foutre et les slobards odorants ?
Barn
barnabepoirot@yahoo.fr
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