Voilà la version longue. Allez, je prends le temps pour te raconter comment le mec m’a baisé vendredi.
J’ai 60 ans, de plus en plus passif, et je fais souvent des rencontres. Elles sont plus nombreuses et plus intenses depuis quelques mois.
On avait un peu tchaté cet été, je lui avais envoyé deux photos de mon corps. Et lui. Rien. Ni sa taille ni son poids.
Trois mois après, nouveau message sur le tchat : « t’es dispo ? ». Je réponds oui et il me propose de venir chez moi. OK, j’ai envie d’une bite. Je reçois un SMS de confirmation, je donne mon adresse.
Et là il me précise ». Ça sera juste un plan rapide.
Je veux juste ta bouche et ton cul après mon travail sur un chantier ».
Ah, le cliché ouvrier, chantier ! ce n’est pas un de mes fantasmes.
Au moins c’est clair. Ça me va : il ne veut pas traîner.
Je dois le recevoir à poil dans la pénombre. J’aime bien.
20 minutes après SMS : « je me gare ». Je le vois arriver de loin : un mec bien balancé en tenue de travail.
Il est monté. J’étais à poil comme il voulait et je m’étais un peu ouvert le fion avance un gode en l’attendant. Pénombre, film de cul.
Là il rentre.
Quarantaine, blond bien bâti, barbe de 3 jours et des yeux superbes.
Bon il vient pour soulager sa bite, alors je suis direct à genoux pour le pomper. Belle bite raisonnable.
Beau mâle européen au poil clair, non coupé de caractère joueur.
Je le suce, je le lèche, je le pompe je bouffe ses couilles et je sens des doigts qui me prennent le fion. J’avale plus profond à chaque fois qu’il enfonce ses doigts. Pas question de les retirer, ils prennent possession de mon fion et c’est lui qui décide. Je gueule de plaisir. Il me demande mon âge et me répond que je fais moins. Gentil, ça ! et reprend le travail de mon cul… Trois doigts c’est bon, très bon. Il alterne avec de longs coups de queue. Il est implacable, mais quand je sens vraiment que mon cul faiblit, c’est ma gorge qui prend son chibre… C’est quatre doigts qu’il veut faire passer… c’est sa main qui veut passer. Waouh Ah oui, du vrai direct, hyper directif et très ferme. Pas facile de m’ouvrir autant qu’il veuille, mais il sait s’imposer. Waouh !! Un truc de ouf ! Il m’a bien ouvert et m’a doigté et pris dans tous les sens. Je savais plus si je donnais mon cul ou ma bouche. Et là, le miracle ; le mec m’a pris la bouche avec ses lèvres, il m’a roulé une vraie longue pelle ! Je n’y croyais pas ; il n’y avait rien eu de tendre en commençant à baiser.
On a repris plus fort plus profond surtout quand il m’a dit qu’il n’avait jamais embrassé un mec avant. Vrai ou pas vrai, je n’en sais rien, mais ça m’a rendu bien chienne.
Et c’est une chienne qu’il voulait là, pas une chatte ronronnante : c’est lui qui prend ma bouche, c’est lui qui caresse ma croupe, totalement sous son emprise.
Là il commence à me dire qu’il pourrait venir souvent, tôt le matin. Ça fait partie du jeu avec un soumis : « ouvre-toi bien là et je reviens tous les jours » blablabla qu’ils disent souvent nos baiseurs. Alors je joue le jeu, je lui dis que ce serait trop bon d’être à sa disposition. Au moins ça m’a excité et je me suis encore plus donné à ce beau mec bi.
Le plan décharge rapide a duré une heure et je n’étais pas loin d’avoir une vraie jouissance anale. J’ai couiné et gueulé de plaisir. Il m’a dit qu’il reviendrait lundi matin avant 6 heures.
Viendra, viendra pas.
M’a aussi renvoyé un message en me demandant de le recevoir à poil avec des bas. Je n’ai jamais fait ça, les trucs de nanas, je n’y pense même pas. Mais j’ai dit oui sans réfléchir Incroyable, je n’ai pas réussi à dire non. Je viens de les acheter. Je viens de les essayer. Bizarre. Pas sûr d’être à l’aise.
Et hop, surprise : je reçois un message avec sa photo. Wahou ! Belles épaules musclées, tatouages que je n’avais pas vus. Et un message « Voilà une photo pour que tu ne m’oublies pas ».
La suite lundi, s’il y a une suite.
Barn
barnabepoirot@yahoo.fr
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