Premier épisode | Épisode précédent
Ils se sont postés devant moi, la queue à l'air qu'ils masturbent lentement. Simon a sorti les capotes.
- Alors, lequel de vous 2 commence à le déboiter ? Dit-il en en tendant une.
C'est le plus mince des 2 qui s'en saisit, un moustachu qui fait ma taille, il vient derrière-moi et entre sans difficulté.
- Il est déjà bien ouvert, ça rentre facilement.
- Il a pris des dizaines de queues dans son cul depuis 2 jours, c'est un vrai garage à bites, dit Alban en riant.
Le mec me besogne pendant que Simon et Alban regardent, je les fixe, l'humiliation est là, elle m'arrache bientôt des couinements sous le regard satisfait de mes tortionnaires. Le mec n'est pas violent, il me lime et prend son plaisir, Simon et Alban ont sorti leur bite et se la caressent lentement, le mec jouit en m'insultant, je réponds " merci ", ça fait sourire Simon qui m'ordonne d'avancer d'un pas et pas un de plus. J'obéis, l'autre mec prend la place dans mon cul, il devait être bien excité, car il jouit très vite et se barre. Je reçois de nouveau l'ordre d'avancer d'un seul pas. Il n'y a plus personne autour de nous.
- À chaque fois qu'un mec a fini de t'enculer, tu avances d'un seul petit pas vers nous Yan, quand ta gueule sera à portée de nos bites et que tu nous auras bien fait jouir dedans, on rentrera...
Je suis à 5 mètres d'eux, il va m'en falloir des queues dans le cul ! Vache et salaud, il ne déroge pas à ce qu'il a annoncé. Un mec approche, il ne demande même pas s'il peut m'utiliser, il sort une capote de son pantalon et m'encule sauvagement, me faisant gémir, il m'insulte copieusement et je le remercie quand il a terminé. Un petit pas de plus vers mes 2 mâles qui cette fois se branlent très lentement mutuellement.
- J'oubliais Yan, si Alban et moi on jouit avant que tu n'arrives à nous, notre deal prend fin, c'est que tu ne seras pas à la hauteur...
J'écarquille les yeux, je tourne la tête à gauche, à droite, je ne vois que des ombres, mais personne ne semble vouloir s'approcher et je me mets à geindre, à appeler assez fort...
- Baisez-moi... Enculez-moi... S'il vous plait...
Les yeux de Simon pétillent de joie, Alban n'est pas en reste, il prend du plaisir à me voir ainsi, le fait de voir leur plaisir me réconforte et me fait plaisir, alors je continue à meugler dans ma clairière, je brame tel un cerf en rut, mais un cerf qui en veut dans son cul ! Les ombres se rapprochent et quelques mâles viennent se soulager, certains regardent juste, se branlent et jouissent sur le sol, mais il me les faut dans le cul pour que je puisse avancer.
Plus le temps passe, plus Alban et Simon me chauffent, ils en sont à se caresser en me regardant, ils ont tombé la chemise, je continue à réclamer des bites dans mon cul, j'ai la gueule ouverte à fixer la queue de mon cousin et celle de Simon, je les veux. Oui... Cette fois je ne suis qu'un animal totalement perverti, je ne suis rien d'autre et pour le plaisir de ces messieurs.
Je suis à environ 1 mètre de mes mâles en train de me faire tringler par un petit nerveux qui m'oblige à plier les jambes pour qu'il puisse être à la hauteur, Alban s'est mis debout sur la table et je vois Simon qui commence à le sucer très lentement tout en me regardant... J'ai presque envie d'engueuler celui qui m'encule pour qu'il aille plus vite, je veux faire mes derniers pas, il doit m'en rester 2 ou 3 maximum avant de les atteindre ! Il jouit, enfin ! Pas trop tôt ! J'avance d'un petit pas et je reprends mon appel " baisez-moi, s'il vous plaît... "...
Plus qu'un et en me penchant assez je serai à portée de la bite de Simon, celui qui vient d'entrer en moi en a une qui s'impose par la taille et j'en gémis entre douleur et plaisir. Il y a un petit attroupement à présent qui joue les voyeurs et se plaît à m'insulter tout en encourageant ceux qui m'enculent. Et je fais enfin ce petit pas qui me permet de gober la queue de Simon, je me rue dessus comme un affamé, j'ai envie de lui caresser les couilles, mais mes poignets sont solidement attachés à mes cuisses. Je le pompe comme si ma vie en dépendait alors qu'un autre mec prend la place dans mon cul, Simon m'ordonne d'avancer d'un pas, ça va être moins pratique maintenant, il est clair que ceux qui m'enculent ne doivent pas jouir trop vite maintenant ! Vache et salaud... J'empale ma gueule sur la queue de Simon, je suis en gorge profonde les trois quart du temps et lorsque je sens enfin son foutre se déverser dans ma gueule, je me mets à couiner comme jamais, je lui laisse à peine le temps de vider ses couilles que j'ai lâché sa queue et je suis déjà gueule ouverte vers celle d'Alban, un filet de sperme coule de mes lèvres, je m'approche pour avoir la queue de mon cousin que Simon suce toujours, mais, sans que je m'y attende, Simon me roule une pelle monumentale avant de me laisser sucer Alban. Et j'atteins l'objectif dans les 30 secondes qui suivent, Simon ayant déjà bien pratiqué mon cousin, je suis visiblement passé à trois fois rien de la fin de ce séjour de perversion et de dépravation.
La jouissance d'Alban sonne la fin de l'accès à mon cul, le mec en moi n'a pas joui, mais pour autant Simon lui ordonne d'arrêter, son ton est tellement autoritaire que le mec s'exécute et part en nous traitant de tarés. On peut se poser la question de savoir s'il est dans le vrai, mais je m'en fous, j'ai relevé le challenge, question de fierté, mal placée ou non je m'en fous, j'ai rempli ma mission.
- Tu réalises tous mes fantasmes Yan, dit Simon avec un sourire éclatant, je prends un pied formidable.
Alban me félicite également, je baisse la tête en disant " merci ", je suis content, mais gêné. Il a toujours été difficile pour moi d'accepter les compliments, je n'ai pas été élevé de cette manière, c'est peut-être aussi une des raisons qui ont fait de moi ce que je suis. Je suis devant mes 2 mâles, menotté aux cuisses et j'attends les ordres tête baissée. Et je me sens bien, je me sens protégé par mon cousin et mon bûcheron canadien alors qu'ils viennent de m'humilier publiquement, mais j'aime ça et ils font attention à ce qu'il ne m'arrive rien de dangereux. Cette fois, aucune capote à récupérer, elles jonchent le sol ou sont dans la poubelle à côté de la table, les mâles se rhabillent et nous reprenons le chemin vers la voiture bien que je suive toujours menotté et tiré par une chaîne. Arrivés devant la voiture, je suis libéré et ne garde que mon collier, je m'habille, Simon vient près de moi et passe sa main sur ma joue.
- Tu vas bien ?
Je fais un petit signe de tête positif sans le regarder, putain Simon, arrête ces moments de tendresse...
- Je t'avais prévenu que j'allais jouer hard, vache et salaud.
- Et tu n'as pas menti, dis-je en regardant le sol.
- Et j'ai pas fini surtout... Monte, on rentre.
Je monte à l'arrière, les 2 mâles sont à l'avant à discuter aussi bien de la journée que de cette prestation dans les bois. Je ne dis rien, je fais semblant de regarder dehors, mais je vois de temps en temps le regard de Simon dans le rétroviseur. Je me demande ce qu'il me réverse pour la suite, il la joue hard en effet, cela ne me déplaît pas, mais cette saloperie de verrou qu'il a fait sauter sous la douche commence à me titiller.
Nous arrivons à l'hôtel, je fonce dans la chambre prendre une douche et me laver, j'ai toujours besoin de me sentir propre aussi bien pour être à disposition que pour me sentir moins... Sale... C'est fou comme ces situations m'excitent, mais la honte entache toujours ces moments. Étonnamment, je supporte très bien l'humiliation, mais beaucoup moins la honte.
Nous descendons dîner, j'ai remis mon jean et ma chemise, bien entendu, mon collier est bien visible. Il y a du monde ce soir dans le restaurant, Ethan nous accueille et nous conduit à notre table habituelle, le couple de vendredi soir est là... Les tables sont rapprochées et les discussions fusent sur leur nuit commune. Ils veulent remettre ça ce soir. Alban accepte avec enthousiasme, Sarah me propose de venir, Simon intervient.
- Yan est pédé, il ne touche pas les femmes, c'est ce " petit " détail qu'il a omis de vous dire vendredi soir.
- Quel dommage, dit Sarah, il est bien bâti...
- Oui, j'y gouterai bien, ajoute Benjamin.
- Vas faire plaisir à Monsieur... Me dit Simon en me regardant avec sévérité.
Je regarde Simon l'air surpris ne sachant pas quoi faire, il me montre des yeux la nappe, je me décompose en pensant comprendre et c'est bien le cas, je dois passer sous la table alors j'obéis, je passe aussi discrètement que possible sous la table et me mets à genoux entre les jambes de Benjamin qu'il a déjà bien écartées. Sarah pousse un peu la nappe pour me voir défaire la ceinture de son mari et déboutonner sa braguette, lorsque je sors sa queue délicatement de son caleçon et que je l'engouffre dans ma gueule, elle regarde encore 30 secondes, sourit et remet la nappe en place.
- C'est un soumis ? Demande-t-elle à Simon.
- Un bon bâtard oui, répond-il.
- Dommage, j'aurais bien aimé le soumettre... C'est tellement bon de voir un homme soumis, n'est-ce pas Benjamin ?
- Oh oui ma chérie, j'aime quand tu me domines.
- Alban, cette nuit, tu aimerais ? Demande Sarah.
- Je... je suis pas trop fan avec une femme, autant j'aime soumettre un mec autant me soumettre à une femme, je suis pas sûr de pouvoir.
Sarah tente de convaincre Alban, il exprime son refus catégorique de se faire enculer, Benjamin essaie de lui faire comprendre qu'il reste un homme malgré la soumission et que se faire enculer est très bon, il l'est souvent lui, par un homme ou par Sarah. Le couple déploie des arguments qui poussent Alban à tenter l'expérience avec l'assurance que s'il exprime le besoin de stopper, tout s'arrêtera. Simon est convié, mais il décline précisant qu'il ne veut pas se soumettre à une femme, macho jusqu'au bout, et qu'il a envie de se taper son bâtard tout seul.
On m'avait presque oublié sous la table et cette dernière réflexion fait se recentrer la discussion sur mon activité actuelle.
- Alors mon chéri, ça donne quoi ?
- Il suce très bien, mais il va falloir qu'il arrête sinon je vais jouir.
- Au contraire, qu'il te termine, tu seras vidé pour te faire dominer ça n'en sera que meilleur.
- Oh oui ma chérie...
Putain... J'ai l'air aussi niais quand je me soumets ? Me dis-je à moi-même tout en continuant de sucer et puisqu'il faut le terminer, j'accélère un peu le rythme. Sa bite est belle et bonne je dois l'admettre et le sucer est un plaisir, mais je m'active et le voir se crisper pour essayer de ne pas trop attirer l'attention vers notre table est excitant, car cette fois, ce n'est pas moi que l'on voit.
- Il m'a pompé ce matin, j'ai hurlé dans la chambre tellement c'était bon, dit Alban en riant.
- Ben... Là je me retiens parce que je suis à la limite d'exploser...
Il termine à peine sa phrase et je sens ses jets de sperme s'écraser sur mon palais, je me régale, ils sont très épais comme j'aime, j'avale très lentement tout en nettoyant bien le manche. Benjamin étouffe des cris dans sa serviette de table, il fait semblant de tousser, la tablée se met à rire. Une fois ma mission bien remplie, et mon estomac aussi, je remets les choses à leur place et remonte le plus discrètement possible à la table. Nous terminons le repas, Alban part avec le couple, je suis Simon dans sa chambre, à peine entré, il se rue sur moi et m'embrasse, j'essaie de résister, je me prends une gifle.
- J'ai pas été assez clair ce matin ?
- Si... Mais c'est difficile pour moi, ce que tu veux me faire...
- Et t'étais prévenu, vache et salaud, je suis un salaud et toi, une salope.
Je baisse la tête et réponds " oui ". Il me la redresse en posant son pouce sous mon menton et m'embrasse tout en déboutonnant lentement les derniers boutons de ma chemise. Puis il me pousse lentement vers le lit, je m'y assois et il m'oblige à m'allonger sous son poids. Ses lèvres n'ont pas quitté les miennes, il se redresse et enlève sa chemise, mes yeux pétillent, la vue est splendide, il le voit, il sourit et reste immobile, fier de me voir l'admirer. Mes mains se posent sur son torse velu, viril et musclé, j'en couine.
- T'aimes les mecs comme moi hein Yan...
- Oh oui, ton corps est superbe...
Il s'allonge sur moi, nous fait rouler et je suis sur lui à présent, il me fait me redresser et me caresse.
- J'aime les mecs comme toi Yan, virils, poilus et soumis... Avilir la virilité, c'est magnifique...
Nous restons un long moment à nous regarder et nous caresser le torse puis il se redresse et vient me bouffer un téton, je commence à gémir, une de ses mains agrippe mes cheveux pendant que l'autre me caresse le dos.
- Vas-y Yan, prends ton pied, j'adore t'entendre gémir et couiner, te sentir à moi, soumis à mes désirs...
- Baise-moi Simon, démonte ta pute, dis-je la voix tremblante d'excitation.
- On a le temps, on a toute la nuit, tu commences tout juste à chauffer, moi je te veux en incandescence...
Il m'attrape alors un téton et l'aspire, le suce tout en le mordant, j'hurle de plaisir, lui attrape la tête à 2 mains et la presse au maximum contre mon torse pour qu'il n'arrête pas, je l'entends grogner de satisfaction lorsque d'une main je lui caresse les cheveux et le visage. J'ondule sur lui, je me frotte sur lui, mon jean caresse le sien, je gémis comme si j'étais en manque de sexe alors que depuis vendredi, je n'ai pas fait grand-chose d'autre, mais lui, je le veux, je ne m'en lasse pas, il me fait perdre la tête, je suis à lui, j'en suis raide dingue...
Simon est une force de la nature, il parvient à se lever et je sens ses bras puissants me porter, sa bouche ne lâche pas mon téton qu'il travaille avec application et je couine comme un malade, mes jambes l'enlacent, j'ai une main qui lui agrippe les cheveux et l'autre qui lui caresse la barbe, il lâche mon téton torturé par ses lèvres et ses dents pour revenir vers ma bouche et je le laisse faire, je suis en train de me perdre, de m'abandonner à lui en sachant que ça va me couter très cher, mais il m'a eu, nous nous roulons une pelle endiablée pendant qu'il me ramène vers le lit pour m'y déposer sur le dos. Avec une dextérité et une rapidité incroyable, je me retrouve les mains attachées aux sangles du lit. Simon revient sur mon téton, je recommence à gémir à lui demander de me baiser, je me tortille dans tous les sens et il rit sans pour autant arrêter son travail. Puis il se redresse et s'assoit sur moi, les fesses bien posées sur mon bassin, ses jambes viennent s'ancrer sous les miennes, il est droit, fier, mâle, il me regarde pendant que ses mains se posent sur mes tétons et commencent un travail qui ne va s'arrêter de sitôt.
Je le regarde en tremblant, ma gueule est grande ouverte comme si je voulais l'appeler pour qu'il vienne de nouveau m'embrasser, je n'arrive plus à parler sous l'effet de ses mains alors que les miennes sont entravées et que ma seule envie, c'est de lui caresser ce torse de mâle puissant et il le sait, c'est pour ça qu'il m'a attaché, je dois encore chauffer pour lui, le salaud, il va me consumer...
Quand il se penche et me lèche le torse, j'émets un râle indéfinissable qui me vaut l'arrivée de 2 de ses doigts dans la gueule, je les suce immédiatement.
Quelques secondes plus tard, son visage arrive au niveau du mien, ses 2 billes noires se plantent dans les miennes.
- T'es beau quand tu t'abandonnes Yan, dit-il en me caressant le visage.
Je me mets à pleurer, il me regarde avec tendresse et compassion.
- Vache et salaud mon beau, j'en n'ai pas fini avec toi, ajoute-t-il avant d'engouffrer sa langue dans ma gueule...
Yan
ftasm@yahoo.fr
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