Premier épisode | Épisode précédent
Me débattre sera peine perdue alors je le laisse faire et comment oser dire que je n'aime pas ce qu'il me fait, au contraire, j'adore... Alors que sa langue fouille ma gueule, ses mains me caressent, son corps brûlant se frotte au mien, je le sens avoir une poigne de plus en plus ferme, il chauffe lui aussi, la bête va se réveiller bientôt et tant mieux, il faut qu'il arrête cette tendresse, ça devient trop difficile pour moi. Perdu dans mes pensées, je reviens à la réalité et me mets à gueuler de plaisir quand sa langue vient subitement lécher mes aisselles, ça me chatouille et m'électrise en même temps, c'est quelque chose qu'on me fait rarement. Habituellement, on me lime d'un côté, de l'autre ou les 2 en même temps et après on me laisse là et ça me va bien. Là il cherche à me donner du plaisir et putain qu'il m'en donne, j'avais presque oublié combien c'est bon qu'on s'occupe de mon corps et je vais finir par en redemander...
- Baise-moi Simon, baise-moi...
- Je te l'ai dit Yan, on a tout le temps devant nous, ose me dire que tu n'aimes pas ce que je te fais... Et pour finir, JE décide de ce que je fais et quand je t'entends, tu prends du plaisir et JE veux t'en donner.
- C'est pas à moi d'en avoir, mais à toi...
Il se redresse et me gifle, son regard est noir de colère, mais qu'il est sexy aussi comme ça.
- J'ai du plaisir dans ce que je te fais là, t'as peut-être peur d'avoir des sentiments, mais pas moi...
Il reprend ses caresses et le léchage de mes aisselles, je couine et ses mots percutent mon cerveau, j'espère avoir mal compris...
Il descend vers mes baskets qu'il enlève, remonte vers mon jean, ouvre la ceinture et je me retrouve rapidement nu sous son regard de bête sauvage excitée. Il affiche un sourire carnassier, le repas est servi... Alors il descend entre mes jambes et me gobe les couilles, ma cage m'empêche de bander et de gicler, heureusement sinon je crois que là j'exploserais. Mais j'explose en couinements sous son regard amusé. Rapidement, il est à genoux entre mes jambes, il me lève le bassin de ses bras puissants et continus à me bouffer les couilles en me regardant. Quelques minutes plus tard, alors que je souffle comme un boeuf, son visage disparait et sa langue m'informe qu'il a décidé de me bouffer le cul. Instinctivement, je pose mes pieds sur ses épaules pour le soulager et il se met au travail, je gémis comme rarement, j'ai la tête qui tourne, putain qu'il sait y faire, putain que c'est bon ! Puis il lâche tout, mon bassin et mes jambes retombent sur le lit, je le regarde se lever et aller vers son sac à malices... Il en sort une sangle qu'il vient me poser aux chevilles, il me relève le bassin, passe la sangle sous le matelas pour bien relever mes jambes et une autre qu'il me passe derrière la nuque. Il règle le tout de façon à ce que mon cul soit bien relevé sans que ni lui ni moi n'ayons besoin de nos mains pour me maintenir dans cette position, le cul bien exposé. Je le vois monter sur le lit, il est debout, sa tête et son torse trônent entre mes jambes.
- Salut toi... Dit-il en souriant l'air espiègle.
Il suce 2 de ses doigts et les pose sur ma rondelle offerte et tout en affichant un sourire malicieux, il les enfonce lentement, j'ouvre grand la gueule, il ouvre grand les yeux comme pour me dire " c'est bon hein ? " et il entame un long, très long travail de mon cul. 2 doigts, 3 doigts, des coups de langue, de nouveau 2 doigts... Il les fait tourner, il affiche ce sourire qui transpire de plaisir, j'ai toujours la gueule ouverte, mais aucun son ne sort, putain, mais il me fait quoi ? Je n'ai jamais pris autant de plaisir, il y va en douceur, aucune violence, ses yeux sont rivés sur les miens, il m'observe, dès qu'il voit que je réagis à une manipulation en particulier, il insiste, arrête et recommence comme pour s'assurer que je prends un plaisir sans précédent. Et c'est le cas, c'est dû sans précédent !
Et il recommence, 1 doigt, 2 doigts, un coup de langue, le pouce, 2 doigts, un coup de langue, 3 doigts et je suis là sans l'être, seul son visage qui affiche un sourire ravi et satisfait m'intéresse, il a son jouet et il voit son jouet qui s'abandonne, qui reçoit le plaisir qu'il veut lui donner et son jouet s'exprime avec les yeux qui partent en arrière, des gémissements à n'en plus finir, des contractions pour bouger, mais le jouet est solidement sanglé... Puis il enlève ses doigts et rentre sa queue, j'ai la vue parfaite sur ce molosse debout sur le lit, les muscles bandés, le torse bombé, la tête qui part en arrière, la bouche qui s'ouvre en lâchant ce " h " de plaisir intense quand il entre en moi. Puis sa tête se repositionne et il me regarde, il découvre toutes ses dents et fait tressauter ses sourcils, je me mets à rire, il entre à fond au même moment, sa queue plantée en moi cherchant à se redresser tellement elle est pleine de sang, elle déforme mon conduit et la prostate envoie des signes de prise de contact inattendue et il a ce qu'il veut, je... " chante "... Il a ce qu'il veut parce qu'il me scrute et lorsque les premières notes arrivent, il affiche un sourire tellement content qu'il n'y a aucun doute possible, il chuchote " c'est bien mon beau, continuuuuuuuuuuuue "... Et là il me pilonne à fond, le matelas se met en branle, j'ai l'impression d'être dans une voiture sans suspension qui fait une course sur une route pavée. Simon y met tout son poids, entre et sort de moi en soupirant de plaisir et je chante, tellement envahi de plaisir par cette position qui ne m'était jamais venue à l'esprit. Il faut avouer qu'elle n'est pas très confortable, mais je m'en fous, c'est trop bon ! Il a une vue plongeante sur moi et d'où je suis, la vue sur son torse et son visage me suffit. Mais il s'arrête, il sort de mon cul au bout de 5 minutes, je ne comprends pas. Il retourne vers son sac et il en sort un gode qu'il me plante sans aucun ménagement dans le cul et qui rentre sans difficulté, il faut dire qu'il a bien préparé le terrain et malgré la grosseur de l'ustensile, je " l'avale " avec une facilité déconcertante. Il appuie dessus, le sort, le rentre, je reprends mon chant, il se met à rire à gorge déployée...
- Attends Yan, attends...
Il s'agenouille à côté de moi, une main sur le gode qu'il fait entrer et sortir, il a le visage proche du mien, dépose un baiser sur mes lèvres puis me regarde avec un sourire de mec heureux, avant d'ajouter...
- Aller Yan, fais-moi The Voice !
Et sa bouche part attaquer mon téton pendant qu'il donne le rythme au gode. Alors The Voice, je ne sais pas, mais il a eu une symphonie en " rut majeur " ! Putain, comment fait-il pour me faire partir comme ça ? Je me lâche, je gueule de plaisir, tout mon corps est contracté, j'ai l'impression que je vais perdre connaissance, mon cerveau reçoit des sortes de décharges électriques, j'ai du mal à respirer, je serre les dents, mais il ne s'arrête pas, il y va même plus fort, il appuie sur le gode avec sa paume et j'ai l'impression qu'il me mange le téton, ça fait mal et je lui dis que je n'en peux plus...
- M'en fous, chui un salaud, dit-il avant de reprendre de plus belle et me faire encore chanter...
Puis sans prévenir, il retire le gode et lâche mon téton, je souffle, je suis essoufflé, je cherche à reprendre ma respiration en le regardant, il est tout sourire, fier de son coup, je suis en sueur, je suis même trempé, il me lèche par endroits et avale ma sueur. Je le vois se redresser, il se met à genoux au-dessus de moi et me présente son cul.
- Aller, à table maintenant.
Je suis vidé d'énergie, mais je veux lui faire plaisir alors je lui lèche le cul, il se met bien en position et en profite pour me gober les couilles tout en titillant ma rondelle qui commence à appeler au secours. Je l'entends gémir de plaisir. Au bout d'un long moment, je le sens desserrer mes sangles aux chevilles et mes jambes retombent lourdement sur le matelas, son cul s'éloigne en suivant ma chute et je reprends tant bien que mal mon souffle. De son côté, il me lèche les cuisses, ça me chatouille, il frotte sa queue sur mon torse et je l'entends grogner de plaisir. Ce mec est une machine à sexe, il ne s'arrête jamais, je suis exténué et lui il se frotte sur moi, il n'arrête pas de me toucher, me caresser, me lécher, tout mon corps y passe, même les pieds et il se redresse enfin, debout, fier, il me regarde toujours avec ce sourire joyeux.
- Je vais fumer une clope, on reprend après...
" QUOI ?!?!???!!!!! " hurle une voix dans ma tête, j'écarquille les yeux, le regarde sortir sur la terrasse de la chambre, clope au bec, il est dehors, nu et admire le ciel. Pour ma part, je suis coincé, allongé sur le pieu à attendre que Monsieur daigne revenir. Je ne vais pas tenir un nouvel assaut parce que clairement là, il reprend des forces et je n'en ai plus. Je le regarde, il est de dos, tellement fort et viril, le buste taillé en V, les fesses bien rondes, ce mec est superbe, parfait... Il se retourne et nos regards se soutiennent, il prend une dernière bouffée puis jette son mégot et rentre dans la chambre. Il vient s'assoir sur le lit, les jambes écartées à l'opposé de moi et me regarde toujours en souriant.
- Aller, viens me sucer p'tite pute.
Je le regarde l'air ahuri, je soulève mes bras pour lui montrer que je suis attaché et il éclate de rire.
- Je m'en fous Yan, tu te démerdes et tu viens chercher ton yop...
Je commence donc à essayer de me redresser, il va falloir que ma tête aille à l'opposé de là où elle est actuellement, j'arrive à faire ce " demi-tour " sur le lit et j'essaie d'avancer, mais mes sangles me retiennent, je le regarde l'air démuni, il est toujours mort de rire, putain qu'il est beau...
- Allez, bouge-toi, ma queue attend...
- Mais t'es trop loin, les sangles m'empêchent d'avancer Simon...
Je prends une gifle puissante, mais il reste tout sourire.
- Obéis salope, trouve un moyen, je m'en fous de tes excuses, tu viens me pomper, je veux cracher mon sperme dans ta gueule de pédale ! T'es un suceur de bites oui ou non ?
- Oui... Mais...
Nouvelle gifle...
- Alors ta gueule et viens pomper bâtard !
Il me motive, je cherche en moi la force de tirer plus fort, je change un peu la position de mon corps et je parviens à soulever un peu le matelas, j'avance petit à petit vers sa queue, la gueule grande ouverte, il affiche une satisfaction non feinte, mais je prends encore des gifles avec l'ordre d'aller plus vite. J'y arrive enfin devant cette queue que je me mets à sucer avec avidité, j'ai les bras qui me font mal, le matelas est bien relevé, mais je suce, je veux lui faire plaisir.
- Ben voilà, c'était pas si compliqué ma pute, de toute façon, quand y a du foutre à la clé, tu déplacerais des montagnes alors pompes-moi bien et tu vas avoir ta récompense de salope...
Il gémit, il m'encourage, me caresse les cheveux et je le suce en gémissant de plaisir de mon côté, parfois sa main appuie très fort sur ma nuque m'obligeant une gorge profonde dont il est le seul à pourvoir me libérer dans un " h " de plaisir qui me motive tout autant à le donner du plaisir.
- Tu vas me faire virer pédé Yan, je peux faire ce que je veux de toi et tu sais y faire mon salaud...
Tiens, c'est moi le salaud maintenant... Puis ses mains agrippent ma tête, c'est la dernière ligne droite qui se profile, il me donne le rythme, il respire de plus en plus vite, c'est une question de secondes...
- Je vais te retapisser la gueule et je t'interdis d'avaler enculé...
Il lâche ma tête et se penche pour libérer mes poignets, le matelas retombe lourdement sur le sommier et mes mains viennent immédiatement caresser le corps de ce mâle qui m'excite tant. Simon émet un râle libérateur et je sens son sperme chaud s'engouffrer dans ma gueule, j'en gémis de plaisir et je manque de tout avaler par réflexe, mais je respecte la consigne, il râle, il souffle, une main se pose sur ma tête, l'autre me caresse le dos, j'ondule de plaisir, il m'ordonne de me redresser et de me mettre à genoux en face de lui, j'obéis. Il me regarde et me gifle en m'insultant.
- Des pédales de ton espèce, j'en ai déjà niqué, mais j'ai jamais pris autant de plaisir avec toi salope.
Sur ces mots, il s'approche et me roule une pelle en récupérant un peu de son sperme, il recule un peu son visage, me crache à la gueule et me roule de nouveau une pelle, il recommence plusieurs fois. Son sperme se répand sur ma gueule lentement puis s'accroche à sa superbe barbe.
- Vas-y, lèche-moi le visage maintenant et régale-toi avec ta bouffe à pédé.
Je le lèche, avec passion et délicatesse, il se laisse faire, il apprécie, c'est évident. Une fois qu'il est tout propre, il m'attrape la nuque et me fait retourner vers sa queue que je gobe immédiatement, il pisse sans que je m'y attende et il ne cherche pas réguler le débit, il se vide, j'ai du mal à suivre, mais j'y parviens. Lorsqu'il a terminé, il m'attrape les cheveux et me redresse. Il me caresse et m'embrasse à pleine bouche, son corps se frotte au mien et bientôt il m'oblige à force de me pousser à me remettre sur le dos sur le lit et c'est un festival de tendresse, de caresses, de léchouilles, de baisers auquel se livre mon bucheron canadien. Je suis tétanisé, je le laisse faire, je sais qu'il aime, mais au bout d'un moment, il voit ma crispation. Son visage remonte vers le mien, ses 2 billes noires me scrutent.
- C'est pas bon ? Demande-t-il sur un ton narquois.
J'hésite à rien répondre, à vrai dire, je n'arrive pas à parler.
- Tu préfères quand je te frappe et quand je t'insulte ?
Les mots sont là, ils se bousculent dans ma bouche, mais ils ne parviennent pas à sortir, les larmes par contre ont trouvé le chemin et déferlent. Simon me regarde l'air inquiet, passe son doigt sur ma joue mouillée et récolte l'eau salée qu'il lèche sur son doigt.
- Toi, t'es un abîmé de la vie, me dit-il soudain très sérieusement.
Je ne parviens pas à soutenir son regard, je tourne la tête qu'il a sitôt fait de me ramener vers la sienne.
- Vache et salaud, je ne changerai pas Yan. Mais si ça devient trop dur pour toi, on arrête.
Je ferme les yeux, inspire un grand coup et arrive enfin à m'exprimer.
- Je suis en train de tomber amoureux Simon... Autant j'encaisse quand t'es hard, autant la tendresse, je ne sais pas gérer... Et l'abime de la vie, il a trop peur d'avoir de nouveau mal au coeur, c'est pour ça qu'il est ce qu'il est aujourd'hui.
Impossible de retenir le flot de larmes qui s'abat, je sens Simon me serrer fort dans ses bras, il attend que je me calme un peu sans me quitter du regard, je finis par me sentir gêné et très con.
- Tu crois que j'avais pas compris Yan ? J'aime ce qu'on fait, j'aime ce hard et ce vulgaire, quand je vois que tu obéis, tu m'impressionnes et je me dis quand je teste des trucs que tu vas céder, mais non, t'encaisses... Et... T'es pas le seul à être en train de tomber amoureux parce qu'avec les autres mecs, je les nique et je les jette. Toi, je te nique et après j'ai envie de te caresser, de t'embrasser et là, j'ai juste envie de te faire l'amour...
Sans que j'ai le temps de réagir, Simon me tourne sur un côté, se met derrière-moi et entre en moi lentement, avec délicatesse et il me fait l'amour en m'embrassant, me caressant. Je chauffe de nouveau malgré le moment difficile juste avant et j'ai le sentiment que mon être s'éveille à nouveau, qu'il s'embrase de plaisir, mais cette fois, c'est mon coeur qui semble s'exprimer et il n'a pas mal. En fait je me sens bien. Simon approche sa bouche de mon oreille et murmure.
- Par contre Yan, on a conclu un marché, t'es ma pute jusqu'à vendredi... Je fais ce que je veux de toi...
- Oui... Dis-je en couinant.
- Parfait, j'ai plein d'autres plans pour t'humilier, tu aimes tellement ça...
En terminant sa phrase, il jouit en moi, j'appuie mon cul contre lui pour qu'il rentre encore plus avant de dire :
- Je suis à toi, fais ce que tu veux de moi tant que tu me protèges...
Il répond par l'affirmative avec un grognement et nous nous endormons, dans les bras l'un de l'autre.
Yan
ftasm@yahoo.fr
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