Premier épisode | Épisode précédent
Je suis réveillé très tôt, j'en profite pour me doucher puis je m'installe devant l'ordinateur attendant qu'on vienne détacher la chaine de mon collier. C'est assez vicieux en fait, je dois la poser moi-même, la cadenasser moi-même, mais je ne peux plus l'enlever ensuite... C'est Stéphane qui vient l'enlever à 8h. Je descends prendre un petit déjeuner, Romain est déjà en train de prendre le sien, Stéphane s'installe avec nous et Julien a les yeux plongés dans sa tablette en buvant du café, nous n'avons même pas droit à un regard.
Toujours aussi beau, aussi mâle, aussi viril, torse nu, en jean et baskets, il s'exhibe devant ses esclaves et nous devons attendre son bon vouloir pour le toucher. J'ai fini mon café, je me lève pour aller laver ma tasse, Julien me tend la sienne sans me regarder en lâchant un " café ", je m'exécute, le sers et termine ma vaisselle.
- Allez vous habiller, Stéphane, tu donneras à Yan ses vêtements de sport, je remplis vos gourdes et on part dans 15 minutes.
L'équipe des salopes se lève et je vais vers ma cellule, J'y entre, mais ne sais pas si je dois mettre ma chaine, je panique un peu, heureusement Stéphane arrive rapidement, je lui pose la question, il me dit que non et me tend mes vêtements : des baskets et un shorty moulant. Je le regarde, il comprend ma question silencieuse et ajoute " oui, il n'y a que ça... Et nous gardons le collier pour aller courir. ". Je m'habille donc et descends, Julien s'est changé, il est en tenue de sport complète couvrant et moulant son corps. Je me rends compte que mon shorty me moule aussi et, bien sûr, on distingue en partie la forme de ma cage si on regarde bien. Il me tend une gourde que je prends en le remerciant, je suis rejoint par Stéphane et Romain, qui sont habillés comme moi et nous sortons faire un footing.
Julien habite juste à côté d'une forêt et nous y accédons en passant par son jardin, je suis un peu rassuré de ne pas avoir à faire ce footing dans les rues de la ville. Les instructions ont été claires avant de lancer la course, nous nous adaptons à sa vitesse et nous ne le dépassons jamais ni ne venons à sa hauteur. Le chef et sa meute débutent leur course, croisant quelques coureurs qui ne semblent pas dupes de ce que nous sommes, le collier est on ne peut plus visible. Après 45 minutes de course intense, Julien ralentit puis s'arrête, il attrape sa gourde et prend une rasade. Stéphane et Romain l'imitent, j'en fais autant, besoin de me désaltérer, je prends une grande gorgée en me rendant compte que ce n'est pas de l'eau... Julien a rempli nos gourdes de pisse... Tellement prévisible et je n'ai rien vu venir. J'avale en silence, il me regarde du coin de l'oeil en souriant, fier de son coup. Il redémarre, mais en marchant cette fois, d'autres coureurs approchent en sens inverse, ils ralentissent en arrivant à notre hauteur, ils nous regardent en souriant. Nos torses fument, la température extérieure est encore fraiche. Les 3 hommes saluent Julien, ils se connaissent visiblement.
- Tu as agrandi ton cheptel ? Demande l'un.
- Oui, un nouvel esclave depuis ce weekend, assez prometteur.
- Il faudra que je passe le tester alors, ajoute un autre.
- Pourquoi attendre ? Vous êtes 3 et mes 3 vide-couilles sont là, faites-vous plaisir.
Les mâles nous regardent comme de la viande fraiche, l'un d'eux porte la main à son paquet. Julien s'écarte du sentier et s'enfonce dans la forêt, nous le suivons et les 3 mâles ricanent en nous emboîtant le pas. Une fois assez loin du chemin, nous avons ordre de baisser notre shorty et de poser nos mains sur un tronc d'arbre, Romain, Stéphane et moi les posons sur le tronc du même chêne après avoir descendu notre shorty sur nos chevilles. Le cul tendu, nous attendons de nous faire saillir sous le regard satisfait du Maître. Les hommes s'approchent, nous claquent le cul, enfilent un préservatif avant de nous enculer sans se soucier de nous faire mal ou non. Nous couinons, ça les excite, ils se sentent encore plus mâles et redoublent de coups de reins avec des commentaires salaces.
- Elles couinent bien tes chiennes, elles devaient être en manque, déclare celui qui m'encule.
- Je les baise tous les jours, elles ne sont pas en manque, elles aiment se faire prendre c'est tout, tu veux peut-être que je t'encule pour te montrer le bien que ça fait ?
Julien s'approche de l'homme à qui il s'adressait et lui caresse les fesses avant de plonger sa main dans le pantalon et de lui titiller la rondelle. L'homme m'encule à la même vitesse, mais laisse échapper un gémissement de plaisir. Celui qui encule Romain se décale un peu pour permettre à Julien d'utiliser son autre main sur son trou. Il doigte les 2 mâles qui se laissent faire et semblent apprécier.
- Stéphane, va falloir que tu viennes me sucer là pendant que je fais couiner ces messieurs.
Stéphane délaisse son enculeur et vient se mettre à genoux devant son mec, il lui sort la queue de son pantalon et le suce, il est vite rejoint par le dernier mâle qui ne se fait pas doigter. Lui aussi se met à genoux et ils se partagent la queue de Julien.
- Vous avez chacun 2 doigts dans votre fion pendant que vous enculez mes putes et que vous gémissez, alors vous aussi vous étiez en manque ? On ne s'occupe pas assez de votre cul messieurs ? Il me reste des cellules à la maison qui ne demandent qu'à accueillir de nouveaux locataires.
En finissant sa phrase, Julien introduit un 3ème doigt dans le cul de ces messieurs et les enfonce violemment, leur arrachant un cri de plaisir. Puis il retire ses mains et les fait sortir de nos culs.
- Vous avez gouté à mes esclaves, celui-là est à l'abattage dans 4 heures, dit Julien en me montrant du doigt, vous avez aussi gouté à mes doigts, si vous voulez que j'y mette ma queue, agrandissez mon cheptel les mecs.
Julien claque des doigts, nous remettons notre shorty en place, nous nous redressons et le suivons, il part sans accorder un regard aux mâles qui pensaient se la jouer dominant avec nous. Notre Maître reprend sa course et nous le suivons, fiers, contents d'être sa propriété. Aux termes de 20 minutes de course beaucoup plus intensive que la première, nous faisons une pause accompagnée d'une bonne rasade de pisse de notre gourde et l'un des 3 hommes du groupe d'avant nous rejoint tout essoufflé.
- T'étais sérieux Julien tout à l'heure ?
- Sur ?
- Un nouveau locataire...
- Ouais, j'ai de la place.
- Tu... Tu voudrais me prendre à l'essai ?
- Je ne prends pas à l'essai, je prends tout court et dans tous les sens du terme.
S'en suite une discussion où Julien expose ce qu'il attend de ses esclaves comme il l'a fait avec moi, je vois son interlocuteur avaler lourdement sa salive au fur et à mesure que Julien lui détaille ce que nous devons subir sous ses ordres, mais je crois déceler un gonflement dans l'entrejambe du mec. Celui-ci finit par dire que c'est beaucoup trop pour lui, mais Julien sort sa bite et lui pisse sur les chaussures de course puis redresse un peu le jet pour mouiller le pantalon et le bas du t-shirt. L'homme n'a même pas un mouvement de recul, Julien ricane, remballe le tuyau d'arrosage et reprend sa course le laissant planté et trempé sur le sentier. Nous suivons notre Maître, le mec nous regarde partir puis regarde ses vêtements humidifiés par la marque spécifique de Julien, je l'aperçois se toucher le paquet et un virage me le fait perdre de vue. Je suis impressionné par le charisme de Julien, je sens mon admiration pour lui monter d'un cran, nous continuons notre course pendant presque 2 heures et arrivons enfin dans le jardin derrière la maison.
- Videz vos gourdes et allez vous doucher, Romain tu restes dans ta cellule, Stéphane tu ne sors pas de notre chambre et Yan je veux te voir au salon bleu dans 20 minutes.
- Oui Maître, disons-nous en même temps avant de nous saisir de nos gourdes et de les vider dans notre gosier jusqu'à la dernière goutte.
Je fonce sous la douche et 15 minutes après, je suis devant le salon bleu. Je suis aussi impressionné par la taille de cette maison et le nombre de pièces qu'elle comporte. Les salons sont nommés en fonction de la couleur de la porte, c'est assez facile de s'y retrouver. Julien arrive, tenue d'intérieur, je le bouffe des yeux, il ouvre la porte du salon et je le suis. Il me montre du doigt quelque chose au milieu de la pièce, c'est indéfinissable, une sorte de petit cheval d'arçon sans les anneaux sur le dessus et trop petit en longueur pour être utilisé comme tel. De chaque côté, des sortes de gouttières en mousse, je ne vois pas trop ce que c'est, je reste interloqué et immobile.
- Monte là-dessus bordel ! S'exclame Julien.
J'obéis, je monte et mes jambes se glissent dans ces gouttières. Julien s'approche, attrape un de mes poignets qu'il attache à une chaine pendant du plafond, il fait pareil avec l'autre puis il immobilise mes jambes dans les gouttières à l'aide de velcros. Il me tourne autour, fait quelques ajustements en hauteur, je le sens derrière moi et d'un coup, sa queue entre dans mon cul, il entre et sort tout en me positionnant le mieux possible, une fois fait, il serre mes liens aux jambes et tire un peu plus sur les chaînes, je suis immobilisé. Je respire fort, je suis un peu paniqué, Julien s'en aperçoit et vient devant moi.
- Tu n'as pas à avoir peur, tu fais ton taf de pute et moi, je m'assure que tout se passe bien pour toi.
Je fais un petit signe positif de la tête, si je parle, je vais pleurnicher.
- Souviens-toi que je veux du spectacle et que je veux que ce soit toi qui gagnes ce marathon, je veux que tu réclames de la bite et que mes potes n'arrivent plus à fournir. Évite de perdre, tu n'aimerais pas ta punition.
Je tremble comme une feuille alors que je ne peux même pas bouger, ça fait rire Julien.
- Tu as voulu être mon esclave, je ne t'ai pas forcé, tu l'es aujourd'hui et tu n'auras aucun traitement de faveur. Par contre, si tu réussis à crever mes potes, tu auras droit à une nuit dans mon lit...
Les yeux mouillés, je fais à nouveau un signe de tête positif.
- Sois ma meilleure salope, celle qu'on réclame, fais en sorte que je sois fier de toi et fier de t'offrir à qui je veux, c'est ton rôle ici, servir de vide-couilles.
Il a raison, mais j'aurais tant voulu plus que ça... Je me ressaisis, il s'en aperçoit et affiche son sourire ravageur, il quitte la pièce et j'attends la meute dans cette position pas très confortable, mais je ne peux pas bouger. J'ai l'impression que j'y suis depuis des heures quand j'entends la porte s'ouvrir...
Yan
ftasm@yahoo.fr
Autres histoires de l'auteur : Mariage pour tous | Pisse and Love | Déclaration de dépendance | Faites vos jeux | Triangle à géométrie variable... | Mon Maître | Le chalet