Pour plus de surprise, je dévoilerai si mes histoires sont réelles ou fictives seulement par mail. Les dialogues sont approximatifs pour les histoires vraies.
Nous rentrions de soirée, lui plus bourré que moi ou du moins, moins conscient et plus déconnecté de la réalité que moi. Je vivais chez mes parents et je n'avais que mon lit une place et demi dans ma chambre, mais au vu de notre état, nous aurions pu dormir n'importe où.
Je retire mes habits, reste en t-shirt et caleçon puis m'écroule sur mon lit. Il retire à son tour les siens et reste avec son caleçon Calvin K noir, un peu trop grand pour lui. Il s'écroule à côté de moi et nous rigolons, nous parlons de cette soirée en rigolant tout en nous disputant le peu de couvertures, le tout à moitié endormi dans une ambiance bon enfant. On se retrouve face à face, dans mon petit lit, et l'on continue de discuter, mais cette fois plus calmement. Face à l'autre, on ne peut que se voir, se scruter. Je m'attarde sur ses yeux, sur ses lèvres tout en l'écoutant parler et je sens qu'il en fait de même lorsque j'ouvre la bouche.
- En tout cas c'était un bon moment, dis je.
- J'avoue, j'avoue... Faudra se refaire ça.
- Ouais, carrément.
- Ouais.
- ...
- ...
Je ne sais pas si l'alcool a joué un grand rôle dans la suite des évènements, mais un grand silence s'installe et il passe sa main derrière ma nuque, puis m'embrasse. Il m'embrasse avec puissance et légèreté en même temps, comme dans un baiser romantique. Mon premier réflexe et de me reculer, mais il me retient, sans plus me forcer, mais seulement pour m'indiquer qu'il ne veut pas que ça s'arrête. Je me laisse faire puis je commence a monter une de mes jambes vers son bassin, comme si je m'apprêtais à l'emjamber. Il passe sa main sur ma cuisse et rapidement sur ma fesse, qu'il palpe et caresse subtilement.
- J'ai envie de toi, chuchote-t-il dans mon oreille.
De par la position dans laquelle je suis, je sens son érection montante entre mes deux fesses. Il m'excite tellement. Je commence à avoir une érection aussi. Sentir son sexe grandir et me caressant les fesses à travers nos deux caleçons, me donne des frissons. Des va-et-vient se font assez naturellement, puis il approche deux de ses doigts de ma bouche et me les fait lécher. Il les redescend vers mes fesses et il les enfonce progressivement, avec des mouvements circulaires me procurant un plaisir indescriptible. Je gémis légèrement.
- Hmm, j'ai envie... que tu me... dis-je entre ses mouvements de doigts dont il avait intensifié les à coups.
Je voulais qu'il me baise. Je pris alors l'initiative de l'emjamber. Il me rebascula sur le dos pour se mettre sur moi, puis il me retourna sur le ventre et s'allongea sur moi.
Je sentais son sexe collé sur mes fesses, qui s'enfonçait quasiment le long de ma raie.
Il baissa alors mon caleçon et le sien, et passa son bras droit autour de mon cou. À l'aide de sa main gauche, il aida son sexe à se positionner à l'entrée de mon anus, et il jouait a faire entrer son gland de manière douce et lente. Une fois son gland en moi, il rentra son sexe progressivement, jusque ce que ces couilles s'écrasent sur mes fesses. Je sentais chaque centimètre de son sexe s'enfoncer en moi. Chaque centimètre. Il recula son sexe et commença à faire des allers-retours. Il allait de plus en plus vite. Je l'entendais râler de plaisir dans mon oreille et à chaque fois qu'il touchait le fond de mon cul, son bras se serrait autour de mon cou. À quelque reprise il me pilonna les fesses au point que mes fesses claquaient contre ses couilles. Parfois il se calmait et d'un seul coup il mettait sa main devant ma bouche et me mit un grand coup de reins comme s'il cherchait a aller au plus profond de moi.
- Hum ! faisait-il quand il me mettait de grands coups secs.
Il se retira de moi et se releva un peu. La main qui était autour de mon cou vint s'appuyer sur ma tête et avec l'autre il me mit un doigt dans l'anus tout en surélevant mes fesses, me mettant ainsi en position de levrette. Il me pénétra d'un coup sec. Je me mis à crier de plaisir dans le matelas tout en m'agrippant au matelas avec force. Puis il commença à littéralement me pilonner le cul, tout en maintenant ma tête baissée et mes fesses en l'air. Il me mit une fessée et reprit ses mouvements. Il me fit l'amour de manière sauvage pendant au moins deux bonnes minutes puis à un moment il s'enfonça profondément et se figea. Je sentis sa queue raide propulsée de puissants jets d'un liquide chaud en moi, et il s'écroula sur moi, légèrement humide de sueur.
Après ça nous avons repris notre respiration allongés côte à côte sur le dos, rigolé nerveusement et nous nous sommes endormis.
Envoyez-moi par mail vos impressions ou si vous pensez que cette histoire est réelle/fictive. Dans les deux cas, je serai ravi de répondre à vos questions ou de vous donner plus de détails.
Vap
vappab1@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Retour de soirée | Le mec à lunettes | L'anniversaire | Job d'été