Pour plus de surprise, je préciserai si mes histoires sont réelles ou fictives par mail. Les dialogues sont approximatifs pour les histoires vraies.
- Va aider Bastien à finir sa palette et ensuite vous m'la ranger et passer un petit coup dans la réserve, me dit le chef de rayon de la grande entreprise pour laquelle je travaille week-end.
Je vais rejoindre Bastien, un mec d’environ 25 ans, grand barbu avec un visage de nature assez autoritaire et un parlé franc d’un mec qui travaille ici depuis un moment. Il me montre comment faire la mise en rayon, assez agacé par mon manque d’expérience et de rapidité. Je travaille ici depuis maintenant 1 mois seulement sur les week-ends et j’avais déjà remarqué à travers ses regards qu’il ne m’appréciait pas plus que ça malgré ma bonne volonté. Toujours du genre à me faire des blagues dénigrantes devant les autres collègues ou à me mettre une pression énorme.
- Accélère un peu stp, je n'ai pas envie de finir dans 3 ans là, me lance-t-il en soufflant
- Oui excuse c’est juste que c’est assez lourd et j’ai du mal à...
- Eh va si t’excuse pas juste avance plus vite on n'a pas le temps de parler la.
J’accélère la cadence et dans la précipitation fais tomber un carton rempli qui valait cher. Il s’énerve sur moi puis appelle le chef qui s’énerve à son tour sur nous. Il nous dit d’aller ramener tout ça et de nettoyer la réserve après. On se dirige en réserve en passant par les toilettes pour se nettoyer, car on avait des résidus plein les mains, sur le chemin Bastien s’énerve sur moi. Lorsqu’on arrive aux toilettes du haut, je bouillonne à cause du trop-plein de pression pendant qu’il s’énerve à haute voix.
- Vraiment tu fais que de la merde, ça casse les couilles
- ...
- Vraiment réfléchi des fois je sais merde
- ...
- Sans déconner ce n'est pas possible, tu es la tu...
- Hey, mais va si lâche moi à la fin tu me fais chier là!
Il me regarde choqué. Je le regarde droit dans les yeux, énervé. Il me demande :
- Hey tu parles à qui comme ça toi?
- ...
- Tu’as cru que j’étais ta pute ou quoi?
Je tiens le regard et je crois que ça le fait vriller. Il m’attrape par le cou et m’emmène dans les WC. Il referme derrière et me jette au sol.
- Toi la vie dma mère je sais pas tu’as cru quoi pour me parler comme ça !Il me décolle un coup de poing qui me désoriente. Je suis par terre devant lui et me relève à genoux tant bien que mal. Il m’attrape par les cheveux en les tirant. Avec son autre nain, il baisse son pantalon et me colle le visage à son sexe.
- Je vais te montrer moi, on ne parle pas comme ça petite salope va!
Il plaque ma tête d’un coup contre le mur et en me cognant j’ouvre instinctivement la bouche. À ce moment-là il rentre son sexe à moitié dur dans ma bouche. Elle est assez énorme et je sens qu’il ne bande pas à encore à fond. Il commence des vas et vient, ma tête immobilisée par ses mains. Son sexe grandit dans ma bouche au fur et à mesure. Je commence à m’étouffer. J’essaye de le repousser, mais il a plus de force. Il me démonte la bouche et à chaque fois qu’il s’enfonce en moi je sens sa verge aller jusqu’au milieu de ma gorge. Le moment est tellement excitant que j’y prends du plaisir et apprécie le fait qu’il m’utilise pour se faire plaisir.
- Tu vas voir si tu me parles encore comme ça ! Argh, petite pute va, hum !
Il me pilonne la bouche. J’ai les yeux qui pleurent et la bouche pleine de bave qui dégouline. Il se recule et d’un coup s’enfonce au plus profond de ma gorge en maintenant la position sans que je puisse bouger. Je suis en train de m’étouffer et de me débattre, mais il ne bouge pas d’un centimètre. Lorsqu’il se retire, j’ai deux secondes pour reprendre ma respiration puis il refait la même chose. Cette fois il reste plus longtemps et lâche un gros râle. Il s’immobilise totalement puis ferme les yeux et je sens un puissant jet se déverse dans ma gorge.
- Argggh... putain.
Il reste comme ça quelque seconde le temps que tout sorte, m’empêchant toujours de respirer malgré le fait que je le repousse. Finalement il se recule, je suffoque et il me regarde en se rhabillant :
- Parle-moi encore une fois comme ça tu verras si jte démonte pas. J’aimais déjà pas comment tu me regardais et savais très bien que tu’étais une pédale vue ce qu’ont m’as dit sur toi. T’as intérêt de rien dire à personne. Il sort des toilettes, je suis encore sur le sol plein de bave les yeux remplis de larmes. Après je me suis relevé, j’ai craché et rincé mon visage et je suis parti nettoyer un côté de la réserve où il n’était pas et j’ai fini le taff sans le revoir. J’ai quitté mon taff seulement 1 mois après.
Envoyez-moi un mail en me disant si vous pensez que l’histoire est réelle ou non et donnez vos impressions/commentaire n’hésitez pas. Je vous donnerai plus de détails si vous le souhaitez.
Vap
vappab1@gmail.com
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