Bonjour,
Pour ceux qui ne me connaissent pas, je m'appelle Stéphane, j'ai 46 ans, 1M82 87KG sportif, yeux bleus. Je suis actif passif, mais avec un gros faible pour le côté passif. Ainsi je peux être 100 % passif, 50 % mais j'aime pas être avec des passifs purs.
Lorsque je rentre à Paris, outre mon ami masseur, (cf mon histoire sur Cyrillo, une détente bien méritée) j'ai un copain parisien, 52 ans, beau gosse, et surtout monté comme un âne 22X7. Je pensais être pas mal loti avec mon 19X6, mais lorsque j'ai rencontré R, suite à un échange sur Grindr, je me suis senti tout petit. R aime organiser des soirées jeux de rôles, en s'habillant en Pompier, policier ou militaire et c'est tout naturellement que j'acceptais lors de notre première rencontre de me soumettre à un jeu de rôle " militaire ".
J'étais très excité et en même temps quelque peu inquiet lorsque je reçus son SMS m'indiquant qu'il était en bas. Je vois alors un grand brun, habillé en cuir de motard, et portant un sac de sport bien rempli, entrer dans l'appartement que je louais lors de ce séjour.
Très vite, R m'attrapa par le cou et attira ma tête vers la sienne pour m'embrasser, investissant ma bouche de sa langue. Puis, toujours aussi directif, je lui avais dit que j'aimais bien me soumettre, il sortit une tenue militaire complète de son sac, me demanda d'aller l'enfiler dans ma chambre, pendant que lui-même faisait la même chose dans le salon.
Une fois prêt, il me demanda de sortir dans le couloir entre la chambre, le salon et la salle de bains. Je me retrouvai face à face avec un militaire, aux allures sévères. Il m'interpela en m'appelant Soldat, me reprocha d'avoir désobéi, puis il me fit une clé de bras, me forçant à me mettre à genoux. Je n'ai pas eu le temps de réagir, que je me retrouvais au sol, ma tête à la hauteur de son bas ventre. Il attrapa alors ma tête, et la bloqua contre son pantalon, au niveau de son sexe, qui commençait à prendre une taille de plus en plus volumineuse. Il m'ordonna de lécher son pantalon, ce que je fis sans broncher.
Puis après quelques minutes de ce traitement, il me releva, me plaqua contre le mur du couloir, écarta mes jambes, mis mes mains derrière mon cou, comme un prisonnier, et commença une fouille au corps, son genou contre mes reins. Il me palpa le torse, essayant d'attraper mes tétons à travers le t-shirt kaki, puis descendit ses mains jusqu'à mon bas ventre, tâtant ma queue qui grossissait, puis serra fortement mes couilles, me faisant me raidir encore plus.
Il sortit alors une paire de menottes de sa poche arrière et rapidement, il me menotta les mains dans le dos. J'étais son prisonnier, et il pouvait désormais faire ce qu'il voulait de moi. J'étais extrêmement excité et en même temps inquiet, ne le connaissant que depuis moins d'une heure, et me retrouvant à sa merci.
Il m'amena alors dans la chambre, et m'installa à quatre pattes sur le lit. Mes bras, écartés vers l'arrière de mon dos étaient désormais douloureux. Je me laissais faire ne pouvant bouger sans difficulté.
Alors il se planta devant mon visage, défit sa ceinture, les boutons de son pantalon et sorti une queue aussi grosse que longue. Il n'avait pas menti sur les 22 Cm par 7. J'allais déguster. Il me biffa plusieurs fois avec son sexe, puis serrant mes joues avec sa main, il me força à ouvrir la bouche et enfonça son sexe au fond de ma gorge, me faisant rapidement avoir des haut-le-coeur. Ce n'était pas vraiment une gorge profonde, mais la taille de son sexe, dur comme du béton, m'empêchait de respirer correctement.
Il me fit alors snifer plusieurs bonnes doses de Popper, et cela m'aida à me détendre et à accepter cette pénétration buccale. Après avoir limé ma bouche durant 10 bonnes minutes, il me retourna alors, me mettant sur le dos, les mains toujours menottées. Il tira ma tête pour qu'elle dépasse du lit, et tombe en arrière, ouvrant ma trachée et ma gorge. J'eus droit à une nouvelle ration de Popper, puis il entra alors son sexe cm par cm, jusqu'à ce que ses couilles touchent mon front. Son sexe était au fond de ma gorge. Jamais je n'avais eu une telle pénétration aussi profonde dans ma bouche. J'étais à deux doigts de paniquer, mais, à chaque fois que l'air me manquait, il sortait sa queue pour me permettre de respirer. Puis il entrait à nouveau. J'étais son objet, bloqué. Il aurait pu m'étouffer avec son sexe, mais il savait le manier à la perfection, et j'étais au contraire de plus en plus excité.
Lorsqu'il estima avoir suffisamment joué avec ma bouche, il me fit m'assoir sur le lit, attacha une des menottes à un montant. Il se mit nu, et me déshabilla également. Il vint alors s'allonger sur moi, et m'embrassa toujours aussi fougueusement. Il sentait bon le sable chaud, mon militaire. Il descendit le long de mon ventre, et remontant mes jambes sur mon torse, il lécha à grand coup de langue mon trou, le détendant, le titillant, le pénétrant de sa langue et de ses doigts. Puis il vint se positionner au-dessus de moi, moi les jambes toujours remontées contre mon torse. Il me redonna une dose de Popper, me disant que j'allais en avoir besoin, avec un sourire non dissimulé, puis positionna son sexe contre mon anus. Son bassin appuya de plus en plus fermement, et je sentis son sexe forcer mon anneau, occasionnant une brulure instantanée, puis glisser en moi, ouvrant mon passage, jusqu'à ce que ses couilles touchent mes fesses. J'étais littéralement punaisé au lit par cette queue si longue, si grosse, qui me remplissait totalement. La douleur était vive, mais je sentais mon corps, sous l'effet du Popper, se décontracter.
Il resta quelques instants au fond de moi, le poids de son corps ainsi que ma main menottée au montant du lit m'empêchant de toute façon de bouger, puis il commença ses va et viens, en douceur d'abord, mais de plus en plus fort ensuite. Mon corps entier était ouvert. Ma bouche poussait des oh et des ah de plaisir ; mon cul après avoir souffert, s'ouvrait de plus en plus à cette saillie.
J'étais en transe, sentant son sexe taper au fond de mon ventre, ses couilles claquées contre mon cul.
Puis sans prévenir, il sortit d'un coup, me retourna, me mit à 4 pattes et entra à nouveau son sexe tout entier dans mon trou. J'en avais le souffle coupé. Il mit alors ses doigts dans ma bouche, me tirant la tête en arrière, comme un cavalier ferait avec les rennes d'un cheval, me forçant à me cambrer. Il pouvait alors aller encore plus profondément et plus rapidement.
Il maintenait une cadence forte, sortant sa queue en entier pour la remettre jusqu'au fond, jouant de temps en temps avec mon anneau, en entrant que son gland.
Après vingt minutes de ce traitement, il accéléra alors, et dans un dernier élan, il sortit sa queue de mon cul, la positionna au fond de ma bouche, et bloquant ma tête, il déchargea une quantité énorme de sperme, m'obligeant à mon plus grand bonheur à tout avaler.
Il enleva alors mes menottes et nous nous écroulâmes sur le lit, en sueur, le coeur battant la chamade. Je n'avais pas joui, et sans que je ne dise quoi que ce soit, il vint prendre mon sexe dans sa bouche et me procura une fellation très chaude, tout en entrant ses doigts dans mon cul ouvert aux quatre vents. Ses doigts massaient ma prostate pendant que sa langue titillait mon frein. Il ne me fallut que quelques minutes pour cracher à mon tour une grande quantité de sperme qu'il recueillit dans sa bouche puis vint déverser dans la mienne. Même dans ma jouissance, il me montrait qu'il restait le maitre, et que c'était à moi de boire cette semence.
Depuis, nous nous revoyons à chacun de mes passages, et c'est toujours avec beaucoup d'intensité que nous baisons. Je lui ai fait gouter également de ma queue dans son trou, et s'il n'était à l'origine pas passif, il y a pris gout, mais çà c'est une autre histoire.
J'espère que cette histoire véridique vous a plu. N'hésitez pas à me contacter pour me dire ce que vous en pensez.
Stéphane
titilyon@hotmail.com
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