Premier épisode
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Bonjour à tous !
Voici la suite de mon histoire sur mon parcours initiatique en Bretagne, chez Yann (le prénom a été changé), mon meilleur ami de l’époque. Yann avait déjà couché avec des filles, et pour ma part, j’étais encore puceau… Le premier soir, suite à un petit jeu, j’en étais arrivé à me mettre nu face à Yann et à me branler.
Pour rappel, cette histoire est inspirée de faits réels.
Le lendemain, nous étions allés à la plage.
Sur le chemin du retour, et afin d’éviter de mettre du sable partout dans la maison, nous devions prendre une douche. Il y avait à cet effet un bâtiment juste à l’extérieur de la maison équipée d’une buanderie et d’une très grande douche dans laquelle on se tenait très facilement à deux. Nous décidions donc de prendre la douche en commun.
Yann portait un short de bain assez ample, et moi un slip de bain plutôt trop petit (et surtout un peu ringard).
Yann me demanda alors si je voulais bien lui masser le dos (il savait que j’aimais bien faire des massages, et d’ailleurs, il m’était déjà arrivé de lui en faire, après des séances de sport, sans que cela ne franchisse l’innocence d’une bonne camaraderie).
Je me positionnais donc debout, derrière mon ami, et commençais par les cervicales.
Mes mouvements d’étirements puis de compressions amenèrent immédiatement Yann à se détendre, et à pousser des petits gémissements de satisfaction.
Après les cervicales vinrent les trapèzes, puis la colonne vertébrale. Je procédais alors à des étirements depuis les épaules, jusqu’au niveau des fesses. J’étais alors naturellement gêné par le maillot de bain de Yann.
– Hé ! Vire ton maillot s’il te plaît. Il me gêne.
– Mais je ne vais pas être à poil devant toi !
– Écoute fais pas chier. On est deux mecs, et je sais comment est fait un mec. Je te masserai mieux si tu enlèves ton maillot. En plus tu m’as vu me branler hier, alors, on n’en est pas à ça près !
– Oui, tu as raison.
Yann, qui me tourne toujours le dos, baisse alors son maillot de bain.
C’était la première fois que je voyais un autre homme nu.
Tout de suite, je me mis à bander, dans mon maillot trop petit. Heureusement, Yann ne me voyait pas.
Qu’il était beau ! Quel cul ! Si j’avais écouté mes instincts, je me serais immédiatement jeté dessus. J’y aurais déposé quelques baisers, puis j’y aurais glissé ma langue…
Essayant de me concentrer sur mon massage, je repris mes mouvements… Langoureusement, je poursuivais mes étirements tout le long du dos, laissant s’égarer parfois mes mains sur son sillon fessier.
Puis, j’attaquais ses cuisses. Dans mes mouvements longitudinaux, il m’arrivait (involontairement ?) de frôler ses bourses.
À chaque fois que cela se produisait, Yann laisser échapper un gémissement. Il y trouvait manifestement du plaisir.
Au bout d’un moment, ayant fini de lui masser le dos et les jambes, je lui demandai de se retourner pour finir mon massage…
– C’est que, là, je ne peux pas, me dit Yann. Ce n’est pas possible.
– Pourquoi ? Tu es timide ? Tun e veux pas que je te voie à poils ? Tu bandes ?
– Ben oui. Je bande. Forcément, un massage sous la douche, ça fait bander même un hétéro.
– Retourne-toi. Tu m’as déjà maté en érection, je peux aussi te voir. Et il faut que je finisse mon massage.
– OK, OK
Et Yann se retourna.
Mon cœur se mit à palpiter.
Quelle belle queue. Elle devait faire 19 cm, comme la mienne. Elle était bien charnue, et légèrement courbée. Il avait une belle toison pubienne, qui venait faire un bel écrin pour son costume 3 pièces, et ce même si je préfère un pubis sans poil.
– Elle est magnifique. Je peux ?
Et sans attendre sa réponse, j’attrapais sa bite.
C’était la première fois que je touchais une autre queue que la mienne.
C’était aussi la première fois qu’un autre mec lui touchait la bite.
J’entamais de lentes caresses sur la queue de mon ami. Yann était manifestement à la fois surpris, et aux anges. Il murmurait des « oui, oui, vas-y ».
Je remontais son prépuce pour découvrir complètement son gland. Sa bite était juste en face de ma bouche. J’y déposai quelques baisers. D’abord sur le gland, puis en remontant tout le long de sa bite.
Après ces premiers contacts, je repris mes caresses.
– C’est trop bon… Branle-moi. J’en ai envie.
Alors, tenant sa queue dans une main, je me relevais, et me positionnais derrière Yann. J’enlevais mon maillot décidément trop petit pour laisser jaillir ma propre bite. Je la fourrai alors entre ses jambes, et entamais des va et viens, mimant ainsi l’acte de la sodomie verticale.
Je passais mon bras libre autour de sa poitrine et le plaquai vigoureusement contre moi.
Je ressentais chacune de ses palpitations, chacun de ses tremblements, chacune de ses émotions. Nos deux corps étaient collés. Je vivais ce qu’il vivait.
Ma queue entre ses cuisses, mon gland touchait ses couilles. Sa queue était dans le prolongement de la mienne. Je le branlais. Et ce faisant, c’était comme si je me branlais moi-même. Comme si ma queue faisait 50 cm de long.
Je me sentis fort. Puissant. Sûr de moi. Heureux du plaisir que je procurais à Yann. Mon homosexualité largement refoulée jusqu’alors remontait en moi, et je l’assumais pleinement peut-être pour la première fois de ma vie.
Oui, j’aimais les hommes. Et oui, les hommes pouvaient m’aimer. Je pouvais les faire jouir. J’avais ce pouvoir. J’en étais fier.
Et là, en ce moment, je dirigeais le plaisir de Yann.
J’accélérais la cadence. Je voulais le faire jouir. Nos rythmes cardiaques s’accélérèrent. Mes mouvements de bassins et gestes masturbatoires également. Yann se mit à crier… Et en même temps, nous jouîmes.
Son foutre alla s’écraser sur la paroi vitrée de la douche.
Le mien atterrit sur ses bourses. Jets après jets, nous nous vidions les couilles, heureux de ce moment vécu ensemble et qui ne ressemblait à rien de ce que nous avions pu vivre.
Après un moment collés l’un à l’autre, nous avons fini nos douches, ne sachant que dire.
Yann avait découvert qu’il pouvait éprouver du plaisir avec un mec, et moi, j’avais compris que je vivrais ma sexualité d’une manière bien plus active. Je voulais continuer à séduire, à imaginer des plaisirs nouveaux, à faire jouir, et à profiter du sexe.
À suivre…
Kiwis
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