Premier épisode | Épisode précédent
Bonjour à tous, je m'appelle Louis.
Je reprends le récit de mon séjour en Espagne il y a deux ans.
J’avais écrit un premier épisode relatif à ma première soirée chez José.
Le réveil qui a suivi, tout aussi chaud et brutal, a fait l’objet du deuxième épisode.
Je vous propose aujourd’hui un nouvel épisode.
Je rappelle qu’il s’agit d’une histoire vraie.
Je résume rapidement les épisodes précédents.
Je suis un petit mec dans la cinquantaine, ex-hétéro, viril et masculin, brun, barbu, pilosité normale, assez abondante à partir du pubis, cul et jambes poilus. Mince et sportif, je dispose d'un corps bien dessiné avec une musculature fine, merci la natation. Niveau équipements, une bonne trique de 20 cm, qui a donné beaucoup de bonheur, encore aujourd’hui, même si c’est mon cul qui est en première ligne maintenant, un cul d’enfer à ce qu’il parait… !
Via une application, j’ai fait la connaissance, il y a deux ans, de José, un bel hidalgo qui m’a proposé de venir passer une semaine chez lui en Espagne, il voulait améliorer son français…
Je suis arrivé un soir. Il est venu me chercher à l’aéroport. Très beau mec, masculin, viril, charmant, un visage ouvert et rassurant. Le courant est tout de suite passé entre nous malgré la barrière de la langue.
La première soirée fut comment dire… très directe !
José m’a carrément violé la gorge en me massacrant les tétons tout en m’insultant copieusement, entres autres de PUTA !
Puis il s’est endormi sans plus d’attention.
Moi j’ai eu du mal à trouver le sommeil, d’abord à cause de la douleur. J’avais mal à la gorge, pour déglutir mais c’étaient surtout mes seins qui me faisaient horriblement souffrir. Et je me demandais bien ce que je faisais là. Visiblement le mec, charmant dans les échanges et à l’arrivée, s’était transformé en prédateur, ne pensant qu’à assouvir ses instincts les plus primaires et me considérant comme sa PUTA !
J’ai fini par m’endormir à ses côtés.
J’ai été réveillé brutalement le lendemain quand José essayait d’introduire sa queue dans mon cul.
Tentant de m’y opposer, je me suis pris une grosse mandale, qui m’a complètement sonné.
Je n’ai eu d’autre choix que de collaborer afin d’éviter autant que possible un massacre !
Je dois dire que ce fût une bonne technique car il est rentré plus doucement.
Mais une fois rentré, j’ai morflé… Il s’agrippait à moi en me tirant les seins, trop douloureux de la veille. La douleur était si forte que je ne sentais même plus ma chatte. En tout cas au début, car à un moment le plaisir, mon plaisir a pris le dessus… Est-ce l’excitation qui a gagné ? Ma chatte qui à force de mouiller, a fini par s’ouvrir pour recevoir ses coups de boutoir ? Ma position de femelle à quatre pattes, dans la plus totale soumission ? Ses insanités en espagnol, même incompréhensibles à part PUTA ? Ou enfin les puissants jets que j’ai senti au plus profond de moi lorsqu’il m’a fécondé ?
La nouveauté du jour par rapport à la veille, c’est que cet accouplement (car je suis réaliste, dans ces conditions, il ne s’agit pas d’amour mais véritablement de saillie) a été pour la première fois, suivi d’actes de tendresse…
Ce qui m’interroge car je commençais presque à me faire une raison de devenir sa PUTA pendant mon séjour. Et j’en étais même à me demander si en définitive, ce rôle de femelle n’allait pas me convenir…
Nous sommes donc toujours dans le lit, José au-dessus de moi. Il ne cesse de m’embrasser, à tel point qu’à un moment je sens qu’il recommence à onduler du bassin. Rapidement je sens sa queue contre moi qui redevient dure. J’espère qu’il ne va pas remettre ça car je viens de dérouiller grave et j’aimerai mettre ma chatte au repos !
Ses baisers sont de plus en plus profonds et il commence à me relever les jambes. Je pense que je ne vais pas y échapper… Je n’ose pas le contredire vu son comportement. Le bon point c’est que ma chatte est lubrifiée, avec ce qu’elle vient de prendre. Le mauvais, c’est que ça risque de durer plus longtemps vu ce qu’il vient de m’envoyer.
Je demande à José d’être calme. J’accompagne ma parole de gestes car il ne maîtrise pas le français et il a l’air de comprendre. Sa queue a repris toute sa vigueur, j’ai même l’impression qu’elle est plus monstrueuse encore. Il la présente et sans surprise, rentre sans problème jusqu’à taper au fond de ma chatte. Puis il commence à me prendre mais cette fois, ça s’apparente davantage à un acte d’amour consenti entre deux amants. A tel point que je n’éprouve pas vraiment de douleur. José prend son temps. Il semble réellement apprécier et comme je le prévoyais, il met un temps fou à jouir. J’ai envie de le faire sortir pour le finir en le branlant afin d’abréger mais je pense qu’il met un point d’honneur à me remplir comme un vrai mâle honore sa femelle. Ce qu’il finit par faire après s’être immobilisé et en poussant un puissant gémissement.
Je commence à me rassurer. Finalement José se conduit bien. Il semblerait presque amoureux ! Dans ce cas pourquoi m’a-t-il abusé de la sorte au départ ? Pour me mettre à ma place, me soumettre ? Est-ce habituel en Espagne ? Dans les pays méditerranéens, c’est bien connu, les hommes sont encore très machos.
Après de longs baisers fougueux, il me réapplique tendrement la pommade sur mes seins, dont l’état s’est encore empiré depuis la veille. Rien que les effleurer m’est insupportable. J’espère qu’il les laissera en paix quelques temps.
Puis nous nous levons. José me prépare un super petit-déjeuner copieux pour reprendre des forces.
Son appartement est situé sur la côte, face à une baie magnifique. José m’explique qu’il a prévu de me faire visiter le secteur. La journée se passe ainsi. Il est charmant, attentionné, très cultivé et passionné par sa région. Il me parle en français et c’est difficile pour lui. Je me rends compte qu’il fait beaucoup d’efforts. D’ailleurs il progresse vite et je l’aide beaucoup.
Le soir arrive, il me cuisine un bon repas aux saveurs espagnoles. Nous nous régalons.
Derrière ce bonheur idyllique, j’appréhende quand-même un peu le coucher…
A un moment il me fait comprendre qu’il est fatigué. Pour ne prendre aucun risque, je préfère lui dire que je le rejoindrai plus tard. Mais il joue aux amoureux et m’implore de le suivre. Il a été charmant toute la journée, je n’ai pas de raison de le repousser et je ne le regrette pas car il me fait l’amour longuement et tendrement, avec passion et fougue. Je me donne entièrement et à l’instant où il me féconde, est-ce la chaleur ressentie dans mon ventre, j’ai un orgasme impressionnant. José est positionné au-dessus de moi, sans même me toucher, j’explose de nombreux jets de foutre sur son torse et son visage. Il reste bouche bée, je sens que je l’impressionne !
Il me demande tout de même de tout nettoyer, ce que je m’applique à faire consciencieusement avec ma langue, n’en perdant pas une goutte, même si sur son torse velu et sur sa barbe, ce n’est pas chose facile… Puis José s’emboite derrière moi et nous nous endormons.
Le réveil du lendemain matin est tout aussi chaud et tendre… Il est toujours positionné derrière moi et contrairement à la veille, ma chatte est encore toute humide, lubrifiée par son jus. Sa grosse queue ne rencontre donc aucun obstacle pour me pénétrer, c’est d’ailleurs ce qui me réveille. Je retrouve les sensations que j’ai bien connues lorsque, en couple, j’étais réveillé par la pénétration de mon chéri. De très bons souvenirs et j’aime beaucoup cette position. Elle est très excitante car très érotique.
José semble également l’apprécier. Il relève ma jambe pour rentrer à fond et accélère le rythme.
La nuit de repos a été bénéfique car il retrouve sa cadence rapide et saccadée des premiers accouplements. Mais cette fois ma chatte encaisse bien. Elle a déjà pris l’habitude et je pense que je mouille abondamment ce qui facilite le limage. José semble très excité. Un moment il agrippe mes seins. J’hurle tellement j’ai mal. Heureusement il stoppe net. Il m’apaise en espagnol mais je comprends qu’il me traite encore de PUTA même si le ton est beaucoup plus soft !
José semble vouloir durer longtemps. Moi je commence à fatiguer dans cette position. A un moment, comme la veille, j’entreprends de lui caresser ses grosses couilles. L’effet est immédiat, il accélère encore le rythme puis rapidement s’immobilise et dans un cri de victoire, expulse ses nombreux jets de foutre au plus profond de moi.
Il reste en moi et finit par se rendormir. J’apprécie infiniment ce moment. C’est si bon de garder en soi la queue de ton mec quand il vient de te remplir. Etant serré, mes sphincters se referment assez vite. D’ailleurs la plupart du temps je garde en moi le jus de mes amants. Et la queue de José est tellement grosse que même au repos elle reste entièrement fichée dans ma chatte. Bien entendu, je ne bouge pas pour la garder en moi.
J’en profite pour faire un point sur mon séjour. Force est de reconnaître que je l’apprécie de plus en plus. Mon hôte est un vrai gentleman. Comment a-t-il pu se comporter en violeur au départ ? Je ne comprends toujours pas. De toutes façons, à ce stade, je préfère oublier le démarrage brutal de notre relation car des sentiments sont en train de naître et je pense même qu’ils sont partagés.
Mais mon séjour n’est pas fini. Il me réserve peut-être bien des surprises…
J’imagine donc que vous aussi, vous avez envie que je vous raconte la suite…
Alors s’il vous plait, n’hésitez pas à m’envoyer vos encouragements et/ou vos commentaires !
Bises à tous
Louis
cire35@outlook.fr
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