En ce premier soir de juillet, je sortais rejoindre un copain, Aurélien.
Il devait me raconter des tas de choses et notamment, sa rencontre avec son amoureux du moment.
Depuis que mon daddy m’avait pris sous son aile, 6 mois auparavant, je n’avais pas trop vu Aurélien. J’étais bien trop occupé à donner du plaisir à mon homme.
Le confinement nous avait fait passé des minutes voire des heures en Facetime et nous avions pu enfin nous trouver un soir où nos hommes nous autorisaient à se voir.
Aurélien et moi sommes amis depuis l’adolescence… nous avons grandi ensemble et découvert nos envies en même temps. Nous aimions nous sentir nus l’un contre l’autre, « et on faisait des choses bizarres », toujours à la recherche d’un plaisir de femelle, que nous sommes restés.
C’est vers 20 h que nos premiers verres ont été servis et nos discussions ont très vite tourné au sujet de nos 2 mecs.
De la même manière que Philippe, le mec d’Aurélien avait souhaité le féminiser au maximum. En fait, à lui comme à moi, c’était notre plus belle fierté.
Vers minuit, Aurélien reçut un SMS… « c’est mon homme qui m’attend ! Tu veux qu’on te ramène ? »
Arrivé à la voiture, Aurélien me présente son daddy, un beau rebeu bien bâti… un vrai mâle ! Qui nous invite à monter.
A : « Pierre, je te présente mon homme Rachid »
R : « Alors Pierre, toi aussi tu es la femelle d’un mec ? »
C’était direct, comme j’aime.
P : « oui j’ai rencontré Philippe en décembre et depuis je suis une femelle comblée. Philippe m’a fait prendre confiance et la semaine dernière, je suis même sortie en ville avec lui, j’étais très heureux en jupe et lingerie. »
R : « (s’adressant Aurélien) tu vois petite salope que c’est faisable. Et toi Pierre, tu finis la soirée chez nous ! »
Étant une femelle docile et obéissante, j’ai répondu que c’était OK pour moi. Et comme toute bonne chienne, j’ai commencé à me faire un film… je me voyais bien préparer la chatte d’Aurélien pour Rachid et une fois la saillie lancée m’allonger pour lécher les couilles de Rachid. Ça m’a mis en excitation.
Arrivés chez eux, Rachid prit les choses en main et demanda sur un ton ferme à Aurélien de se mettre nu.
Quand Aurélien laissa tomber son string blanc en dentelle, je découvris un corps comparable au mien, lisse et épilé, de belles fesses gourmandes et un clito encagé. Mon excitation redoublait, je matais mon copain avec envie… et c’est ainsi que Rachid m’a grillé.
R : « alors Pierre, elle te fait envie visiblement cette petite lope… vous avez déjà dû en faire des trucs… montre-moi comment tu lui bouffais la chatte quand vous étiez plus jeune… »
Sur ces paroles, Aurélien se mit à 4 pattes en cambrant, je découvrais une chatte serrée que je commençais à lécher, je passais ma langue autour de son œillet comme je le faisais au début de notre amitié.
Aurélien gémissait et m’encourageait à ouvrir sa chatte avec ma langue. Chaude et d’une saveur inouïe, je me délectais de cet anulingus et de cette chatte qui s’humidifiait de plus en plus.
Au même moment, je sentis 2 mains se poser sur mes hanches et un souffle de mâle dans le cou.
R : « déshabille-toi, j’ai envie de ta chatte »
J’ai enlevé mon jeans rapidement et ne gardais que mon string. Rachid commença à caresser la cambrure de mon dos et de l’autre, titilla ma rondelle de femelle en soulevant la ficelle du string.
Un doigt me pénétra assez vite, très vite rejoint par un second puis un troisième. Je m’activai sur la chatte d’Aurélien tout en me faisant préparer par Rachid.
J’avais compris qu’il était utile de se laisser faire avec Rachid. Je comprenais qu’Aurélien avait une sacrée veine d’être la femelle de ce mec.
Puis les doigts furent remplacés par un gland qui se pointait à l’entrée de ma chatte… les mains étaient posées sur mes hanches et c’est moi qui ai commencé à m’empaler pour le sentir aller de plus en plus profondément.
R : « Pierre, tu es une sacrée petite salope, tu aimes la bite. Tu te comportes comme une pute en manque de sexe. ».
Rachid avait raison, j’avais une envie folle de me faire démonter la chatte par un autre mec que le mien !
Je sentais que Rachid avait aussi envie de moi, car ses va-et-vient se sont accélérés comme par envie de cracher son jus. Plus il tapait fort, plus je bouffais avec gourmandise la chatte d’Aurélien, qui miaulait de sons aigus.
Au fond de moi, j’espérais qu’il ne le lâche pas au fond de ce préservatif. Car j’avais envie de goûter son sperme. J’ai senti sa queue se gonfler.
R : « montrez-moi vos bouches les chiennes ! vous allez avoir votre ration. La nuit ne fait que commencer. »
Des jets puissants et épais sortirent de la queue de Rachid et atterrirent sur nos visages et nos cheveux. Une saveur épicée nous régalait Aurélien et moi. Nos langues et lèvres partageaient ce jus. Aucune goutte du sperme de Rachid ne fut perdue pour la première partie de nuit.
N’hésitez pas à me dire si vous voulez la suite de cette nuit…
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PierreH
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