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Chapitre 5
Chapitre 5
Mon père m’a toujours dit que ma vie changera à tout jamais le jour où j’aurai un enfant. Ce jour allait bientôt arriver, et déjà ma vie n’avait pas mal changé. Depuis longtemps que je voulais avoir un enfant avec Daphney, elle était enfin enceinte. C’était la meilleure chose qui pourrait m’arriver, et pourtant je ne me sentais pas plus heureux que ça.
Gabriel fut la première personne à qui j’en ai parlé. Il a d’abord eu une mine triste, puis il illumina son visage d’un sourire, il me prit dans ses bras tout en me félicitant. J’ai tout de suite compris que plus jamais Gabriel n’accepterait qu’on recouche ensemble. Si au départ il ne le voulait pas car j’étais marié, ce n’est pas maintenant que j’allais avoir un enfant, fondé une famille qu’il allait se laisser convaincre.
Gabriel resta quand même un excellent ami. Je l’ai invité à ma fête d’anniversaire où il rencontra Daphney. Il était à nouveau invité aux soirées du vendredi soir entre collègues, moi je ratais certaines soirées pour rester avec Daphney. Un nouveau collègue s’est rajouté à la bande, Alexandre, le mec des ressources humaines qui avait informé Gabriel pour Alphons. Quant à Alphons, il a démissionné et à couper contact avec tout le monde. Gabriel et moi sommes les seuls à être au courant de toute l’histoire.
***
Nous avons décidé de passer Noël cette année avec ma famille. Nous nous sommes tapé quatre heures de route pour que Daphney devienne le centre d’attraction des festivités. Tout le monde voulait lui toucher son ventre de sept mois. Tout le monde sauf mon cousin : Sébastien, qui s’en foutait royalement.
27 décembre. J’étais assis sous le porche de la maison. Les autres s’amusaient à l’intérieur, moi j’étais contrarié, voilà une semaine que Gabriel ne répond plus à mes messages et à mes appels. Il fallait que je me calme les idées. C’est alors que j’ai pensé à Maxime, mon ancien meilleur ami. Sans réfléchir, j’ai fait la route qui menait jusqu’à chez lui, étonné de voir que je me rappelais encore du chemin. Ne savant pas s’il habitait toujours au même endroit, j’ai dû regarder par la fenêtre de la cuisine, et là je l’ai vu faisant la vaisselle.
Il fut étonné quand il vit que c’était moi qui frappais à la porte. Il m’invita à rentrer, m’offrit un verre et un dessert, puis nous nous sommes raconté nos vies. Il apprit donc pour mes études, mon boulot, mon mariage et Daphney qui attendait un enfant. Lui était professeur de Maths au lycée que nous fréquentions enfants, il a gardé la maison de ses parents après que ces derniers ont décidé de déménager pour une ville où les hivers étaient moins froids.
Je l’aidais à terminer sa vaisselle quand il me dit :
– Je ne dormais pas cette nuit-là !
– Euh ! … je ne vois pas de quoi tu parles.
– La nuit où tu t’es branlé entre mes fesses… Je ne dormais pas. Je me suis réveillé quand tu as baissé mon caleçon, mais je n’ai pas bougé. Tu t’es branlé dans mon dos tout en frottant ton gland contre ma raie. Et ensuite j’ai senti ton sperme chaud sur mes fesses.
– Max, écoute ! Je suis désolé.
– Ne sois pas désolé, parce que ça m’a plu. J’avais même espéré que tu ailles plus loin, je voulais que tu me pénètres ce soir-là. Mais tu ne l’as pas fait. Et j’ai passé tous les jours à attendre que tu reviennes me déflorer mon trou vierge. J’ai attendu… et je suis resté hanter par ce souvenir durant des années, me réveillant toutes les nuits en sueur, le sexe dur et suintant. Tu es resté un souvenir, un fantasme, un regret.
Tout en se confessant à moi, Max s’était rapproché. Je n’avais pas bougé, l’entendre parler s’ainsi avait réveillé un désir inassouvi en moi. Nous sommes restés un instant à nous dévisager. Ce fut moi qui me suis jeté sur sa bouche. Nous nous sommes embrassés avec rage, une rage vieille de 12 ans. Nous avions faim l’un de l’autre.
Il me conduit dans sa chambre. La même que la dernière fois. Nous nous déshabillons, et nous profitons pour se mater. Je me suis agenouillé le premier et pris sa belle bite de 17 cm en bouche. Je le pompais comme je pouvais, en salivant le plus que possible. J’ai du mal m’y prendre car il me pria de le laissai faire. Il m’allongea sur le lit et prit mon sexe en bouche. Sa bouche était plus experte que la mienne. Il me caressait le gland avec sa langue avant de tout engloutir. Il n’eut aucune difficulté à me faire des gorges profondes.
Max abandonna ma queue puis me tourna sur le ventre. De deux mains il écarta mes fesses puis je sentis quelque chose de doux, d’humide se poser et me caresser l’anus. Je me retournai et compris que c’était la langue de Max. Cette sensation provoqua un plaisir au creux de mes reins que je finis par me cambrer sans m’en rendre compte. Max darda sa langue sur mon trou comme pour le pénétrer. Cette sensation fit dresser tous les poils de mon corps. Je le sentis frotter quelque chose de plus dur contre mon anus. Je me tournai et vu le sexe de Max près à me déflorer.
– Max, je ne suis pas prêt !
– Alors, toi, prends-moi !
Max se met à quatre pattes sur le rebord du lit. Je le doigte comme me l’a appris Gabriel et quand il fut prêt, je me suis introduit en lui. Son cul était extrêmement serré. J’entamai une longue séance de va-et-vient en lui. J’alternais entre des coups de hanches doux et superficiels et des coups de hanches profondes et puissantes. Max ne se retenait plus, a chaque coup de boutoir il relâchait un gémissement à faire trembler les murs de la maison. Je le prenais en levrette, il cambrait son dos le plus que possible. Il avait même enfoui sa tête dans les oreillers, le cul en l’air pour que je lui laboure les entrailles. Sentant la jouissance montée en moi, je le tiens fermement par la hanche et lui enfonçai ma bite le plus profondément que possible. J’ai eu l’impression d’éjaculer des litres de spermes.
Nous étions couchés sur le lit, reprenant notre souffle après cette séance de baise. J’avais une sensation de plénitude, d’accomplissement. Je venais de fermer un chapitre vieux de 12 ans. Je regardai Max couché auprès de moi. Il était tout souriant. Mais je devais mettre fin à cet instant.
– Max, je ne peux pas rester. Ma femme est…
– Je sais Bastien. Je sais…
Dix minutes après, j’étais à nouveau dans la rue, en route. Je vérifie encore une fois mon portable. Pas de messages de Gabriel.
Chapitre 5
Mon père m’a toujours dit que ma vie changera à tout jamais le jour où j’aurai un enfant. Ce jour allait bientôt arriver, et déjà ma vie n’avait pas mal changé. Depuis longtemps que je voulais avoir un enfant avec Daphney, elle était enfin enceinte. C’était la meilleure chose qui pourrait m’arriver, et pourtant je ne me sentais pas plus heureux que ça.
Gabriel fut la première personne à qui j’en ai parlé. Il a d’abord eu une mine triste, puis il illumina son visage d’un sourire, il me prit dans ses bras tout en me félicitant. J’ai tout de suite compris que plus jamais Gabriel n’accepterait qu’on recouche ensemble. Si au départ il ne le voulait pas car j’étais marié, ce n’est pas maintenant que j’allais avoir un enfant, fondé une famille qu’il allait se laisser convaincre.
Gabriel resta quand même un excellent ami. Je l’ai invité à ma fête d’anniversaire où il rencontra Daphney. Il était à nouveau invité aux soirées du vendredi soir entre collègues, moi je ratais certaines soirées pour rester avec Daphney. Un nouveau collègue s’est rajouté à la bande, Alexandre, le mec des ressources humaines qui avait informé Gabriel pour Alphons. Quant à Alphons, il a démissionné et à couper contact avec tout le monde. Gabriel et moi sommes les seuls à être au courant de toute l’histoire.
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Nous avons décidé de passer Noël cette année avec ma famille. Nous nous sommes tapé quatre heures de route pour que Daphney devienne le centre d’attraction des festivités. Tout le monde voulait lui toucher son ventre de sept mois. Tout le monde sauf mon cousin : Sébastien, qui s’en foutait royalement.
27 décembre. J’étais assis sous le porche de la maison. Les autres s’amusaient à l’intérieur, moi j’étais contrarié, voilà une semaine que Gabriel ne répond plus à mes messages et à mes appels. Il fallait que je me calme les idées. C’est alors que j’ai pensé à Maxime, mon ancien meilleur ami. Sans réfléchir, j’ai fait la route qui menait jusqu’à chez lui, étonné de voir que je me rappelais encore du chemin. Ne savant pas s’il habitait toujours au même endroit, j’ai dû regarder par la fenêtre de la cuisine, et là je l’ai vu faisant la vaisselle.
Il fut étonné quand il vit que c’était moi qui frappais à la porte. Il m’invita à rentrer, m’offrit un verre et un dessert, puis nous nous sommes raconté nos vies. Il apprit donc pour mes études, mon boulot, mon mariage et Daphney qui attendait un enfant. Lui était professeur de Maths au lycée que nous fréquentions enfants, il a gardé la maison de ses parents après que ces derniers ont décidé de déménager pour une ville où les hivers étaient moins froids.
Je l’aidais à terminer sa vaisselle quand il me dit :
– Je ne dormais pas cette nuit-là !
– Euh ! … je ne vois pas de quoi tu parles.
– La nuit où tu t’es branlé entre mes fesses… Je ne dormais pas. Je me suis réveillé quand tu as baissé mon caleçon, mais je n’ai pas bougé. Tu t’es branlé dans mon dos tout en frottant ton gland contre ma raie. Et ensuite j’ai senti ton sperme chaud sur mes fesses.
– Max, écoute ! Je suis désolé.
– Ne sois pas désolé, parce que ça m’a plu. J’avais même espéré que tu ailles plus loin, je voulais que tu me pénètres ce soir-là. Mais tu ne l’as pas fait. Et j’ai passé tous les jours à attendre que tu reviennes me déflorer mon trou vierge. J’ai attendu… et je suis resté hanter par ce souvenir durant des années, me réveillant toutes les nuits en sueur, le sexe dur et suintant. Tu es resté un souvenir, un fantasme, un regret.
Tout en se confessant à moi, Max s’était rapproché. Je n’avais pas bougé, l’entendre parler s’ainsi avait réveillé un désir inassouvi en moi. Nous sommes restés un instant à nous dévisager. Ce fut moi qui me suis jeté sur sa bouche. Nous nous sommes embrassés avec rage, une rage vieille de 12 ans. Nous avions faim l’un de l’autre.
Il me conduit dans sa chambre. La même que la dernière fois. Nous nous déshabillons, et nous profitons pour se mater. Je me suis agenouillé le premier et pris sa belle bite de 17 cm en bouche. Je le pompais comme je pouvais, en salivant le plus que possible. J’ai du mal m’y prendre car il me pria de le laissai faire. Il m’allongea sur le lit et prit mon sexe en bouche. Sa bouche était plus experte que la mienne. Il me caressait le gland avec sa langue avant de tout engloutir. Il n’eut aucune difficulté à me faire des gorges profondes.
Max abandonna ma queue puis me tourna sur le ventre. De deux mains il écarta mes fesses puis je sentis quelque chose de doux, d’humide se poser et me caresser l’anus. Je me retournai et compris que c’était la langue de Max. Cette sensation provoqua un plaisir au creux de mes reins que je finis par me cambrer sans m’en rendre compte. Max darda sa langue sur mon trou comme pour le pénétrer. Cette sensation fit dresser tous les poils de mon corps. Je le sentis frotter quelque chose de plus dur contre mon anus. Je me tournai et vu le sexe de Max près à me déflorer.
– Max, je ne suis pas prêt !
– Alors, toi, prends-moi !
Max se met à quatre pattes sur le rebord du lit. Je le doigte comme me l’a appris Gabriel et quand il fut prêt, je me suis introduit en lui. Son cul était extrêmement serré. J’entamai une longue séance de va-et-vient en lui. J’alternais entre des coups de hanches doux et superficiels et des coups de hanches profondes et puissantes. Max ne se retenait plus, a chaque coup de boutoir il relâchait un gémissement à faire trembler les murs de la maison. Je le prenais en levrette, il cambrait son dos le plus que possible. Il avait même enfoui sa tête dans les oreillers, le cul en l’air pour que je lui laboure les entrailles. Sentant la jouissance montée en moi, je le tiens fermement par la hanche et lui enfonçai ma bite le plus profondément que possible. J’ai eu l’impression d’éjaculer des litres de spermes.
Nous étions couchés sur le lit, reprenant notre souffle après cette séance de baise. J’avais une sensation de plénitude, d’accomplissement. Je venais de fermer un chapitre vieux de 12 ans. Je regardai Max couché auprès de moi. Il était tout souriant. Mais je devais mettre fin à cet instant.
– Max, je ne peux pas rester. Ma femme est…
– Je sais Bastien. Je sais…
Dix minutes après, j’étais à nouveau dans la rue, en route. Je vérifie encore une fois mon portable. Pas de messages de Gabriel.
Dej407
dej407@yahoo.com
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