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Chapitre 6
Nous sommes le 2 janvier, et nous passons, ma femme et moi, le Nouvel An chez mes parents. La plupart des membres de la famille étaient déjà partis, il ne restait que ma femme et moi, une cousine de ma mère, ma mère et Sébastien, mon cousin, qui a fait la gueule pendant toutes les festivités.
Sébastien et moi sommes nés la même année. Nos mères, qui sont sœurs, enceintes durant la même période ont décidé qu’il serait bien que nous ayons des prénoms jumelés et que nous soyons élevés comme des frères. Mais quand mon père apprit que le jeune Sébastien embrassait les garçons de son âge, il a préféré que je limite les rapports avec mon cousin pour qu’il ne « m’infecte pas de sa perversité » avait-il dit ! Pauvre Papa ! Si tu savais !
Par la suite, la vie de Sébastien est partie en vrille. Il se mit à fréquenter les mauvaises personnes, a abandonné ses études, a démarré un groupe de musique rock qui n’a pas duré, s’est fait plusieurs tatous et un piercing au sourcil, s’est fait arrêté pour vol à l’étalage, a été mis dehors de chez lui et maintenant il vit dans le sous-sol de chez ma mère. Il était devenu la brebis galeuse de la famille.
Ce soir là, nous avions mangé très tard et je me suis dévoué à débarrasser la table tandis que tout le monde est allé se coucher. Tout le monde, sauf le cousin Sébastien, cigarette à la main, il me regardait faire avec un sourire moqueur.
« C’est quoi ton problème ? lui demandai-je
– Oh rien ! Je regarde faire Bastien, le fils parfait qui va bientôt avoir un enfant.
– Fous moi la paix Sébastien !
– Ce serait dommage si on apprenait que tu aimes bien sucer les bites.
– Quoi ?
– Prends pas ton air innocent, Max et moi on est ami et on se dit tout. Il m’a dit comment tu…
J’ai plaqué Sébastien contre un mur en lui mettant la main sur sa bouche
– Qu’est-ce que tu veux Sébastien ? Il y a ma femme dans une de ses chambres, tu veux foutre en l’air mon foyer. C’est ça que tu veux ?
Lorsque j’enlevai ma main, il me dit de le suivre dans sa chambre au sous-sol.
– Montre moi ta bite, m’ordonna-t-il sur un tond froid.
Yeux dans les yeux je descendis mon pantalon sans aucun gène. Sébastien se baissa, examina scrupuleusement ma bite, l’a prise en main et commença à me branler. Il n’a pas fallu longtemps pour que je bande. Lorsque je fus tout dur, Sébastien me prit en bouche. Les mains posées sur chacune de mes fesses il prenait appui pour ne pas nous faire tomber. Mais j’étais décidé de ne pas rendre les choses faciles.
– C’est donc ma queue que tu voulais ??
Sans l’avertir, je le pris par la tête et enfonçai ma queue le plus profond dans sa gorge l’étouffant avec pendant quelques secondes. Je retirai ma queue de sa bouche pour que ses poumons puissent se remplir d’air.
– C’est tout ce que tu as ? demanda-t-il d’un ton provocateur.
– Tu vas morfler salope.
Je lui ai enfoncé mes 19 cm directs dans la gueule. Je ne me retenais plus, je lui baisais littéralement la bouche. Tout ce que l’on entendait dans la chambre fut le bruit de succion et un son guttural quand ma bite tapait le fond de sa gorge. Je me doutais bien que Sébastien prenait son plaisir, il avait resserré ses lèvres autour de ma queue. Il caressait et malaxait mes fessiers. Il s’était aussi mis à masser un renflement tout de suite après mes couilles. Ses mains se sont faites plus investigatrices et je sentais qu’il cherchait mon anus. J’essayais de l’en empêcher, mais la position lui donnait beaucoup plus d’avantages que moi. Il m’enfonça un doigt profond dans le fion. Une sensation de bien être me saisit, je me suis senti comme traverser par un courant électrique, j’eus un orgasme puissant qui fit pousser un cri. J’ai lâché toute ma sauce au fond de la gorge de Sébastien qui ne perdit pas une goutes.
Sébastien enleva son doigt de mon cul, j’ai eu comme une gêne. Je lui enlève ma queue luisante de bave et de sperme de la bouche et remonte mon pantalon. Assis sur son cul, Sébastien me regardait toujours avec un air dédaigneux.
– C’est tout ce que tu as dans le ventre mon cousin ?
– T’en redemandes encore ?
Je fus saisi par une rage que je ne connaissais pas. Je me jetai sur Sébastien. Je l’ai plaqué par terre, le ventre contre le sol, j’ai baissé son pantalon, j’ai sorti ma bite et le pénétrai sans aucune préparation. Il poussa un cri fort, mais ne fit aucun geste pour se défendre. Du poids de tout mon corps, je le maintenais au sol.
Son cul était chaud et très serré, si je ne venais pas d’éjaculer, je n’aurais pas duré cinq secondes. À grands coups de rein, je lui démolissais le cul. Voyons si après ça il oserait en redemander. Le sexe hard, je m’y connais, il est bien tombé s’il en voulait ce soir. Je le baise au même rythme depuis 10 minutes sans me fatiguer. À chaque fois je lui enfonce ma queue bien profond dans le fion, ce qui lui fait pousser des couinements de femelle. La bouche contre son oreille, je lui disais
– C’est ce que tu voulais ? Hein ? … C’est ce que tu aimes ? … Qu’on te baise comme la petite salope que tu es ? Hein ! … Tu sens ma bite qui te casse le cul ? Tu la sens passer ?
Sébastien ne répondait plus. Il était clairement dans un état second. Il avait gardé la bouche ouverte et gémissait comme une femme. Il prenait son pied. Je sentis du liquide contre ma queue tout en étant dans son cul. Je croyais que c’était de la merde, mais un rapide coup d’œil me fit voir que c’était un liquide transparent. Mon gland est devenu extrêmement sensible et la jouissance vint instantanément. Je me suis enfoncé le plus profondément en lui pour cracher mon foutre.
Quand je finis de reprendre mes forces, je me suis levé. Le cul de Sébastien dégoulinait de sperme. J’avais remis mon zob à sa place et m’apprêtais à sortir, mais sa voix me retint :
– Considère ça comme des réconciliations. Et appelle-moi un de ces jours.
– Promis !
De nouveau au rez-de-chaussée, je vérifiai que tout le monde dormait et que ma petite scène de baise avec Sébastien était restée incognito. Je finis la vaisselle, je me mets au lit, et au moment où je fermai les yeux mon portable vibra. Un numéro inconnu m’a envoyé un message. C’est Gabriel, il me dit qu’on lui a volé son portable et qu’il m’écrit à partir du téléphone de son mec. Je regarde la photo de profil : Gabriel embrassait un mec sur la joue.
Dej407
dej407@yahoo.com
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