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Premier épisodeÉpisode précédent

Confiné chez mon Maître Cuir

6 | Obnubilation et latex

C’était un jour de mi-avril. Mon maître et moi étions tous les deux sur le canapé, lui lisant et moi m’occupant de quelques affaires sur mon portable. Aujourd’hui était un jour Latex. Je portais donc mon ensemble Chaps+Jockstrap, mon polo en Latex et mes bracelets. Mon maître était dans une tenue plus simple, dans un de ses splendides pantalons en cuir, une chemise bleutée aux manches retroussées sur lui. Il était impeccable, à bien des égards.

Il faut tout de même admettre que lui et moi étions quelque peu en chaleur à ce moment-là. Plusieurs fois déjà dans la journée il avait procédé à une de ses entrées rapide dans mon cul, ce qui nous avait excité lui et moi. Nous étions des cocottes minutes d’hormones.

Assis sur le canapé cuir, l’environnement silencieux était de temps à autres ponctué des bruits que faisaient son cuir, le mien ou mon latex. Nos sens étaient en éveil.

Soudainement, il poussa un long soupir et m’ordonna de me mettre à genoux devant lui. Tout occupé que j’étais, je m’empressai de laisser tout cela de côté et je m’agenouillai devant lui. Il baissa sa braguette et fit sortir son pénis de dessous son cuir. Puis il reprit son livre et se remit à lire. Il n’y avait nul besoin d’ordre, je savais quoi faire. Je me mis donc aussitôt à le sucer avec ardeur. Cette situation était arrivée plusieurs fois déjà depuis la première fois, mais j’avais évolué avec le temps. Je connaissais sa bite et ses boules par cœur. Je savais de quelle manière jouer avec son gland, sa tige ou ses testicules pour lui procurer du plaisir. Je savais comment positionner sa queue dans ma bouche pour la faire rentrer au maximum. Ma langue savait quoi faire et comment le faire. J’étais devenu un professionnel de sa bite. Un connaisseur. Il n’y avait plus d’hésitation, il n’avait plus d’ordre ou de conseil à donner, tout se faisait tout seul. Enfin, je le faisais tout seul, automatiquement. Je m’appliquai donc à faire coulisser sa queue dans ma bouche, léchant son tube de chair comme on lèche un friandise. Nous restâmes ainsi un long moment. Moment au bout duquel il se détourna de son livre et vint me caresser les cheveux.

– Tu fais ça bien Titus

– ‘ai ‘e ‘encrainement !

– Tu es très sexy vu d’ici, dans ton latex…

– Hehe

– Je pense à quelque chose, une petite expérience pour toi.

– Ah ‘on ?

– Je t’expliquerai tout à l’heure…

Il se replongea dans son livre. Après un certain temps, il m’autorisa à arrêter. Je retournai donc m’asseoir sur le canapé, reprenant mes affaires là où je les avais arrêtées. J’en profitai pour lui demander quelle était son idée, son expérience.

– Oh et bien, tu sais, j’ai toute une combinaison en latex, et tu ne l’as jamais portée.

Je ressenti un petit chatouillement dans mon ventre, j’adorai porter du latex, et l’idée de m’en recouvrir intégralement par une combinaison m’excitait. Il poursuivit.

– Et puis j’aimerais bien faire une petite séance bondage, edging, un truc du genre si tu vois ce que je veux dire. Et puis, j’ai acheté… non mais ça c’est une surprise.

– De quoi ?

– Non non, je te dirai en temps et en heure.

Je ris, nous nous embrassâmes. J’acceptai la surprise, je n’avais pas vraiment le choix en fait. Néanmoins, le temps et l’heure survinrent plus tôt que pensés, l’après-midi même. Mon maître reçut un appel.

– Ouai Max ?

– Qu’est ce qu’il y a ?

– Ah merde !

– …

– Bah non ! T’es au courant qu’on est confinés ? Je peux pas venir comme ça !

Je fus surpris par ce que j’entendis. Quelqu’un demandait à mon maître de venir le rejoindre… en plein confinement, ça devait être grave ! Mon maître argumenta un peu au téléphone puis finit par pousser un soupir en disant à son interlocuteur qu’il allait bientôt passer. Alors là je fus pris au dépourvu. C’était bien la première fois que mon maître allait braver le confinement. La première fois qu’il allait me laisser tout seul pour aller je ne savais où pendant une durée indéterminée.

– Tu sors ?

– Oui, mon pote Maxence qui travaille avec moi a un gros problème chez lui. Mais c’est un jeune qui est tout seul, qui n’a pas de famille… il est un peu paumé, mais on l’aide ! Alors bon là, il a besoin d’aide… je vais essayer de l’aider, tu comprends ? Il va falloir que je me fasse une attestation !

Ma surprise à laquelle s’était liée une pointe de jalousie s’effaça un peu, si c’était pour la bonne cause…

– Et tu pars quand ?

– Là, dès que je suis prêt.

– Pour combien de temps ?

– Je sais pas.. une heure ? Deux heure max ?

– Ok… bon..

Il se leva et commença à se diriger vers la chambre mais s’arrêta soudainement à mi-chemin. Il se tourna lentement vers moi, un léger sourire sur les lèvres et les yeux plissés. Quand il parla, ce fut à mi-voix.

– Et si j’en profitais pour te faire essayer ma surprise…

– Ooooh… là tout de suite ?

– Oui avant que je parte.

– Mais… quand t’es parti ?

– Ouai, tout le temps de mon absence… ça peut le faire !!

Ses yeux se mirent à briller d’une lueur d’excitation liée à l’idée qu’il venait d’avoir. Il me demanda de me déshabiller et de l’attendre dans le salon. Il entra dans le dressing et resta quelques minutes avant de ressortir les mains pleines et le regard toujours flamboyant. Il apportait avec lui une combinaison intégrale en latex, un masque à gaz dans la même matière, des cordelettes et une boîte en carton pour laquelle je me demandai ce qu’elle contenait. En voyant tout cela j’eus l’impression d’un coup de poing dans l’estomac tellement le chatouillement était fort. Un fantasme absolu était sur le point de se réaliser grâce à mon maître.

Ce dernier prit une chaise et y déposa son fardeau. Il prit la combinaison et la présenta devant moi. Je la regardai avec une certaine admiration proche de la vénération. Il l’ouvrit puis s’approcha pour m’aider à l’enfiler. Ce ne fut pas une tâche facile, le latex collant au corps, nos quatre mains ne furent pas de trop pour pouvoir remonter la matière le long de mon corps depuis mes pieds jusque mon cou. Mais quel plaisir que de ressentir le latex prendre forme autour des miennes, cette sensation de fraîcheur qui accompagnait l’exaltation de mes sens, le bruit, l’odeur… Le cuir était un bonheur mais le Latex avec son charme aussi. Lorsque nous eûmes enfin terminé de me recouvrir de la combinaison, il ferma les fermetures éclairs puis me massa les épaules.

– Tu es bien comme ça ?

– Oui vraiment…

C’était vrai. Je me sentais bien dans cette combinaison dont le latex noir épousait mes forme et ce malgré la différence de morphologie entre son propriétaire et moi. Mon maître prit le masque à gaz et fit en sorte de m’en recouvrir la tête. Je fus alors plongé dans une réalité altérée, ma vision réduite par les deux orifices en face de mes yeux et ma respiration affaiblie par la quantité d’air restreinte que laissait passer le masque. Ma respiration justement pris son importance parmi mes sens en cet instant, car le mécanisme du masque en amplifiait le son et accompagnait chacune de mes inspirations et expirations. J’étais comme Dark Vador. Un Dark Vador de latex mais l’idée était là.

Mon maître me palpa mes couilles et ma bite durcie à travers la combinaison puis reprit la boîte en carton qu’il avait auparavant posée sur la chaise. Il en sorti un objet noir et phallique qui s’avéra être un plug anal.

– Je te présente Hush ! Ton nouveau meilleur ami pendant mon absence.

– Un plug anal ?

– Oui. Un plug anal électrique et avec contrôle à distance. En le connectant à internet, je peux faire vibrer ton intérieur de n’importe où !

– Oh !

Il me fit un sourire et un clin d’œil. Il prit quelques petites minutes pour pouvoir synchroniser la commande à distance puis revint vers moi. Il étala du lubrifiant dessus puis me contourna pour passer derrière moi. Il ouvrit la fermeture au niveau de mon cul, me fit me pencher en avant puis entreprit de faire rentrer le plug en moi. Ce n’était pas difficile à vrai dire, de mon côté, le contact avec le plastique frais ne me dérangea pas. Il poussa l’objet au maximum puis se redressa en frottant ses mains comme un artisan une fois le travail accompli.

– Et maintenant les derniers détails.

Il me fit m’asseoir sur la chaise, les bras le long du corps puis pris les cordelettes qu’il enroula d’abord autour de mon buste et mes bras pour m’immobiliser contre le dossier, puis ensuite autour de mes chevilles pour les bloquer contre les pieds. Ceci fait, je fus incapable de bouger et de me détacher de ma chaise, j’étais totalement prisonnier.

Mon maître s’éloigna de moi, me contempla avec un sourire pervers et envieux, puis rassembla quelques-unes de ses affaires et se prépara à sortir. Il mit ses chaussures, enfila son blouson en cuir puis au moment de passer la porte, se retourna vers moi, me fit un clin d’œil accompagné d’un « à tout à l’heure Titus », puis il appuya sur l’écran de son téléphone. À cet instant, je sentis le plug enfoncé dans mon intérieur se mettre à vibrer. Pas longtemps à vrai dire, quelques 3 secondes, mais ce fut un véritable choc. Une décharge étrange me parcourut le corps de l’intérieur et me remua mes entrailles. C’était une sensation encore inédite et unique, l’impression que chacun de mes organes transmettait de l’énergie au reste du corps. Je ne pus ni ne voulus m’empêcher d’émettre un long râle de plaisir tandis que mes yeux roulaient dans leur orbite derrière le latex de mon masque. Ma queue déjà dure se dressa d’autant plus et sembla tirer sur sa peau pour s’étendre au-delà.

La situation, moi recouvert de latex intégral, le masque à gaz, la vibration que je venait de sentir, me fit rentrer dans un état second d’envie de sexe et d’assouvir ma libido. Cela à la fois empêché et décuplé par mon immobilisme imposé par mes liens. Je ne savais pas encore combien de temps mon maître allait partir mais je sentais que cet état allait être long.

Quelques minutes plus tard, je sentis une deuxième vibration qui à nouveau me fit gémir comme une chienne. Cette fois-ci, elle ne s’arrêta pas. J’entendis la moto de mon maître rouler dans la rue et je compris que la vibration continuerait tout le temps de son trajet, tant que le moteur de la moto tournait. Je ne savais pas très bien si je souhaitais que ce trajet durât longtemps ou pas ; quoi qu’il en fût, imaginer mon maître chevauchant sa machine dont le vrombissement était en réalité transmis à l’intérieur de mon anus m’excita au plus haut point. Je m’imaginais derrière lui sur son engin, lui en cuir, moi en latex. Putain, j’étais chaud, j’aimais bien cette sensation.

Les vibrations de mon corps depuis l’intérieur de mon cul durèrent quelques dizaines de minutes pendant lesquelles je fus incapable de réellement penser rationnellement. Tout ce que je savais c’était que je fondais de plaisir malgré la sensation bizarre que le plug Hush procurait. J’étais entré dans un état mental inédit pour moi, comme une bête en cage ; ce qui était finalement assez proche de la réalité. J’étais assujetti à mes hormones, le désir avait pris le contrôle de mon cerveau et mes sens exaltaient. Je ressentais le latex sur chaque cm² de mon corps, de mes chevilles jusqu’à mon crâne. J’étais le latex, il était moi. Il avait pris la place de ma peau et le monopole sur mes sens, mon toucher passait par lui, ma vue et ma respiration étaient canalisés à travers le masque à gaz, et que dire du plug qui remplissait mon trou et qui vibrait de temps en temps, sur des périodes plus ou moins longues… J’étais désir, j’étais sexe, j’étais plaisir, j’étais latex. J’étais bestialité. Et toute cette rage, ce désir était empêché, emprisonné par ces cordes. Incapable d’être assouvie, toute cette énergie renfermée sur elle même croissait, elle bouillonnait, elle mutait. Je rentrai dans un état second que j’aurai été incapable d’imaginer incarner encore quelques semaines auparavant. Un état de pure rage sexuelle.

Cependant, plus le temps passa et plus je me calmai, m’habituant à toutes ces sensations. Je retrouvai un peu de ma raison et de ma personnalité, savourant simplement le plaisir que pouvait me donner cette expérience. Par moment il m’arrivait de recommencer à m’exciter tout seul, puis ça rebaissait, c’était varié.

Au bout de deux petites heures, Hush recommença à vibrer en continu, pris par le plaisir, je réussi quand même à en tirer la conclusion que mon maître était sur le retour. À nouveau je sentis l’excitation me prendre et monter de plus en plus. À nouveau je m’imaginais avec lui sur sa moto, moi dans mon latex et lui dans son cuir. Ma queue recommença à durcir et à se tendre au maximum, mon esprit recommença à se perdre dans le désir. Je m’impatientai.

Je finis par entendre sa moto dans la rue puis entrer dans la cour du bâtiment. Plus je sentais qu’il approchait et plus mon impatience et mon excitation grandissaient. Hush continuait de vibrer en moi, accentuant ma sensation d’état second. J’entendis des clefs dans la serrure et la porte s’ouvrit. Mon maître entra, me regarda et sembla sourire derrière son masque.

– Viens vite s’il te plait, lui implorai-je.

– Silence Titus !

Il fit tout le contraire, il prit son temps pour enlever ses chaussures, se laver les mains etc. Moi je commençais à bouillonner. Enfin il arriva devant moi, se campa, les mains sur les hanches tandis que je le regardais derrière le plexiglas de mon masque en latex. Il s’agenouilla devant moi et me regarda un moment alors que je n’avais qu’une hâte, qu’il me prenne enfin. Il tendit la main et saisit ma queue tendue puis commença de lents mouvements de va et vient. Je gémis de désir et de frustration, mais lui n’en avait cure, il poursuivait son manège. Pendant encore quelques minutes il me branla ainsi, s’arrêtant parfois quand il sentait que j’étais sur le point de jouir. Il ne le voulait pas, il souhaitait simplement accroître ma quantité hormonale et mon envie de sexe, moi j’étais continuellement sur le point d’exploser.

Finalement, il se redressa et me retira le masque à gaz. En me voyant il sourit d’un sourire pervers, une flamme similaire s’allumant dans ses yeux. Sans doute me voyait-il ainsi lui aussi, sans doute voyait-il mon visage déformé par le désir bestial de sexe, mes yeux affamés et brûlant d’envie. Sans doute voyait-il sa victoire d’avoir réussi à m’obnubiler pendant ces deux dernières heures dans du latex, à me transmettre sa perversion dans son optique toujours plus achevée de me transformer et de me rendre comme lui.

Il se pencha et me détacha les pieds, puis me contourna pour me détacher le reste du corps. Libre, je me levai d’un bon. J’avais trop attendu ce moment précis, j’étais trop enragé pour me contrôler. Je me retournai puis me jetai dans ses bras, enfonçant ma langue dans sa bouche et mes mains dans le cuir de son blouson.

En ce moment même, je ne voulais plus que du sexe, plus qu’être sexe, et dans les heures qui allaient suivre lui et moi allions être grandioses, l’un sur l’autre, lui dans moi.

Nabe

nabe.divers@gmail.com

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