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Hétéro frustré

Hello à tous. Aujourd'hui je vais vous raconter ma première expérience homosexuelle. Elle a été assez tardive parce que j'avais 38 ans quand c'est arrivé.

Je vous donne le contexte : ma femme était enceinte de 7 mois, du coup ça faisait au moins 6 mois que je n'avais pas eu de relation sexuelle. Il y a des femmes pour qui la grossesse n'affecte pas la libido, d'autres pour qui ça l'augmente... Eh bien la mienne ça la lui avait totalement coupée. Je suis pourtant du genre inventif, patient, pas du genre à réclamer en gémissant (pour susciter l'envie y'a pas pire)... Mais là après 6 mois d'échecs je commençais à perdre patience. Je n'avais pas connu un tel désert sexuel depuis que j'avais perdu mon pucelage. Quand je n'étais pas en couple, je cumulais les coups d'un soir. Et par chance ma femme est elle aussi assez portée sur la chose. En temps normal. Mais là plus rien... Je n'avais aucune envie de la tromper, parce que je l'aime sincèrement, mais l'idée d'aller voir ailleurs ne serait-ce que pour tirer mon coup devenait de plus en plus tentante...

Un soir je me retrouve avec Alexis, le neveu de ma femme, un gamin de 19 ans pour le presque quadra que j'étais, qui était venu passer une soirée cinéma à la maison. On s'entend bien lui et moi, malgré la différence d'âge on se comporte comme deux potes de lycée, et il peut regarder les films qu'il veut avec moi, alors que sa mère est un peu prude sur le sujet (pas de violence, pas de sexe, pas de SF... faut regarder Louis la Brocante en somme). Et puis comme on a un super matos à la maison (grand écran HD, compatible avec la 3D, home cinéma...) il en profite.

Ma femme était partie chez une amie pour le week end, peut être leur dernier week end entre filles avant l'accouchement. Du coup Alex était venu passer un week end cinéma entre mecs, nous aussi probablement le dernier avant un moment. Il a ramené tous les films "en file d'attente- qu'il voulait voir, moi j'ai organisé un repas diététique (pizza bière), et on était là, avachis dans le canapé, comme deux potes célibataires.

Et là dans le film arrive une scène de cul. Pas du porno évidemment, mais assez chaude quand même. J'ai senti venir l'érection mais je n'ai pas pu la retenir.

- Wow, elle te fait de l'effet cette scène !-

J'ai tourné les yeux vers Alexis, il avait les yeux rivés sur mon entre-jambe. Ha ben oui, le jogging gris sans sous-vêtements, ça ne pardonne pas. Je sortais à peine de la douche quand il est arrivé alors j'ai enfilé un truc vite fait. Il faut dire aussi que je suis plutôt du genre bien membré (23cm et plutôt large), ce qui n'arrange rien.

- Ta gueule, j'ai pas tiré mon coup depuis des mois alors forcément...

Moment de silence, j'avais déjà les yeux de nouveau vers le film quand Alexis a ajouté :

- C'est vrai ? T'as rien fait depuis des mois ?

J'ai tourné la tête vers lui, réfléchis deux secondes à ma réponse et :

- Tu veux vraiment que je te parle de ma vie sexuelle avec ta tante ?
- Y'a pas grand chose à raconter apparemment, lacha-t-il avec un petit sourire en coin, satisfait de sa connerie.
- Petit con va !

Et on s'est mis à rigoler tous les deux. Une fois le fou rire passé, je ne sais pas pourquoi je suis parti dans les confidences :

- Ouais Caro n'a plus envie depuis qu'elle est enceinte, et ça commence à me peser.

Pourquoi je lui racontais ça ? Ok il était majeur, vacciné et dépucelé, et on était plutôt proches, mais ma femme est sa tante quand même...

- Et tu t'es pas branlé depuis ?-

Ok donc non seulement le sujet ne le dérangeait pas mais il était partant pour aller bien plus loin. Du coup j'ai répondu :

- Si de temps en temps mais c'est pas pareil. Rien de comparable avec le fait de mettre sa queue dans une chatte.
- Et dans un cul ?-

Je l'ai regardé, interloqué, et j'ai rigolé avant de lâcher :

- C'est pas une question d'orifice, elle a juste pas envie.
- Je ne parlais pas forcément du sien.

Je suis resté à nouveau interloqué. Où il voulait en venir ? Sur le moment je ne comprenais pas où allait cette conversation.

- Je n'ai pas envie de la tromper avec une autre femme, répondis-je sérieusement.
- Et pourquoi pas le faire avec un mec ?

J'ai oublié de préciser : Alexis est gay. Je suis d'ailleurs le seul membre de sa famille à être au courant pour le moment.

- Tu sais je n'ai rien contre les homos mais ça ne m'a jamais attiré.

C'était la vérité, j'aurais eu plein d'occasion de tester si j'avais voulu. Je plais aux hommes, ce n'est pas pour me vanter mais je ne peux pas le nier, on me dit souvent que j'ai une belle gueule, mes séances de sport régulières me permettent d'avoir un beau corps musclé, et quand les mecs aperçoivent mon paquet, surtout quand je vais à la salle, beaucoup m'abordent et me font des propositions assez dingues parfois. Il y en a quand même un qui a voulu me filer 100€ pour ME sucer. Un des coachs de la salle où je vais était prêt à me filer 3 mois gratuits juste pour que je le laisse me regarder prendre une douche. Et j'en passe. Mais non, rien de tout ça ne m'a jamais tenté.

- Dommage, lacha Alexis.-

Il m'avait encore cloué le bec. Je mis quelques secondes à demander :

- Pourquoi dommage ?
- Ben j'aurais adoré te filer le mien.

Il avait répondu ça de façon tellement naturelle. Sans humour, sans hésiter, rien...

- T'es sérieux là ?

Il m'a regardé droit dans les yeux pour me répondre sans sourciller :

- Oui.

Putain il me déstabilisait ce petit con.

- Mais... T'es mon neveu !
- Non, je suis le neveu de ta femme.
- C'est pareil !
- Non, y'a pas de lien de sang entre nous.

Il avait préparé toutes ses réponses à l'avance ou quoi ? J'étais en train de réfléchir à ce que j'allais répondre quand il a ajouté :

- Allez juste une pipe, ce sera quand même mieux que de t'astiquer sous la douche. Tu peux même fermer les yeux et penser à autre chose, je m'en fous.

Putain mais il avait un aplomb pour me dire ça ! Pas une hésitation, pas une once d'amusement dans la voix. Je ne pouvais même pas détourner ça d'un - Arrête de déconner ", je l'entendais déjà me répondre qu'il ne plaisantait pas. J'allais donc devoir trouver une réponse sérieuse.

- Non Alex c'est gentil mais non, je ne peux pas faire ça avec toi.

Il resta silencieux quelques secondes avant de conclure.

- Ok, si tu changes d'avis tu sais où me trouver. Bon je vais pisser moi. Tu peux mettre sur pause ?

L'enchaînement me fit presque rire. Il avait fait sa proposition, je l'avais refusée, le sujet était clos il était déjà passé à autre chose. Je restai donc seul quelques minutes, avec rien d'autre en tête que la conversation que je venais d'avoir avec Alexis. Mon petit Alexis. Un gamin que je connaissais depuis qu'il avait 5 ans. Bien sûr il avait grandi, mais quand on a connu quelqu'un très jeune c'est toujours un peu difficile à accepter. Pourtant c'était bel et bien un homme maintenant. Un jeune homme certes, mais un adulte, capable de faire ses propres choix et d'exprimer ses désirs. Et ce qu'il désirait, là tout de suite, c'était le barreau que j'avais entre les jambes. Je ne m'en étais même pas aperçu, mais je n'avais pas débandé pendant toute la conversation. Je regardais mon érection inutile quand soudain, une image me vint en tête : Alexis, à genoux devant moi, entre mes cuisses écartés, les yeux rivés sur les miens, me suçant la... Non ! Quelle horreur ! Comment je pouvais penser à ça !?

- Ça ne veut pas descendre on dirait

Je sursautai presque. Perdu dans mes pensées obscènes, je n'avais pas entendu Alexis revenir.

Sans ajouter un mot, il se remis à sa place, appuya sur lecture et le film repris.

J'essayais de me concentrer sur l'histoire, de ne pas penser à autre chose, mais rien n'y faisait. Je ne pouvais pas m'empêcher de penser à la conversation que l'on venait d'avoir. J'imaginais Alexis, celui que je voyais encore comme l'innocent petit Alexis il n'y a pas une heure, m'offrant tour à tour son cul et sa bouche. Je m'imaginais lui faire des choses innommables. Et je bandais toujours.

Soudain, je sentis sa main se poser sur mon paquet. Je baissais les yeux, puis les tournais vers lui avant de commencer :

- Alexis non je...
- Arrête, tu en as envie presque autant que moi.

Comment ça "presque autant que moi- ? Le temps de m'interroger là-dessus il avait commencé à me branler à travers le jogging. Ce qui était étonnamment agréable, je n'avais jamais testé ça. Bien vite, il glissa sa main dessous et m'attrapa le sexe d'une main ferme. Les femmes ne savent pas toujours empoinger le sexe d'un homme, mais lui, étant un homme, su tout de suite quelle pression y mettre. Et il commença à faire des vas et viens sur ma verge. Est-ce que c'était la douceur de sa peau ? Sa dextérité ? Le manque de sexe depuis si longtemps ? Le goût de l'interdit ? Je n'en sais rien, mais je n'avais jamais bandé aussi dur. Et lui continuait de me masturber, sans précipitation, comme s'il voulait faire durer le plaisir. Le contact du tissu sur mon gland pendant que sa main montais et descendait accentuait encore le plaisir. Je finis par mouiller et un petit rond gris foncé apparu sur le jogging. Alexis pris ça comme un signal, glissa du canapé comme un félin, et fit descendre mon jogging jusqu'au genoux. Sans m'en rendre compte j'avais soulevé mon bassin pour l'aider. Et alors que je le vis approcher sa tête de mon sexe je tentai un dernier :

- Non Alex il ne f...-

Trop tard, ses lèvres étaient déjà autour de mon gland. Putain que c'était doux ! J'en lâchait un gémissement, les yeux fermés, tellement c'était bon. Quand je les rouvris je vis ses yeux fixés vers moi, la flamme de la confiance brûlant dans ses yeux. Il avait eu ce qu'il voulait, et il savait que je n'aurai plus la force de le stopper. Il était fier de lui le petit merdeux ! J'avais envie de me révolter, mais les mouvements de ses lèvres et de sa langue de long de ma verge me firent renoncer. Putain mais il était doué le con ! On m'en a fait des pipes dans ma vie, mais rarement aussi bonnes ! Et lui avait l'air de se régaler. Machinalement plus qu'autre chose, je passais une main derrière sa tête, l'autre sous mon débardeur pour me pincer le téton. Ha le pied ! Je me sentais comme un vrai pacha. Je fermais les yeux parfois, poussait des gémissements plus souvent que je ne voudrais l'admettre. Je finis même par lâcher un :

- Putain tu sais pomper une queue, salope !

Ce fut comme un électrochoc. Qu'est-ce que je venais de lui dire ? Je baissai les yeux vers Alexis, m'attendant à avoir tout foutu en l'air... Il n'avait pas sourcillé. Il l'avait même presque pris comme un compliment. En fait au mot "salope- il s'était mis à cambrer le cul, et je le vis passer une main dans son pantalon, probablement pour se doigter. Qu'est-ce que ça voulait dire ? Est-ce que "salope- était le sésame pour ouvrir son anus ? Et puis, je n'allais quand même pas l'enculer ? Alexis... Mon petit Alexis... Mon petit Alexis qui m'offrait la pipe de ma vie... Est-ce qu'on était encore à ça près ?

Comme s'il avait suivi mon cheminement de pensée il s'arrêta de me sucer, continua de branler ma queue couverte de sa salive de sa main libre, et me demanda :

- Alors ? Tu comptes me la mettre ? Ou je dois me contenter de mes doigts ?

Putain mais quelle salope ! Il me fixa encore quelques secondes avant de reprendre ma queue en bouche, ses yeux toujours fixés sur les miens, le cul tendu, attendant de se faire défoncer. Du plus profond de mes entrailles je sentis une espèce de vague de domination monter, monter, monter...

Et l'impulsion pris le pas sur la raison. Je le repoussai d'un coup, glissai du fauteuil, le retournai pour le mettre à quatre pattes, le cul face à moi, et baissai son pantalon jusqu'à mi-cuisses. Un jockstrap. Parfait, pas besoin de lui retirer ses sous-vêtements à cette petite pute. Putain de beau petit cul ! En temps normal je le lui aurais bouffé jusqu'à l'orgasme, mais j'avais largement dépassé ce stade. Je me calai derrière lui, guidai mon gland vers son petit trou humide, l'attrapai par les hanches, lâchai un :

- C'est ça que tu voulais salope ? Eh ben prends-la !

Et lui enfonçai ma queue d'un coup jusqu'aux couilles.

Ce n'est que quand je sentis mes couilles buter contre les siennes que l'impulsion stoppa et que je retrouvai mes esprits. Je me serais inquiété d'avoir fait mal à Alexis s'il n'avait pas poussé un "Haaa !- de satisfaction. Je commençai donc à lui pilonner ce petit cul superbe. Putain ce que c'était bon ! Doux, chaud, humide juste ce qu'il faut... Et bien étroit comme j'aime. Et Alexis, la tête collée au sol, les mains agrippant le tapis, le visage de profil me laissant voir l'expression d'extase sur son visage, poussant des "Haaa !", "Oh oui !", et autres "Putain oui !- à chaque va et vient. Mais c'est qu'il aimait ça encore plus que moi le petit con ! Je lançai un fier :

- Tu la kiffes ma grosse queue salope ?
- Oh oui... gémit-il. Ça fait si longtemps... Ha ! que j'ai envie de... Oh oui !... la sentir en moi... Haaa ! ta grosse bite... Ha oui ! C'est trop bon...
- T'es vraiment une grosse pute toi !
- Oui... Je suis ta pute... Han !... Tu peux me faire...Han !... tout ce que tu veux... Putain oui !

Je sentis mes dernières entraves se déverrouiller. La bête était lâchée. Je lui aggripai les hanches fermement et me mis à le pilonner comme un marteau piqueur. Ses gémissements se transformèrent en cris, je sentais son anus se contracter nerveusement, son expression d'extase était traversée de crispations de douleurs. Mais je n'en avais plus rien à foutre. Il m'avait chauffé, il savait que j'étais frustré, il allait déguster maintenant. Je lui arrachai presque ses vêtements, ne gardant que le jockstrap, retirai aussi les mien, et le baisai aussi fort que je pouvais.

Je le pris dans plusieurs positions : allongé sur le flanc, à plat ventre sur le canapé, debout la tête contre le mur, le ventre et la tête plaqués sur la table... Je fini par l'amener dans ma chambre, le jeter sur le lit, lui aggriper les jambes pour les soulever au-dessus de mes épaules, et le repris de plus belle. Il avait le visage rouge, il halletait, ses yeux étaient couverts d'un film de larmes, mais je n'eu aucune pitié.

Après encore quelques minutes de cette cadence, je sentais que je n'allais plus tenir longtemps.

- Je vais cracher

Comme si ça avait été un code entre nous, il fit descendre ses jambes de mes épaules pour les passer autour de ma taille.

Je regardai ses jambes, le regardai lui. À travers la fatigue, l'essoufflement et la douleur, je perçu au fond de ses yeux un utlime - féconde moi ", et j'envoyai la sauce. D'habitude je lâche 5 ou 6 jets bien épais, et quelques uns plus petits. Là j'en ai lâché entre 15 et 20. En plus le premier a provoqué son orgasme, je vis son sexe tendu dans son jockstrap de tendre à chaque jet qu'il crachait en même temps que son anus se contractait autour de ma queue.

Après quelques instants, le temps de reprendre un peu notre souffle, toujours dans la même position, je regardai Alexis dans les yeux. Il était au bout de sa vie. Je ne devais pas avoir fière allure non plus. Il posa ses mains de chaque côté de mon visage, l'approcha du sien et... Je plongeai vers lui pour achever le mouvement, et lui enfournai ma langue dans sa bouche. Il me rendit mon baiser, et aggripa ses bras dans mon dos. Je passai mes bras derrière son cou pour l'enlacer. C'était si doux. Je ne sais pas pourquoi, j'ai toujours imaginé une relation entre deux hommes comme quelque chose de... disons de "sauvage", je n'imaginais pas que ça puisse être tendre aussi. Préjugé stupide d'hétéro.

Je bandais toujours et j'étais toujours en Alexis, mais au bord du lit. Je me suis redressé, agrippé à moi il a suivi le mouvement, et je nous ai allongés sur le lit, plus confortablement, lui la tête sur l'oreiller, et moi allongé sur lui, nos bras et nos jambes enlacés l'un autour de l'autre. Nous sommes resté comme ça un bon moment, à nous embrasser, à nous caresser. C'est Alexis qui a mis fin au baiser pour me demander :

- Je sais que je l'ai réclamée mais... Tu pourrais enlever ta bite maintenant ?

Et oui je n'avais toujours pas débandé, et j'étais toujours en lui. En fait j'aurais été prêt à remettre le couvert aussitôt. Amusé par la demande je lui ai répondu :

- Je croyais que je pouvais faire ce que je voulais de toi ?
- S'il te plaît, j'ai l'impression que mon anus va rendre l'âme...

J'ai éclaté de rire. C'est vrai que je ne l'avais pas ménagé le pauvre, et même s'il avait encaissé comme un pro, il ne pouvait pas avoir l'endurance de quelqu'un qui fait ça depuis des années. Je me retirai, bien plus doucement que je ne m'étais introduit, et je m'allongeai sur le lit à côté de lui. Il vint se blottir contre moi, sa jambe entre les miennes, sa main posée sur mon torse, sa tête sur mon épaule. Je me mis à lui caresser la tête, mon autre main prenant la sienne, posée sur mon torse, pour mêler mes doigts aux siens.

- Tu m'as tué...- lacha-t-il.

Il était dans un état le pauvre. Il avait repris son souffle, et son visage avait retrouvé ses couleurs habituelles. Mais il était couvert de sueur, ses yeux étaient vides, et je sentais qu'il n'avait pas la force de bouger. Un peu plus vaillant que lui, je décidai :

- Allez on va prendre une douche.

Il lui fallu quelques secondes pour répondre.

- Vas-y toi, moi j'ai pas la force, j'en prendrai une demain.
- Non, ce soir, ça va te faire du bien et tu dormira mieux après.

Sans lui laisser le loisir de protester, je me relevai, le pris dans mes bras, et l'emmenai vers la salle de bain. Il n'avait pas la force de résister. Je lui enlevai son jockstrap, qui était dans un état lamentable, entrai dans la douche, fermai la porte et commençai à faire couler l'eau. Quand je jugeai la température acceptable, je lui demandai :

- Tu peux tenir debout ?

Il essaya de se tenir tout seul, failli trébucher et se retint à moi. Il n'était pas bien vaillant mais ça me permettrai de le laver. Je fis donc couler l'eau sur nous deux. Je le vis revivre au simple contact de l'eau chaude. Une fois bien mouillés, je commençai à le savonner. Je sentais qu'il était faible, mais j'avais plaisir à passer mes mains partout sur lui. Il était loin d'être aussi massif que moi, mais il allait à la salle aussi et était joliment dessiné, il commençait même à avoir des pecs et des biceps. Au moment de lui laver les fesses, je réalisai que mon sperme s'écoulait de ses fesses. Le pauvre, qu'est-ce que je lui avais mis. Et ce petit cul... Mignon, rebondit jusque comme il faut... Je ne pus résister, me mis à genoux et commençai à le lui bouffer. Il émis un faible :

- Ha non...
- T'inquiète, juste ma langue, pour bien te nettoyer ".

Malgré mon ton rassurant, je ne pus m'empêcher de lui bouffer le cul goulument. Je bouffais mon propre sperme en même temps mais je m'en fichais. Alexis tenait debout tant bien que mal. Je continuai comme ça un bon moment, et fini par mettre fin à son supplice. Je me redressai et commençai à me savonner pendant que lui se retournai pour me faire face. Il me détailla de haut en bas et posa ses mains sur mon torse. J'arrêtai de me savonner. Il leva les yeux vers moi et me dis :

- Je vais te savonner le dos.

Sans chercher à discuter, je me retournai pour le laisser faire. Je sentais ses mains hésitantes, mais il me savonna les épaules, le dos, et les fesses. Un instant je crus qu'il allait m'enfiler un doigt, par vengeance. Au lieu de cela il passa ses mains autour de mes hanches, se colla à moi et attrapa mon sexe, toujours tendu, à deux mains, et recommença à me caresser.

- Est-ce bien raisonnable ? demandai-je sans me débattre.
- Je m'en fous, lacha-t-il faiblement.
- Si tu continues je vais devoir te baiser encore.
- Vas-y.

Je me retournai pour lui faire face et le plaquai contre le mur.

- Je croyais que tu avais trop mal pour que je continue ?
- Oui j'ai mal, mais j'en ai encore envie.

Il releva une jambe pour la passer autour de ma hanche, guida ma verge vers son anus et me dit :

- Prends-moi.

Hésitant une seconde, je m'avançai vers lui, mon bras passé sous son genou pour le maintenir debout, et le pénétrai à nouveau. Il grimaça, mais ne de débattit pas.

- Tu es vraiment sûr ?-

En guise de réponse il passa ses bras autour de mon cou et m'embrassa tendrement. Je passai mon bras libre derrière son cou pour le tenir droit, et recommençai mes vas et viens, mais beaucoup plus doucement cette fois. Plus rien à voir avec la baise effrénée de tout à l'heure. Là, je lui faisais l'amour. C'était tendre, c'était sensuel. Ses petits cris étaient étouffés par ma langue, je sentais ses ongles me marquer le dos, et l'eau qui ruisselait sur nous rendait la chose encore plus érotique. C'était intense, mais d'une autre façon.

Par contre ça n'a pas duré longtemps, 15, peut être 20 minutes grand maximum, avant que je ne sente venir l'orgasme. Je me retirai doucement avant d'en arriver là. Je sentis qu'il voulait protester mais il n'en avait pas la force. J'aurais adoré jouir en lui, son cul était si bon... Mais j'aurais alors dû le nettoyer à nouveau. Je lui fis reposer la jambe au sol, attrapai nos deux sexes ensemble, et les branlai simultanément. Il ne tarda pas à jouir, et en sentant son sexe convulser contre le mien j'en fis autant. Nous restâmes ainsi un moment, enlacés, avec juste assez d'espace entre nous pour que l'eau chasse les traces de ce deuxième round.

Après quelques minutes je fini par couper l'eau, ouvrir la porte, attraper une serviette et sécher Alexis avant de le faire sortir. Je me séchai rapidement avant de sortir à mon tour. Il était là, debout, immobile, épuisé. Je le pris à nouveau dans mes bras pour le ramener dans la chambre. En passant j'éteignai les lumières et la télé (qui était revenue au menu du film depuis bien longtemps), laissai les restes de notre repas tels quels, ça attendrai le lendemain, tant pis, retournai dans la chambre, ouvris les draps et déposai Alexis avant de m'allonger moi-même. Dans un ultime effort il vint se blottir contre moi, comme nous nous étions blottis plus tôt. J'éteignis la lumière, l'enlaçai, et sombrai bien vite dans le sommeil moi aussi.

Quand j'ouvris les yeux il faisait grand jour. Machinalement je tournai la tête vers le réveil : 12h30. Ha oui, j'avais bien dormi. Je baissai les yeux vers Alexis, toujours endormi, lové contre moi. Je passai ma main dans ses cheveux, tendrement. Ce n'était pas le but recherché mais ça le réveilla. Il ouvrit les yeux doucement, mis quelques minutes à rassembler ses esprits, leva le regard vers moi, et me dit en guise de bonjour :

- Tu fournis les béquilles après une défonce pareille ?

J'éclatai d'abord de rire avant de demander :

- Tu as encore mal ?
- Oh je vais boîter un peu mais je survivrai. Et puis quand j'aurai un peu plus l'habitude j'encaisserai mieux.

Quand il aurait un peu plus l'habitude... Il voulait dire avec moi ? C'est vrai qu'est-ce qu'on était l'un pour l'autre ? Plus que des amis clairement. Peut être pas des amoureux non plus. Au minimum des amants. Mais j'étais marié, bientôt père, lui n'avait pas 20 ans... Me voyant réfléchir silencieusement il ajouta :

- T'inquiète, je ne vais pas te passer la bague au doigt, j'espère juste qu'on pourra remettre ça.
- Ha oui et moi donc !

J'avais sorti ça tellement spontanément. Ça le fit sourire, mais je me sentis obligé d'ajouter :

- Mais quand ? Et comment ?
- On trouvera, t'inquiète.

Il était tellement à l'aise. Moi je me posais plein de question. Et Caroline ? Et si ça venait à se savoir ? Et si...

Il coupa le fil de mes pensées en attrapant mon sexe sous les draps.

- Tu débandes jamais toi ?

De retour à la réalité je répondis :

- Ben je me réveille.
- Et tu sers le petit déjeuner au lit, c'est cool.
- Hein ? Qu'est-ce que...

En un éclair il avait plongé sous les draps et gobé mon sexe, que je sentis se tendre encore plus.

- Putain mais t'arrêtes jamais de pomper toi ! dis-je en soulevant le drap.
- Pas quand il y a une bonne bite à dispo.
- Je croyais que tu avais trop mal ? Tu sais ce qui va se passer si tu joues à ça ?
- Quitte à boîter, autant que ce soit pour quelque chose.

Il avait le don de m'agacer et de m'exciter en même temps. Je l'attrapai par les épaules, le fis remonter, l'allongeai à plat ventre, la tête dans l'oreiller, et vins m'allonger sur lui, mon sexe placé entre ses fesses. Je l'embrassai dans la nuque et lui mordillai les oreilles tout en faisant des vas et viens entre ses fesses.

- Alors ? Prêt à boîter encore un peu plus ?

Entre les gémissements qu'il poussait à cause de mes caresses il parvint à articuler :

- Vas-y... je suis toujours... ta pute...

Je sentis mon sexe se raidir à ce mot. Je n'avais jamais vu quelqu'un me réclamer autant. Je guidai donc mon gland vers son trou et y entrai. Je voulais y aller doucement mais une fois le gland passé tout est entré d'un coup. Alexis poussa un soupir de satisfaction et de douleur mélangées. Je lui murmurai un :

- Ça va ?

Il acquiesça en serrant les dents, et je commençai à le prendre. D'abord doucement, très doucement, sensuellement même. Je continuai de le couvrir de carresses, de le lécher, de le mordiller... Je sentais qu'il prenait son pieds. Moi j'avais dépassé le stade "frustré qui a besoin de se défouler", et je savais que je pouvais maintenant tenir cette cadence pendant des heures. Mais les grimaces passagères d'Alexis me firent comprendre que lui ne pourrai pas. Il souffrait encore de notre baise sauvage de la veille, et malgré sa motivation il n'allait pas pouvoir tenir indéfiniment. J'accellerai donc, petit à petit. Je me mis à le modre un peu plus fort. Sans vraiment m'en rendre compte, j'en arrivai au stade où j'avais un bras sous sa gorge pour le maintenir en place et où mes hanches claquaient contre ses fesses. Ses gémissements s'intensiffiaient, devenant petit à petit des cris d'extase. Excité par ses cris, je me redressai, lui aggripai les hanches et me remis à le pilonner comme la veille. Lui avait la tête plaquée contre l'oreiller, et je le vis agripper les draps. Putain ce qu'il était beau quand je le baisais ! Alors que je sentais que j'approchais de mes limites, je me retirai d'un coup.

- Non !

Sans lui laisser le temps de protester je le mis sur le dos, me plaçai entre ses jambes, mes mains de chaque côté de sa tête, et dis :

- Je veux te voir jouir.

Il me regarda quelques secondes, et releva la tête pour m'embrasser. Je baissai la mienne pour qu'il se ralonge. Il prit mon sexe dans sa main et le guida vers son trou. Je le repris tout en passant mes bras derrière son cou. Lui passa ses bras sous les miens et vint s'aggriper à mes épaules, pendant que ses jambes se refermaient autour de ma taille comme une ceinture. J'étais allongé sur lui de tout mon poids, lui bouffant littéralement le cou pendant que je lui ravageais le cul. Du coin de l'oeil je voyais son expression d'extase, les yeux fermés, les joues rouges, la bouche ouverte. Je me donnais à fond, je voulais lui provoquer l'orgasme de sa vie. Tout d'un coup je le senti se raidir, ses doigts s'enfonçant dans mes épaules. Je voulus m'arrêter mais il cria :

- T'arrêtes pas ! Baise moi jusqu'au bout !

Alors je repris de plus belle. Pas longtemps, car les contractions de son anus autour de ma verge pendant que je le baisais eurent vite raison de moi, et je lui remplis le cul une fois de plus.

Nous restâmes là, figés par l'extase. Son emprise devint étreinte, je me mis à l'embrasser tendrement là où je le mordais quelques instants plus tôt. Après un long câlin et un long baiser, nous nous sommes finalement levés.

Il était déjà plus de 15h et ma femme allait rentrer dans la soirée, alors il fallait qu'on remette un peu d'ordre dans tout ça.

Alexis pris une douche pendant que je changeai le drap housse et ramassai notre repas de la veille, il prépara un truc à manger pendant que je prenai ma douche, et quand Caroline rentra vers 18h nous étions devant la télé, comme si de rien n'était.

- J'y crois pas, vous n'avez pas bougé de là depuis hier !

Alexis me lança un regard de "si elle savait- pendant que je répondai :

- Ben si, on a fait des allers retours au frigo.

Caro lacha un soupir de désespoir pendant qu'Alexis me glissa à l'oreille - T'as surtout fait des allers retours dans mon cul- en se levant du canapé et en attrapant son sac avant de lancer :

- Bon ben je vais y aller moi, faut pas trop que je tarde sinon ma mère va gueuler.
- Tu veux que l'un de nous te remmène ? proposa Caro.
- C'est gentil mais ça va aller, je vais prendre le bus.

Il nous souhaita bonsoir, nous remercia, et me mis discrètement son jockstrap dans la main et murmura "souvenir- en partant. En le voyant marcher je vis qu'il ne portait rien sous son pantalon. Le petit merdeux ! Il allait me coller une érection inutile en partant ! Je parvins à me contenir et retournai à ma vie d'hétéro marié bientôt père de famille. Pas pour longtemps.

La suite je vous la fais très courte pour ceux que ça intéresse : Alexis a fait son coming out trois semaines plus tard. Ses parents l'ont très mal pris et l'ont mis à la porte. Alors que je décidai de l'accueillir chez nous, je découvris que Caroline était tout aussi arriérée que le reste de sa famille. Je vous épargne les détails mais la dispute fut très violente. Je découvris une face d'elle que j'ignorais totalement. Du coup elle est retournée chez ses parents et nous sommes en instance de divorce (je vous l'ai dit je vous donne la version courte). Mon fils est né, je l'ai reconnu bien sûr, et même si pour le moment il est beaucoup plus avec sa mère qu'avec moi je compte m'occuper de lui comme il le mérite. Parallèlement, Alexis vit toujours chez moi, et on baise comme des bêtes. Il m'a emmené dans des tas d'établissements gays (bars, saunas...), m'a présenté ses potes, tous désireux que je leur pète la rondelle (je reprends leurs termes), on sort, on baise partout (aux chiottes, au cinéma, dans les parcs...), je vis littéralement une deuxième jeunesse, et cette nouvelle vie d'hétéro reconverti me plaît beaucoup plus que je ne l'aurais cru.

Conteur75

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