Bonjour.
Il y a un long moment, j'ai raconté mon premier plan avec un mec en uniforme. Je ne vais pas mentir et vous raconter que j'en ai enchainé plein d'autres ensuite. Hélas ces hommes restent très discrets et sont rares sur les sites de rencontres. Mais je reviens ici raconter une expérience assez savoureuse…
Il y a quelques mois je naviguais sur un site de rencontres, et là je reçois un message d'un jeune de 22 ans qui se dit hétéro. En général ce genre de profil ne m'attire pas, car les jeunes limitent souvent leur recherche à un âge que j'ai depuis longtemps dépassé (à 45 ans je me sens vieux parfois…) et souvent ceux qui se disent hétéros ne savent pas ce qu'ils veulent et ne passent pas à l'acte…
Je reste néanmoins poli et je réponds à ce jeune homme. Nous finissons par discuter et il m'avoue vouloir essayer une expérience avec un homme pour « voir », mais ne sait pas trop ce qu'il aimerait en fait, ne sait pas s'il se sent capable de faire le premier pas.
N’écoutant que mon bon cœur, et surtout l'appel du sexe, je réponds à ses questions, lui explique un peu la sexualité entre hommes, lui vante mes talents pour initier les hétéros curieux… et je parviens à mes fins, car il m'avoue que je l'ai bien excité et qu'il a très envie de se faire sucer pour un premier essai. Bingo !
Nous continuons de discuter et il m’avoue que de me voir en dessous en dentelle pourrait lui donner envie d’essayer d’explorer mes fesses. Je dis oui sans hésitation. Je ne suis pas spécialement excité en portant des dessous féminins, mais j'ai un string dentelle pour les hommes mariés que ça excite…
En retour il me demande si j'ai des fantasmes. Je lui réponds les mecs en costard ou uniforme. Je sens qu'il tilte dessus, mais ne m'en dit pas plus. En bon hétéro il reste très discret sur lui…
Nous discutons encore un peu , je le chauffe de plus en plus, et il finit par craquer et me dire carrément qu'il veut m'enculer, que me fesses avec la culotte l'excitent beaucoup.
Et là le problème du où et quand. Il me dit ne pouvoir que le jour même, après il retourne chez lui en province. Il ne reçoit pas, car logé avec ses collègues… Ces détails me font penser à un probable lapin, car l’ensemble est assez décousu à cause de détails qu'il se refuse de donner pour rester anonyme.
Il finit par me proposer de le retrouver sur son lieu de travail dans des toilettes. Sacré fantasme pour beaucoup, mais je suis réticent quand je ne connais pas du tout le partenaire. Et il rajoute que c'est à l’aéroport d'Orly. De suite je me dis que c'est risqué, la foule, les caméras… Mais l'envie de sexe, l’idée d'initier un jeune hétéro, je craque et accepte.
Il me précise que ce sera direct, car il aura une courte pause, sans blabla pour rester discret, il vient, il sort sa bite, je le suce et il m’encule vite fait… C'est quand même un plan peu courant et digne d'un porno…
Je roule avec une certaine crainte quand même vers l’aéroport. Je suis les indications qu'il m'avait données. Je me perds un peu dans les couloirs. Je crains de croiser du personnel, car je me retrouve dans une zone qui ne me semble pas destinée au public. Et je trouve enfin les toilettes, qui semblent peu utilisées et un peu abandonnées, pas très propres, mais telles que décrites par mon jeune hétéro.
Je m'enferme dans la dernière cabine et je me mets à l'aise, c’est-à-dire nu avec uniquement la culotte en dentèle, suivant les consignes de mon inconnu. Et les minutes d’attente sont longues, me laissant cogiter sur un éventuel lapin, ou pire un traquenard par des casseurs de PD…
On frappe à la porte. Je déverrouille fébrilement et essaie de laisser de la place dans cette cabine minuscule pour laisser entrer mon inconnu. Et là surprise et stupéfaction!
Je vois se faufiler rapidement un grand gaillard d'environ 1m80, bien bâti, large d’épaules, blond les cheveux rasés, très mignons avec sa gueule d'ange… et surtout en uniforme de l’armée de terre! Et là tout ce qu'il m'a raconté me fait tilt et je me retrouve devant un jeune mâle militaire du plan Vigipirate qui va me baiser pendant son service… Je suis au paradis !
Il ouvre directement sa braguette et me dit : « Tu aimes te faire baiser par des militaires alors? Je vais te faire plaisir ! ».
Il sort sa bite mi-molle et aussitôt je m'agenouille et je la décalotte. Je lèche son gland, caresse ses couilles encore enfermées dans son pantalon. Il étouffe un gémissement et je sens sa bite qui gonfle. Ces premiers indices me confirment que mon hétéro est prêt à aller jusqu’au bout. Et me souvenant qu'il avait une très courte pause, je vais directement à l’essentiel et j’avale son sexe en entier et commence une pipe en règle.
Le jeune soldat finit de bander. Comme promis je m'occupe d'un sexe de dimensions raisonnables, environ 17 cm et d'épaisseur moyenne. Je le pompe bien. Je sens qu'il apprécie beaucoup la sensation, même s'il retient des râles de plaisir.
Une main sur ma tête il enfonce sa bite en entier dans ma bouche. Son autre main descend vers mes fesses. Il caresse la culotte, puis mes fesses. Il risque enfin un doigt dans ma raie toute lisse.
Je sens qu'il est bien excité, son gland mouille bien et je déguste son liquide de jeune mâle. Il sort sa bite et me murmure : « File une capote, je vais t'enculer… ».
Sans attendre, je lui donne l'ustensile. Pendant qu'il déroule la protection sur son membre, je me retourne vers la cuvette des toilettes, spectacle peu appétissant, je me penche un maximum tout en me lubrifiant la rondelle avec mes doigts enduits de ma salive.
Aussitôt mon militaire pointe son gland sur sa cible. Il force et il entre un peu brutalement. Je retiens un gémissement de douleur. Il reprend sa progression et entre entièrement sa bite en moi. Je sens le tissu de l'uniforme qui caresse mes fesses. Il n'a rien retiré de sa tenue, entièrement en uniforme il est juste la braguette ouverte et son sexe sorti. Il n'a même pas pris la peine de sortir ses couilles du pantalon pour être à l'aise.
Et là il laisse parler la fougue de sa jeunesse et il entame un limage en force. Se saisissant de mes hanches il donne des coups de reins puissants. Il me baise bestialement. Je sens qu'il aime m'enculer et qu'il prend beaucoup de plaisir avec mes fesses.
Sous l’excitation il se laisse aller à m'insulter à voix basse. « Tu aimes te faire enculer ! Tu es une salope ! Ça t'excite de te faire baiser par un militaire ! Je te prends bien ton cul de pute. ! » Mon jeune soldat se déchaine complètement sur moi et surtout en moi...
Sa bite me fait du bien. Je gémis de plaisir le plus discrètement possible malgré la rudesse et la violence de la sodomie dont il me gratifie. Sa queue me remplit bien et je le sens me défoncer comme un simple objet sexuel.
Comme prévu, cette délicieuse baise ne dura pas longtemps. Au bout de quelques minutes, il me dit qu'il va juter. Il veut gicler dans ma bouche. Je lui dis OK. Alors il sort son sexe dur de mes fesses. Je lui retire la capote. Il semble surpris , il ne pensait surement pas que je le ferais jouir non couvert.
Sans lui laisser le temps de protester ou résister, je le pompe avidement. En quelques secondes je sens ses mains se crisper sur ma tête. Son corps se tend. Je lui presse doucement les couilles dans son uniforme d'une main, caresse ses fesses en béton de l'autre.
Il n'arrive pas à retenir ses râles de plaisir et je sens sa belle bite gonfler dans ma bouche. Elle palpite en expulsant de nombreux jets de sperme chaud et délicieux. Je savais qu'il n'avait pas joui depuis un moment et je constate qu'il avait les couilles bien pleines, car je reçois presque une dizaine de salves de sa semence de jeune mâle.
Pour éviter de tacher son uniforme bien entendu, j'avale tout son foutre jusqu’à la dernière goutte. Une fois son éjaculation finie, je continue de le pomper délicatement pour aspirer et ne rien laisser perdre.
Mon jeune soldat a le souffle court. Ses jambes tremblent tellement son orgasme était fort. Il laisse son sexe finir de débander entre mes lèvres. Il me souffle un timide « C’était trop bon, tu m'as bien fait jouir ! ».
Puis il reprend ses esprits. Il range sa queue dans son pantalon. En refermant sa braguette, il me dit : « J’espère que tu es clean ! ».
Je le rassure. Il se faufile par la porte avec un simple « Merci ! » Et il disparait dans les couloirs de l’aéroport. Je reste encore un moment dans la cabine pour me remettre de mes émotions, en me disant que je venais de faire un plan que je ne pensais pas réaliser un jour. Je me remémore ce beau mâle viril dans son uniforme, l'image follement excitante de ce soldat en tenue avec son sexe dépassant du pantalon par la braguette... Et je finis par rentrer chez moi.
Il est reparti le lendemain dans sa caserne de province. Peut-être reviendra-t-il un jour protéger l’aéroport et me redonner son succulent canon…
J’espère que cette histoire 100% réelle et absolument pas enjolivée n’était pas trop longue à lire et qu'elle vous a bien excités. Et si tu portes un uniforme, tu seras toujours le bienvenu…
Nonodt92
deltongobruno@msn.com
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