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La plainte

Je m'étais fait pirater mon ordinateur et il y a eu plusieurs commandes internet faites avec mon numéro de carte de crédit. Je devais déposer une plainte afin que ma banque me rembourse ces achats. Je me rendis au commissariat de police avec un peu d'appréhension. Non pas que je n'aime pas les policiers, bien au contraire, ces beaux mâles en uniforme alimentent toujours mes fantasmes. Mais je me savais parti pour un long moment de paperasse. J'ai profité d'un dimanche pour m'acquitter de cette corvée, en me disant qu'il y aurait moins de monde.

En effet j'étais seul dans l'entrée du poste de police. Une policière à l'accueil me demande pourquoi je viens. Je lui raconte mon histoire. Elle appelle un de ses supérieurs et me demande de patienter.

Après quelques minutes, un policier arrive. Il a une trentaine d'années, blond aux cheveux très courts, assez grand, environ 1 mètre 85, rasé de près, yeux bleus, et en uniforme... Mon fantasme vivant ! Il est baraqué mais pas style body builder. Ça se voyait qu'il faisait du sport, qu'il était musclé, mais ce n'était pas de la gonflette. Instinctivement mes yeux ont pointé rapidement vers sa braguette pour essayer de deviner la forme de sa bosse, mais je n'ai hélas pas pu l'apercevoir à cause de la couleur foncée de son pantalon, l'angle de son approche et l'éclairage. Et je me suis forcé à ramener mon regard vers son visage pour éviter de me faire griller en plein matage.

Il me parle avec une voix grave qui me fait vibrer. Je remarque rapidement une alliance qui brille à son doigt. De toutes façons je n'ai même pas commencé à me faire d'histoires. Il n'y a que dans les pornos qu'il m'aurait dragué... Il me fait entrer dans un bureau et m'invite à m'assoir. Avant de commencer il me dit qu'il sera assisté par un policier récemment diplômé pour parfaire sa formation.

Arrive un jeune homme d'une vingtaine d'années à peine. Il est un peu plus grand que moi, dans les 1m 75, brun avec les cheveux en brosse, les yeux verts. Tout comme son supérieur il était visiblement sportif, ses muscles remplissant bien son uniforme sans pour autant le déformer.

Décidément, si la situation n'était pas si sérieuse, je me serais facilement abandonné à mes fantasmes face à ces 2 beaux mâles. Ma préférence allait quand même pour le chef, qui avait une prestance beaucoup plus puissante...

Nous commençons le dépôt de plainte. Le jeune policier tape sur le clavier avec aisance pour remplir les formulaires, ce qui me soulage quant à l'éventuelle durée de cette formalité. On en arrive à la fastidieuse saisie de la liste des achats frauduleux à déclarer. Ceux qui ont déjà vécu cette mésaventure savent qu'il faut que le policier saisisse bien chaque ligne sans faute pour éviter de tout recommencer si la banque trouve une erreur...

Donc avec le chef nous lisons bien les lignes de mon relevé de compte, et il vérifie bien que le jeune ne fait pas de faute de saisie. Nous regardons bien chaque achat, je dois me souvenir si c'était bien à moi, et nous détaillons ainsi ma vie bancaire sur plus d'un mois.

A un moment, nous passons sur un abonnement de site porno. Le nom du site n'était pas spécifié, mais le code n'était pas commun, et j'ai un peu bafouillé en mentant sur la nature de l'achat.

Plusieurs fois, le chef s'est approché de moi pour bien lire mon relevé avec moi. Je sentais son odeur de mâle et ça me faisait tourner la tête. Mes yeux se portaient automatiquement vers son entre jambes mais sans succès, et je détournais vite le regard pour éviter que son jeune collègue ne me surprenne.

Nous avons fini de détailler mon relevé de compte, et j'espérais que les formalités touchaient à leur fin. Cela devait faire plus de 30 minutes que nous avons commencé la plainte. Le portable du chef sonne. Il regarde l'écran, et avec un léger soupir il s’adresse à son subordonné « C'est ma femme ! Je dois répondre pour avoir la paix… Tu peux finir de prendre la plainte pendant mon absence ? Attendez-moi juste pour la signature. »

Le jeune policier répond qu'il n'y a aucun problème, qu'il prenne son temps. Le chef s'excuse et sort.

Je pensais que nous allions poursuivre les démarches, mais à peine la porte fermée, le jeune homme me sourit, et en avançant sa tête, me dit doucement : "C'était du porno cet achat à telle date !". Je rougis et bafouille pour nier la vérité. Je ne sais même pas pourquoi je ne voulais pas l'admettre, je n'ai rien fait d'illégal et je regarde ce que je veux du moment que le contenu est autorisé.

Devant mon désarroi, le policier se lève et vérifie que la porte est bien fermée. Puis il s’approche de moi. "C'est du porno gay ? Je t’ai vu mater la braguette de mon chef… Tu aimes la bite ?". En absence de réponse il s'approche encore, sa braguette maintenant à quelques centimètres de ma tête. "T'es pédé ?". Je finis par hocher de la tête pour acquiescer. "Tu suces ?" Devant mon air surpris, il rigole et ouvre sa braguette. "J'ai pas baisé depuis plusieurs jours, j'ai besoin de me vider. Tu vas me sucer vite fait bien fait.".

Il sort de son pantalon son sexe qui commence à se gonfler. Il n'est pas totalement en érection mais l'engin est déjà de belle taille. Malgré la beauté du spectacle de ce jeune homme en uniforme de policier avec sa bite qui sort du pantalon, je suis quand même paniqué par la situation, le lieu... "Mais votre collègue va revenir !"

Il met une main derrière ma tête pour me rapprocher de sa verge qui finit de grandir et durcir devant moi. "Ne perds pas de temps alors, je sais que tu en as envie. Elle te plaît pas ma bite ? De toutes façons j'ai les couilles trop pleines si tu me suces bien je vais cracher rapidement avant qu'il revienne...".

Sa bite est maintenant bien dure. Elle doit faire dans les 18 cm, d'épaisseur moyenne. Son gland sort déjà du prépuce et je vois une goutte perler du méat. Alors mes réticences cèdent. Je peux vivre mon fantasme, je ne vais pas passer à côté de cette opportunité quand même !

Sans rien dire je saisis sa bite et j'avale le gland. Je commence à le pomper sans attendre, en descendant sur la hampe et en aspirant. Le flic laisse échapper un gémissement de plaisir. Je caresse ses couilles qui sont restée dans le pantalon, et je vais et viens sur cette belle verge en serrant les lèvres dessus. Je sens le mec trembler de plaisir. Il avait raison, je sens bien qu'il ne va pas tenir longtemps. "Oh putain tu suces bien ! C'est trop bon ! Depuis le temps que j'avais envie d'une bonne pipe..."

Il me tient la tête à deux mains et me baise maintenant la bouche. Je pense qu'il va bientôt juter et je me prépare à recevoir son sperme en bouche. Mais à ma grande surprise il s'arrête de bouger d'un coup. Je tends l'oreille en me disant avec crainte qu'il a entendu son chef approcher, mais je n'entends aucun bruit de pas venant du couloir. Le jeune policier essaie de maitriser son souffle, il devait être à la limite de l'éjaculation. Il me regarde en souriant : "J'ai jamais rien fait avec un mec, mais tu m'as tellement bien sucé que tu m'as donné envie..." Devant mon regard interrogateur, il ajoute: "Je suis sûr que tu te fais enculer. Pas vrai ?".

Timidement, je lui réponds que oui. Sans rien dire de plus, il me soulève par les aisselles et me retourne. Je suis tellement surpris que je ne résiste pas et sur le moment je ne comprends pas bien son but. Mais je sens sa force quand il me pousse vers le mur, et je sais qu'il est réellement plus costaud que moi et que je ne pourrai jamais lui résister physiquement.

Il défait ma ceinture et ouvre mon pantalon, et d'un geste violent me le baisse puis mon boxer. Je me retrouve les fesses à l'air. Le jeune flic se colle dans mon dos, et dirige son gland entre mes fesses. Il vise bien et je sens que la pointe de son engin est déjà contre mon trou. C'est là que je reprends un peu mes esprits et que je devine ses intentions. Avec un bras sur mon ventre, il m'empêche de bouger le bassin et il commence à pousser.

Paniqué par ce semblant de viol, j'arrive à protester. "Pas à sec ! Et la capote ! Stop !"

Il me bâillonne avec son autre main et me souffle à l’oreille : "Pas le temps, j'ai trop envie !".

Il donne un coup de bassin violent et sa bite entre en moi à moitié. Je me sens déchiré. Même si je suis habitué à me faire prendre, la pénétration est brutale. Heureusement que sa main étouffe mon cri sinon j'aurais ameuté tout le commissariat...

Il souffle fort à mon oreille, apparemment très excité. Et lentement il fait progresser le reste de ton sexe en moi jusqu'à ce que je sente le tissu de son pantalon frotter la peau de mes fesses. "Putain ton cul est vraiment bon, ma queue est bien serrée dedans ! Dommage que j'ai pas le temps d'en profiter..."

Il entame alors des vas et vient rapides et puissants. Il est un peu sauvage et brusque, et me lime comme un simple vide couilles. Il ne cherche pas à se ménager et en à peine 2 minutes environ, il grogne à mon oreille "Je vais cracher, je vais te remplir !"

Le flic étouffe un râle et se plante en moi complètement. Je sens sa bite gonfler puis de nombreux spasmes qui accompagnent plusieurs jets de sperme en moi. Le jeune homme est essoufflé, et se colle à moi le temps de reprendre des forces "Putain c'est la première fois que je jouis aussi fort. Si j'avais su j'aurais baisé avec des mecs avant ! Merci, c'était trop bon ! Et te fais pas des idées, d'habitude je tiens plus longtemps. Mais là on était pressé, et j'avais trop envie de jouir."

Il se retire de mes fesses. Son sexe est déjà moins gros. Il le range rapidement dans son pantalon sans prendre la peine de s'essuyer du sperme qui le recouvre. Je remets vite boxer et pantalon en place. Je sens déjà un peu de sperme qui coule de mon anus un peu endolori.

Nous reprenons nos places respectives, et à peine nous avons fini de nous rajuster, la porte s'ouvre. Le chef entre, nous regarde un peu interrogateur. Je remarque qu'il est un peu rouge. Le coup de fil avec sa femme s'est mal passé ? En tout cas il semble un peu différent par rapport à tout à l'heure.

Il demande à son subordonné où il en est de la prise de plainte. Le jeune lui répond qu'il a presque fini. Le chef se penche devant l'écran pour lire. Puis il dit au jeune policier que c'est bien. Il le remercie et lui dit qu'il peut y aller, la patrouille va bientôt partir. Le jeune me dit au revoir et me fait discrètement un clin d'œil, puis quitte la pièce.

Je me retrouve face au chef qui finit de taper la plainte. Il est vraiment canon. Et après la baise rapide que je viens de subir, je suis vraiment excité et je ne refuserais pas de m'offrir à ce mâle. Je reviens à la réalité au moment où le policier me tend les papiers de la plainte en me demandant de bien relire avant de signer. Je suis concentré dans la lecture et je remarque à peine qu'il se lève et vient à côté de moi. Je sens sa présence chaude et virile, il dégage une aura de masculinité incroyable.

Il se penche et se rapproche de mon oreille et je suis surpris quand j'entends sa voix grave et sensuelle qui me dit "Alors, tu as aimé ce que t'a fait Quentin ?"

Sur le moment je ne comprends pas du tout de quoi il parle. "Quentin ?"

"Oui, le jeune collègue. Je vous ai entendus derrière la porte."

Je deviens écarlate, je me remets à bafouiller ne sachant pas quoi dire, comment expliquer ce qui s'est passé. Le policier va vers la porte, et j'entends qu'il la ferme à clé. Il vient devant moi et s'assoit sur le bord du bureau. J'ai enfin devant moi la belle bosse que j'ai cherché à apercevoir à plusieurs reprises. Il écarte légèrement les cuisses et je peux admirer un paquet bien volumineux.

"Ma femme m'a bien pris la tête, et j'étais énervé quand je suis revenu. Mais je vous ai entendus gémir derrière la porte. Au début j’ai pas compris, mais c'est vite devenu explicite. Je n'ai jamais pensé à baiser avec un mec, mais je peux te dire que ça m'a donné envie de sexe. Jamais j’aurais imaginé avoir envie d’un mec. Faut dire que ma femme veut plus coucher avec moi depuis un moment. Mais quand même, je ne pensais pas que deux mecs qui baisent pourraient me mettre dans cet état ! Vous avez fait quoi ? Tu l'as sucé ? Il t'a enculé ?"

Je réponds oui à tout. Son regard s'illumine. Je le sens hésitant. Hésitant et fébrile. Je sens qu'il a envie de quelque chose, mais il n'ose pas. Alors je me dis que je n'ai plus rien à perdre, et je pose une main sur sa cuisse. Elle est ferme, bien musclée. Il sursaute, surpris par mon geste, mais ne recule pas, ni ne me rejette. "Vous voulez que je vous montre ce que nous avons fait ?"

Il ferme les yeux. Je caresse sa cuisse en remontant petit à petit vers son entre jambes. Il semble vraiment tiraillé. Je remarque une grosse barre qui se dessine sous le tissu de son pantalon. Elle porte vers la gauche contre la cuisse. Le volume semble bien gros. Il bande déjà ? Je pose ma main dessus pour en tester la dureté. Je sens un sexe mou mais qui réagit à ma caresse. A mon contact le policier laisse échapper un souffle, comme s'il était sur le point de plonger dans le vide. Et tout doucement, il laisse échapper : "Oui, j'ai envie..."

Je n'ai pas le temps de répliquer qu'il se met debout devant le bureau et qu'il m'attire contre lui. Il m'enserre dans ses bras puissants. Il est vraiment fort, même si j'en avais envie, je ne pourrais pas m'échapper de son étreinte. Sans que je m'y attende, il se penche vers mon visage et m'embrasse à pleine bouche. Je ne résiste pas et j'accepte son baiser en ouvrant les lèvres, et sa langue envahit ma bouche. Comme le reste du bonhomme, elle est puissante et m’investit. Il me roule une pelle bien virile tout en me caressant le dos et les fesses.

Il se plaque contre moi, et je sens sur le devant de son pantalon que le bosse grossit. Elle durcit et se déploie, et j'ai l'impression que le sexe a des dimensions exceptionnelles, au point que le pantalon pourrait presque se déchirer sous la pression. Le policier se tortille, et je sens qu'il est mal à l'aise dans cette zone sensible. Il se détache de mes lèvres à regret, et je le sens gêné. Il me regarde, un peu penaud, et finit par me dire "Mon sexe est très gros, je suis pas bien quand je bande dans mon fute. Beaucoup de femmes en ont eu peur. Si tu veux pas continuer c'est pas grave... Mais j'ai très envie d’essayer !"

Mon policier semble triste, déçu, comme s'il était certain que j'allais le repousser. Sous cette force, cette puissance virile, il y a de la douceur et de la tendresse. Ça m'a ému. Et donné encore plus envie de me donner à lui ! Sans répondre, je me suis un peu reculé et j'ai défait sa ceinture. Son visage s'est illuminé. Il reprenait espoir. J'ai ouvert son pantalon et je l'ai baissé. Le passage des cuisses puissantes résistait un peu mais le pantalon d'uniforme s'est retrouvé sur les chevilles du flic. Le boxer s'est immédiatement tendu. La ceinture ne touchait même plus le ventre. J'ai saisi le sexe immense à travers le tissu. Il finissait de se durcir. Il dépassait largement les 20 cm et il était d'une épaisseur... Mes doigts ne faisaient pas le tour de cette colonne de chair !

J'ai libéré la matraque vivante en baissant le boxer qui a fini avec le pantalon au sol. J'ai saisi du mieux possible cette énorme bite et j'ai commencé à le masturber lentement. Ses couilles étaient proportionnelles au reste. Elles étaient grosses et velues, et pendaient bien. Je pense que c'est le plus gros sexe auquel j'ai eu à faire de toute ma vie. Je commençais à me dire que je ne pourrai jamais le sucer, encore moins le recevoir en moi. Mais aussitôt j'ai repoussé ces idées. J'étais bien décidé à satisfaire ce beau policier, coûte que coûte.

Le policier a commencé à gémir de plaisir. Il s'est à nouveau penché vers moi et m'a murmuré "Merci. J’ai très envie de toi !".

La verge a terminé de se développer. Elle fait dans les 23 cm, et elle est vraiment très épaisse. Son gland était encore à moitié recouvert par le prépuce. Il est plus large et forme un gros champignon. Je fais coulisser la peau pour finir de le décalotter, et aussitôt une énorme goutte de liquide transparent s'échappe du méat et coule en formant un long filet jusqu'au sol. D'un doigt je récupère un peu de la mouille et je masse le gland avec pour le lubrifier. Puis je commence à le branler lentement.

Je réfléchissais à la façon de m'y prendre pour réussir à le sucer un peu. Mais avant que je puisse me baisser pour me mettre à la hauteur de son gland, il m'a embrassé doucement puis m'a regardé tendrement en me disant : "C'est pas dans mes habitudes de baiser à la va vite, mais là on peut nous surprendre, on doit pas traîner !". En disant cela il défait mon jean et le fait tomber ainsi que mon boxer à mes chevilles.

Il me pousse vers le bureau et m'allonge dessus sur le ventre. Il vient derrière moi et me caresse la raie, puis la rondelle. Au contact du sperme de son collègue qui s'est échappé de mes fesses, il semble surpris.

- Whouaa, tu mouilles comme ça ?

- Non, c'est ton collègue...

- Ah ? Il t'a baisé sans capote ? Il a juté dans ton cul ?

- Oui.

Je me dis que le contact du sperme d'un autre homme le dégoute, qu'il ne veut plus me baiser.

"Je peux te baiser sans capote moi aussi ?"

Je suis surpris par sa question, mais je lui réponds que oui, que j’en ai très envie. Pour toute réponse il pose son énorme gland contre ma rondelle. Il pousse doucement. Devant la taille de son obus mon trou résiste. Je serre les dents en soufflant fort dans l'attente de la douleur. Mais malgré sa force et sa puissance, mon policier y va en douceur. Heureusement pour moi !

Il augmente la pression lentement, puis fait une pause pour couvrir son gland avec le sperme du jeune collègue, et recommence à appuyer sur mon trou. J'essaie de me détendre au maximum, et après plusieurs tentatives, son gland finit par forcer le passage et à se glisser en moi. J'étouffe un cri de douleur. Il a senti que je me suis tendu et s'immobilise. Puis après quelques secondes de pause, il pousse un peu plus pour enfoncer le reste de sa queue en moi. Il y va par étapes, essayant de suivre mes réactions. Mais la patience finit par porter ses fruits et son énorme sexe s'est retrouvé totalement en moi. Je sens ses poils pubiens contre mes fesses, ses grosses couilles contre ma peau.

"C'est dingue, je pensais pas un jour que quelqu'un pourrait la prendre en entier dans le cul ! C'est trop bon, je suis bien serré en toi !"

Lentement, doucement, il commence à coulisser en moi. Il bouge seulement son bassin, Son sexe glisse sur quelques centimètres seulement. Je commence à m'habituer à cet énorme envahisseur, et la douleur cède la place à du plaisir. Je me sens bien plein de ce mâle. Son sexe semble remonter dans mon ventre. Heureusement le sperme du jeune policier aide à la lubrification et je ne sens presque pas de frottement durant le mouvement d'allée et venue.

Je me redresse. Le flic en profite pour me serrer contre lui dans ses bras puissants. Il semble en extase et souffle fort à mon oreille. Je tourne la tête vers lui et il m'embrasse à pleine bouche fougueusement. Petit à petit, il accélère la vitesse et la puissance de son limage. Ses mains descendent pour saisir mes hanches, et il commence à donner des coups de reins puissants qui me font presque sursauter à chaque coup. Désormais son sexe coulisse presque entièrement, seul son gland ne quitte jamais mon antre. Ses grosses couilles claquent contre mon cul. Je sens le sperme qui coule le long de mes cuisses, entrainé par le piston de chair.

Après plusieurs minutes de ce traitement puissant, il commence à avoir du mal à se retenir de gémir. Ses coups de bite se font plus brusque. "J'ai pas envie de me retenir, je vais bientôt jouir ! Je peux juter en toi ? J'ai pas envie de me retirer..."

Je lui réponds que j'en ai envie de recevoir son jus en moi, que je veux le sentir me féconder. "Tu vas être servi !"

Alors il se déchaine en moi. Il donne de grands coups de bite, ressortant sa queue sur plus de la moitié à chaque fois, avant de la rentrer d'un coup brusque jusqu'aux couilles. Il accélère son limage qui devient rapidement intensif. Il tient serré contre sa poitrine, car à chaque ruade j'ai l'impression qu'il me peut me faire décoller du sol! Comme je commence à ne pas retenir des cris d'extase à cause de ses assauts virils, il plaque une de ses grosses mains sur ma bouche pour me bâillonner. Il en profite pour me mordre l'épaule, pour étouffer ses propres cris de plaisir je pense.

Puis soudainement le pilonnage cesse. Il se plante à fond en moi, poussant son énorme sexe le plus loin possible dans mes entrailles et s'immobilise. Je sens en moi sa bite gonfler encore, puis les spasmes de l'éjaculation commencent. Un flot de sperme chaud m'envahit, chaque rasade semblant très volumineuse. Chacun des jets de semence virile est accompagné par un grognement d'extase à mon oreille. Je commence à compter une dizaine de rasades avant d'en perdre fil.

Le policier se met à vaciller sur ses jambes, et tremble sous la force de son orgasme, faisant vibrer son sexe toujours dur en moi. Je crois qu'il est sur le point de perdre connaissance, mais il se ressaisit en donnant un ultime coup de bassin qui me soulève de quelques centimètres.

Il retire sa main de ma bouche, et me souffle à l'oreille, toujours haletant : "Putain j’ai jamais joui aussi fort ! C'était vraiment trop bon. J'aurais bien pris mon temps..."

Je l'embrasse avant de lui répondre. "En tout cas tu m'as bien rempli, tu es une vraie fontaine de sperme !"

Il rigole : "Oui, je suis un bon juteur, et en plus j'avais les couilles pleines depuis presque 1 mois !". Il bouge un peu son sexe dans mes fesses, me faisant sentir qu'il n'a rien perdu de sa rigidité. "Tu sens ? J'ai tellement aimé ton cul que je débande même pas ! Si je m'écoute je recommencerai à te baiser encore !"

Mais je comprends que malgré son envie on ne remettra pas le couvert. En même temps vu le lieu c'est compréhensif, ses collègues peuvent venir à n'importe quel moment. Il commence à se reculer doucement, lentement. Son sexe de cheval toujours en érection sort de mes fesses avec précaution. Il glisse bien grâce à la double dose de sperme qui le recouvre.

Le flic saisit un paquet de mouchoir en papier sur son bureau, et une fois qu'il ne reste plus que son gland dans mon cul, il me murmure "Bouge pas. Je dois pas tâcher mon fute !" Il sort son gland tout doucement et l’enveloppe dans un des mouchoirs. Moi j'essaie de serrer les fesses pour éviter que le sperme ne coule à flots, même si j'imagine que ma rondelle est tellement élargie qu'elle mettra des jours à se refermer... Mais je réussis à contenir tout le jus de mâle qui me remplit, et seul un petit filet de sperme coule le long de ma jambe.

Rapidement je remets mon boxer en place, espérant qu'il résistera le temps de rentrer chez moi. En remettant mon pantalon, j'admire mon beau policier qui remonte son boxer. Son sexe ne veut toujours pas débander, aussi il dépasse largement du sous-vêtement ! Il me sourit et dit "C'est vraiment pas pratique un gros sexe en fait!!!"

J'admire son beau visage viril mais doux en même temps, et je le trouve changé. Autant il était aimable et souriant pendant le début de la plainte, là il semble... radieux et épanoui.

Il remonte son pantalon sans pour autant le fermer, il en est incapable temps que sa verge ne voudra pas dégonfler. Il se rassoit à son bureau, remet un peu d'ordre dessus. Pendant que je me rhabille, rassemble les feuilles de la plainte et me les tend. "Faut quand même finir cette plainte sinon on va se demander ce qu'on a bien pu faire durant tout ce temps ! Et il me fit un clin d'œil.

J'ai quand même mal au cul, et je sens mon trou palpiter. Et j’ai l'impression que tout le sperme en moi veut s'échapper, mais je tiens bon.

Je signe les papiers. Avant d'ouvrir la porte, il me prend dans ses bras et m'embrasse avec tendresse. "Moi c'est Thomas au fait !" J'éclate de rire et pour tout remerciement je lui mets la main au paquet. Sa braguette est toujours ouverte mais je sens que sa grosse bite est enfin au repos dans le boxer.

Il me suit du regard quand je pars dans le couloir. Je me précipite aux toilettes pour me vider les entrailles du jus qui veut absolument sortir. J'y parviens in extremis.

En sortant des toilettes, je croise le jeune flic, Quentin, qui me sourit. "Je te mettrais bien une autre dose, mais pas le temps !" Je lui réponds qu’il connait mon adresse, et qu’il peut venir se vider les couilles quand il veut. Il me lance un regard qui me fait comprendre que l’invitation n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd…

Si des hommes en uniforme veulent réaliser certains de mes fantasmes, qu'ils n'hésitent pas à m'écrire...

Nonodt92

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