Premier plan à trois
Histoire : Aujourd’hui je vais remonter le temps assez loin pour raconter ma première expérience à trois. Cette aventure, encore une fois totalement réelle, remonte à une vingtaine d’années et s’est déroulée juste après ma première expérience avec un militaire (histoire que j’avais publiée sur le site en mai 2010 pour les curieux…).
Depuis quelques mois j’étais en contact avec un militaire, Gilles, mécano sur une base aérienne pas loin de Bourges. C’était le type même du mâle très dominateur aimant bien se servir de mecs comme vide-couilles ! Le rêve pour moi !
Donc un vendredi soir on discute au téléphone, on s’excite mutuellement en se racontant les cochonneries que nous pourrions faire ensemble. Il me dit qu’en ce moment il est épuisé, il a plein d’activités et il n’a même pas le temps de rencontrer des mecs pour tirer des coups ! De mon côté je suis dans une période où j’avais la flemme de sortir pour draguer. Il fait pas chaud dehors !
Et sur un coup de tête, je lui dis : et si je viens demain ? Il me répond qu’il aimerait bien, mais il a une journée très chargée en perspective et que nous n’aurons pas beaucoup de périodes d’intimité ! Je lui dis pas grave, au moins le peu que nous aurons, ça nous fera du bien et nous changera les esprits !
Donc je vais vite vérifier au distributeur de billets du coin si je ne suis pas trop débiteur pour pouvoir retirer de l’argent (à cette époque en tant qu’étudiant l’argent disparaissait plus vite qu’il ne rentrait), je vais voir les horaires des trains et je le rappelle en lui disant que c’était bon, et quel train je prendrai pour venir. Le lendemain matin, de très bonne heure, je me rends à la gare et me voici parti pour Bourges. Voyage peu passionnant, surtout que j’étais très fatigué et j’ai dormi tout du long !
Enfin me voici à la gare de Bourges. Je rejoins Gilles à l’endroit convenu et je monte dans sa voiture en direction de son appartement. C’était un mec d’une trentaine d’années, grand et assez baraqué. Pas que du muscle, mais d’une carrure qui impose un peu. Dans l’ascenseur qui nous mène à son appartement, il me palpe bien les fesses en me disant que depuis le temps que je lui en parlais, il en a très envie et que je vais m’en prendre plein. Pour toute réponse je me cambre et recule pour plaquer mes fesses sur sa braguette où une bosse gonfle vite.
Arrivé chez lui, je dépose mon sac. Aussitôt, le téléphone sonne. Comme il m’avait prévenu, il sera très demandé ce jour-là et malgré l’envie de baiser, il ne peut pas raccrocher et semble avoir du mal à raccourcir la conversation. Je lui dis que ça ne fait rien.
Et je me mets devant lui et commence à le
caresser par-dessus son jean. Sa bite réagit bien et lui me regarde avec un sourire tout en continuant sa conversation téléphonique.
Je me baisse et ouvre sa braguette. Il se laisse faire juste en écartant un peu les cuisses pour me faciliter la tâche. Je sors sa bite qui finit de bander à l’air libre. C’était un bel engin, de dimensions correctes, bien massif. Je commence alors à bien le décalotter pour lui lécher le gland, bien l’exciter du bout de ma langue.
Puis j’engloutis progressivement son gland puis sa bite le plus loin possible. Il me caresse la tête pour me signifier qu’il apprécie. Par moments je l’entends qui a du mal à poursuivre sa communication tellement je lui fais du bien.
Je le pompe ainsi plusieurs minutes, de temps en temps il met sa main sur le micro du combiné pour me murmurer qu’il aime bien, que je le pompe bien, que je suis une vraie salope affamée de bite ! Je m’efforce de bien lui donner du plaisir avec ma bouche et ma langue tant et si bien qu’il finit par dire à son interlocuteur qu’il le rappellera et il raccroche.
Il m’observe en train de le pomper quelques instants en donnant des coups de bassin pour s’enfoncer loin dans ma bouche. Puis il me dit que je suis une vraie salope incapable de patienter tellement j’aime la bite, et qu’il va bien en profiter !
Alors il m’entraine dans sa chambre, il me dit de me déshabiller pendant qu’il se met nu aussi. Il me pousse sur son lit et vient sur moi. Il me caresse, il me branle, me malaxe les fesses. Je le caresse en retour et quand il teste mon petit trou, j’écarte bien les fesses pour qu’il voie que c’est bien ouvert !
Alors il me retourne à plat ventre sur le lit et vient sur moi. Il crache un peu de salive entre mes fesses et frotte avec son gland. Il sent bien que ça ne résiste pas alors il pousse son gland qui entre en moi. Je gémis de plaisir de sentir sa grosse bite me pénétrer et il s’enfonce à fond dans mes fesses.
Il m’écrase avec son corps et me lime bien fort sans attendre. Il me mord l’épaule et le cou, il me maintient avec une main sur le haut du dos pendant qu’il me défonce les fesses avec force ! Il gémit, m’insulte, me dit qu’il me possède bien comme une chienne. Je lui réponds que j’adore, qu’il me baise bien, et je me cambre du mieux possible pour qu’il s’enfonce loin en moi.
Au bout de plusieurs minutes, il me dit qu’il va bien me remplir et accélère encore ses coups de reins. Il finit par se planter à fond et en gémissant il largue son foutre dans mes fesses. Je gémis aussi à chaque rasade.
Il s’effondre sur moi à bout de souffle. Je le sens qui recule un peu alors je lui dis qu’il peut rester dans mes fesses, j’adore ça. Du coup il se plante d’un mouvement brusque et reste en moi.
Nous nous endormons légèrement. La nuit a été courte pour tous les deux et cette baise effrénée nous a achevés ! Je sens encore sa bite en moi qui semble mettre un long moment pour dégonfler un peu. De temps à autre il me fait sentir qu’il est toujours bien en moi d’un petit coup de bassin.
Après un moment qui m’a paru quand même assez long, le téléphone sonne à nouveau ! Il décroche sur la ligne qu’il a dans sa chambre, au pied du lit. Il discute, toujours sa bite plantée en moi, et il bouge un peu le bassin comme pour reprendre un peu de dureté pour me baiser encore !
Alors je remue aussi mes fesses pour aller à la rencontre de sa bite, et je lui embrasse les bras à ma portée, je lui caresse le dos et les fesses.
Sa bite rebande totalement en moi. Il me baise encore bien fort, mais en silence, du moins en poursuivant sa discussion. Je reste discret aussi.
Cette fois il raccroche vite. Et il me met à 4 pattes pour bien me baiser en force. Il me dit que j’ai toujours faim de bite et que j’allais être servi. Et il me lime comme un sauvage de longues minutes. Il jute encore une fois dans mes fesses et je sens qu’avec cette seconde dose son sperme coule un peu le long de mes cuisses !
Je serais reparti volontiers pour dormir, mais il me dit qu’il doit y aller, qu’on a besoin de lui. Alors nous allons nous doucher vite fait et nous partons sur les routes autour de Bourges pour vaquer à ses occupations.
Il m’a fait visiter les environs, nous avons parlé de nos habitudes de baises et il a été étonné que je n’aie jamais fait de partouze vu mon appétit ! Je lui ai dit que je n’ai rien contre, je pense, mais je n’ai pas eu l’occasion encore.
Comme il m’avait prévenu, Gilles a été occupé toute la journée, nous avons fait le tour de la périphérie de Bourges. Je reste discret, car il voyait des collaborateurs qui ne connaissent pas forcément son orientation sexuelle et à qui il me présente comme un simple ami. J’ai visité la campagne de Bourges et nous n’avons pas eu l’occasion de baiser encore malheureusement.
Mais à un moment ses potes nous laissent pour je ne sais plus quelle raison, et comme nous sommes seuls au comptoir d’un bar, je me cambre bien sur mon tabouret pour lui tendre mes fesses. Il vient vite derrière moi pour coller sa braguette à mes fesses et se frotter pour simuler une pénétration.
Je sens qu’il est très vite excité et je lui propose de le vider encore. Mais il hésite, car ses amis peuvent revenir à tout moment. Après un instant de réflexion Gilles m’entraine dehors, dans un coin du bâtiment assez isolé des regards, et là il ouvre son pantalon et sort sa bite.
Sans attendre, je me baisse pour bien le pomper. Il est adossé au mur et se laisse faire. Il n’essaie pas de se retenir et je le suce du mieux possible sans attendre, ne voulant pas être interrompu durant ma pipe !
Il m’a rapidement prévenu qu’il allait jouir. Il a juste sa main sur ma tête, mais il n’appuie pas dessus. J’ai accéléré en avalant bien sa bite, et il a deviné que j’ai envie de le faire juter dans ma bouche. Il savait déjà avec nos longs dialogues que j’adore aussi boire le sperme. Alors il n’a pas refusé cette invitation et a éjaculé au fond de ma gorge et j’ai tout avalé au fur et à mesure. Même si c’est déjà son troisième orgasme de la journée, il me régale d’une bonne quantité de son jus de mâle.
Nous avons continué à vadrouiller le reste de la journée. Nous avons grignoté chez lui assez tard. Nous avons continué à parler de nos envies et gouts sexuels. Gilles me demande si j’accepterais si une occasion de baiser à plusieurs se présente. Je réponds que oui sans problème.
Il m’emmène ensuite dans une boite de nuit gérée par une de ses connaissances. C’était une boite gay assez réputée. Il avait promis de filer coup de main pour des problèmes d’organisation, donc il me laisse seul un moment.
Plus tard, il revient vers moi et me demande si je suis toujours partant pour essayer mon premier plan à trois, mais ce soir ! Je ne réfléchis pas longtemps et je lui réponds oui.
Il me désigne alors un jeune d’environ 25 ans (à peine plus âgé que moi donc), grand, bien bâti, mignon. Il me dit qu’il le connait, qu’il fait son service militaire dans sa base et qu’il est d’accord pour baiser avec nous si j’accepte. Le jeune bidasse est très mignon, et confirme que j’ai envie.
Gilles fait signe au jeune (dont je ne me souviens plus du prénom !) qui vient me saluer. Nous échangeons rapidement les politesses d’usage pour nous présenter, et Gilles nous dit qu’il a fini ici et que nous pouvons partir maintenant. Alors nous sommes rentrés chez lui, le jeune nous suivant dans sa voiture.
Une fois arrivés, Gilles caresse le jeune bidasse devant moi. Comme il sait que je n’ai jamais fait à trois, il prend les initiatives en me laissant décider quand et comment je veux intervenir.
Je les regarde faire un moment. Puis il propose d’aller sur le lit. Je les suis et nous nous déshabillons. Une fois nus tous les trois, nous nous retrouvons sur le lit. Je caresse tour à tour Gille et notre partenaire, je les embrasse, je les branle.
Puis je m’attaque à la bite de Gilles. Il caresse puis suce le bidasse pendant ce temps. Puis il me dit de changer de bite, tout en disant au jeune qu’il allait aimer, que je suce très bien et que j’adore la queue !
Cette seconde verge est bien proportionnée, un peu plus longue et large que celle de Gilles. Je le pompe bien en lui donnant tout de suite un maximum de plaisir, histoire de ne pas infirmer la pub que Gilles avait faite sur mes talents…
Mon sucé apprécie immédiatement et il dit à Gilles qu’il a raison, que je suis vraiment un bon pompeur ! Gilles profite que je suis allongé à plat ventre en train de sucer pour venir sur moi. Et sans attendre, il m’encule d’un coup.
Pendant qu’il me baise bien fort, il dit au soldat qu’il va aussi aimer mon cul, que je suis bien ouvert et qu’il pourra bien me défoncer, que j’adore aussi me faire bourrer !
Je suce donc la bite du bidasse pendant que Gilles me lime à grands coups de reins. Je me fais prendre en sandwich entre les deux queues un bon moment, et j’adore ça. Les deux mâles gémissent, disent que je suis un bon trou, une bonne pute.
Gilles finit par jouir bien au fond de mes fesses. Il fait bien entendre son plaisir en me remplissant avec son foutre. L’autre semble aimer l’idée que je me fasse remplir de sperme.
Exténué, Gilles sort de mes fesses et s’allonge sur le dos à côté de moi pour récupérer. Sans attendre, je me jette sur sa bite luisante de son jus pour bien la lécher.
Il dit : « Tu vois il adore vraiment la bite et le jus ! ». Le bidasse est très excité et veut me baiser à son tour. Gilles, sans me demander mon avis, lui dit qu’il peut me baiser sans capote, que je suis d’accord. La proposition enchante le jeune appelé et sans que j’aie le temps de dire quoi que ce soit, il vient derrière moi. De toute façon je n’aurais pas protesté, je suis excité par cette baise, ces deux bites, et être traité comme un bon vide-couilles !
Le jeune soldat se plante en moi d’un coup et me ramone aussitôt en force. Il n’a pas eu de problème pour me pénétrer à fond d’une traite vu que Gilles m’avait bien ouvert et lubrifié mon trou avec son jus.
Alors il me baise bien fort, à grands coups de queue. Je sens sa bite gonflée qui glisse bien dans le foutre de Gilles et qui me donne plein de plaisir. Pendant ce temps je continue de sucer la bite de Gilles qui est propre désormais ! Mais il débande inexorablement. Il apprécie quand même que je le suce encore, mais avec la journée fatigante, il est à bout de forces. Il a quand même juté quatre fois aujourd’hui !
Mon jeune appelé est très excité et a vite envie de jouir. Quand il nous prévient qu’il est sur le point de juter à son tour, Gilles lui dit de cracher dans mon cul. Je suis un bon vide-couilles donc il ne faut pas s’en priver ! Et aussitôt il se déchaine dans mes fesses et se met à larguer plein de sperme en moi.
Gilles me demande si j’ai bien aimé baiser à trois. Je lui dis que c’est super ! Il demande à notre compagnon s’il a apprécié la bonne pute que je suis. Il dit que oui, qu’il a bien joui comme rarement.
Il se retire lentement de mes fesses et sans attendre je me retourne pour le sucer. Je déguste son sperme mélangé à celui de Gilles sur son sexe. Il aime se faire encore pomper et sa bite qui commençait à débander reprend de la vigueur entre mes lèvres. Alors je le suce bien en me disant que j’allais boire sa seconde rasade.
Mais il me fait me relever à quatre pattes et me retourne, et pointe sa bite vers mon trou humide. Sans attendre de savoir si je veux encore, il m’encule à fond et me baise encore en force.
Gilles l’encourage, lui disant qu’un bon vide-couilles comme moi n’en a jamais trop de recevoir de la bite ! Et moi j’apprécie de me faire encore baiser comme ça.
Il me possède un bon moment. Je continue de sucer Gilles, mais sa bite est définitivement hors course, et je la laisse se reposer pour lui caresser le torse, l’embrasser.
Le bidasse finit par jouir encore une fois dans mes fesses en grognant comme une bête. Il reste quelques secondes en moi pour bien y laisser les dernières gouttes de jus. Puis il se retire doucement.
Encore une fois je me jette comme un affamé sur sa bite que j’avale avec délice. Il me dit que je suis un vrai gourmand de bites ! Et à ma grande surprise, mon jeune appelé rebande aussitôt. Ou plutôt il ne débande toujours pas !
Il m’allonge sur le ventre à côté de Gilles et vient sur mon dos pour se planter en moi à fond. Gilles nous caresse et l’encourage à bien m’enculer, qu’il est un bon baiseur qui a vraiment besoin de se vider et que je suis là pour ça !
Pendant un long moment, il me baise comme ça, en me mordant le cou, et me prenant par le bassin pour bien s’enfoncer en moi, en alternant des mouvements lents et profonds (il commence aussi à fatiguer !) avec des ramonages puissants et bestiaux.
Gilles continue de nous caresser, nous embrasser à tour de rôle, d’encourager mon enculeur et de me féliciter sur mes fesses accueillantes et débordantes de sperme.
Mon bidasse finit par jouir pour la troisième fois en à peine une heure et sans pause au fond de mes fesses. Je sens bien que le sperme est bien moins abondant cette fois !
Il s’effondre sur moi en me disant que je suis un bon trou bien accueillant et que sa bite est bien en moi, et que je suis un bon vide-couilles à militaires ! Il reprend son souffle affalé sur mon dos.
Après quelques minutes de repos, il se relève en extrayant sa queue de mes fesses. Je me précipite encore sur sa bite pour bien lécher le sperme. Il se laisse faire, mais sa verge cette fois ne rebande pas. Il me dit, d’une voix fatiguée : « Je peux plus ! Je n’y arriverai pas encore ! ». Je n’en demande pas tant…
Alors je me contente de bien lui nettoyer la bite et ensuite nous nous reposons sur le lit. Je suis bien comblé quand même et j’ai adoré cette bonne baise à trois !
Le jeune soldat est parti dormir dans sa caserne, et je me suis endormi contre Gilles qui m’a félicité en me disant qu’il connait peu de gens qui adorent se faire baiser comme ça, et qu’il ne connait pas non plus d’aussi bons baiseurs comme ce bidasse !
Nous avons bien dormi pour récupérer de ce samedi intensif et le dimanche après-midi, après une grasse matinée des plus sages, il m’a raccompagné à la gare. Nous avons regretté de ne pas avoir eu plus de temps et Gilles m’a dit que je suis une sacrée pute ! Et que si je reviens il organisera une tournante pour que je me fasse encore plus baiser et qu’il n’oubliera pas d’inviter le jeune appelé !
Hélas je n’ai pas eu l’occasion de retourner à Bourges, même si nous avons gardé longtemps contact.
Depuis j’ai refait des plans à trois et même plus…
Nonodt92
deltongobruno@msn.com
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