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Le dépanneur

Cela fait déjà quatre jours que l’ascenseur de mon immeuble est en panne. Cinq étages ça va pour descendre, mais à remonter, les dernières marches sont un peu difficiles. C’est ça de ne pas être motivé pour faire un peu de sport !

Ce matin, en arrivant au rez de chaussée, je vois un homme en salopette bleue dans la cabine de l’ascenseur en train de s’affairer. Enfin me dis-je ! Je le salue et j’en profite pour le détailler. Il est jeune, environ trente-cinq ans, assez grand, dans le mètre quatre-vingt, corpulent sans paraître ni trop gros ni excessivement musclé. Il a les cheveux bruns, coupés en brosse, et une petite barbe de trois jours. Je remarque qu’il a un beau fessier bien ferme que le tissu de sa salopette met bien en valeur. Quand il se tourne vers moi pour me rendre mon bonjour, je peux voir de beaux yeux bleus. Et sa voix est bien grave, virile. Ce beau mâle me donne des frissons. Je le laisse à son travail, ne voulant pas le retarder dans la réparation de ce précieux ascenseur…

Je reviens une bonne demi-heure plus tard, et je vois mon beau dépanneur. Il remballe ses outils. Avec un grand sourire je le remercie pour son travail car je commençais à fatiguer de prendre les escaliers ! Il me dit qu’il va monter dans les étages avec moi pour les dernières vérifications. Je souris intérieurement, car même si le trajet sera rapide, c’est toujours ça de pris que d’être enfermé avec un si beau mâle.

Nous montons dans la cabine et je sélectionne le dernier étage. Je m’installe dans le fond et mon beau dépanneur se met devant moi et regarde les voyants. Mes yeux en profitent pour admirer son fessier ferme, ainsi que ses larges épaules, et sa silhouette si virile. Je suis bien excité et je commence à bander dans mon pantalon.

Soudain, avant d’arriver au dernier étage, l’ascenseur s’arrête brutalement entre deux paliers. La secousse fait que je me retrouve à tomber contre le dos du dépanneur. Dans mon élan je m’agrippe à son torse par réflexe, et mon ventre se plaque contre ses fesses. Avec la surprise, mais surtout le plaisir de sentir contre moi ce corps ferme et chaud, je ne me détache pas tout de suite de lui.

Ce n’est qu’après quelques secondes que sa chaude et virile voix me sort de ma rêverie. Il me demande si je vais bien, si je ne me suis pas blessé. Je lui réponds que non, tout va bien (au contraire !). Et là il me surprend en frottant doucement ses fesses contre mon bas-ventre. Il ajoute qu’en effet je semble en grande forme !

Je me sens rougir d’un coup, et je sursaute presque en méd étanchant de son corps et en me plaquant contre la paroi du fond. Le dépanneur se retourne et je peux voir un large sourire. Il s’approche de moi en se saisissant de son paquet. Il me dit que j’ai bien profité en matant son cul, et qu’il voudrait lui aussi profiter de la situation. Je suis abasourdi par la tournure soudaine des événements, et je reste muet. Il s’approche de moi, me dominant par sa taille (il fait presque quinze bons centimètres de plus que moi), et il me dit doucement que ça fait deux semaines que sa copine est partie en vacances, et qu’il a les couilles pleines !

Sans attendre de réponse de ma part, il retire les bretelles de sa salopette et le vêtement de travail tombe sur ses chevilles. Il se retrouve en tee-shirt blanc qui lui moule bien son torse, et en caleçon bleu clair, dont le tissu est tendu sur le devant par une belle masse prometteuse. Je constate que le tissu se tend de plus en plus. Il ouvre la fente de son caleçon et en sort son sexe qui se développe maintenant à l’air libre.

« Ca t’a plu de mater mon boule, mais je le donne pas ! Par contre ça tu peux y toucher sans problème ! »

Je ne suis plus capable de réfléchir. Mes yeux ne peuvent pas se détacher de ce sexe qui se déploie. Il n’est pas totalement en érection, mais il est déjà bien épais. Il dépasse déjà les seize centimètres, et le gland est énorme comparé au reste du pénis. Il est complètement recouvert par un long prépuce. Au fur et à mesure que la verge se tend, la peau glisse sur le champignon et dévoile peu à peu la chair rouge foncé. Sitôt le méat découvert, une grosse goutte perle et tombe au sol, formant un long filet transparent.

Toujours muet, je me laisse tomber à genoux devant ce splendide phallus. Et sans attendre je sors ma langue pour récupérer ce liquide pré-spermatique et en savourer le goût. Je n’attends pas pour prendre en bouche le gland, finissant de le décalotter avec mes lèvres. J’entends alors un râle de satisfaction venant de mon dépanneur. Sur ma langue, je sens que le membre viril continue de grossir et durcir. A travers le tissu du caleçon, je tâtonne pour trouver les testicules cachés dans le sous-vêtement. Une fois mon objectif atteint, je les saisis pour les caresser doucement. Ils semblent bien gros et fermes.

« Oh oui ! Tu vas voir comme elles sont pleines ! »

Je commence à faire glisser le sexe qui finit de se raidir entre mes lèvres. Mais je n’arrive pas à l’engloutir entièrement dans ma bouche. Il est vraiment long et large, et je ne suis pas un pro des gorges profondes ! Quand je sens que l’érection est à son maximum, je retire de ma bouche le phallus dur comme la pierre pour l’admirer. Il fait désormais dans les vingt centimètres de longueur. Mais très épais, au moins quatre centimètres de diamètre. Le gland est bien décalotté, énorme, plus large que le corps du pénis, et le méat laisser perler encore du liquide.

« Elle te plaît ? Elle est bien grosse non ? »

Pour toute réponse je reprends le sexe en bouche et commence à le sucer avec gourmandise. Le dépanneur gémit sous mes coups de langue, me confirmant qu’il apprécie le traitement. Après quelques instants, il se penche et glisse une main dans mon jean, à l’intérieur de mon boxer. Il me caresse d’abord les fesses, puis un de ses doigts vient me masser l’anus.

« Tu as les fesses douces ! Montre-moi ton cul ! »

Alors je stoppe ma fellation et lâche à contre-cœur le sexe, et je me relève. J’ouvre ma ceinture et je baisse pantalon et boxer sur mes chevilles. D’une main ferme il me fait tourner face à la paroi de l’ascenseur et se baisse derrière moi. Rapidement, je sens son souffle chaud sur ma rondelle, puis sa langue vient me la lécher. Sa langue est douce et humide, je sens sa salive qui humidifie bien mon trou et coule le long de ma raie jusqu’à mes couilles. De temps en temps il pointe bien le bout de sa langue comme pour me pénétrer. Avec un tel traitement, je me mets rapidement à gémir de plaisir.

Mon lécheur se redresse et me prends dans ses bras, et me serre contre lui. Il appuie son bassin contre mes fesses, et je sens son sexe toujours dur qui se glisse dans ma raie. Avec la différence de taille, et la longueur de son sexe, je sens son gros gland bien chaud qui se frotte au creux de mes reins. Il continue de produire du liquide pré-spermatique, et je sens qui me mouille le haut des fesses avant de couler entre mes fesses. Il ondule doucement du bassin et coulisse son membre viril pour me caresser l’anus.

Il se penche pour s’approcher de mon oreille. Je sens son souffle chaud et j’entends un doux gémissement.

« Ton cul est très doux ! Dommage que j’ai pas de capote ! Je suis sûr que ma bite serait bien dedans… T’en as ? »

Je lui réponds que non, je n’avais pas prévu de faire de rencontre ce matin. Je sens sa déception. Mais il plie les genoux pour mettre son gland à la hauteur de mon trou. Je sens le gland se poser dessus et la mouille qui l’enduit. Je le sens presser doucement quelques secondes comme pour tester la résistance. Il soupire fort à mon oreille.

- T’as vu comme elle est grosse ? Tu penses que tu pourrais la recevoir ?

- Je sais pas. Elle est large et on a pas de lubrifiant !

- T’inquiète pas pour ça, j’ai plein de lubrifiant naturel !

- Et la capote ?

- Je m’en fous, j’ai trop envie ! Et je suis clean, tu crains rien…

Je le sens presser un peu plus fort sur ma rondelle. Elle résiste face à l’épaisseur de la tête. Je sens sa mouille couler et s’étaler sur ma fente. La lubrification se fait sentir, et je sens que le gland progresse millimètre par millimètre à chaque pression. Puis soudain, mon anneau cède et la pointe de la verge entre en moi. Je me sens déchiré, et je n’arrive pas à retenir un cri de douleur. Le dépanneur me bâillonne d’une main et sans se soucier de ma douleur, il reprend doucement sa progression en moi.

Il fait glisser lentement son large sexe en moi. Il fait quand même preuve de douceur en progressant vraiment très lentement dans mon antre. Je sens dans mon ventre cet énorme sexe qui avance sans difficulté malgré sa taille. Il doit produire suffisamment de pré-sperme pour limiter le frottement de du large gland. Après ce qui me semble une éternité, je sens le tissu du caleçon contre mes fesses, et le ventre de mon enculeur contre mon dos.

« Oh putain, je suis bien dans ton cul ! Ma bite est bien serrée ! »

Il entame un doux mouvement de va et vient sur la moitié de la longueur de sa queue, ondulant seulement du bassin. A chaque fois qu’il se cale à fond dans mes fesses, je l’entends râler de satisfaction à mon oreille. Je sens ses grosses couilles qui caressent mes fesses à travers le tissu de son sous-vêtement. Rapidement la douleur a laissé place à des vagues de plaisir. Je gémis contre la paume de sa main.

Après quelques minutes, il s’immobilise en moi. Il souffle bien fort dans mon cou. Je sens son corps tendu contre le mien. Je devine qu’il fait une pause pour éviter d’éjaculer. Je sens sa grosse bite qui ne perd pas un instant de sa rigidité en moi. Puis il reprend son limage, toujours, lentement, tendrement. Je le sens trembler de plaisir dans mon dos. Il fait une deuxième pause, toujours sans ressortir de mes fesses. Il gémit un peu plus fort à mon oreille

« J’adore ton cul ! Je pourrais le baiser toute la journée ! Mais on peut pas bloquer l’ascenseur si longtemps ! »

Cette fois il me possède avec plus de force. Sa bite glisse en moi plus rapidement, ses coups de bassin sont plus rudes. Il me ceinture le ventre avec son bras pour bien me bloquer et s’enfoncer en moi à fond. Cette fois ses grosses couilles claquent contre mes fesses, toujours enfermées dans le caleçon. Ses gémissements se font plus forts à mon oreille. Je sens la tension de son corps qui monte avec son plaisir. Je m’apprête à recevoir son éjaculation à tout moment tellement il semble proche de l’orgasme. Mais il arrive toujours à se contrôler, et après plusieurs minutes de limage plus intense, il s’immobilise en plantant toute sa queue en moi.

« Je n’ai pas fini ! Mais je vais pas résister longtemps… Et je vais te donner plein de foutre ! Tu va voir je vais bien te remplir ! »

Il se remet à me posséder, lentement cette fois. Je sens que maintenant il fait coulisser son sexe entièrement en moi, ne laissant que son gland dans mon cul quand il se recule. Après une dizaine d’aller-retour en douceur, sans prévenir il se met à donner de violents coups de bassin. Il me baise sauvagement, brutalement. Son pubis cogne brutalement mes fesses à chaque ruade. Il souffle comme un bœuf à mon oreille.

« J’ai envie de te doser ! Je veux te remplir avec mon jus ! Tu vas voir comme je vais te féconder ! »

Il accélère encore ses coups de butoir et me défonce le cul. Sa main sur ma bouche n’arrive plus vraiment à étouffer mes gémissements de plaisir. Il me saisit par les hanches et se déchaîne dans mes fesses. Il grogne comme une bête. Et dans un cri difficilement étouffé, il me prévient de sa jouissance à l’oreille.

« Je vais juter ! Je vais jouir ! Ca vient ! Je tu vas tout recevoir ma pute ! »

Il poursuit sa baise intensive encore une bonne minute. Et soudain il s’immobilise en se plantant à fond en moi. Je sens son corps trembler, comme pris de convulsions. Je sens même ses couilles tressauter dans son caleçon. Et sa grosse bite gonfle encore en moi, avant d’expulser de nombreux jets de sperme. J’ai l’impression de compter presque une vingtaine de salves jaillir de son énorme canon. J’ai perdu la notion du temps, mais je pense qu’il éjacule sans fin, pendant ce qui me semble une longue minute.

Le flot de sa semence semble se tarir en moi. Mais je sens toujours ses couilles bouger d’elles-mêmes contre mes fesses. Il respire fort, comme à bout de souffle après un sprint.

« C’est pas fini, je suis un gros juteur ! J’ai encore plein de jus de couilles pour toi ! »

Il reste encore deux bonnes minutes en moi, toujours tremblant sous le coup de son orgasme. Puis ses grosses boules s’immobilisent enfin dans son caleçon. Il me serre fort dans ses bras, collant son torse contre mon dos, et il souffle de satisfaction à mon oreille. Je suis sur un nuage, savourant encore son gros sexe dans mon ventre. Je le sens qui commence à débander en moi. Alors mon dépanneur se détache de mon corps et recule lentement son bassin.

Dès qu’il extirpe son gland de mon anus, il range prestement son sexe à demi bandé et couvert de sperme dans son caleçon. Je sens aussitôt que son jus coule de mon trou béant. Je contracte prestement les fesses et je remonte vite mon boxer pour éviter d’en mettre partout dans la cabine. Le beau mâle me regarde en souriant.

Il remet sa salopette en place, et une fois complètement rhabillé, il se caresse l’entre jambe en me faisant un clin d’œil. Dès que j’ai remis mon jean, je le vois tourner une clé sur le panneau de contrôle, et l’ascenseur se remet en route. Le salaud ! Il avait bien préparé son coup !

Quand je sors de la cabine, il me tape les fesses et me murmure un « Merci ! » à l’oreille. J’ai à peine le temps de me retourner que la porte se referme sur mon beau dépanneur…

Nonodt92

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