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Le contrôle

Il est 2 heures du matin. Je rentre en voiture d’une soirée. Je me suis bien amusé, j’ai dansé avec des gens charmants, j’ai bu raisonnablement, mais hélas je n’ai réussi à draguer personne. Ce soir de printemps est chaud et agréable. J’ai enfin pu m’habiller léger, juste tee-shirt, pantalon en toile léger, et dessous un jock-strap. En effet j’espérais conclure et pourquoi pas consommer sur place…

Malgré mon échec, je suis encore sur mon nuage, content d’avoir passé un bon moment. Tout guilleret, je ne fais pas bien attention à ma vitesse. Je ne fonce pas comme pilote de F1, mais je me rends quand même compte que j’ai dépassé les 90 autorisés. Mais c’est une route déserte, qui traverse une forêt peu fréquentée à cette heure.

Soudain je remarque les phares d’une voiture qui se rapproche peu à peu de moi. Je ne ralentis pas. L’autre chauffeur pourra me dépasser à la prochaine ligne droite. Mais il ne semble pas vouloir me doubler. Après quelques minutes, des éclairs bleus me font sursauter. Et une sirène retentit 2 secondes. Et merde ! Je n’ai vraiment pas de bol, La voiture me double et se met à ma hauteur. La vitre passager s’ouvre. Je baisse la mienne et je vois un gendarme me faire signe. Il m’ordonne de les suivre. Le véhicule finit de me doubler et passe devant moi. Si j’ai une amende tant pis pour moi, je n’avais qu’à être plus prudent. Mais ça fait quand même chier !

Après une centaine de mètres, je vois la voiture de la gendarmerie qui s’engage sur un chemin. Bien entendu je la suis, et nous arrivons vite à un petit parking, désert à cette heure-ci. Je me gare à côté, et je coupe mon moteur. Je regarde les gendarmes. Ils sont deux. Ils sortent de leur véhicule. Du côté passager je vois un homme d’une quarantaine d’année. Il est grand, 1m80 environ, il semble musclé, large d’épaules, mais avec un début de ventre qui ne retire rien à son charme. Il est imposant. Dans les phares de leur voiture, je vois s’avancer son collègue. Celui-ci est plus jeune, dans les vingt-cinq ans. Il semble un peu moins grand que le premier mais de peu. Sa carrure est moins imposante mais il est visiblement musclé. Il porte un bouc châtain. Même si la situation n’est pas spécialement plaisante, je me surprends à penser que ces deux mecs sont vraiment canon, et en plus avec leur uniforme, ils sont d’une virilité à me faire baver d’envie. Mais non, je ne dois pas empirer mon cas !

Le premier gendarme, le plus âgé, s’approche de ma portière et se penche vers ma vitre ouverte. Il me gratifie d’un salut militaire et m’observe quelques instants.

- Bonsoir monsieur, Gendarmerie Nationale. Vous savez pourquoi nous vous avons demandé de nous suivre ?

- Euh, je dirais que je roulais un peu trop vite ! Je m’excuse je n’ai pas fait attention…

- C’est bien ça. Vous pouvez être désolé mais vous avez quand même dépassé la limite de plus de 15 kilomètres par heure. Nous allons procéder à un contrôle. Papiers du véhicule et permis de conduire s’il vous plaît.

Ce gendarme a une voix grave qui me donne des frissons. Il est vraiment très viril, et dégage une puissante aura de mâle. Qu’est ce que je ne donnerais pas pour qu’il me baise ! Pendant que je fouille dans mon porte feuilles pour trouver les documents, je remarque que le second gendarme inspecte ma voiture, et commence à en faire le tour. Je donne mes papiers au premier militaire. Il les prend et se tourne vers son collègue. « Tiens Kévin, prends les papiers et va dans la voiture pour faire les vérifications. Je m’occupe du chauffeur. »

Pendant que le jeune monte dans la voiture de gendarmerie, l’autre se penche à nouveau vers moi pour me parler.

-Vous venez d’où à cette heure-ci ?

-Je rentre d’une fête.

-Et vous avez consommé de l’alcool à cette fête ?

-Euh, juste 2 ou 3 verres, pas plus.

-Nous allons devoir procéder à un contrôle d’alcoolémie monsieur. Vous allez souffler dans le ballon.

-C’est pas dans le ballon que j’aimerais souffler !

Putain ! J’ai parlé à voix haute sans m’en rendre compte ! Je sens la chaleur envahir mon visage, je dois être écarlate, et pas à cause de l’alcool… Pourvu qu’il n’ait pas entendu…

-Pardon ? Vous avez dit quoi ?

-Non rien, je n’ai rien dit.

-Si, je vous ai bien entendu dire que vous voulez souffler dans autre chose. De quoi parlez-vous ?

-Je ne voulais pas dire ça, j’ai pensé à voix haute. Je m’excuse.

-Et à quoi pensez-vous donc ?

Je ne sais pas quoi faire, ni quoi répondre. Plus je l’ouvre plus je m’enfonce. Je vais finir en taule. Mais malgré moi mon regard se pose sur la braguette de l’uniforme, et je constate que la bosse semble bien volumineuse. Je reste béat devant ce spectacle. Devant mon silence, le gendarme baisse les yeux et constate où se porte mon regard.

- Merde, c’est ma bite que tu mates ! T’es une tapette ? Tu me veux me sucer pour que je te laisse partir c’est ça ?

- Non non pas du tout monsieur le gendarme ! C’est un malentendu.

- Tentative de corruption, ça aggrave ton cas mon pédé. Et moi je ne suis pas de ton bord, ma queue est réservée aux chattes !

- Je ne cherche pas à vous corrompre, je ne voulais pas dire ça ! J’avoue que ce serait un kiff de tailler une pipe à un gendarme, mais je voulais pas dire ça pour éviter l’amende.

- Sortez de votre voiture !

Le gendarme semble énervé. Et merde, je me suis vraiment mis dans le pétrin. J’obéis à l’ordre et je sors de ma voiture. Il me fait tourner et pencher. Et il se rapproche dans mon dos et commence à procéder à une palpation. J’entends le jeune qui demande à son collègue :

- Quelque-chose ne va pas Franck ?

- Je gère. Le monsieur sort d’une soirée arrosée, je vérifie qu’il n’a pas de stup sur lui. T’inquiète je m'en occupe.

- Ok !

Le dénommé Franck poursuit sa palpation. Après mes bras et ma poitrine, il se baisse et ses mains descendent sur mes chevilles et remontent sur mes cuisses. Il remonte bien haut à m’en frotter l’entrejambes. Il se relève et me palpe le ventre. Soudain sa main se pose carrément sur ma braguette. Est-ce bien réglementaire ? Surpris par ce geste que je n’attendais pas, je sursaute et mon bassin recule jusqu’à toucher le bas-ventre du gendarme. Putain ! Il va encore croire que j’essaie de le draguer ou de le corrompre…

J’essaie de me décoller du gendarme mais sa main sur mes parties m’empêche fermement de m’avancer. Contre mes fesses je sens que la bosse ne reste pas endormie, et commence à grossir, à durcir. Je sens le gendarme se coller à moi. Et il me murmure à l’oreille : « Ne bouge pas la tapette. Je ne baise pas les mecs, mais je suis grave en manque. J’ai pas baisé depuis presque un mois. Alors quand tu m’as parlé de me pomper, ma bite s’est réveillée toute seule. Tu la sens contre ton cul ? Je te la donne à sucer et tu me vides les couilles, ça te va ? »

Je ne réfléchis même pas à la situation ni à ce que je pourrais risquer. J’ai la chance de réaliser un vieux fantasme, me faire un gendarme en uniforme ! Et en plus le mec est super mignon et viril comme j’adore ! Alors pour toute réponse, je frotte bien mes fesses contre la braguette militaire. Je sens aussitôt qu’elle grossit encore, et je commence à deviner une grosse barre qui se développe derrière le tissu.

- T’es une vraie salope en chaleur toi ! Putain j’ai touché le gros lot ! Tu veux me sucer alors ?

- Oh oui ! Et même plus si vous voulez…

- Comment ça ? Tu veux dire quoi ? Tu voudrais que je t’encule ?

- Hum, oui. Je rêve de me faire enculer par un gendarme !

- Fais gaffe, tu sais pas ce qui t’attend ! J’en ai une grosse, tu vas avoir du mal à l’encaisser !

- Ca en sera que meilleur ! Votre grosse matraque va se sentir bien en moi !

- Oh putain ! J’aurais jamais cru que j’enculerais un mec un jour. Mais tu me donnes trop envie,

Franck se frotte encore un peu contre mes fesses, Je sens son sexe continuer à grossir dans son pantalon. Il n’a pas menti, je devine un engin gros et lourd, qui n’a pas encore fini de se développer. Soudain il se détache de mon corps et se recule. Je tourne la tête et je le vois rajuster son paquet avec sa main. Il semble pensif. Il doit réfléchir à une solution par rapport à son collègue. Il se dirige vers le second gendarme. Kévin sort de la voiture et se tourne son supérieur, un air un peu surpris.

- Ca va bien Franck ? Tu as l’air bizarre !

- Oui, euh. Comment dire ça, euh, je veux te demander un service.

- Ah bon ? lequel ?

- Ben euh, faut que tu me promettes que ça reste vraiment entre nous. C’est sérieux.

- OK tout ce que tu veux. Il s’agit de quoi ?

- Promets-moi de ne rien dire à personne, ma carrière est en jeu si ça se sait…

- Tu me fais peur là ! De quoi il s’agit ?

- Promets !

- Ok. Je te promets de ne jamais rien dire à personne.

- Merci. Je te fais confiance.

- Tu peux, tu le sais bien.

- Ecoute, je vais juste m’éloigner un peu avec le type et tu ne fais rien le temps qu’on revienne. OK ?

- Pourquoi tu veux faire ça ? Vous allez faire quoi ?

- Je peux pas te dire, c’est juste quelques minutes.

- Tu peux tout me dire tu sais, tu dois au moins m’expliquer un minimum.

- OK… Comment dire ? Le mec est une tapette, et il m’a proposé de me sucer ! Et même de se faire enculer !

- Quoi ! Et toi tu as accepté ? Mais t’es pas pédé !

- Non je suis pas pédé, mais j’ai pas tiré de coup depuis longtemps, j’ai les couilles pleines, et quand il m’a proposé, je me suis dit pourquoi pas ? Faut pas rater une occasion de baiser. Tu connais pas ça toi ! A mon âge on trouve pas souvent des occasions de baiser.

- Mais tu es fou ! En plein service ! Tu risques ta carrière pour un coup de bite ! Et ta femme ?

- Je ne risque rien car tu ne vas pas répéter ça à personne. Tu m’as promis…

Kévin réfléchit un peu. Il semble perdu. Mais il tourne la tête vers moi et son regard change. Il se tourne vers Franck.

- Ok je dis rien, mais à une condition, et comme ça nous serons quitte.

- Ah oui ? laquelle ?

- Je veux l’enculer moi aussi !

- Quoi ? Je te savais pas pédé !

- Arrête. Je suis pas plus pédé que toi, mais t’imaginer enculer ce mec, ça m’a excité, et je me dis pourquoi pas essayer moi aussi. Et comme ça tu peux vraiment être sûr que ça restera vraiment entre nous ! Si je parle, tu peux me griller moi aussi !

- Ouais, ok. Y’a pas de raisons que je sois le seul à tirer mon coup ! Tu veux mater aussi tant que t’y es ?

- Ouais, ça pourrait être sympa. Ca va pas te faire débander que je mate ta queue ?

- Non, t’inquiète ! J’ai tellement envie de baiser que rien me fera débander !

Je vois les deux gendarmes s’approcher de moi en souriant. Ils me regardent comme des prédateurs qui s’approchent de leur proie. Je ne comprends pas ce qui se passe, n’ayant rien entendu de leur conversation. Franck vient vers moi et me mets la main aux fesses. Il me pelote sans ménagement devant son collègue. Je le regarde d’un air interrogateur et montrant son collègue du regard. Il rigole et me dit juste :

- Baisse ton froc !

- Mais ? Et ton collègue ?

- T’inquiète pas. Il ne va rien dire, et en échange il va te baiser lui aussi !

- Quoi ?

- Fais pas genre tu ne t’es jamais fait baiser par deux mecs !

- Non c’est pas ça, je ne pensais pas qu’il…

- Tu vas te faire baiser par deux gendarmes, ton fantasme sera réalisé plus que tu ne pensais !

- Mais j’ai pas prévu ça ce soir moi ! J’ai qu’une seule capote de dispo ! Vous en avez j’espère ?

- Putain j’avais pas pensé à ça ! Tu en as Kévin ?

- Non, j’en ai jamais sur moi quand je bosse, je pensais pas que je baiserais un jour en service !

- Et moi j’en ai pas mis depuis des années, j’en ai pas.

- Merde, on fait quoi Franck ?

- Je sais pas, j’ai trop envie de baiser…

- Bon honneur aux vieux, je te laisse le baiser, et il va me sucer. Par contre tu vas bien avaler mon foutre, pas envie de salir mon unif !

- Hum ! Avec plaisir monsieur le gendarme…

- Tu vois Kevin c’est une sacrée salope, il pourra jamais dire qu’on l’a forcé…

Je confirme les paroles de Franck en m’agenouillant devant lui. Je caresse sa braguette et je sens que la bosse a encore pris de l’ampleur. J’embrasse le devant de l’uniforme. Je sens sous mes lèvres le sexe pas encore totalement dur. Le gendarme soupir, et me caresse les cheveux. Il repousse ma tête et commence à défaire sa ceinture. Puis il ouvre sa braguette et baisse son pantalon d’uniforme sur ses genoux. Dans la lumière des phares, je vois le boxer noir complètement déformé, et distendu par une colonne de chair énorme qui essaie de s’en échapper. Il saisit son boxer et le fait descendre sur son pantalon.

Sa bite est enfin libre, grosse, lourde, et elle pend sur une paire de couilles qui semblent énormes elles aussi, velues. De la forêt sombre des poils pubiens, le sexe se redresse lentement. Elle finit de durcir en prenant un angle presque à 45 degrés. J’ai devant mes yeux un sexe veiné qui doit faire environ 22 cm de long, et d’une largeur d’environ 5 cm. Une vraie colonne au bout de laquelle un gland encore plus large est encore à moitié recouvert par le prépuce. Je vois immédiatement une grosse goutte de liquide pré spermatique s’échapper du méat et tomber en un long filet sur le sol.

J’entends derrière moi Kévin siffler d’admiration. « Eh ben Franck ! Tu es vraiment monté comme un âne ! Je croyais que tu exagérais quand tu te vantais d’en avoir une énorme ! »

Moi je me précipite sur cette énorme matraque et je finis de décalotter le gland, et je commence à le lécher comme une délicieuse sucette. Puis j’écarte mes mâchoires au maximum et j’essaie de faire entrer le gros champignon dans ma bouche. Je me concentre bien pour éviter que mes dents ne frottent sur la peau sensible. Franck soupir de plaisir et se laisse faire. Je sens sur ma langue le lubrifiant naturel qui coule presque en continu et que je déguste avec bonheur. Je descends sur le reste du sexe mais rapidement le gland cogne au fond de ma gorge alors que j’ai à peine englouti le tiers de l’engin.

« Oh putain c’est trop bon ! Ca fait trop longtemps ! Bouge pas, je suis tellement excité que je peux cracher trop vite ! Et je veux te baiser pour que tu sentes comment un hétéro peut te niquer ! »

Je garde en bouche cette portion, tout en caressant doucement les bourses. J’entends Kévin s’approcher, accompagné du bruit reconnaissable d’une fermeture éclair. « La mienne est moins grosse mais je me défends bien quand même ! Tu vas pouvoir l’avaler à fond ! »

Je retire lentement le sexe de Franck de ma bouche, un peu à regret, et je me tourne vers son jeune collègue. Je vois alors le gendarme qui a juste ouvert sa braguette et sorti son sexe et ses testicules par l’ouverture. Il a gardé son pantalon sur lui. Il est doté d’un sexe de dimensions plus qu’honorables, environ 18 cm et d’une largeur de 4 cm. Il se branle doucement, faisant glisser son prépuce sur un gland du même diamètre que le corps…

Franck me dit : « Donne-moi la capote et défroque-toi ! Et ensuite occupe-toi de mon collègue ! »

Je m’exécute et je sors le préservatif de ma poche pour le donner au gendarme. Puis je défais mon pantalon et je le retire complètement. Les gendarmes semblent surpris en découvrant mon jock strap qui dévoile bien ma raie.

- T’as vu Franck ? Il a un froc de salope ! Prêt à se faire baiser direct !

- Ouais ! Il demandait que ça qu’on lui fourre notre matraque dans le cul !

Je me penche sur le sexe du jeune gendarme et je commence à le sucer, en m’efforçant de lui prodiguer une pipe dont il se souviendra toute sa vie. Je pense être en bonne voie en l’entendant gémir de plaisir à chaque passage de ma langue sur son gland. Lui aussi semble être un bon mouilleur car rapidement je déguste son liquide lubrificateur en bonne quantité.

Derrière moi je sens les gros doigts de Franck qui caressent ma raie, et finissent par viser précisément ma rondelle. Il crache un peu de salive dessus et l’étale avec son index, puis le fait entrer un peu brutalement dans mon orifice. Après quelques allers-retours, il retire son doigt. J’entends le déchirement de l’enveloppe du préservatif. Puis quelques secondes plus tard j’entends le gendarme râler. « Putain, j’arrive pas à mettre cette saloperie de capote ! Elle est trop serrée ! ».

Je continue ma pipe sur le jeune militaire qui apprécie le traitement qui lui est prodigué, au son de ses gémissements qui ne cessent pas. Derrière moi Franck continue de se démener avec la capote.

- Et merde ! Elle a pété !

- Quoi ? T’as déchiré la capote ?

- Ben oui Kévin, j’ai une teub trop grosse. Fait chier !

- C’est con, Tu vas faire quoi ?

- Oh putain, son cul me fait trop envie ! Tant pis, je crois que je vais m’en passer !

- T’es fou ! Tu peux pas le baiser sans capote !

- Eh la salope, t’es clean ?

- Oui. J’ai même fait des tests la semaine dernière. Je suis sain…

- Alors je vais te la mettre comme ça ! Je vais même te faire le plaisir de te remplir avec mon foutre ! Tu veux qu’un vrai mâle t’engrosse ? T’as envie du jus de gendarme au fond de ton cul ?

- Hum oui ! Féconde-moi !

- Tu vois ! Kév, ça lui fait même plaisir à cette pédale !

- C’est dingue, on est vraiment tombé sur un vrai vide-couilles ! Tant mieux pour nous !

Je sens l’énorme gland qui se frotte contre ma rondelle. Rapidement je suis complètement humide de la mouille qui s’étale contre mon orifice. Je sens de pressions insistantes pour faire pénétrer le gros champignon, mais en vain. Il est vraiment trop gros ! Je serre les dents et je me détends un maximum pour aider, mais en vain. Franck me saisit par les hanches et appuie plus fort, mais le gland n’arrive toujours pas à passer la barrière, et je commence à avoir vraiment mal.

- J’y arrive pas ! Son cul est trop serré !

- Ou alors c’est ta bite qui est trop grosse !

- Ouais, j’ai jamais réussi à mettre un cul avant…

- C’est dommage pour toi Franck…

- Dis Kév, ça te dit de m’ouvrir le passage ?

- Quoi ?

- Ben encule-le en premier pour lui ouvrir le fion, je devrais pouvoir entrer ensuite.

- Ca me dit pas trop de baiser sans capote tu sais.

- Mais il est clean, et tu vas sûrement prendre plus de plaisir qu’avec la bite couverte !

- Ok… Et si j’ai envie de cracher dedans ?

- Oh je m’en fous ! Du moment que je peux baiser après toi. Et puis au moins avec ton foutre ça glissera bien !

- J’ai les couilles bien pleines aussi, et avec ce que je vais lui mettre, c’est sûr que ta bite va bien glisser après ! Lève-toi la tapette !

Je me relève, Kévin me retourne et me pousse vers le capot de leur voiture. Bien éclairé par les phares, je me penche en avant, allongeant mon torse contre le métal encore chaud. Je tourne la tête et je vois le jeune gendarme, toujours totalement en uniforme, le membre bien dur et dressé ainsi que les couilles sortis par sa braguette, qui s’avance et vient se mettre derrière moi. Son collègue le suit en marchant maladroitement à cause de son pantalon sur les chevilles, son énorme sexe toujours bandant, et se met sur mon côté, regardant mes fesses offertes.

Je sens le gland qui se glisse entre mes fesses. Le jeune gendarme le frotte contre ma raie, cherchant ma rondelle. Après quelques passages, il finit par trouver sa cible, et il dirige d’une main son sexe droit dessus. Je le sens à peine exercer une petite pression que son gland entre en moi. Même s’il est moins bien monté que son chef, l’insertion un peu brusque me brûle, mais je retiens mon cri de douleur. Kévin semble surpris par la facilité avec laquelle son gland a passé la barrière anale, et dans son élan il fait suivre tout le reste de son sexe. Quand je sens son bassin, à travers le tissu de son pantalon, buter contre mes fesses, je ne peux plus me retenir et je lâche un cri de surprise et de douleur.

- Putain Franck, t’as mis tellement de mouille sur son fion que je suis entré d’un coup à fond ! Son cul est vraiment bon !

- Ouais, Je lui ai bien trempé la rondelle ! Avec moi pas besoin, de gel !

Kévin me saisit par les hanches et commence à faire glisser sa bite dure comme le roc. Il démarre doucement, lentement, comme pour savourer les sensations. Il soupir régulièrement, prenant un grand plaisir dans mes fesses. Puis il accélère un peu la cadence. Il donne des coups de bassin plus puissants. Ses soupirs se transforment vite en râles virils. Le rythme devient rapidement irrégulier. Il enfonce son pieu brutalement à fond, faisant claque ses couilles contre mes fesses, et il s’immobilise quelques secondes, avant de se reculer jusqu’à ne laisser que son gland en moi. Puis il redonne un coup de reins brusque pour m’investir jusqu’à la garde, accompagné d’un ahanement de satisfaction.

- Tu fous quoi Kév ? Faut le bourrer comme une chienne !

- Je peux pas ! Son cul est trop bon, trop serré ! Je sens que je peux juter à tout moment ! Et je veux profiter encore un peu !

- Ouais. Enfin on a pas toute la nuit non plus. On bosse n’oublie pas !

- T’inquiète. Je vais pas tenir des heures non plus !

Kévin continue encore de m’asséner quelques coups de bite bien forts et profonds. Puis il se penche, s’allonge contre mon dos. Il me mords le lobe de l’oreille, je sens son souffle contre ma joue. Il murmure : « T’es prêt à te faire remplir ? Je vais t’en mettre une bonne dose ! ».

Il accélère alors la cadence de son limage. Il ne fait plus de pauses, ses va et viens sont réguliers et violents. Il se redresse et ses gémissements se transforment peu à peu en un cri d’extase. Il me pilonne brutalement, me faisant sursauter à chaque ruade. Franck est collé contre ma hanche, je sens sa grosse bite appuyée contre ma cuisse, et sa mouille qui me coule sur le bas du dos. Il m’écarte les fesses avec ses mains comme pour faciliter le passage à son collègue.

- Ouais vas-y, nique le bien, montrer-lui comment un vrai mec féconde sa femelle !

- Putain ça vient, je vais cracher ! Ouiiiii !

Le jeune gendarme donne un ultime coup de bite et se plante en moi à fond. Son pantalon frotte mes fesses, ses couilles se plaquent contre les miennes. Il pousse un cri de libération, et je sens sa bite qui se gonfle et se tend dans mon rectum. Puis le membre viril se contracte à plusieurs reprises, expulsant en force des jets de sperme chaud. J’ai l’impression que les tressautements n'en finissent pas, et qu’il m’inonde d’une énorme quantité de jus. Le corps du jeune homme est pris de tremblements, signe d’un orgasme puissant. Une fois l’éjaculation épuisée, il me gratifie de deux coups de bassin comme pour s’assurer qu’il s’est vidé jusqu’à la dernière goutte, et que son foutre est bien au fond de mon ventre.

Kévin est haletant, il a du mal à reprendre son souffle. Il me tient toujours par les hanches, son sexe encore planté à fond dans mes fesses. Franck me malaxe encore les fesses, à la limite de me faire mal tellement ses doigts les serrent fort. Il finit par tirer son collègue de son état second en lui demandant :

- Eh ben, tu as l’air d’avoir vraiment pris ton pied ! Tu l’as bien dosé ?

- Oh oui. C’était vraiment le pied. J’ai joui comme jamais ! Faut dire que j’avais les couilles bien pleines aussi…

- Putain, tu me donnes vraiment envie de lui mettre. J’avais jamais eu autant envie de baiser. Et un mec en plus !

- Je te jure, si j’avais su que c’était si bon d’enculer un mec, je l’aurais fait depuis longtemps !

- Arrête, tu vas virer pédé !

- T’es trop con. Aller, je te laisse la place, fais toi plaisir !

- Suis tellement chaud, je risque de pas tenir plus longtemps que toi !

Kévin commence à reculer doucement, faisant glisser sa bite qui n’a pas perdu de sa dureté. Une fois son gland hors de mon anus, il pousse un râle, et me dit : « Eh la tapette, nettoie-moi la bite ! Je veux pas salir mon fute ! ». Il me saisit par les cheveux et tire ma tête vers son sexe qui luit dans lumière des phares, enduit par son sperme. J’ouvre la bouche immédiatement et je lèche d’abord le gland, puis le reste de son manche. Une fois tout le jus du militaire essuyé, j’embouche le sexe d’un coup, arrachant au jeune un gémissement.

Pendant ce temps Franck ne perd pas de temps. Il se place derrière moi, le gland déjà sur mon trou. Je le sens qui se frotte, récupérant le jus qui coule de ma rondelle encore ouverte. Puis avec deux doigts il récupère encore un peu de sperme et s’en enduit tout le sexe. Une fois bien lubrifié, il pointe son gland contre mon anus, et il commence à appuyer dessus. La bouche toujours pleine du deuxième gendarme, je m’efforce de me détendre un maximum, Je sais que même si j’ai été ouvert et lubrifié par Kévin, le passage de l’énorme matraque va être difficile.

Après quelques pressions infructueuses, Le gendarme donne un coup de bassin plus fort, et son gland force enfin ma rondelle. Je me sens déchiré. Le sexe dans ma bouche étouffe mon cri de douleur. Heureusement que je réussis à ne pas le mordre. Sentant quand même qu’il risque de perdre son membre, Le jeune militaire retire son sexe de ma bouche et le range ainsi que ses testicules dans son pantalon. Il remonte sa braguette et recule de quelques pas pour admirer le spectacle de son collègue en action.

Franck retire son gland et me tourne vers la voiture. Il me pousse sur le capot et sans attendre se repositionne derrière moi et d’un coup me plante à nouveau son gros gland dans la rondelle. Cette fois l’énorme champignon me pénètre sans difficulté. Je ressens à nouveau une vive douleur, mais moins forte que la première fois. Contrairement à ce que je m’attendais, le gendarme fait une pause pour que je m’habitue à la taille de son canon. Il me prend les hanches à pleines mains, et commence à faire glisser le reste de son sexe dans mes fesses.

Lentement, mais sans la moindre pause, il m’investit avec son énorme pieu. Je sens les centimètres progresser en moi. J’ai l’impression que ça n’en finit pas, que ça fait des nombreuses minutes qu’il est en train de me pénétrer. Soudain, je sens contre mes fesses les poils pubiens qui se collent à moi, et les grosses couilles qui s’écrasent contre le haut de mes cuisses. J’entends Franck soupirer de satisfaction.

- Oh putain c’est trop bon !

- Tu as réussi à lui mettre toute ta queue ! Incroyable !

- Ouais. C’est rare qu’on encaisse tout comme ça. Encore moins dans le cul !

- Tu peux me dire merci de t’avoir préparé le chemin, je pense pas que tu serais entré sans moi…

- Oui merci. Je sens bien ton foutre dans son cul, tu l’as vraiment bien dosé !

- Oh oui je lui en ai mis plein. A ton tour maintenant !

- Je vais lui en mettre une sacrée quantité moi aussi, j’ai des semaines de réserves dans les couilles. Je vais le mettre enceinte avec tout ce qu’il va avoir !

Le gendarme recule doucement sa grosse matraque de mes fesses, et quand il a sorti environ la moitié de son engin, il me donne un coup de reins puissant pour s’enfoncer en moi jusqu’aux couilles. Ce coup de queue me fait presque bondir sur le capot de la voiture, m’arrachant un gémissement de douleur, mais aussi de plaisir. Sans attendre il recule à nouveau, et me replante son sexe à fond. Il garde ce rythme lent mais puissant, accompagné par des râles de satisfaction. Je me sens plus détendu, moins serré, et le sexe monstrueux me possède désormais sans difficulté, la douleur disparait complètement pour laisser la place à du plaisir.

Franck accélère doucement son limage, me possédant toujours sur seulement la moitié de la longueur de son sexe. Je sens le sperme de Kévin qui s’échappe de mes fesses avec le mouvement de piston, et couler le long de mes cuisses. Je suis enculé comme ça un long moment. Le gendarme semble vouloir apprécier cette baise le plus longtemps possible. Nous sommes toujours observés par le collègue qui se caresse l’entre jambes, comme inspiré par notre spectacle, et prêt à remettre le couvert.

Cela doit faire dix bonnes minutes que je suis possédé sur le capot, quand soudain la radio grésille et une voix se fait entendre, appelant les hommes en patrouille. Mes deux gendarmes sont surpris, et Kévin, après une seconde de stupéfaction, se précipite à l’intérieur de l’habitacle. Dans le même temps, Franck me redresse le torse, me serrant contre lui, et me souffle à l’oreille : « Ferme-la, pas un mot ! ». Comme pour s’assurer de mon silence, et à ma grande surprise, il tourne ma tête vers son visage et m’embrasse à pleine bouche. Sa langue force mes lèvres et envahit ma bouche. Il me roule une pelle passionnée et virile. J’ai l’impression que m’embrasser l’excite encore davantage, sa grosse bite semblant durcir un peu plus en moi. Il ne cesse pas de me limer en ondulant du bassin pendant que sa langue tourne dans ma bouche.

Nous entendons Kévin répondre à son collègue par la radio, et après quelques échanges, il sort de la voiture.

- Franck, va falloir accélérer, on nous demande pour un accident sur l’autoroute.

- OK, pas de soucis, j’étais déjà à la limite…

Le gendarme me repousse à plat-ventre sur le capot de leur voiture. Il me saisit par les hanches fermement, et entame un limage puissant, à grands coups de bassin. La force de la sodomie me fait pousser des cris d’extase. Derrière moi le militaire gémit de plus en plus fort, sa voix grave couvrant la mienne. Il accélère encore plus ses aller-retours en moi, me pilonnant maintenant comme un vrai marteau piqueur. Le gémissement viril se mue en un grognement continu tandis que ses grosses couilles claquent avec force le haut de mes cuisses. Je ne sens plus mon corps, je ne ressens que cette énorme bite d’âne qui coulisse en moi à un rythme effréné. Je ne suis plus que le réceptacle de ce pieu de chair qui me laboure bestialement.

Soudain, je n’entends plus Franck gémir. Après une seconde de silence, il pousse un cri de délivrance qui retentit dans la forêt. Sa matraque continue d’aller et venir en moi encore quelques secondes, puis je sens ses mains se crisper sur mes hanches à me faire terriblement mal. Je vais avoir des marques pendant un bon moment ! Et il m’assène un puissant coup de reins qui m’écrase sur le capot, sa bite se plantant jusqu’au pubis en moi. Je sens ce sexe imposant palpiter dans mon rectum, puis une sorte d’explosion. Contre mes fesses je sens les gros testicules qui accompagnent l’éjaculation en remontant à chaque jet. Ma rondelle se fait encore plus dilater par les pulsations du corps du phallus qui décharge la semence virile loin dans mon ventre. La force de cette éjaculation est telle que je sens chaque jet expulsé par le gland et qui remplit mon conduit.

J’ai l’impression que le gendarme n’en finit pas d’éjaculer. Il n’avait pas menti en disant qu’il allait me remplir. Je compte une dizaine de salves de sperme en moi d’un volume impressionnant tellement je sens le liquide chaud m’envahir à chaque éjaculat. Puis les soubresauts de la bite se font moins forts en moi mais persistent le temps de me gratifier d’une autre dizaine de jets, un peu moins volumineux. Franck s’écrase sur moi, me plaquant encore plus contre le capot de la voiture, Il me mord la nuque et l’épaule tandis qu’il continue de juter encore en moi. Cet homme est une véritable fontaine de sperme ! Enfin, après ce qui m’a paru une éternité, je sens ses couilles qui s’immobilisent contre moi, et le flot de jus viril se tarit enfin en moi. Il me souffle à l’oreille : « Je t’ai bien rempli ma salope ! Je t’ai fécondé et marqué avec mon foutre ! Tu t’es enfin fait remplir par un vrai mâle ! Tu es à moi maintenant… »

Je n’ai rien compris à ses paroles, sonné par l’orgasme anal qu’il m’a donné, et toujours transporté par le plaisir que son énorme bite m’a fait ressentir. Sans prévenir, il sort de mes fesses d’un coup. Je me sens complètement vidé quand son énorme queue quitte complètement mon rectum. Aussitôt, je sens son sperme, mélangé à celui de Kévin, couler en longs filets de mon anus béant, glissant sur mes cuisses, maculant mes chaussettes et l’intérieur de mon pantalon.

Après cet assaut sauvage, mes jambes se mettent à trembler et ne me supportent plus. Je tombe au sol sur les genoux, puis je me retrouve les fesses nues sur le goudron sale du parking. Je vois Franck qui rigole de ma chute. Il remonte déjà son boxer, range sa bite encore enduite de sperme dedans, et rajuste le pantalon de son uniforme. Il semble satisfait, radieux même.

J’entends un bruit sur le côté et je tourne la tête. Je vois Kévin qui est proche de ma tête. Il a sorti à nouveau sa bite bien bandée et se branle frénétiquement. J’ai à peine le temps de comprendre ce que je vois, qu’il gémit et des jets de sperme s’écrasent sur mon visage. Il m’asperge d’une bonne quantité de jus, alors qu’il venait de se vider il y a quelques minutes seulement. Ses jets atterrissent partout, dans mes cheveux, dans les yeux, dans le nez… je suis littéralement enduit par sa semence.

Une fois l’arrosage terminé, Le jeune militaire recueille la dernière goutte au bout de son gland sur un doigt, et me l’enfonce un peu brutalement dans la bouche. Par réflexe je tète ce doigt pour déguster le sperme dessus. Il éclate de rire en me voyant faire. Puis il range sa bite déjà à demi molle et referme son pantalon. Il me gratifie d’un « Merci ! » et se dirige vers la portière conducteur de leur voiture.

Franck s’approche de moi. Il me saisit par le bras et m’aide à me relever. Je suis surpris car son geste est doux, contrastant avec le comportement animal dont il a fait preuve durant la saillie. Il sort un mouchoir en papier d’une poche et m’essuie délicatement les cheveux et le visage, prenant bien soin de ne laisser aucune trace du sperme de son collègue. Cette attention me laisse sans voix. Une fois qu’il a fini de me nettoyer, il me fait un clin d’oeil en souriant, et me donne une tape sur la fesse, et se dirige vers sa voiture.

Encore enivré par les sensations de cette baise sauvage, je m’écarte de la voiture de patrouille. Je ne marche pas très droit, on pourrait même croire que je suis saoul… Je vois les deux gendarmes me faire un signe depuis l’intérieur de l’habitacle. Ils doivent être bien satisfaits de poursuivre leur nuit après s’être soulagé en moi… Les gyrophares s’allument et la voiture part en direction de la route avant de disparaître dans un virage.

Je me rends alors seulement compte que le mélange de sperme coule encore de ma rondelle. J’en avais vraiment reçu une quantité incroyable. Encore un peu groggy, je me rajuste, et je m’installe au volant de ma voiture. Je sens mes fesses baigner dans le foutre qui a imbibé mon pantalon. Epuisé par ces gendarmes, je m’endors dans le siège...

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