Aujourd’hui en arrivant à mon boulot, j’ai l’étonnante surprise de voir plusieurs camions de pompiers garés en bas de l’immeuble. Je pense aussitôt à un incendie et je m’imagine mes locaux complètement brulés, le matériel perdu, les rendez-vous non honorés, la paperasse pour l’assurance… Le cauchemar éveillé !
En montant à mon étage, je découvre qu’en fait il y a eu une fuite d’eau durant le week-end. Au final le seul dégât à déplorer c’est le sol qui est complètement détrempé. Je respire, soulagé. Les bureaux des étages en-dessous n’ont pas eu tant de chance apparemment, car l’eau a détérioré beaucoup plus les locaux et le matériel en descendant.
Pendant que mon chef s’occupe de l’administratif, je fais le tour pour m’assurer qu’il n’y a pas plus de dégâts, et que mon matériel est bien en état de marche.
Autour de moi plusieurs sapeurs-pompiers s’affairent à finir d’évacuer l’eau, contrôler les circuits électriques, et autres choses pour s’assurer que le bâtiment est sans danger. Je trouve qu’ils sont tous assez jeunes. Ils sont très mignons, et leur pantalon d’uniforme met toujours aussi bien en valeur leur cul musclé. Bien entendu devant de si beaux hommes en uniforme mes pensées lubriques font vite surface….
Je fais une pause toilettes, et je vais aux urinoirs. A peine Le temps d’ouvrir ma braguette qu’un pompier entre à son tour. Il me salue et s’installe à côté de moi. Il ouvre son pantalon d’uniforme et sors son sexe pour commencer à uriner. Je me concentre au maximum pour éviter d’essayer de regarder son sexe, et je me concentre pour uriner moi aussi.
Le soldat du feu semble avoir moins de trente ans, il est grand, dans les 1m80, son tee-shirt est bien rempli par les muscles sans pour autant être body buildé. Il est châtain, les cheveux bien entendu coupés très courts en brosse. Il me surprend en entament la conversation dans ce lieu intime où en général on n’ose pas trop faire connaissance.
- Sacrée galère hein ? J’espère que vous n’avez pas eu trop de dégâts.
- Non ça va, on a eu de la chance. Rien n’a été abîmé.
- C’est un centre médical si j’ai bien compris.
- Oui c’est ça.
- Et vous êtes médecin ?
- Non je suis infirmier.
- Ah. Je me suis toujours demandé… Mais non laissez tomber.
- Quoi donc ? N’hésitez pas à demander si je peux vous éclairer sur un sujet.
Cette fois le pompier semble un peu gêné. J’ai même l’impression qu’il rougit. Je remarque qu’il a fini de se soulager mais pour autant il n’a pas rangé son sexe et le tient toujours d’une main. Moi aussi j’ai terminé mais comme lui j’attends pour remballer mon matériel.
- En fait c’est vrai ou pas ?
- De quoi vous parlez ?
- Ben vous savez… Vous êtes nus sous votre blouse ?
Je rigole, ce qui a pour effet de le détendre. Je le détaille un peu plus. Il est mignon, les traits fins. Il a de beaux yeux bleus. J’ose jeter un œil plus bas, et je vois entre ses doigts un beau sexe au repos, circoncis, qui a des dimensions normales. Lui aussi se met à rire.
- En fait je peux pas vous répondre, c’est un secret professionnel…
- Ah bon ? Dommage. Depuis le temps que je me pose la question. Pour une fois que j’ose la poser à quelqu’un qui a la réponse…
- Après si vous êtes vraiment curieux de savoir. ... ?
- Oui, j’aimerais beaucoup savoir.
Je remets mon sexe dans mon pantalon et sans refermer ma braguette, je lui fais un clin d’œil et je me dirige vers la cabine. J’entre sans fermer la porte et j’attends. J’entends le pompier tirer la chasse d’eau de son urinoir, et se laver les mains. Je me demande s’il va me rejoindre ou au contraire s’enfuir des toilettes. Mais très rapidement il entre dans la cabine. Il prend bien soin de verrouiller la porte et me regarde en souriant, les yeux pétillants de malice.
Je lui tourne le dos et j’ouvre mon pantalon. Je le fais tomber sur mes chevilles. Je soulève mon tee-shirt pour qu’il puisse bien voir et je lui dévoile mon boxer rouge.
- Alors ? pas trop déçu ?
- Ben si un peu…
- Et je peux vous assurer que mes collègues féminines dans les hôpitaux infirment la légende. En tout cas autant que dans la population générale…
- C’est dommage, l’idée me plaisait bien.
- Et la légende comme quoi les pompiers sont des chauds lapins ?
- Ah ça ! Pour mes collègues je sais pas. Mais moi…
En disant ça il pose une main sur mon postérieur et commence à me caresser les fesses. Je me cambre pour lui montrer que j’apprécie le geste et l’inviter à continuer. Le militaire s’enhardit et baisse mon boxer pour dévoiler ma raie et la caresser avec ses doigts.
Puis il retire sa main et plaque son bassin contre moi. Je sens contre mes fesses le tissu de son uniforme et je devine une bosse assez volumineuse. Il se frotte un peu pour que je sente bien son sexe durcir dans le pantalon.
- En tout cas moi quand j’ai une occasion de baiser, j’en profite…
- Hum. Moi aussi.
- Tu veux mon gros tuyau de pompier ?
- Oui ! Je suis curieux de savoir comment tu manipules ta lance à incendie…
Le pompier se recule un peu et je l’entends qui défait son pantalon. Je tourne la tête et je le vois baisser pantalon et boxer sur ses chevilles, et laisser se déployer son sexe à l’air libre. Cette fois le membre a bien grossi. Il fait environ dix-sept centimètres, d’épaisseur normale, avec un gland un peu plus large, Il se dresse fièrement, lisse et rigide. Ses testicules poilus pendent entre les cuisses.
Je me dis que je vais me régaler en suçant ce beau membre. Mais avant que j’aie le temps de me retourner pour m’agenouiller, le militaire se plaque à nouveau contre mes fesses. Cette fois sa bite bandée se loge entre mes fesses et il la fait coulisser lentement. Il se penche pour me murmurer à l’oreille :
- Tu sens comme elle est bien dure ?
- Oui.
- J’ai envie de ton cul.
- Et moi de ta queue !
- T’as une capote ?
- Non, je baise pas au boulot !
- Putain ! J’ai trop envie de t’enculer !
Il continue de frotter sa bite contre moi. Puis il la prend d’une main et pose son gland contre mon trou. Il exerce une petite pression et quand il sent que je commence à m’ouvrir, il cesse d’appuyer. Il recommence son jeu plusieurs fois. Puis je l’entends cracher dans sa main et me mouiller la rondelle avec sa salive. Il appuie à nouveau son gland mais cette fois au lieu s’arrêter au dernier moment, Il fait céder mon anneau et fait entrer son gland en moi. Sous la surprise je pousse un petit cri. Il me bâillonne aussitôt avec son autre main, et continue sa pénétration. Je sens son sexe glisser lentement dans mon rectum, jusqu’au moment où son pubis se colle contre mes fesses. « Putain j’avais trop envie, et t’inquiète pas je suis clean ! »
Sa main qui a lâché son sexe se pose sur mon ventre, et il commence à me limer doucement. Je sens bien son sexe qui me remplit et me donne rapidement des vagues de plaisir. Je l’entends souffler fort à mon oreille. Contre mon dos je sens à travers le tissu son corps musclé. Il me tourne la tête vers lui et je le vois me sourire.
- Putain ton cul est trop bon !
- Et ta bite me remplit bien !
- Tu la sens bien ? Tu aimes comment je te baise ?
- Oh oui, je la sens bien, elle est trop bonne !
- T’aime ça le tuyau de pompier !
- Oui, tu te sers trop bien de ta lance !
Le sapeur accélère le rythme de ses va et vient. Je sens maintenant ses couilles qui frappent doucement mes fesses à chaque ruade. Ses mains se posent maintenant sur mes hanches qu’il saisit fermement, pour bien s’enfoncer en moi. Il laisse s’échapper des râles de plaisir en me besognant. Au bout de quelques minutes, son ramonage devient encore plus rapide et puissant. Il finit par me pilonner sauvagement en grognant fort
- Je vais bientôt jouir ! Tu veux mon foutre où ?
- Dans mon cul ! Inonde-moi avec ton jus !
- Je vais te remplir !
Il me baise encore quelques instants à un rythme soutenu. Et dans un long gémissement, il s’enfonce en moi et libère plusieurs jets de sperme chaud. Je sens sa semence qui me remplit le ventre en plusieurs vagues. Puis, avec un ultime frisson, il s’affale sur mon dos.
Mon pompier reste inerte quelques secondes, puis il reprend ses esprits et se redresse. Je sens en moi sa bite qui palpite encore doucement et commence à ramollir. Il s’extrait doucement de mes fesses. Quand son gland quitte mon trou, je serre les fesses pour garder son foutre en moi.
Je me retourne aussitôt et me mets à genoux devant lui. Je vois sa bite à demi-molle qui luit, couverte de son sperme. Une grosse goutte pointe encore à son méat. J’ouvre la bouche et je la fais glisser entre mes lèvres. Je l’avale entièrement, et une fois bien engloutie, j’aspire doucement pour déguster le sperme. « Oh oui, nettoie bien ma queue ! »
Une fois son sexe totalement débarrassé du jus viril, je le libère et je lui souris fièrement. Le militaire se penche pour attraper son pantalon et le remonte. Il commence à se rhabiller en me souriant. Je me relève et me rajuste moi aussi.
Une fois son uniforme totalement remis, le sapeur me dit juste « Merci ! ». Il sort de la cabine et rejoint ses collègues. J’attends encore quelques instants avant de rejoindre mon bureau. Je l’ai croisé une dernière fois en train de parler avec d’autres pompiers. Je lui ai lancé un sourire discret, et je l’ai vu rougir tout en continuant de parler…
Nonodt92
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