Cette aventure date de ma lointaine jeunesse… C’était une période durant laquelle j’enchainais les rencontres en essayant d’assouvir mes très nombreux envies et fantasmes.
En ce beau dimanche ensoleillé de mai, je dialogue avec un mec qui est dans mes gouts, hétéro marié, actif… Il ne peut pas se déplacer, car il est à son travail, mais peut me recevoir durant ses heures de boulot. Intrigué je lui demande quel est son métier. Il est gardien d’un ensemble de bureaux. Il est seul à surveiller des écrans, s’assurer que personne n’entre dans les locaux vides. Donc il s’ennuie ferme en plus d’être excité.
Il est en costume cravate (tenue règlementaire de sa boite de sécurité). Je lui avoue que les mecs en costard m’excitent beaucoup (en plus des mecs en uniforme…). Lui me dit qu’il n’a jamais baisé en costume, et encore moins sur son lieu de travail, mais que ça l’excite bien d’essayer. Il se permet de m’inviter, car les lieux qu’il surveille sont vraiment très calmes et personne ne risque de nous surprendre…
Je le rejoins donc dans le sous-sol de bâtiments déserts. C’est un mâle d’environ 1m80, baraqué (environ 90 kg de muscles), genre rugbyman, brun aux cheveux courts, presque coupe militaire, aux yeux bleus, visage carré, mais doux, un sourire très enjoué. Il porte un costume noir qui met bien en valeur son postérieur qui semble ferme, une chemise blanche qui sans être moulante laisse deviner un torse puissant et musclé, et une veste noire aussi qui accentue la largeur de ses épaules. Des chaussures noires bien cirées finissent ce portrait au carré. Il émane de lui une puissance et une virilité incroyables.
Il m’emmène dans son local de surveillance. Il s’agit d’une petite pièce où on y trouve un large bureau sur lequel sont alignés 6 écrans de surveillance. On y voit en direct le parking et les bureaux. La lumière des néons, et l’absence de fenêtre donnent un aspect de quartier pénitentiaire. Dans un coin de la pièce, je vois une petite table avec une unique chaise, une cafetière et un mini réfrigérateur.
D’une voix chaude et virile, mon hôte me propose un café. Nous parlons un peu pour finir de nous présenter. Il a trente ans, marié depuis cinq ans, père de deux enfants, mais depuis longtemps il aime le sexe avec les hommes. Il a peu d’expériences, car il s’est décidé à passer à l’acte que récemment. Il finit par me préciser que même s’il a pu déjà expérimenter pas mal de choses, il n’avait pas encore testé la sodomie, et que sur ce sujet il ne se sent pas du tout passif…
Il me dit aussi, par rapport à mes gouts, que jusqu’à présent l’idée de baiser en costume-cravate ne l’avait jamais effleuré. Mais à mes côtés il ressent un plaisir fort et particulier, nouveau. Il ne sait pas trop si c’est le fait d’envisager du sexe sur son lieu de travail, ou sa tenue, ou les deux…
Nous continuons de faire connaissance. Comme à mon habitude avec les hétéros peu ou pas du tout expérimentés, j’attends un geste ou un mot de sa part qui me dit qu’il veut passer à l’acte. Il est sympathique et la discussion est agréable avec lui, mais je sens qu’il a encore besoin de se rassurer, de se mettre à l’aise.
Il finit par me dire qu’il est l’heure pour lui de faire une ronde dans le parking. Je suis un peu surpris, et je m’apprête à l’attendre seul dans le bureau. Mais à mon grand étonnement il me m’invite à le suivre.
Nous parcourons un dédale de couloirs et d’escaliers. Il fait sombre et bien frais. Soudain il se retourne brusquement et me serre dans ses bras pour m’embrasser à pleine bouche. Je me sens prisonnier de ses bras puissants, et sa langue explore d’abord timidement ma bouche. Puis il prend rapidement de l’assurance et me roule une pelle virile et tendre. Ses mains caressent mon dos, et descendent vers mes fesses. Il frotte son bassin contre le mien, et je sens une masse prendre du volume dans sa braguette. Je sens contre ma bite dure un assez gros morceau qui se frotte. Hum, mon vigile semble être très bien monté…
Il soupire et libère ma bouche. Ses yeux pétillent de joie. Il m’avoue n’avoir jamais embrassé un homme avant, mais qu’il a bien aimé ça. Encore une fois il me surprend en se retournant et en poursuivant sa ronde comme si de rien n’était. Je marche derrière lui. Je me dis qu’avec la forte érection que j’ai sentie dans son pantalon, il a envie d’aller plus loin. Mais avec ce côté très professionnel qui domine, je me demande quand je vais passer à la casserole ?
Nous arrivons dans le parking. Il est presque vide. Nous traversons les places de stationnement, passant devant quelques rares voitures haut de gamme. Après plusieurs mètres, il se retourne et me fait signe de le suivre. Il se dirige dans un coin de mur, derrière une grosse berline. Il sait peut être qu’il s’agit d’un angle mort des caméras, juste au cas où.. ?
Je viens vers lui et il reprend son baiser. Cette fois il est plus sûr de lui et sa langue n’hésite pas en passant mes lèvres. Ses mains défont fébrilement ma ceinture et ouvrent mon jean. Rapidement, il me baisse pantalon et slip le plus bas possible sur mes chevilles. Je sens immédiatement l’air frais sur mes fesses, ce qui me donne la chair de poule. Mais ses mains viennent immédiatement me les réchauffer en me pelotant fermement. Pour un débutant, il trouve très facilement ma rondelle qu’il masse doucement.
Pendant ce temps mes mains ne restent pas paresseuses. Avec l’une je lui caresse la poitrine par-dessus sa chemise. Je sens à travers le tissu le torse ferme, les muscles durs parcourus de frissons. Mon autre main caresse sa braguette. Je sens un gros et long sexe derrière ce pantalon. Il est complètement bandé. Je commence à le branler doucement à travers le vêtement. Il gémit aussitôt.
Après un court instant, il me fait cesser le mouvement de branle sur sa queue. Il me dit sur un ton gêné : « S’il te plait, arrête ! Je commence à mouiller et faut pas que je laisse des traces sur mon… ! ». Je devine sa préoccupation. Je lui dis que j’ai une solution. Il est surpris et se demande de quoi je parle.
Je m’agenouille sans rien dire face à lui. Du moins face à la braguette complètement déformée par l’outil qui s’y cache. J’ouvre la fermeture éclair et je plonge ma main dans l’ouverture. Il porte un caleçon avec une ouverture sans bouton, ce qui explique que son sexe peut aisément se déployer dans le pantalon. Sans ouvrir plus le vêtement, je sors avec difficulté une belle bite bien rigide, environ 19 cm et assez large. Elle est bien droite et veinée. Sur le dessus un gland très large est encore recouvert par le prépuce. Pour qu’il soit plus à l’aise, je sors aussi par la braguette du caleçon et du pantalon sa paire de couilles velues. Elles sont bien grosses et lourdes. Cet outillage est décidément bien proportionné par rapport à son propriétaire !
Mon vigile se laisse totalement faire en silence. Je fais glisser doucement la peau afin de ne décalotter que le méat. J’y découvre une grosse goutte translucide qui commence à couler aussitôt vers le sol. En effet j’ai affaire à un bon mouilleur ! J’ai de bons réflexes, et langue en avant je récupère cette perle de liquide pré-spermatique. Je remonte le long du filet pour titiller la fente du gland du bout de ma langue.
Il laisse s’échapper un « Hum ! » de plaisir à ce contact, qui se transforme en « Oui ! » de satisfaction quand je gobe son gland. Je descends mes lèvres sur ce membre chaud et dur le plus loin possible. La bête est quand même très grosse, et à l’époque je n’avais jamais expérimenté la gorge profonde, aussi je ne peux avaler l’organe que sur ses trois quarts. Je lui caresse les couilles en démarrant ma pipe. Des gémissements de plaisir me confirment qu’il apprécie ce traitement.
Après quelques minutes de fellation, je sens que mon gardien prend bien son pied et peut approcher de la jouissance à tout moment. Je ralentis ma suce pour profiter de ce beau sexe le plus longtemps possible. Il me regarde en souriant, il me demande en murmurant : « Tu veux bien prendre mon sperme ? J’en ai très envie… ». Il est si craquant avec ses yeux d’ange et son sourire, et il demande si gentiment, que je ne peux pas lui refuser ça. Alors je libère sa queue de ma bouche et en le fixant dans les yeux je lui dis « Avec plaisir ! ».
Je m’apprête à emboucher à nouveau sa bite, en me préparant à déguster son bon jus de mâle. Mais avant que je ne puisse esquisser un mouvement, il me saisit sous les épaules pour me relever, il me retourne vers la voiture et penche mon buste sur le capot. Mes fesses sont offertes, et il s’en approche. Tout se passe vite et je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit quant au quiproquo.
Mon vigile, toujours totalement vêtu de son costume-cravate, juste le sexe dur et les couilles dépassant par la braguette ouverte, pose très précisément son gros gland sur ma rondelle. Décidément il a le geste précis pour un débutant ! Il pousse doucement, mais le diamètre de son obus, et l’absence de préparation, font qu’il reste bloqué à l’entrée. Je crache un peu de ma salive dans la paume de ma main et je me badigeonne le trou avec. Pendant ce temps il suit mon exemple et enduit son gland avec sa salive. C’est un peu sommaire, mais ça aidera.
Il pose encore son gland sur ma rondelle. Je sens en plus de la salive qu’il continue de mouiller sur mon trou, et ajoute du lubrifiant naturel… Il pousse un peu et son gland entre. Je retiens un cri de douleur. Il est quand même très large ! Il continue sa progression très lentement. Je souffre en silence. Et il cesse enfin tout mouvement. Je sens contre mes fesses ses grosses couilles qui s’écrasent dessus. Il est totalement en moi. Sa grosse bite me remplir bien jusqu’à la garde.
Il s’agrippe des deux mains à mes hanches et commence à aller et venir doucement, lentement. La douleur s’estompe vite et je ressens à la place un immense plaisir. Je sens bien son sexe qui me remplit les fesses, le volume du membre me procure un plaisir incroyable, que j’exprime par de longs gémissements.
Lui aussi se met à gémir et râler d’extase. Et, toujours en me maintenant par les hanches, il accélère ses coups de reins pour rapidement me pilonner le cul en force.
Mais très rapidement il atteint le point de non-retour. Moins de cinq minutes après m’avoir pénétré, il dit : « Putain ça vient ! ». Il donne encore trois coups de queue puissants qui me font sursauter sur le capot sur lequel je suis appuyé, et il se plante le plus profondément possible dans mes fesses. Il étouffe un râle de plaisir et je sens en moi sa bite qui tressaute de nombreuses fois en expulsant une grande quantité de semence chaude.
Je sens le corps du gardien parcouru de frissons. Son orgasme semble de toute évidence se prolonger bien au-delà de son éjaculation. Il reste un bon moment encore planté en moi. De petits spasmes le font bouger de temps en temps. Je sens dans mes fesses sa bite qui commence à ramollir et dégonfler… Il finit par reprendre son souffle, il me fait relever le torse pour me serrer dans ses bras et me murmure à l’oreille : « Pardon j’ai joui trop vite ! Mais c’était trop bon ! Je n’ai jamais joui comme ça ! ». Je lui réponds que ce n’est pas grave. « Je vais faire mieux la prochaine fois ! »
Je me dis tiens, il veut déjà me revoir alors qu’il ne s’est même pas retiré ! Il a vraiment aimé !
Justement je sens qu’il recule doucement pour se sortir sa bite de mes fesses. Il semble hésitant, maladroit. Je devine qu’il cherche un moyen de se retirer sans faire de traces suspectes sur le devant de son pantalon. Alors, en expert, je saisis par derrière la base de sa bite. Elle est déjà beaucoup moins volumineuse ! Je sors le reste de son sexe et je me retourne aussitôt et je me penche dessus. Je l’engloutis sans attendre et je déguste son sperme. Je nettoie bien sa queue qui finit de débander dans ma bouche, en caressant ses couilles qui semblent un peu moins gonflées. Il frissonne quand ma langue titille son gland. Il me dit qu’il est très sensible après avoir joui !
Le nettoyage étant complet, je libère sa bite maintenant flascide, et je la remets dans le caleçon. Je lui ferme lentement la braguette et je me redresse. Il me sourit et me gratifie d’un « Merci. » D’une main sur son entrejambe il réajuste bien son service dans son pantalon, pendant que je me rhabille.
Nous finissons la ronde sans un mot. Nous retournons dans le poste de sécurité. Il me propose un autre café que j’accepte volontiers. Et il me dit qu’il a adoré me sodomiser, que la sensation était fantastique, et que quand il a joui son plaisir était incroyable. J’en profite pour lui dire que nous ne nous sommes pas bien compris et que ce n’était pas raisonnable de ne pas avoir mis de capote. Il s’excuse et me rassure qu’il est sain. Et il avoue que sur le moment l’idée d’éjaculer en moi l’excitait très fort et qu’il en avait trop envie. Il ne s’était jamais senti si empressé, limite bestial. Le fait de baiser en costard peut-être ? Il admet que de le faire tout habillé lui avait donné une force inconnue jusque là.
Après un bon moment, il me dit le plus simplement du monde qu’il veut encore me baiser. Pour toute réponse je viens l’embrasser en lui palpant la braguette. En effet je sens sous mes doigts que sa bite reprend de la vigueur et gonfle rapidement. Alors cette fois je défais sa ceinture et ouvre son pantalon. Il tombe tout seul sur ses chevilles. Son caleçon blanc est tendu par la queue affamée.
Je fais descendre le sous-vêtement sur les chevilles aussi, et je suce cette superbe bite, dont le gros gland commence déjà à mouiller d’excitation. Je caresse ses fesses nues et poilues. Elles sont bien fermes, musclées. Je l’entends gémir et me dire comme il adore que je le suce.
Je le suce de longues minutes. Puis je me relève et me déshabille. Il en profite pour me caresser et m’embrasser. Je me mets totalement nu. Puis je saisis la cravate du vigile et je commence à la tirer pour le guider, comme d’une laisse. Il résiste le temps de se débarrasser prestement de ses chaussures, son pantalon et son caleçon. Et c’est cul nu qu’il me suit. Il a toujours sur lui sa chemise et sa veste.
Je me dirige devant le bureau. Je lâche la cravate et me retourne face aux écrans. Je me penche en avant sur le bureau, offrant mes fesses que j’écarte avec mes mains. Il me surprend en me disant : « Euh, si tu préfères je mets une capote ! ».
Je lui réponds que c’est un peu tard maintenant, et je lui demande ce que lui veut. Pour toute réponse il s’avance sans attendre et me pénètre d’un coup jusqu’à la garde. « C’est meilleur sans ! »
Il remonte sa chemise pour ne pas être gêné et entame un limage toujours en puissance. J’ai bien senti sa grosse queue passer. Mais la première sodomie m’avait laissé bien ouvert, et la grande quantité de sperme dans mes fesses a facilité cette seconde introduction. Aussi la douleur était beaucoup plus supportable et s’est presque immédiatement transformée en plaisir intense.
Il me prend à nouveau par les hanches et me lime bien fort. Il gémit de plaisir et sa voix virile est accompagnée par le bruit de ses couilles qui claquent contre ma peau. Il me dit qu’il aime me baiser, que c’est trop bon, qu’il est bien serré dans mon cul…
Cette fois il me possède un bon moment. Il garde un rythme de va-et-vient soutenu. Il est infatigable ! Puis il se retire. Il me dit de me mettre sur le dos. Je me retrouve les jambes en l’air, bien écartées. Mon vigile retrouve sans peine le chemin vers mon trou, et s’y enfonce d’un coup.
En démarrant un ramonage encore puissant, il écarte mes jambes qui se retrouvent sur ses épaules. Il se penche sur moi et m’embrasse. Sa cravate me gêne et me chatouille le menton. Alors, sans arrêter de me baiser, il défait le nœud et jette le bout de tissu sur le côté. Il se penche à nouveau et me roule une pelle endiablée.
Cela doit faire vingt bonnes minutes qu’il me baise sans diminuer le rythme de son limage. Sa grosse bite me procure un bien fou à chaque passage. Surtout son gland que je sens bien en moi. Il me prend ma bite qui dégouline de mouille. Et il me branle sans ménagement en me regardant dans les yeux comme pour guetter ma jouissance. Avec le plaisir que je prends depuis un long moment grâce à son gros membre, je sens que je vais vite juter.
Je le préviens. Il cesse son ramonage sportif de mes fesses, et s’applique à me branler. Il lit sur mon visage le moment où mon jus monte et il enferme mon gland dans sa main. J’éjacule comme un fou en gémissant très fort. Il recueille un maximum de mon sperme dans sa main, mais je jouis une sacrée quantité et ça coule entre ses doigts. Il me regard prendre mon pied en souriant.
Une fois le dernier jet dans sa main, il retire sa grosse bite de mes fesses et badigeonne son gros gland avec mon foutre. Il fait glisser sa main dessus quatre ou cinq fois, puis il me pénètre à nouveau d’un coup. Et il reprend sa sodomie avec encore plus d’énergie. Il frotte sa main sur mon pubis pour étaler ce qui reste de mon sperme dans mes poils.
Il gémit rapidement encore plus fort. Il me regarde et je lis sur son visage qu’il prend véritablement un plaisir fou. Puis son visage se crispe. Il ferme les yeux et entre deux râles il crie presque : « Je viens ! Je vais te remplir ! Je vais te mettre mon foutre ! ». Encore essoufflé par mon orgasme, je parviens à lui répondre : « Vas-y jute dans mes fesses, féconde-moi ! Je veux ton foutre dans mon cul ! ».
Il relève sa tête et se met à gémir très fort. Son corps se tend et se contracte. Ses coups de bassin se font plus rapides et profonds. Et je sens dans mes fesses qu’un liquide m’emplit. Il continue ses va et vient encore quelques instants, accompagnés de plusieurs « Oui ! » de délivrance.
Il cesse soudain son limage, il est essoufflé, exténué. Il plante bien sa bite à fond dans mon trou et m’embrasse. Je sens en moi sa grosse queue encore totalement rigide qui palpite au rythme de son pouls. Son sexe et son corps sont encore parcourus de frissons.
Il me regarde dans les yeux. Il est heureux, satisfait, repu… « Oh putain c’était encore trop bon. J’adore jouir dans tes fesses… ». Il me fait comprendre que sa bite est trop sensible après ce violent orgasme, et qu’il ne veut pas bouger pour le moment. Je lui maintiens les fesses avec mes mains comme pour l’empêcher de se retirer. Il comprend que j’aime le garder en moi le temps qu’il débande…
Après un bon moment de repos, empli de baisers et caresses, mon vigile parvient enfin à retirer son sexe mou de mes fesses. À contrecœur. Nous nous rajustons. Je le regarde remettre de l’ordre dans son costume. Il est vraiment d’une virilité incroyable dans cette tenue !
J’ai dû le laisser finir son service seul, mais les couilles bien allégées…
Nonodt92
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