Il y a quelques jours, j’ai dû prendre la route pour partir en Bretagne. Je devais partir en fin de journée, mais je suis passé chez des copains et, de fil en aiguille, je suis resté diner avec eux. Bref, je sors du dîner à presque 2 h du matin! comme j’étais plutôt en forme, je décide de prendre la route, me disant qu’ainsi je n’aurai pas de circulation.
Une fois sur l’autoroute, pour éviter de m’assoupir, je décide de conduire pieds nus et enlève donc chaussures et chaussettes. Rapidement, me viens l’idée de me masturber au volant, ce qui contribuera à me maintenir éveillé, même si un peu moins concentré (ce qui n’est pas très grave puisqu’il n’y a effectivement personne sur la route).
Après avoir commencé à me caresser la queue et les couilles, je décide de me foutre intégralement à poil, pour être plus à l’aise. De toute façon, il fait nuit et il n’y a personne. Je retire donc short, caleçon et chemise, tout en conduisant, ce qui n’est pas très prudent, et me voilà, complètement nu, la bite bien raide, le gland décalotté, les jambes assez écartées (ma voiture est une automatique) en train de me branler en conduisant. Et bien c’est très agréable !
Au bout de 100/150 km, la pression commence à monter et je ressens le besoin de gicler. Je me dis que ce serait plus agréable de s’arrêter un moment, pour que je puisse finir de m’astiquer la bite et bien profiter de l’orgasme. Je décide donc de m’arrêter à la prochaine aire de repos (sans station service).
Il est 4/5 h du matin, il fait encore nuit mais comme on est fin juin, le jour commence à poindre. Je m’arrête dans la zone voiture (déserte à cette heure), pas très loin de la zone camion, sur laquelle il y quelques poids lourds arrêtés pour la nuit.
Me prend l’envie de sortir de la voiture. La nuit est douce, il n’y a pas un bruit en dehors de quelques oiseaux qui s’éveillent. Je marche pieds nus dans l’herbe fraiche, la bite bien tendue par l’excitation de cette situation improbable…
Je regarde les camions, et me prend à espérer un routier réceptif à un moment sensuel et coquin. Je me place à 50 m devant les camions, et me branle ostensiblement devant eux. C’est super excitant ! au bout de quelques instants, je vois une lumière dans un habitacle s’allumer, je me rapproche un peu et… je vois la porte passager s’ouvrir. Je me dirige donc vers le camion, toujours complètement à poil, et me glisse dans la cabine, où je découvre Diego…
Ca sens l’homme, c’est très excitant, Diego est juste en caleçon et tee shirt. Il était allongé sur la banquette et me fait un peu de place. Il saisit immédiatement ma queue et commence à la caresser. Il est italien, parle très mal français et moi très mal italien. Peu importe, on a pas trop besoin de parler… je lui retire caleçon et tee shirt, il bande déjà, et moi toujours. C’est plutôt un beau mec d’environ 35 ans, un brun poilu et barbu comme je les aime. Je commence à le sucer (sucer un chauffeur de poids lourds, un vieux fantasme !), il me caresse les cheveux en me disant des choses gentilles en italien.
On a pas énormément de place, mais on arrive rapidement à se mettre en 69, c’est super agréable. Diego suce très bien et a une très belle bite avec de grosses couilles très poilues, que je caresse en lui limant la queue.
Depuis le temps que je me branle, très excité par cette situation et par ses coups de langue sur mon gland, je sens l’orgasme arriver, et dans un gémissement, me mets à lui envoyer sur le visage, la barbe et le cou de longs jets de sperme chaud… ça a l’air de l’exciter car il ne tarde pas à gicler abondamment et longtemps, un vraie fontaine de sperme, en accompagnant ça d’un puissant râle hyper sexy…
On s’allonge l’un contre l’autre, trempés de nos jus encore chauds. Maintenant, dans le camion, ça sens l’homme et le sperme…
On parle un peu. Je comprends qu’il arrive de Milan et va jusqu’à Saint Brieuc. Il me tient puissamment dans ses bras, en me caressant délicatement un téton, j’adore… je sens sa bite et ses couilles contre les miennes, je suis bien.
Au bout d’un bon moment, il me dit qu’il va devoir y aller. Je réalise alors qu’il doit être plus de 6h, qu’il fait jour, et que je suis à poil à environ 100 m de ma voiture… il a compris mon embarras, et ça nous fait rire tous les deux. J’en profite pour embrasser sa belle bouche et sentir sa langue contre la mienne, en l’enlaçant.
Quelques caresses et quelques baisers plus tard, voyant que c’est toujours calme dehors, je décide de sortir et part en courant vers ma voiture. Je sens l’air frais sur le sperme encore humide sur mon corps, ma bite et mes couilles se balançant à chaque foulée, l’herbe humide de rosée sous mes pieds.
Je rentre vite dans ma voiture. Il y a un peu de mouvement sur l’aire, j’ai l’impression que certains m’ont vu (ce que je trouve assez excitant en fait).
Le camion de Diego démarre et me fait un appel de phares. Je me rhabille tranquillement, avec encore sur moi l’odeur de son corps et de sa semence…. Puis je pars pisser dehors, très détendu. Il fait grand jour, le trafic est un peu plus soutenu.
Je reprends le volant. Au bout de quelques kilomètres, je rattrape le camion de Diego, on se fais quelques appels de phares, il sort son bras de la fenêtre pour me saluer.
Je m’éloigne en pensant à sa belle bite et à notre étreinte…
Alex
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