C’est l’hiver, alors je vous raconte une autre de mes rencontres sur la plage l’été dernier.
C’est une plage naturiste en Bretagne, près de Vannes (le Kerver pour les habitués ou les intéressés). Il y a une zone gay, sur laquelle on peut faire de jolies rencontres.
Un jour de très forte chaleur, en juillet, je débarque sur la plage vers 17 h. sans surprise, vue la chaleur, je vois beaucoup de mecs à poil, pour mon plus grand plaisir.
Sur cette plage, j’aime mater, être maté, baiser et (accessoirement) bronzer et me baigner ! je me fous à poil en sentant quelques regards se poser sur ma bite, ce qui me donne un petit début d’érection bien agréable. Après m’être ostensiblement tartiné de crème (surtout le cul et la queue), je pars me baigner. J’adore nager à poil, sentir l’eau fraiche sur ma raie, mes couilles et ma bite en liberté dans l’eau. La mer est super chaude (du moins pour la Bretagne), c’est très agréable.
De retour sur la plage, je croise un mec que j’ai déjà vu, on s’installe à coté l’un de l’autre. Il est superbement et intégralement bronzé, il doit passer toutes ses journées à la plage, à poil! Tout en discutant, on se caresse la bite et nous voilà l’un et l’autre avec une belle trique. Je le décalotte, son gland est bien mouillé… Il sait que je gicle énormément et aimerait bien me branler, il doit bientôt partir. Je ne suis pas contre, surtout que ça à l’air de bien l’exciter, mais je viens d’arriver et je trouve ça un peu rapide! Après quelques caresses, il regarde sa montre et me dit qu’il doit partir. Tant pis, l’été sera long, on se reverra.
Me voici à nouveau tout seul, pas mal excité par ce premier contact. Mon regard se porte alors sur un beau mec qui vient d’arriver. 30/35 ans, svelte, apparemment bien musclé, blond bouclé avec une légère barbe, pas très bronzé, il ne semble pas être habitué des lieux, ce qui n’est pas pour me déplaire. Il s’est installé près de l’eau, sur le sable mouillé. Lorsque je le vois se diriger vers l’eau, je m’empresse de lui emboiter le pas. Je mate son sexe qui affleure la surface de l’eau, de temps en temps immergé par une vague, c’est très excitant. J’engage la conversation en lui disant combien l’eau et bonne, il me répond que c’est une soirée extraordinaire. Quelques banalités plus tard, on sort de l’eau en continuant à discuter, nus, l’un en face de l’autre. Je lui propose de poursuivre la discussion près de moi sur le sable sec, il me répond un peu gêné qu’il n’est pas sûr : « peut être tout à l’heure » me dit-il.
Je remonte sur ma serviette, en me disant que tout n’est pas encore perdu. C’est effectivement une soirée extraordinaire. Il est plus de 20h, il fait encore chaud, il n’y a pas un souffle d’air. Il reste encore quelques hommes à poil sur la plage, ce qui n’est pas si fréquent à cette heure. Je regarde ce beau garçon assis près de l’eau, qui se tourne de temps en temps pour regarder dans ma direction.
Au bout d’un (long) moment, je le vois qui rassemble ses affaires pour… venir vers moi. Yes ! en arrivant, il me prévient, toujours gêné, qu’il s’assoie juste 5 mn, pour parler, et qu’il n’est pas gay. Je le mets à l’aise en lui disant que je suis bi. Pour le mettre en confiance, je lui raconte mon histoire : dépucelé à 18 ans par un homme de 30 ans, je navigue depuis entre les hommes et les femmes, si je suis honnête plutôt les hommes depuis quelques années (j’en ai 50).
Julien (c’est son nom), me dit qu’il a été marié, qu’il a un garçon de 10 ans, et une copine. Il vit en Suède, un pays où le naturisme estival est très pratiqué. De retour pour les vacances dans sa Bretagne natale, il a voulu s’essayer à son tour au naturisme.
Je me dis que ça n’est pas gagné coté baise, mais à vrai dire, je prends plaisir à cet échange …
Puis la discussion prend un autre tour. Il me dit qu’il n’a jamais baisé avec un mec, mais qu’il a un copain avec lequel il sent parfois une ambiguïté réciproque. Je lui dis qu’on peut aimer les hommes et les femmes (je suis bien placé pour ça) et qu’il devrait essayer pour savoir si ça lui plait. J’ajoute malicieusement qu’il n’aura aucun mal à trouver un partenaire, mignon comme il est. Il me remercie et ajoute timidement que je suis pas mal non plus. Un silence s’installe, qui m’a semblé durer très longtemps, avant qu’il ajoute : « mais, ça te dirait de faire mon initiation ? ».
Il ne fallait pas me le dire deux fois ! je commence à lui caresser la cuisse, et remonte doucement vers ses couilles charnues et poilues, et sa bite, qui gonfle instantanément. Une belle bite d’une vingtaine de centimètres, comme la mienne, circoncise, pas comme moi, mais j’étais déjà décalotté !
« ça a l’air de te plaire » lui dis-je en bandant comme un fou. « toi aussi » dit-il en matant ma queue bien raide. Il n’y a plus grand monde sur la plage, à part quelques mateurs et un couple d’hommes qui commence à se caresser en nous regardant. Je lui monte dessus, caresse son sexe avec le mien, en l’embrassant goulument. « c’est super bon » me dit-il. Je lèche ses tétons qui durcissent instantanément et lui font échapper des gémissements de plaisir. Je descends jusqu’à sa bite, que je prends en bouche, pendant qu’il serre ses cuisses autour de ma tête. Après une belle pipe je l’embrasse longuement. Je lui propose alors de me sucer. Je sens qu’il hésite mais il me laisse descendre sa tête jusqu’à ma queue, qu’il prend délicatement en bouche. Me faire ainsi sucer par un hétéro au soleil couchant sur la plage, je suis aux anges ! il semble apprécier ma queue, je gémis de plaisir en caressant ses beaux cheveux bouclés.
Ses fesses sont bien dessinées, douces et recouvertes d’un léger duvet blond. Je les caresse avec volupté, j’égare ma main sur sa raie, et aventure un doigt dans son anus, mais je comprends qu’il n’est pas forcément prêt à se faire prendre, la première fois. Qu’importe, on est déjà très excités tous les deux. Quelques galipettes, caresses et baisers plus tard, je sens son plaisir venir, et vois son gland rouge rubis décharger sur mon torse poilu de beaux jets de sperme épais et chaud, qu’il accompagne d’un râle de jouissance. A mon tour de faire gicler de longs jets de sperme sur sa bite, son torse, son visage (je suis une vraie fontaine quand je suis bien excité, et je décharge très loin…). On s’alonge l’un à coté de l’autre, main dans la main, couverts de sperme. « merci, c’était délicieux, quelle soirée incroyable » me dit-il. Il est plus de 22 h, le soleil est couché, le ciel violet et orange, la lune est levée, il fait encore très clair et incroyablement chaud. Nous allons nous laver de tout ce sperme en nous caressant sensuellement l’un et l’autre, et en nous embrassant.
Puis, nous nous rhabillons, et je lui souhaite de bonnes vacances. Il me dit qu’il n’est pas près d’oublier la soirée de son dépucelage ! J’ai beau être dépucelé depuis longtemps, je ne suis pas près de l’oublier non plus…
Alex
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