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Test PCR

Le mois dernier je suis allé passer un test PCR. J’avais entendu dire que certaines pharmacies faisaient passer des tests assez rapidement, donc j’en ai appelé une près de chez moi. Elle était à deux arrêts de tram, parfait. Au téléphone, le pharmacien me pose des questions et le rendez-vous est pris pour 18h45, le jour même. Timing impeccable, je n’aurais même pas à courir après ma journée de boulot.

Arrivé devant la pharmacie, j’attends. Le pharmacien veut que je l’appelle pour venir lui-même me chercher. Il faut éviter un brassage trop important de clients/patients à l’intérieur. Les portes automatiques s’ouvrent et un jeune homme d’une trentaine d’années m’accueille.

Bien que cela soit désormais difficile à évaluer par les temps qui courent avec ces foutus masques qui bouffent la moitié du visage, je le devine plutôt mignon. Grand, silhouette athlétique, cheveux bruns bouclés, yeux verts, je devine une barbe entretenue. Il porte un petit polo blanc estampillé du caducée des pharmaciens et du nom de l’établissement. Pas vraiment un temps pour porter ça en janvier, mais il laisse découvrir de jolis bras finement sculptés et des épaules solides. Il ne m’en faut pas plus pour être un peu émoustillé et ravi de me faire tester par un beau mec (tant qu’à faire…).

Dans la pharmacie, deux pharmaciennes à leur guichet sont avec deux clientes, une femme d’une soixantaine d’années est assise en retrait sur une petite chaise, elle attend le résultat de son test. Je salue poliment l’assemblée. Ambiance de pharmacie : c’est très calme, les pharmaciennes sont lentes et parlent comme si elles étaient shootées aux huiles essentielles. Pas la grosse éclat’ en somme.

« Je vous laisse entrer, ça va se passer ici, m’annonce le pharmacien en me désignant une minuscule pièce au fond.

J’entre. Les murs sont occupés par des étagères avec des médicaments et du matériel orthopédique. Au milieu de la petite pièce une chaise avec, à sa gauche une petite table basse sur laquelle repose un nécessaire pour effectuer des tests, enfin j’imagine.

« Asseyez-vous. Vous avez déjà fait un test ? me demande-t-il poliment.

- Non.

- Et vous disiez au téléphone être possiblement cas contact, c’est bien ça ?

- Oui…Enfin, une de mes collègues attend son test et elle n’est pas très optimiste, je voulais prendre mes précautions…

- Oui, ça se comprend. Jusqu’à maintenant, je n’ai eu que des tests négatifs.

- Espérons que vous continuiez sur votre lancée, alors, plaisantais-je.

Je vois ses yeux se plisser et deux fossettes apparaître au niveau de ses joues. Il a vraiment l’air beau. Foutu masque...

« Ne vous en faites pas, on dit que ça fait un peu mal, mais en réalité c’est surtout désagréable. Ce n’est pas une zone où on a l’habitude de pénétrer, donc forcément le corps réagi sous l’effet de la surprise. »

Tu m’en diras tant… « Euh, d’accord… ». Je souris bêtement à ce sous-entendu involontaire. Il semble avoir un petit rire lui aussi. Peut-être a-t-il pris conscience de l’ambiguïté amusante de sa phrase. Il me pose encore deux-trois questions de circonstance, sur d’éventuels symptômes, sur mes fréquentations, etc. Etant assis et lui debout, je ne peux m’empêcher de me retrouver à plusieurs reprises le nez devant son entre-jambe. Difficile de ne pas m’attarder dessus et de me faire des films.

Il s’arme de gants en latex et prépare le (grand !) coton tige et la petite languette du test.

Puisque décidément je suis assez séduit par ce pharmacien, je ne risque rien à paraître lourd face à quelqu’un que je ne verrai plus jamais d’ici 15-20min :

« Oulà, je ne pensais pas que c’était aussi gros, vous allez vraiment me rentrer ça ?

- Ne vous inquiétez pas, ça rentre toujours », me répond-t-il alors.

J’avoue que celle-là je ne m’y attendais pas. Impossible cette fois de déterminer si l’allusion est involontaire ou non. Je me risque à creuser un peu :

« Allez-y doucement alors, c’est ma première fois. »

Cette fois il rit franchement. Moi aussi. Il faut dire que là, l’allusion n’était pas finaude. Il se penche à ma hauteur, approchant son visage du mien :

« Je vais vous demander de baisser votre masque, s’il vous plaît. » Je m’exécute. « Juste sous le nez pour le moment, ce sera suffisant. » Pour le moment ? « Je vais m’introduire… Ne bougez surtout pas, gardez la tête bien droite, bien raide. »

Un peu too much, mais il me dit tout ça avec un tel sérieux, et en même temps d’un ton tellement étrange, que j’ai de la peine à ne plus y voir de sous-entendus. Difficile de clairement le cerner, d’autant plus que ce coton-tige interminable me titille la boîte crânienne (une horreur ce truc) ! Enfin le moment désagréable se termine. Il se retire délicatement. Sa deuxième main vient doucement se poser sous mon menton. Pour maintenir mon visage immobile ? Il se redresse. Ne dis rien. Il garde sa main sous mon menton. Une fois redressé je me retrouve de nouveau face à son entrejambe.

Là je dois dire que j’ai le sifflet coupé. Son jean est déformé par une énorme érection. Ajouté à cela qu’il ne prononce pas le moindre mot, j’ai mon rythme cardiaque qui commence rapidement à s’emballer. Il ne cache rien, c’est évident. Je devine son sexe se dessiner sur le tissu, épais, courbé, il me laisse tout le loisir de l’admirer. Plutôt inattendue cette consult’. Sa main, toujours sous mon menton, soulève mon visage. Il me surplombe, me fixe et je devine un petit sourire satisfait. Je dois avoir un regard ahuri assez amusant à voir. Craignant sûrement de ne pas avoir été assez clair, il presse son paquet d’une autre main et se rapproche de moi.

« C’est pas très Covid, finis-je par dire.

Et là tout s’enchaîne assez vite, il desserre sa ceinture, déboutonne son jean et le baisse rapidement. Tout cela en prenant un soin particulier à être le plus silencieux possible. Il pense même à retenir sa boucle de ceinture pour qu’elle ne cliquette pas. C’est un pro. Ce déshabillage express et fiévreux me file une érection fulgurante à moi aussi, et déjà je trépigne de pouvoir me jeter sur ce deuxième test offert par mon pharmacien. Un test buccal cette fois-ci.

Il me dévoile un petit boxer bleu et rouge, un peu petit pour ce qu’il a l’air de contenir. Je repère rapidement des cuisses légèrement poilues et musclées, je précipite une main vers son polo pour le soulever.

Mon pharmacien reste masqué, je n’en verrai pas plus de son visage, alors je veux me délecter du reste. C’est avec bonheur donc que je m’empresser d’aller embrasser et lécher de légers abdos et de descendre la ligne de poils sous son nombril. Il attrapa l’arrière de ma tête pour la coller contre lui lorsque mes lèvres arrivent au niveau du boxer. Je m’emplafonne contre son sexe dur et massif. Ses gestes sont précipités, il veut déjà faire descendre l’élastique de son boxer pour m’offrir son membre. L’attente du résultat du test PCR se faisant apparemment à l’extérieur de l’officine, je comprends l’urgence de la situation. Il ne faut pas traîner pour ne pas paraître trop suspects. Et à vrai dire, cela me convient très bien de ne pas perdre de temps, j’ai beaucoup trop envie de son sexe. Je recule donc ma tête et il fait aussitôt jaillir sa queue de son étreinte de tissu. Elle est enfin libre, et vu la taille, tant mieux pour elle, elle devait être sacrément comprimée dans ce petit boxer.

Je ne peux m’empêcher de diriger mon regard vers le pharmacien, son regard est fou. Excité par l’envie, l’urgence, la peur de se faire prendre, la fébrilité. Il semble apprécier cet échange de regards surplombés, il saisit sa queue et me gratifie de quelques à-coups sur le visage, contre ma bouche, il veut que je la gobe, il veut forcer l’entrée, il ne tient plus. M’attrapant par les cheveux cette fois, il se montre plus insistant : « Vas-y. Vas-y, bouffe-la ma queue », me murmure-t-il, « le coton-tige dans le nez ne te paraîtra plus si gros ». Je ne peux m’empêcher de sourire, lui aussi.

Alors, accompagnant la pression de sa main contre l’arrière de ma tête, j’ouvre la bouche et engloutit son énorme chibre. Il y va fort d’entrée. Une gorge profonde directe. J’adore ça, mais le faire silencieusement va être vraiment difficile, et après 3-4 va-et-vient dans les tréfonds de ma gorge, je comprends que mon pharmacien ne va pas me laisser beaucoup de moments de répit pour reprendre ma respiration. Je sens autour de mes lèvres son sexe chaud et dur comme la pierre, son manche nervuré et ses couilles se pressent contre mon menton.

Il me baise littéralement la bouche.

Il tient l’arrière de ma tête à deux mains et m’enfonce son membre toujours plus au fond de la gorge à chacun de ses coups de rein, à croire que m’étouffer avec sa queue est l’unique chose qui saura le satisfaire et le faire jouir. Je tente vainement de reprendre mes esprits en respirant comme je peux par le nez. Plus vraiment possible d’encaisser son membre en silence, mais je fais ce que je peux. Je sens mes yeux pleurer et ma mâchoire devenir douloureuse. Je pose mes mains contre ses hanches et cherche à me retirer. Ses deux mains derrière ma tête empêchent mon extraction. Je commence alors à gémir discrètement, mais mes supplications ne servent à rien, à part accroître son excitation. Je l’entends ricaner derrière son masque et il n’arrive plus à retenir quelques râles de plaisir.

Je me résigne donc à cette cadence d’enfer, faisant mon possible pour trouver suffisamment d’oxygène. Je sens son membre gonfler dans ma bouche et je dois dire que le plaisir de me faire dominer par cette grosse queue prévaut sur ma difficulté à reprendre ma respiration. Je veux goûter son nectar viril, qu’il me remplisse, qu’il se vide les couilles dans ma bouche. Je place donc mes mains sur ses petites fesses que je sens légèrement poilues et les agrippe avec passion. Il semble apprécier ma résilience et accélère davantage ses va-et-vient.

Alors que je pense être à deux doigts de mourir étouffé ou asphyxié, sa respiration se brise, ses fesses se contractent et il finit son limage de bouche pour maintenir sa bite le plus profond possible. Je sens un torrent salé me tapisser la gorge, chaud et épais. Tandis que ses longs jets de foutre finissent de m’abreuver, il me libère enfin de son membre brûlant et luisant de sperme pour que je puisse respirer. De longs filets de bave et de sperme pendent de ma bouche. Je suis à bout de souffle, tremblant de tout mon corps. Mon pharmacien saisit son membre luisant et me tartine le visage de son sperme.

D’une main il m’attrape de nouveau le menton, soulève mon visage vers lui et me murmure derrière son masque :

« Ton test est négatif, barre-toi au lieu de me faire perdre mon temps. ».

La bite toujours à l’air, en train de débander lentement, il me sort de l’imprimante mon résultat PCR et me le pose sur les genoux.

Je trouve heureusement un paquet de mouchoirs sur le petit meuble près de moi, je m’essuie le visage comme je peux, remet mon masque et sort de l’officine.

Impossible de dissimuler discrètement mon énorme érection.

Cocoww

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