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Manutention sous tension

Chapitre 1

« Madame, Monsieur,

Étant actuellement en reprise d'études, blablabla … Je souhaiterais financer mon projet d'avenir, blablabla … Votre entreprise me donne l'opportunité de concrétiser blablabla … Veuillez agréer blabla …

Cordialement,

Adam. »

Lettre envoyée !

Quelques semaines plus tard, une réponse et me voilà embauché pour un mois !

Pas très regardant sur le contenu du boulot pour une si courte période, je me retrouvais à un poste de manutention dans une grande entreprise. Ayant déjà eu des postes similaires dans le passé, je savais à quoi m'attendre dans le contenu de l'activité, mais aussi en ce qui concernait l'atmosphère de travail. C'était un milieu assez particulier qui, sans aucunement le dénigrer, regroupait des profils socialement assez modestes, pas toujours d'une compagnie très enrichissante. Principalement des hommes, des vrais, des machos, grandes gueules, bourrus, pas très fins et bruts de décoffrage.

Le premier jour, après un débrief', une remise à niveau sur l'utilisation des transpalettes électriques et des règles de sécurité, le boulot commença. Décharger, déplacer, soulever, compter, redispatcher, stocker et filmer. Je sentais que ça allait être long mais je ne suis pas du genre à me plaindre sur mon lieu de travail donc je faisais bonne figure.

Dans mon dépôt, on travaillait plutôt seul sur une zone. J’étais entouré de palettes, de colis et d'un flot discontinu d'autres employés et de caristes sur leurs grosses machines qui râlaient, riaient fort ou lançaient de remarques grivoises ou inintéressantes aux autres collègues sur leur passage. Je m'ennuyais assez vite malgré le rythme et l'effort physique que demandait mes tâches quotidiennes. Mes collègues ne s'intéressaient pas vraiment à un petit jeune qu'ils n’allaient côtoyer que quelques semaines, et réciproquement, c’étaient donc des journées plutôt solitaires qui s’enchaînaient.

Après une semaine de travail au même endroit, on m'annonça que l'on allait me réaffecter ailleurs « là où il y a besoin de plus de bras ». O.K., je bouge. Là ou ailleurs...

On m'envoya donc à un endroit de l'entrepôt, où de nouvelles têtes s'ajoutèrent au paysage. Un jeune homme m'accueillit et m'expliqua qu'il était responsable de cette zone. Il s'appelait Léo. Je fus en premier lieu frappé par son jeune âge. Il devait avoir autour de trente ans, à peine plus âgé que moi donc. Grand, fin, blond coupé court, je bloquai quelques secondes sur ses yeux bleus très clairs, ne pouvant de toute manière m'attarder ailleurs sur son visage masqué. Affublé, comme tous, de pompes de sécurité, je pus allègrement le jauger corporellement puisqu'il ne portait pas une tenue de travail informe comme celles données à tous les autres employés. Il était responsable, il n'était donc pas obligation de s'habiller comme les « sous-fifres ». Il portait un jean cintré qui laissait apparaître de longues jambes solides aux mollets musclées, et un T-shirt de sport en lycra qui soulignait un corps bien bâti par de probable dures années de labeur. Il m'expliqua ce que je devais faire, il avait une allure assez désinvolte, un ton dur et viril. Il collait parfaitement avec le cadre dans lequel il travaillait. Très masculin, il dégageait un je-ne-sais-quoi qui me troubla assez rapidement.

Tandis que je commençais mon travail en sa compagnie, je ne pus empêcher des dizaines de pensées me traverser l'esprit, je m'attardais sur son corps quand il bougeait, sur son cul quand il se baissait devant moi, et j'eus même le bonheur de me retrouver dans une position de travail où je fus accroupi près de lui, ce qui me permis de jeter de discrets regards sur son paquet, bien moulé dans son petit jean. Il ne devait pas s'être préparé à mettre les mains dans la poussière aujourd'hui : Ses vêtements propres ne le restèrent pas longtemps.

Dès le lendemain, Léo se pointa avez une tenue bien plus appropriée pour le travail que j'effectuais. Un short de sport qui lui moulait bien trop les fesses et manqua de me provoquer une érection. En me saluant, il m'annonça qu'on avait du retard sur nos commandes et qu'il me filait un coup de main : j’étais évidemment ravi. Même si le rythme était soutenu, Léo ne se gêna pas pour faire la conversation, j'en appris donc un peu plus sur lui. Il travaillait ici depuis 10 ans et il avait eu une promotion au sein de l'entrepôt datant de l'année dernière. Puis il me parla de l'endroit où il habitait, de son envie de faire un meilleur boulot, pour son bien-être à lui et celui de sa copine.

– Et toi, ta une meuf ? Me demanda-t-il.

– Non, j'en ai pas, dis-je machinalement. J'ai un copain.

Je m'étais présenté comme étant célibataire auprès de tous mes autres collègues qui avaient eu la curiosité de me demander. J’avais jusqu’alors trouvé préférable de ne pas être trop bavard sur mes préférences sexuelles dans un boulot regroupant pas mal de machos. Mais, pour Léo j'avoue que c'était sorti tout seul.

– Ah OK.

C'était tout ce qu'il se contenta de me dire. Après ça la conversation se stoppa et il continua de taffer en silence. Bien qu'il restât agréable, pas plus distant, je me sentis un peu mal à l'aise. Je n'aurais peut-être pas dû lui dire, il avait peut-être un souci avec ça. Je commençais à avoir un peu de ressentiment à son égard : s'il avait un problème avec les homos, il n'était pas si bandant que ça finalement !

Les minutes passèrent, le silence perdura, et dans ma tête c'était un véritable portrait de gros con homophobe qui commençait à fleurir. Finalement Léo revint vers moi avec la même gentillesse et douceur dans la voix :

« Je prends ma pause maintenant, tu la prends avec moi ? »

Je m’étais peut-être un peu trop monté le bourrichon pour rien. Le « Dark Léo » homophobe et antipathique de mes pensées s'évapora aussi vite qu’il était apparu.

« J'ai vu que tu fumais, tu m'en payes une ? Renchérit-il alors qu'on se dirigeait à l'extérieur.

Je n'arrivais pas trop à cerner pour le coup si sa gentillesse est sincère ou intéressée. J'arrêtai de me poser des questions et nous nous remettions à discuter tranquillement. Puisque

« Et il fait quoi ton mec ? »

Ça faisait bien 1h que notre conversation s'était finie sur mon annonce et il en reparlait comme si deux minutes s'étaient écoulées, ça avait donc dû le cogiter. Intéressant...

Je lui répondis avec aisance mais lui demandai de ne pas ébruiter la chose auprès des autres.

« Pourquoi tu me l'as dit à moi alors ? Me demanda-t-il, avec un sourire beaucoup trop craquant à mon goût.

« Je ne sais pas, t'as mon âge, t'as l'air cool, et puis on travaille ensemble donc bon..., dis-je avec confusion.

« Ok, ok... »

On continua d'en parler un peu, il me posa des questions : « depuis comment de temps vous êtes ensemble », « vous habitez ensemble », et la traditionnelle « depuis quand tu le sais ».

Je le trouvais bien curieux mais je n'avais jamais l'impression de le sentir dans le jugement ou manquant de respect, donc je lui répondis avec plaisir et décontraction.

« Rah moi j'aime beaucoup trop les nichons et les p'tites chattes..., me dit-il sans réussir à se départir d'un ton affamé. Du coup, tu suces des bites et tout ?! »

Il me dit ça avec un ahurissement tellement sincère et premier degré que je ne le pris même pas comme une remarque dégradante d'un hétéro dégoûté par ce qu'il n'envisageait pas.

« Bah ouais, lui dis-je en riant avec lui. Les mecs ça suce mieux que les meufs, en plus, c'est bien connu. »

Je me permis cette petite réflexion un peu poussive. Après tout, il n'avait vraiment pas l'air mal intentionné, mais plutôt digne de confiance et relax sur le sujet, alors je pus faire mon beauf sans qu'il ne se braque. La conversation était tellement légère et décomplexée, je ne craignais rien.

La journée se poursuivit dans la même ambiance détendue. Léo ne me posa plus trop de questions sur ma sexualité, ce qui m’allait très bien étant donné que nous avions pas mal de passage dans le dépôt. Je continuais de lui dire que je préfère rester discret à ce sujet.

Avant la fin de la journée de travail, je le vis partir dans les bureaux, discuter avec des responsables plus hauts placés, puis revenir vers moi :

« T'as des impératifs Adam, aujourd'hui ?

– Pas vraiment pourquoi ?

– Bah en vrai on est grave à la bourre ? On peut soi faire une heure sup' là maintenant, ou on devra la faire demain et venir une heure plus tôt. »

Je ne suis pas du tout du matin. La perspective de me lever encore plus tôt que d'habitude ne m'enchantait pas, je décidai donc de pousser encore une heure. Je restais en compagnie de Léo, donc ça passe.

A l'heure habituelle, je vis tous les employés partir, je compris que nous serions pratiquement les seuls à rester. Puis quand vint l'heure de partir à notre tour, Léo et moi étions seuls dans les vestiaires. C’étaient très clairement des vestiaires qui ne servent qu'à changer nos chaussures de sécurité, personne ne s'y attardait jamais pour se changer plus. Mais Léo m'annonça tout de suite :

« Vu qu'on a travaillé une heure de plus, j'aurais pas le temps de passer chez moi, je rejoins des potes en ville. »

– Ah ouais, tu dois te changer ici du coup », dis-je sur le ton de la conversation, ne sachant absolument pas quoi répondre à ça, et étant dans l'impossibilité absolue de ne pas pouvoir empêcher mes yeux de le regarder se désaper.

– Ouais ouais, j'me change, j'me douche aussi. Je pue la mort, je ne peux pas sortir comme ça.

- Ah, les douches fonctionnent ? Vu que personne ne les utilise jamais je ne pensais pas..., dis-je sûrement pour tenter de couvrir mes battements de cœur assourdissants dans ma poitrine.

Ce fut difficile sur le moment de réaliser que Léo allait aller se doucher juste à côté de moi, dans une même pièce. La situation commençait à beaucoup trop affoler mes hormones et je sentis mon sexe bouger un peu dans mon boxer : j'ai l'érection facile, je me déteste.

Alors que j'essayais de me concentrer sur mes putains de lacets de chaussures de sécurité qui ne voulaient pas se défaire, je vis du coin de l’œil les vêtements de Léo s'enlever un à un. Il se retrouva en boxer à côté de moi, et respirait l'aisance et la sérénité.

« T'as un truc de prévu toi ce soir ? Me demanda-t-il sur le ton de la conversation. Avec ton mec, j'imagine ? »

La dernière phrase me fit tourner la tête pour lui répondre : il était absolument bandant. Bien bâti, élancé, large d'épaules, abdos, pecs, des petites fesses à croquer et un paquet appétissant que je devais impérativement arrêter de regarder. Bref tout était là, là où il fallait, comme il le fallait pour me faire perdre mes moyens...

Tandis que je lui expliquais mon programme en tentant de paraître le plus détaché possible, il attrapa un gel douche, se gratta la tête, se balança sur ses pieds, acquiesça et... se tripota le paquet à travers son boxer. Je mourais intérieurement, je trouvais son attitude scandaleuse, résolument trop aguicheuse :

« Bon va te doucher, plutôt que de te trimbaler en boxer devant moi là, dis-je finalement sur un ton faussement léger et blagueur.

– Pourquoi je t'excite ? Me demanda-t-il en riant. Ça te gêne ?

Je me contentai de l'accompagner dans son rire en faisant un « non » de la tête.

- Tu suces des bites mais je ne te demande pas de sucer la mienne, hein ? » Il saisit son paquet.

- Oh, j'aurais sûrement moins à sucer qu'avec celle de mon copain, dis-je, histoire de le calmer un peu.

- Ah ouais ? »

Ma remarque sembla l’avoir complètement déstabilisé et il se contenta de rire en se dirigeant vers les douches.

- Oh, pas sûr, pas sûr…, se marmonna-t-il avec un regard et un petit haussement de sourcils roublard. Tu serais surpris.

Cocoww

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