Il y a des nuits comme celle-là. En déplacement dans une capitale d'un pays de l'est, j'avais une pêche d'enfer... faut dire que les réunions successives avaient apporté leurs lots de succès. J'étais gonflé à mort avec une envie de m'éclater grave et dans ces cas-là, on est prêts à affronter les files d'attentes monstrueuses, les gorilles "si aimables", tout ce qui fait que finalement, je ne vais plus très souvent dans ces grands temples de la danse. Ces énormes machines à pomper le fric où il s'agit juste sous une musique assourdissante, sous des lumières flashies, de s'agiter toute la nuit sans bien souvent dire un mot à ceux qui vous accompagnent.
Arrivé à l'hôtel, j'ai pris une bonne douche, enfilé un jean et un tee-shirt propre et j'ai filé vers un bar gay tout proche.
Ma bière à peine commandée, je la sirote tout en feuilletant un " gratuit " qui traînait sur le comptoir . Rédigé en langue locale et en anglais, il annonce tout ce qui se fait dans le milieu gay la ville.
En bas d'une page je vois une annonce recherchant des volontaires pour une "undewear party" monstre et gratuite pour ceux qui suivent le dress code; une seule condition : la soirée sera entièrement filmée et seuls pourront entrer ce qui l'acceptent. En plus c'est ce soir et dans une heure ! ...
Excité, je me dis " pourquoi pas ", Je suis un peu exhib et cela doit être cool de passer la soirée en slibard à danser et boire avec plein d'autres mecs .. peut-être pourrais-je ne pas rentrer seul à l'hôtel...
Je finis ma bière en vitesse et sors pour héler un taxi .
Un quart d'heure après, celui-ci me dépose dans une zone industrielle, devant un grand hangar..
Mince , il y a une file d'attente énorme de mecs devant l'entrée !
J'y prend place moi aussi. Les mecs sont de tous les âges même si la moyenne est plutôt jeune. Et je repère plein de mecs canons. Cool, j'ai hâte.
Peu de temps après, les portes s'ouvrent et des employés distribuent des formulaires et des stylos. Il s'agit de donner l'autorisation d'apparaître éventuellement dans le film.
Les documents sont rassemblés à l'entrée et on peut ensuite accéder à un énorme vestiaire pour se déshabiller et ranger nos affaires. Ceux qui n'adhèrent pas au dress code passent à la caisse et entrent directement.
La musique techno est assourdissante mais cela me donne une sacrée pêche !
Dans un brouhaha et une bousculade indescriptible, nous sommes nombreux à nous nous déshabiller et à nous retrouver en slip, boxer, caleçon ou jockstrap. Tout le monde semble très à l'aise et pressé de rejoindre la fête.
Le sas passé, je me retrouve dans une salle surchauffée et déjà bien pleine de mecs. Beaucoup ont suivi le dress code et c'est cool. On me donne un verre d'un cocktail indéfinissable mais bon et fort.
Il y a des tables, des bars devant lesquels beaucoup se pressent , plusieurs scènes surélevées.
La musique techno incite à danser et de fait les pistes sont bondées. Les mecs sont chauds, les corps dénudés suants se frôlent et certains se frottent déjà. L'alcool à volonté coule à flots. Les esprits s'échauffent vite. Je me lance moi aussi et me glisse dans le maelstrom qui s'agite sur la scène proche de moi.
En quelques minutes, mon corps dégouline de sueur, je me faufile à travers la foule pour chercher un verre. C'est super! Je traverse cette masse de corps, de mains qui me frôlent, m'arrêtent un instant ; instants de caresses furtives où appuyées. Au bar, j'ai à peu près une vue d'ensemble de la salle.. Des slips ou des boxers volent et atterrissent ça et là. Des mecs nus dansent ensemble, des sexes se dressent. Ouuah ! Sont chaud bouillant les locaux !
Des techniciens caméra à l'épaule, naviguent dans ce qui ressemble de fait à une orgie " bon enfant ". Ils filment des corps nus dansant, s'arrêtant - gros plan sur des groupes enlacés, de slips tendus, des culs qui se frottent, sur deux queues qui s'escriment - et repartant en chasse .
Un peu ivre et les hormones à l'envers, je me joins à une bande qui improvise, une sorte de "french cancan " puis un "petit train " chacun se tenant par la queue - du coup mon partenaire de devant est venu choper la mienne sous le slip - qui traverse la salle; notre chaîne improvisée déraille souvent ; on chute en rigolant les uns sur les autres, on en profite aussi pour sucer une verge ou bouffer un cul qui se trouve à proximité . On en profite aussi pour me débarrasser de mon slip....
Du coup mon partenaire de devant - est-ce le même - me félicite car je bande et "c'est plus facile de ne pas rompre la ligne".
Épuisé, je vais m'asseoir à une table, un verre plein laissé là m'interpelle et assoiffé je commence à le boire tandis qu'un grand brun en boxer noir s'agenouille devant moi, m'écarte les cuisses et sans préambule, gobe ma bite et me suce.
Soudain, un cameraman s'approche et nous filme. Mon "boxer noir" non seulement ne se démonte pas mais sourit à la caméra et montre très fier un instant mon braquemart dressé et raide avant de l'engouffrer une nouvelle fois.
Attiré par la caméra, un gars filiforme mais avec une bite tellement longue qu'il n'arrive pas à la dresser totalement, soulève mon "boxer noir " , lui courbe l'échine et l'empale en direct live!
J'en profite pour me dégager de la scène pour aller me chercher un verre et voir ailleurs.
Arrivé au comptoir, tandis que j'attends pour être servi, un mec écarte mes cuisses et vient fourrer sa langue entre mes fesses, je me laisse faire et je gémis un peu quand un doigt vient me titiller la rondelle ; C'est bon, ... Tiens c'est le filiforme de tout à l'heure, celui à la longue queue, il m'a suivi, c'est sûr !
Quand le serveur arrive avec mon verre, il me sourit
- Lucky boy, your partner has such a big dick!... ,
Et, se penchant sur son comptoir me bécote voluptueusement.
Le mec me taraude le cul avec trois doigts maintenant, affalé sur le comptoir, les cuisses bien écartées, la bouche entrouverte, je gémis de plaisir. Ça y-est, je ne suis plus un corps étranger , un observateur à cette fête. J'en suis, mon slip se ballade je ne sais où et sans aucune honte, je me fait bouffer le cul au comptoir du bar... Je ne me reconnais plus !
- you must be thirsty darling, me crie le serveur à l'oreille et il sort de son short, une bite massive qu'il trempe dans mon verre de cocktail avant de me la fourrer dans la bouche.
Je la gobe avidement et je lui bouffe les couilles elles aussi trempées dans le cocktail - un bon goût d'ananas -
Arrêté un moment dans mon élan par l'approche de "long dick" entre mes fesses et un éclair de douleur quand il force le passage et s'enfonce en moi.
Putain mec, il me transperce, me défonce le cul, je m'ouvre à cet engin qui n'en finit pas de rentrer et alors qu'il va et vient, le plaisir me submerge et entre deux halètements, je dévore le mandrin du serveur qui ne tarde pas à jouir sur mon visage et mon verre sous les bravos des mecs alentour. D'autres essaient de prendre la suite mais je renonce pour me consacrer au bonheur du pal.
Ses coups de reins se font plus secs, il se colle bientôt à moi, me mord l'épaule pour refréner un gémissement de jouissance. Son foutre m' inonde le cul et je me rends compte que maintenant qu'il ne portait pas de capote.
Il se retire, me pose une petite bise sur sa morsure
- was wonderfull man, thanks.
Je sens son sperme couler le long de ma cuisse , j'aime bien cela ajoute encore au sentiment de vulnérabilité que je ressens à cet instant, nu au milieu de la foule. Je finis mon verre cocktail d'alcool et de sperme de serveur.. Une vraie lope.
Et maintenant, c'est moi qui fonce dans le tas.
Je me fraie de nouveau un passage parmi la foule. C'était encore plus difficile qu'en début de soirée car maintenant il faut slalomer entre des couples qui baisent , des groupes orgiaques et les queues branlées des mateurs.
où sont les chiottes ? Envie de pisser, tous ces verres ingurgités et une certaine curiosité - vue l'ambiance de la salle -.
C'est là, à ne pas douter. Une pièce puante, une rangée de pissotières et des cabinets plus ou moins en bon état. Mais cette installation semblait presque inutile tant beaucoup s' en passaient. Les mecs pissaient les uns sur les autres ; certains installés directement dans les pissotières et il y avait une dizaine de gars installés dans une sorte de piscine gonflable se faisaient pisser dessus.
Je choisis cette option sans attendre; deux jeunes m'appelaient du regard.
- You'll be satisfied, I drank à lot, guys!
Je dirige mon jet vers eux et les douche tandis qu'ils se frottent et se bécotent.
Les diverses scènes et estrades sont toutes occupées par des partouzes, peu de danseurs.. Sur celle-ci, une dizaine de culs alignés attendent de se faire mettre ou se font pilonner. Sur celle-là, une rangée de bites se font sucer ou attendent de l'être.
C'est partout open bar .
Il y a toujours autant de monde si non plus et les caméras tournent encore.
Près de moi, cinq ou six mecs attendent en se tripotant la queue de baiser un mec couché les cuisses en l'air sur une petite estrade ; pourquoi pas ? Je ne sais pas combien lui étaient passé dessus jusqu'à présent mais ce " gang bang" m'excite, ma queue me le confirme en se dressant immédiatement..
Le mec plutôt canon, trempé de sueur, le cul offert était super dilaté - un gouffre béant-
Je reste ainsi quelques instants à mater ce cul qui me rend dingue
- come on man, fuck me hard, love your big dick! You'll be the last so I want you to
Cum fast on my face.
Je le darde à fond, mes couilles battent contre son cul.
Puis un cameraman arrive et nous filme ! Gros plan par dessous sur ma queue qui va et vient,
- man, let us see his big hole.
Je me retiens un moment, la caméra s'approche de son anus dilaté et sur mon énorme gland tuméfié, humide.
- thanks, are you ready to cum?
Putain la pression ! Me voilà star de porno !
Je ne réponds pas et reprend mon pilonnage en redoublant le rythme, mon partenaire serre manifestement ses sphincters autour de ma verge augmentant encore mon plaisir ce qui fait encore monter la pression autour de nous. Des mecs arrivent en se branlant et se positionnent au dessus de son torse.
- ouuah ! Guys I'm gonna come!
Je m'extraie de ce cul et me positionne au-dessus de son nombril et me finis sauvagement tout en branlant mon partenaire.
Je lui envoie de superbes et copieuses giclées de foutre sous l’œil de la caméra.. suivi d'un autre gars et d'un autre encore... tandis que je le branle, son torse se couvre de sperme qu'il se répartit lui-même tout en le goûtant.
il se cabre soudain, sa queue dans ma main se fait plus dure, plus raide et son foutre rejoint celui des autres.. je le laisse à son plaisir et continue mes pérégrinations . Il me fallait trouver " le spot", le bouquet final....
sur une scène surélevée, au milieu d'amas de corps imbriqués, lovés, un couple danse enlacé. la sueur couvre leurs corps nus, leurs mains se caressent, s'effleurent, leurs verges dressées s'escriment dans un doux combat. J'aime cette scène, j'aime cette bulle de tendresse qu'ils semblent vouloir créer au milieu de cette orgie hors norme.
je me rapproche, et si je me joignais à eux? allais-je leur "casser l'ambiance" rompre l'harmonie?
c'est à eux de décider, je me joins à eux, doucement, caressant et après une certaine hésitation, nos mains se joignent; je fais partie de la danse, de la cérémonie; ma queue vient jouer avec les deux autres. Nos sueurs, nos salives se mêlent. Je n'entends plus le brouhaha pourtant assourdissant, je suis dans leur bulle et nous dansons au rythme de notre musique.
Ces corps me font envie, envie de me fondre en eux. Je m'agenouille au milieu de la ronde, gobe leurs queues tour à tour puis ensemble; gobe leurs couilles tour à tour . Ils se retournent et dansent dos à dos, Je lèche leurs rondelles tout à tour, ma salive se mêle à leurs sueurs et leurs acres effluves.
Ils me rejoignent et s'activent sur moi; mon cul est fouillé par une langue experte et ma queue engloutie. Je me laisse faire, c'est bon.
- fuck my friend dear; fuck him hard and I'll join you after...
Son copain me chevauche face à moi et s'empale sur ma queue; sa longue et belle queue se balance et frappe son ventre à chaque fois que ses fesses cognent mon bassin et que mon mandrin le pénètre à fond puis, il se colle à moi torse contre torse, m'embrasse fougueusement tandis que son pote vient le chevaucher à son tour et le pénètre aussi. Sa verge frotte contre la mienne, ses veines gonflées glissent contre les miennes tandis qu'il commence ses va-et-vient; plaisir inouï ... Je me retiens car ses mouvement me branlent et je pourrais jouir sans rien faire.
- Your turn now man, fuck him hard, move your big dick, me dit-il entre deux halètements.
Du coup je soulève mon bassin et pousse ma bite autant que je peux. C est épuisant, je suis en nage et ma queue fait des siennes et sort souvent.
On change alors de position. On se couche en ciseaux afin de rapprocher nos deux verges . Son pote s'empale alors et sans trop de difficultés sur nous. Il fait tout le travail aidé bientôt par deux mecs qui le prennent par les épaules et les cuisses.
De nouveau deux caméras arrivent et tournent la scène.
Le gars proche de moi qui soulève le pote à une superbe longue queue couronnée par un gros gland . Je la prends et la branle tandis que je sens l'orgasme monter en moi
- guys, I'm gonna come, gonna... Et sans pouvoir résister davantage, je m'agrippe à cette belle queue et jouis.
Mon partenaire se dégage alors , se lève suivi de son pote er d'autres et tous se branlent au dessus de moi.
Bientôt, je me relève le corps collant couvert de foutre . Nous nous embrassons tous les trois. Nous avons bien mérité un verre !
Tout autour, la fête continue et il est près de 4 heures du matin!
- oh by the way, my name is Anton and this is Alexej
- Louis, it was wonderfull to have such a great sex party with both of you.
Et on s'enlace et on s'embrasse de nouveau. De nouveau, nos trois verges se frôlent et de nouveau ce picotement caractéristique dans le bas-ventre. Je sens que nos queues frémissent, et déjà la main D'Anton se faufile entre mes fesses.
Je brûle d'envie de recommencer mais demain il y a une rude journée qui m'attend et il est déjà 4 heures du matin..
- sorry guys, I'll really love to continue but I'll have to wake up early...
On se sépare après force embrassades et je rejoins le vestiaire. J'ai vraiment besoin d'une douche, je dois empester le sexe et le foutre... Mais je suis content de garder un moment encore ces odeurs des moments passés.
Je commande un uber et file comme à regret vers l'hôtel .
Quelle nuit, l'éclate totale. J'ai joué le jeu. Mon corps se rappelle encore, les caresses, les mains, les verges. Je pue le foutre et j'aime ça; il me vient une furieuse envie de me branler.... vivement l'hôtel!
Garbxc
garbxc@gmail.com
Certaines histoires sont inspirées de petits films de boules que j'ai bien aimé et que j'aime raconter avec des mots ; si elle vous plait et si vous voulez en voir l'illustration filmée, rendez-vous sur mon blog MOIHIMSELF.
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