Bien sûr, j'aime les mecs.
J'aime vous regarder, vous toucher et faire l'amour avec vous, baiser aussi.
Cela dépend de mon humeur du moment.
Je peux aussi rester longtemps sans aventure et me déchainer dans les boites de cul et autres saunas et je n'aime pas la question "actif ou passif" car pour moi d'une part, ces termes définissent assez mal la relation sexuelle que l'on peut avoir entre mecs.
On peut se faire enculer et prendre un max d'initiatives durant le rapport! En ce qui me concerne, cela dépend encore une fois du moment, de l'état d'esprit et surtout du mec avec qui je suis.
Même si j'ai quand même un bon penchant pour "recevoir", la plupart du temps c'est la rencontre qui va tout déterminer.
Souvent au premier contact avec un mec, tout mon corps me dit ce que j'ai envie de vivre.
Au premier regard, mon corps me dicte ce qu'il veut: me faire défoncer ou l'empaler.
Je dois dire aussi que si je ne suis pas à proprement parler exhibitionniste, je n'ai pour autant pas de problème à me dévêtir quand c'et nécessaire même en public.
Je ne suis pas adepte des plages naturistes, même s'il m'est souvent arrivé de les fréquenter ( et particulièrement Mar Bella, au coeur de Barcelone ) et il en va de même dans les vestiaires, je ne suis pas de ceux qui se cachent la zigounette derrière une serviette! Mais, c'est une forme d'exhib, j’ai un fort penchant pour le sexe en public….
Que cela soit dans un club, dans un sauna ou dans une partouze, l’idée d'être maté, jalousé peut-être, m’excite beaucoup et dans ces cas-là, je préfère et de loin être l’objet de l’attention du ou des mecs avec qui je m’active.
Depuis un moment déjà, j’ai un fantasme qui grandissant en moi, je n’osais pas assouvir ; peur de la douleur, de ne pas aimer, de ne pas savoir.
Bref, je reculais à chaque fois qu’une opportunité pouvait se présenter.
Il y à peu, mon émotion fut grande quand, alors que je recherchai sur une application un plan cul à plusieurs, je vis une proposition qui fit battre à 200 mon cœur , provoquant des fourmillements intenses dans mon bas-ventre et un début d’érection.
Un groupe de mecs organisait une partouze dans un appartement parisien dans un quartier plutôt cossu et ils cherchaient un mec pour compléter le groupe … et être, disait-il « l’objet de toutes les attentions particulières du groupe ».
ils se connaissaient tous, avaient disaient-ils l’habitude de se retrouver pour ce genre de soirée et cherchaient un peu de nouveauté.
"Quelqu’un qui aime que l’on s’occupe de lui et se faire chouchouter "….
Ce soir, j’étais effectivement dans ce genre d’état d’esprit ; lâcher prise, me laisser aller à « la douceur des choses » et être voulu, désiré.
Mon cœur battait toujours la chamade, hésitant encore à répondre, je gagnais du temps en posant une foule de questions, combien serez-vous ? âges, to do or not to do,….
Et l’étincelle arriva, je me dis que c’était sans doute le bon moment, la bonne configuration pour assouvir mon fantasme, me faire fister….
N’écoutant plus que mes hormones, je fis ma proposition - Les gars, j’ai une super envie de me faire fister mais je n’ai jamais sauté le pas et j’avoue en avoir un peu/ beaucoup peur ; je viens avec vous mais, j’aimerai bien être initié… et in arrête si ça va pas, ok? La réponse vint très vite - Cool mec, voilà qui peut effectivement donner une nouvelle dimension à notre soirée ; Mais avant ça, dis-nous un peu qui tu es ? fous-toi à poil et branche ta cam ! - Ok, j’ai 28 ans, 1.86m 80kg plutôt sportif et plutôt TBM….
- La caméra branchée, la leur était offline, je me mis à poil - tourne-toi, montre-nous ton cul, écarte bien les fesses au plus près de la caméra ; ok montre-nous ta queue maintenant Je me retournai à nouveau, ma verge se dressait doucement, offrant rapidement à la caméra et aux amateurs du bout de la ligne, une gaule respectable - Cool ! belle engin ! allez ne t’inquiète pas, on fera ça comme il faut, dans les règles de l’art, tu vas adorer et nous aussi.
Amène-toi vite.
Voilà l’adresse et… tu connais le dress code ! Je filai prendre une douche et à peine séché, j’enfilai un vieux tee-shirt, un jogging et des baskets et appelai un UBER.
Arrivé sur les lieux, je respirai à fond un bon coup et pris l’ascenseur ; pas question d’arriver essoufflé ! Je sonnai à la porte et fut bientôt accueilli par un beau blond très souriant, entièrement à poil qui tout en soupesant mon sexe par dessus le tissu du jogging, me claqua la bise.
- Bienvenue, mec ; tu peux te déshabiller ici et mettre tes affaires dans ce coin, après tu nous rejoins au salon au bout du couloir.
J’admirai sa démarche élégante et son petit cul charnu tandis qu’il rejoignait le reste des invités.
Quand je poussai la porte du grand salon, je me retrouvai parmi une petite dizaine de mecs , tous à poil, discutant en petits groupes, buvant un verre, grignotant des zakouskis.
Une fête parisienne des plus classique si ce n’est que tous étaient nus, que certains se caressaient tendrement tout en papotant et que certains arboraient des érections plus ou moins prononcées.
L’accueil fut très chaleureux, mon hôte me fit faire le tour de tous les participants et j’eus droit par chacun à de beaux sourires, de tendres caresses et moults compliments sur mon physique et mon chibre déjà à demi raide.
Au milieu de la pièce dont la plupart des meubles avait été poussés contre les murs, trônait une grande table entièrement nue.
Nous passâmes ainsi un moment à discuter mon hôte et moi, un verre à la main.
Les autres continuaient sans vraiment s’intéresser à nous, à discuter, se palucher et à s’exciter en petits groupe.
Je comprenais bien que c’était comme une période de « chauffe » et que bientôt tout allait basculer.
Mon cœur battait fort, je tremblais un peu.
Mon hôte, qui disait s’appeler Antony, s’en aperçu et me proposa de monter le chauffage mais comprenant que c’était l’émotion, m’enlaça tendrement - Ne t’inquiète pas ! regarde comme tout le monde est beau, regarde ces culs, ces sexes , on va passer du bon temps ….
Enfin, il me prit par la main, m’approcha de la grande table et avec un beau sourire qui se voulait encourageant m’embrassa goulument et me susurra à l’oreille - Retourne-toi Messieurs, pour son plus grand plaisir et pour le notre, l’heure est venue de satisfaire Bastien, que la fête commence! Je me couchai sur le bois froid de la table ; Antony et deux autres mecs étaient déjà juste derrière moi et me caressaient les flancs et se caressaient mutuellement ; il y avait beaucoup de douceur dans l’atmosphère, personne ne parlait, le silence simplement rompu par la playlist en sourdine et le bruit excitant des caresses.
Un convive vint s'agenouiller sur la table.
Un beau blond, sec, finement musclé, de beaux tatouages sur un torse glabre.
Un ventre aux abdos dessinés et une verge splendide, fine, veineuse et délicieusement courbe, une vraie trique, assortie de petites couilles bien pleines et couronnée d'une délicate toison blonde qu'il approcha de ma bouche.
Je la gobai avec avidité et m'acrochai à ses fesses galbées que je caressai, accompagnant ses coups de reins qui enfonçait son chibre dans ma gorge.
Pendant ce temps, Antony et ses amis s'activaient autour et sur mes fesses qu'ils caressaient, malaxaient, écartaient, détendaient à coup de petites claques.
Antony flattait ma raie, titillait ma rondelle .
Régulièrement, une langue venait se glisser en moi, irradiant dans tout mon corps des vagues inouïes de plaisir et je savais mes sphincters déjà bien dilaté.
Tout mon désir se concentrait là dans chaque centimètre de mon rectum .
Je gémissais et toujours agrippé à ses fesses que j'ecartais, je redoublai d'ardeur sur la verge de mon beau blond qui haletait de plaisir.
Soudain, des mains écartèrent mes miches et quelque chose de froid força le passage inondant abondamment mon cul d'un liquide froid ; sûrement un lubrifiant.
Le travail commença.
Je ne sais qui, Antony, un autre, tous? Peu importait ! Un doigt, des doigts s'activaient sur mon oeillet ; pénétrant, étirant, dilatant les parois.
J'abandonnai mon compagnon blond pour me concentrer sur le plaisir reçu.
Il revint bientôt me faisant inhaler de profondes vapeurs de poppers.
Une énorme claque, une lame de fond, un abandon.
Je pouvais je voulais maintenant tout accepter, tout prendre et de fait, je sentais que Antony était près du but.
Sa main déjà tournait et retournait en moi élargissant, dilatant mon anus.
Je voulais voir, je me tounai vers eux; tout autour de moi, les invités, excités par la scène se branlaient en nous regardant ; je pris Antony par le poignet l'incitant à pénétrer davantage, Le désir, les poppers, le plaisir /douleur aidant, j'étais prêt .
Quand le passage se fit, quand la crête du poing passa, se fut comme une libération et en même temps une explosion de sensations.
Il fallait maintenant consolider la position.
Antony entama ses va-et-vient, tout en douceur au début puis alors que j'inhalais une nouvelle rasade de poppers, de plus en vifs.
J'exultai, j'aurais voulu voir mon cul ouvert, j'aurais aimé être le poing d'Antony..
Un grand brun velu, vint alors se coucher sur la table devant moi, m'offrant un sexe massif et veineux que je gobai sans attendre tandis que le poing d'Antony allait, tournait, retournait en moi .
- à toi l'honneur Adam susurra Antony, il est à toi, prêt.
Le grand brun que je branlai, me quitta et remplaça Antony derrière moi.
Il était plus costaud et le passage de sa large main fut une nouvelle épreuve; je hurlai d'un subtil et enivrant cocktail de douleur /plaisir ; Antony et autres me fessaient comme pour aider .
Bientôt, un autre puis un autre vint explorer mes entrailles .
Quand tous eurent leur part, Antony revint et me demanda de me mettre, son poing toujours en moi , sur le dos.
Le grand brun revint et sa bite massive remplaça le poing d'Antony .
Les autres vinrent tout autour de moi; j'étais entouré de queues branlées .
Quand le brun jouit en moi, il recueillit, après s'être retiré, un peu de son foutre qui coulai de mon cul , le goûta et me le fit goûter par un profond baiser puis, Antony revint me fister tandis que je branlai ma queue à son rythme.
De sa main libre il caressait mon torse, pinçait mes tétons.
C'est dans un orgasme inouï que j’éjaculai enfin sur mon ventre.
Suivi peu à peu par chacun des invités qui couvrirent mon torse et mon visage de foutre.
Repos ! Je me relevai peu après, entouré, félicité chaleureusement, tendrement, par toute la bande.
Chacun prenant une once du sperme couvrant mon torse pour le goûter.
Bientôt Antony apporta des boissons et quelques victuailles et tous, toujours nus autour de la table, mangeâmes joyeusement.
Quand les convives commencèrent à se rhabiller et à quitter les lieux, Antony me proposer de rester - Bastien, tu nous a fait passer un moment formidable mais j'aimerais bien profiter encore un peu de toi...
j'adorerais goûter à ce bel engin, sa main se posa sur mon sexe...
et je crois que lui aussi...
dit-il en me montrant, le beau blond qui s'appelait David m.
Quand nous fûmes seuls Antony, David et moi m'entrainèrent dans leur chambre.
Antony me coucha sur le dos, je bandais déjà, pris mes jambes pour les basculer vers mon visage et c'est dans cette drôle de position qu'il vint s'empaler à moi.
Je compris vite..
mon cul était ainsi surélevé et le beau blond put ainsi me pénétrer aisément..
puis Antony se coucha sur moi et se laissa pénétrer par son pote..
laissant David et moi l'enfiler de concert.
Tiens, encore un truc à essayer me disais-je...
Je crois que nous avons jouis tous les trois pratiquement en même temps, le foutre de David se mêlant intimement au mien dans le cul d'Antony qui avait copieusement giclé sur mon ventre.
Nous nous endormîmes très vite.
Demain serait un autre jour.
Garbxc
Certaines histoires sont inspirées de petits films de boules que j'ai bien aimé et que j'aime raconter avec des mots ; si elle vous plait et si vous voulez en voir l'illustration filmée, rendez-vous sur mon blog MOIHIMSELF.
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