Cette histoire est entièrement réelle
Il y a quelques années, j'étais en vacances aux baux de Provence. C'est l'été, les journées sont longues et il fait bon. Je vous passe le détail de mes vacances, mais je suis vraiment dans un lieu qui est un désert gay, les applis de rencontre me proposent très peu de mecs à proximité.
Au bout d'une semaine sans rien à me mettre sous la dent, je suis un peu chaud et prêt à faire des kilomètres s'il faut pour un plan. C'est sur Hornet que je vais trouver un mec qui est sur Avignon et qui peut me recevoir.
L'appli nous géolocalise à 20km de distance, en réalité il me faudra 45minutes à 23H pour arriver jusque chez lui (il s'inquiète d'ailleurs plusieurs fois pendant mon trajet en trouvant le délais vraiment long pour parcourir si peu de distance). Je fini par arriver chez lui, il vient ouvrir la porte en bas de l'immeuble et nous montons les 5 étages à pied avec un escalier assez raide. Bon, je suis pas habitué comme lui et je suis un peu essoufflé en arrivant; heureusement il est un peu réservé et ne me saute pas dessus tout de suite mais me propose un verre.
Nous prenons alors le temps de discuter gentiment. Il est un peu plus grand que moi et très mince, je ne sais plus vous décrire son visage mais je sais que je l'ai trouvé beau. Il me demande s'il peut fumer et je lui dit
- fais comme chez toi! :-p
On parle, il termine sa cigarette et j'approche ma tête de lui pour lui montrer que je suis prêt à l'embrasser
- qu'est-ce qu'il y a?
ah, merde, il est pas encore prêt...
- non rien
et je reprend un peu d'eau en me redressant. On continue de papoter, c'est pas désagréable non plus et puis je me remet de ces 5 étages.
Son appartement est en fait une pièce unique assez grande dans laquelle il y a la cuisine, le salon et la chambre. Il a une petite salle de bain à part. Il m'explique que son propriétaire fait des travaux à son vrai appartement et qu'il est ici le temps que tout soit terminé.
On discute peut être depuis 20 minutes puis il se lève et se plante au milieu de la pièce, tourné vers moi. Il ne dit rien et me regarde.
Je prends ça pour le signal du départ, je me lève et le rejoins et je l'embrasse en mettant mes mains derrière sa tête.
Il a bien sur un léger gout de tabac, je n'aime pas ça habituellement; je peux pas dire que j'ai adoré cette fois mais ça ne m'a pas trop dérangé.
Pendant que je l'embrasse, mes mains descendent le long de son corps et je commence à le dévêtir lentement. J'effleure sa peau, il réagit à ces caresses par des petits gémissements contenus.
je lui enlève le haut, il enlève le mien. Nous continuons à nous embrasser debout, nos peaux nues en contact. Nous sentons nos érections à travers nos shorts. Il baisse mon short et mon boxer à mes pieds et je m'en débarrasse en quittant mes tongs. Je me place derrière lui et je fais glisser à mon tour à ses pieds ses vêtements. Il porte des baskets et ne peut pas s'en débarrasser comme je l'ai fait. Je suis plaqué dans son dos, mon sexe dur contre ses fesses. Il est quasiment imberbe. Je fais courir mes doigts sur sa peau, je l'embrasse dans le cou. Il respire fort et il frotte ses fesses contre mon sexe. Ses vêtements l'entravent au niveau des pieds, il ne peut pas bouger.
Etant un peu plus petit que lui, mon sexe est contre la partie basse de ses fesses. Je commence à le frotter contre sa raie. Je mouille pas mal, cela se dépose sur ses fesses. je souffle dans son cou, lui caresse le corps, les tétons, frotte mon sexe dans sa raie. il gémit toujours prisonnier de ses entraves aux pieds. Mon gland humide touche sa rondelle, il plie un peu les jambes pour écarter ses fesses, mon gland est en train de bien humidifier son petit trou et je tapote un peu. Il ne lui en faut pas plus, sans se retourner il tend la main vers mon sexe et le guide pour le rentrer. Nous n'avons pas échangé une parole, pas de question, c'est juste évident : on va baiser sans capote.
Il se penche plus pour que je puisse commencer des va et viens plus profonds. Il me fait bien prendre mon pied alors que je lui prend son cul. Au bout d'un bon moment il décule. Il enlève rapidement ses entraves aux pieds et me guide vers son lit où il s'allonge sur le dos, relève ses jambes et m'invite ainsi à le prendre encore. C'est délicieux, je rentre en lui facilement bien qu'il reste serré. Il me procure ainsi beaucoup de sensations. Je le regarde dans les yeux alors que je rentre et que je sors. Il aime, il me demande d'y aller plus fort. je n'y vais donc pas plus vite mais je la rentre au maximum, ça fait claquer son cul.
Ca doit faire entre 15 ou 20 minutes qu'on baise, vu que je n'ai pas de capote j'ai beaucoup plus de sensations et je ne vais plus tenir.
Le jus monte alors que je le pilonne
- Je vais jouir...
il ne répond pas mais pose ses mains sur mes fesses et appuie dessus pour me maintenir prisonnier dans son trou. Le message est clair, il veut que je le féconde. Je jouis fortement et je déverse tout mon sperme en lui. Je ne me rappelle plus s'il a joui lui aussi. On se repose, on se câline et on reparle à nouveau. Il me raconte sa vie, ses humiliations d'enfance parce que les autres garçons n'aiment pas la différence. Il se met à pleurer de tout son fardeau et moi je le prends dans mes bras alors qu'il s'est offert totalement à moi.
Quand l'émotion est passée et qu'il a retrouvé sa contenance, je l'embrasse et retourne à mon logement de vacances. J'ai voulu recoucher avec lui mais il ne me restait que 2 jours sur place et nos agendas n'étaient pas compatible.
Micseon
Autres histoires de l'auteur : Le mec à Avignon