Voici le récit de ma rencontre avec celui qu’on appellera Guillaume, je lui ai demandé de raconter son expérience.
Je m’appelle Guillaume, j’ai 32 ans, je suis très sportif depuis toujours, et je pratique la muscu de manière régulière. Je suis marié 2 enfants. Un jour après une séance j’ouvre mon sac et je vois un papier qui y a été déposé, je le déroule et je lis : « Bonjour, je te vois régulièrement à la salle et je te trouve très sexy. Je sais que ce n’est pas convenable et que tu risques de me jeter mais tu me fais beaucoup fantasmer, je te propose une rencontre de deux heures moyennant 250€. Si tu es intéressé je te laisse me contacter sur le mail tortureetchatiment@hotmail.fr en espérant que ça puisse t’intéresser, je te précise que je suis très discret. »
Je suis choqué et un peu flatté. Je me pose la question de qui a pu mettre ça dans mon sac. Surtout qu’à cette heure il n’y a pas grand monde. Je ne réponds pas à cette invitation et 15 jours se passe, j’essaye de remarquer les comportements étranges, les regards à la salle mais je ne trouve pas de réel suspect. Ce message reste dans ma tête, l’idée d’assouvir le fantasme de quelqu’un m’excite beaucoup. Ça me trotte tellement dans la tête, je finis par créer une adresse mail et j’envoie : « Bonjour, votre proposition m’interpelle, est ce que vous pouvez me donner des précisions ? ». J’espère juste que ce n’est pas un piège d’un pote du sport.
Le soir je reçois un mail, « Bonjour, c’est simple je te donne 250€ pour un plan. Le plan dure 2h, tu dois exécuter le moindre de mes désirs. Pour la rencontre tu devras avoir le cul propre, les couilles et la raie lisse. Les rapports seront safe, pas de blessure ni de mise en danger. J’aime donner des fessées, des coups de martinet, tu auras des traces sur le dos, le torse, le cul et les fesses. Pour la discrétion il n’y aura ni photo ni vidéo. Et tu ne devras jamais me voir, tu utiliseras un bandeau. Si tu es ok donnes moi tes horaires de dispo sur la semaine pro. Pour terminer continus à me vouvoyer et à m’appeler Monsieur. »
Son message me fait bander, le pire c’est que ce n’est pas la tune qui m’intéresse c’est la sensation d’être l’objet d’un autre, d’être payé et de devoir obéir. Je lui réponds « Bien, je souhaite vraiment que ça reste très discret, donc pas de photo pas de vidéo, pour les traces c’est compliqué avec ma femme. Je peux être dispo mardi et jeudi à 17h15. » Je reçois directement une réponse « Oui ça restera très discret, pour les traces ce n’est pas négociable, ok pour mardi 14 décembre à 17h15 je t’envoie les consignes 24h avant. » « Bien Monsieur. »
J’ai la boule au ventre, cet inconnu me fait fantasmer et en même temps flipper. L’idée d’être son jouet m’excite je crains juste pour mon cul.
Le lundi dans l’après-midi, je reçois un mail « Pour notre rendez-vous de 17h15 demain, on se retrouvera au B/B de Lanester.
Sois à l’heure ! Je t’enverrai le num chambre et le code ici.
Tu entreras dans la chambre, tu enlèveras l’ensemble de tes affaires et les poseras dans l’armoire.
Tu enclencheras le réveil de ton téléphone pour 19h10.
Tu ouvriras en grand la porte, tu te mettras à 4 pattes cul cambré sur le lit, le cul en direction de la porte, et tu mettras ton bandeau sur les yeux (tu ne dois jamais me voir).
Attention tu devras être totalement nu, ne gardes pas tes chaussettes ni ton boxer.
Si je suis content de ta presta je te mettrai les 250 euros sur le lit, tu attendras que je sois parti pour retirer ton bandeau.
» Je flippe encore plus, « Monsieur je suis d’accord mais pour la porte je ne suis pas exhibe ! » « C’est une instruction, tu es ma pute, soit tu acceptes soit on en reste là » Après un petit moment d’hésitation « D’accord Monsieur la porte sera grande ouverte.
» Je n’ai pas dormi de la nuit.
J’étais excité comme une puce, à midi je suis rentré, j’ai rasé les parties demandées et je me suis fait un bon lavement.
A 17h05 je suis sur le parking, je regarde les voitures mais il n’y a personne à l’intérieur.
J’ai un mail qui me donne le numéro de chambre et le code.
Je rejoins la chambre elle est à l’étage l’avant dernière au bout du couloir, ça me rassure pour l’exhibe la porte ouverte ce ne seras pas trop risqué.
J’entre, je passe aux toilettes, me desap, j’enclenche le réveil.
J’attends qu’il soit 15, puis j’ouvre en grand la porte et je me mets à 4 pattes sur le lit, le cul cambré en direction de la porte et j’enfile le masque.
Je sens le froid rentrer, nous sommes en hiver.
Puis après une minute j’entend des pas dans le couloir, puis quelqu’un rentre et referme la porte.
Il chuchote « Bien petite pute.
» Il a une voix assez jeune.
Il s’approche, il me tâte le cul me donne de bonne fessée.
Je couine un peu, il me chuchote « Je ne veux pas t’entendre ».
Je sers les dents.
Il me fesse bien fort.
Ça fini par s’arrêter.
Il murmure « Je te rappel que tu es là pour mon plaisir, alors jusqu’à 19h15 tu penses au 250€ et tu obéis au doigt et à l’œil » Il me traite vraiment comme de la merde.
« Il s’installe sur le lit « Lèches mes chaussettes ! » Je me suis exécuté « Gobes les ! » J’ai mis le bous de ses pieds dans ma bouche, en massant avec ma langue.
Il m’a ensuite mis des espèces de moufles, puis des bracelets aux poignets et aux pieds, et il les a attachés avec une chaine.
Mon pied gauche était étroitement relié à ma main gauche, et mon pied droit à ma main droite, il m’a fait mettre sur dos et à relier mes chaines à un élément du lit.
J’avais les jambes et les mains maintenues en arrière.
Le cul complètement offert.
Il a trifouillé dans des affaires et m’a mis un truc dans la bouche.
Je me suis rendu compte plus tard que c’étaient mes chaussettes.
Il m’a enfoncé un doigt, il a eu du mal a rentré, surtout que c’était à sec.
« MMM un bon petit trou d’hétéro à déglinguer.
» Il attacha mes couilles, assez fort, il me mit quelques tapes dessus.
C’était une douleur très forte.
Il m’a mis des pinces sur les seins, puis m’a donné des coups de martinet sur les fesses les cuisses, et même quelques sur les couilles.
Il m’a détaché du lit et m’a glissé la tête sur le bord du lit.
Il a relié les cordelettes reliant mes mains et mes pieds à mes couilles.
Il m’a mis les mains sur les joues, me retire les chaussettes puis me dit « Ouvre bien ta gueule.
» Je l’entends dégrafer son pantalon, il m’introduit ça bite direct, puis va rapidement en fond de gorge, j’ai l’impression de mourir mais il ne s’arrête pas il me lime la gueule, il joue de temps en temps avec mes pinces aux seins, ce qui me fait hurler de douleur.
Le bourrage continu je pleurs, il ressort et me jute sur le front.
Le gars est athlétique, son ventre est dur, pas gras, sa bite est d’une bonne taille.
Il se resap, me détache la chaine des couilles, et me fait mettre sur le ventre, les oreillers sont placés sous mon bassin et mes couilles sont reliées à un élément du lit.
Il me chuchote « cambres je veux que tu sois bandante ma petite ».
Il va sous la douche et me laisse comme ça.
Le sperme cool sur le bandeau.
Sa douche terminée, je l’entends sortir et s’allumer une cigarette.
Je sens l’air glacé sur ma peau, la porte est grande ouverte.
Je crains que quelqu’un me voit.
2 minutes plus tard la porte se referme, je me fais sévèrement fouetter le dos, puis le cul à coup de martinet.
Il me donne à nouveau de bonne fessée.
Après ce calvaire, il m’a bouffé le cul, sa petite barbe me piquait, en essayant de faire pénétrer sa langue.
Il me disait de pousser et d’ouvrir mon cul.
J’essayais, mais il n’était pas satisfait.
Il a insisté jusqu’à ce que j’arrive a écarté mon trou en poussant.
Il m’a lubrifié et a enfilé une capote.
Il s’est allongé sur moi puis m’a dit à l’oreille « Tu vas avoir mal, mais c’est mon plaisir qui compte, donc garde le cul cambré comme une bonne pute et ferme ta gueule ! » Il me l’a introduit sans ménagement, il est allé lentement mais surement jusqu’au fond.
J’avais envie de pleurer, je pensais au 250€ et au fait que j’étais là pour lui faire plaisir.
J’ai maintenu la position, il m’a baisé de plus en plus fort.
J’avais mal mais j’étais aussi très excité.
Il m’a baisé longtemps j’étais en sueur.
Il a fini par se crisper, il est assez rapidement sorti, j’ai entendu un truc tomber je pense que c’était son préso qu’il a jeté.
Il m’a enlevé l’attache entre mes couilles et le lit, il m’a libéré des chaines entre les poignets et les chevilles, et m’a simplement mis une chaine entre les deux poignets qui passaient sur le bas de mon dos.
Il m’a fait assoir au sol, le dos contre le lit, il m’a mis une cordelette qui rejoignait l’attache de mes couilles dans la bouche.
Il m’a murmuré « Je veux que tu maintiennes tes boulles en hauteur grâce à cette cordelette, relèves tes genoux, écartes les cuisses, je veux avoir une vue sur ton trou je veux te voir le serrer, puis le dilater, puis le resserrer, à chaque fois que je ne serais pas satisfait je te donnerai un coup de martinet sur les couilles, si jamais tu bouges ou que tu lâches la cordelette tu en recevras un deuxième.
Allez maintenant mets toi en position et montre-moi ce que tu sais faire ».
Après la première exécution, je me prends un gros coup sur les couilles, ça me coupe le souffle.
« Reprends ! » Je m’applique et pousse vraiment sur mon cul.
« Voilà c’est ça que je veux voir salope ».
Il se lève et part, j’entend la douche je continu même s’il ne me voit pas.
Il se resap, ouvre la porte en la laissant encore une fois ouverte, je suis juste en face de celle-ci j’espère que personne ne me verra.
Je m’efforce à continuer.
Il me dit c’est bien.
Il referme la porte et me dit d’arrêter.
Il se déshabille et me dit de sortir ma langue.
Il me plaque contre son cul et me dit « lèches ça salope, fais-le avec délicatesse, titilles moi le cul.
» Ça me ragoute mais je m’exécute, je lui lèche bien le cul, ça dure assez longtemps.
Il se fait aussi lécher les couilles, puis il me fait relever sur le lit, et me fait sucer doucement.
Il met une capote, me fait assoir sur lui, il m’enfonce sa queue, mon cul est très endolori.
Il me dit « Montres-moi comment tu ouvres et fermes ton cul.
» Je m’exécute, « Maintenant redresses toi légèrement et fais ça juste sur le bous de ma queue ».
J’applique en suspension au-dessus de lui, et il commence après quelque seconde a donné des mouvements de bassin pour bien me pénétrer.
Je ne bouge pas reste à la même place, fixe, il me pilonne à sa guise.
« Continus à ouvrir et fermer petite pute » Je m’efforce de continuer malgré la douleur, il accélère puis s’arrêtes.
Il me place sur le dos, m’empale à nouveau, ça dure une dizaine de minute, puis mon réveil sonne.
Il accélère se crispe.
Il m’enlève les bracelets, puis la chaine des seins qui me fait un mal de chien, je l’entends se rincer, se rhabiller, faire son sac, poser un truc sur le lit, et il me dit « Tu comptes jusqu’à 60, puis tu pourras enlever ton bandeau et bouger, en attendant les 60 secondes garde les cuisses en l’air qu’on voit ton trou de pute dilaté.
» Et il se casse en laissant la porte ouverte à sa grande habitude.
Mon réveil sonne encore, j’espère que personne ne viendra, la lumière est allumée, il fait nuit….
Après les 60 secondes, je ferme la porte, coupe le réveil, regarde les marques dans le miroir il va falloir que je me cache de ma femme pendant quelques temps.
Je me rince, m’habille, met les capotes à la poubelle, j’essui le sperme sur le bandeau et le range dans une poche, je compte et range les 250€ et je parts.
Je file à la muscu, me change rapido, j’ai senti la douleur de mes tétons sous mon teeshirt pendant toute la séance.
J’ai dit à ma femme que j’étais claqué de ma séance et j’ai réussi à ne pas me faire griller, les traces du dos et des cuisses sont parties rapidement, celles des fesses ont mis plus de temps mais je ne me suis pas fait griller.
Le weekend suivant j’ai acheté des cadeaux en espèce pour les liquider.
Le jeudi, j’ai reçu un mail de Monsieur « J’ai adoré, tu as été parfait, si ça t’intéresse de recommencer le mois prochain, tu m’envois un récit de ce qui c’est passé et je le publierai sur Cyrillo.
»
Comme vous l’avez lu Guillaume a envie de remettre le couvert, je le reverrai courant janvier, faites-moi des suggestion pour la prochaine rencontre.
Tortureetchatiment
tortureetchatiment@outlook.fr
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