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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Agent Spécial Gwenael | 7

Depuis maintenant un mois, j’ai une relation sexe intense avec Teddy, c’est très clair entre nous, on peut la définir comme ça, il est mon sexe toy et je suis sa vide couilles, il m’appelle, certains diraient me sonne, et j’accours comme une petite soumise chaudasse prête à se faire défoncer, j’avoue que je suis folle de sa queue, de ses mains, de son regard, de ses paroles et de ses actes de mâle dominant super viril.

On le fait essentiellement chez moi dans mon appart, jamais chez lui vue qu’il habite chez ses parents et qu’il peut pas recevoir ses plans cul, mais c’est arrivé aussi dans des endroits insolites, dans une voiture, dehors en pleine nature, en boite de nuit dans les toilettes… Je vais vous faire partager un exemple.

Un dimanche après midi, il m’emmène avec lui le voir jouer au foot, il m’a demandé de m’habiller d’une façon très féminine pour passer pour une fille, il voulait me présenter à ces potes machos et surement homophobes comme sa petite amie, sa meuf, dans ce milieu c’est mal vu de se montrer avec un garçon gay féminin comme moi, alors que ça les dérangent pas de « niquer une tapette » comme ils disent, je le dis par expérience.

On arrive au stade, il me présente à ses potes qui me complimentent sur ma beauté et le félicitent d’avoir une meuf aussi belle, blonde et canon. Il a l’air très fier et se la joue macho avec moi devant ses potes en me roulant une pelle avant de me demander d’aller dans les tribunes pour le regarder jouer.

Je m’installe dans les tribunes sous les regards de désirs des mecs et suspicieux des filles, je me suis rendu compte que je dénote complètement dans le décors, mon look de petite bourgeoise et le fait que je sois la seule blonde parmi les spectatrices de ce match.

Pendant la partie vu que le foot n’est pas vraiment ma tasse de thé, je n’y connais absolument rien, et en plus désolée pour les footeux, je trouve ça nul que 22 joueurs se battent pour un seul ballon…

Enfin bref mon interêt se résume à regarder Teddy et certains joueurs que je trouvais vraiment canons en imaginant leur bosse dans leur short !!! On se refait pas.

Une fois le match terminé, sur la défaite de l’équipe de mon homme, alors que je l’attendais prêt des vestiaires, tout les joueurs étaient sortis, quand un de ses potes est venu me dire avec un sourire, que Teddy voulait que je le rejoigne.

A l’intérieur Teddy était seul, tout nu qui se préparait à aller dans la douche.

T : A poil bébé je t’attends sous la douche.

Totalement surpris par sa demande.

M : Mais t’es fou, si quelqu’un rentre, on va nous voir.

T : T’inquiètes, j’ai donné des consignes, personne ne viendra nous déranger.

Je commence alors à me dévêtir doucement, un peu trop lentement à son gout.

T : Plus vite que ça! On est là pour baiser, pas pour que tu fasses un strip-tease.

Je m’exécutais, faisant vite tomber mes vêtements les uns après les autres, ce n'est qu'après avoir retiré ma culotte, me retrouvant tout nu, tout excité, que je sentis les mains de Teddy se poser sur moi et m’amenant sous la douche, on se mit sous l’eau et il commença à m’embrasser et à me ploter, je sentais la queue de mon homme devenir de lus en plus grosse et dure, à ce rythme j’allais pas tarder à me faire tringler.

Teddy n’avait pas envi de faire durer avec des préliminaires, une fois qu’il a senti que son arme était prête à l’usage, il me souleva par les hanches comme si je n'étais qu'une poupée gonflable, il positionna son gland contre l'entrée de ma chatte, j’étais tellement mouillée qu'il entra facilement, comme si j’étais huilée.

Mais avec Teddy, entrer était l'étape la plus simple, il allait maintenant devoir me pénétrer de tout son membre, et ça, c’était loin d’être le plus simple avec l’engin qu’il avait, il commença à me laisser tomber progressivement sur son sexe.

Les parois de mon anus frottant contre la branche d'acier de Teddy me faisant gémir, à chaque fois que Teddy relâchait son étreinte, je sentais le mandrin s'enfoncer de plus en plus profondément en moi, je me sentais devenir un complément à la gigantesque bite qui me pourfendait, comme si ma chatte n'avait été conçue que pour l'accueillir.

Au départ, je me contentais de geindre à l'entrée du colossal phallus dans mon intimité, mais lorsqu'il eu enfoncé la moitié de sa bite, je ne pouvais plus que couiner comme une souris prise au piège, la douleur se mélangeant au plaisir à mesure que la bite me perforait de part en part.

Lorsque Teddy arrêta de me laisser glisser contre son piston, je pris conscience que ma chatte ne pouvait faire entrer plus du membre turgescent en moi. Mais cela ne gêna pas du tout mon mâle, il avait l'habitude, il commença à me soulever le long de sa bite avant de me laisser retomber et à chaque fois mon petit cul se faisait défoncer par le coup de boutoir, et sa bite pouvait s'enfoncer un peu plus en moi.
J’avais la sensation d'être à un manège, propulsé dans les airs avant de retomber, sauf que durant tout le mouvement je sentais ma chatte s'électriser, j’en avais les yeux révulsés de plaisir jusqu'au moment où je m’écrasais à fond contre la verge d'acier.

Je criais, j’étais foudroyé, ce n'était pas un éclair qui me traversait, je me faisais défoncer purement et simplement.

Après avoir été fracturer une demi-douzaine de fois de plus sur son mandrin, je put prononcer mes premiers mots en haletant.

M : Ooohhh, comment elle peut être aussi grosse ? OHHHH! je crois que je vais mourir!

T : C’est juste ma bite ma jolie, tu dois être habitué depuis le temps que je te baise.

Et sans me laisser le temps de rajouter quoi que ce soit d'autre, il me baisa à nouveau.

Comme pour éviter de m’empaler complètement, je m’agrippais instinctivement au cou de mon homme, ma petite poitrine frottant contre son torse musclé, mon petit trou avait des spasmes incontrôlables, j’eut un orgasme anal foudroyant au cours d'une pénétration, mais quelques secondes après, je sentais que je n’allais pas tarder à en avoir un second.

Mon corps n'était plus qu'une chiffe molle qui montait et descendait, je mouillais tellement que l'on entendait les bruits de succion que faisait sa queue quand elle s’enfonçait au fond de mon cul.

Teddy lui-même commençait à ne plus pouvoir se contenir, il sentait que sa bite avait besoin de lâcher la purée, les parois de mon anneau pressuraient sa bite, il arrêta ses mouvements un moment.

T : T’as vraiment une chatte super étroite, j'ai du mal à croire que je baise un mec.

Devant l'arrêt du marteau-piqueur, je fut comme en manque, le sexe de Teddy m’emplissait la chatte mais le manque de mouvement rendait cette occupation douloureuse, j’avais besoin qu'il me pistonne.

M : Qu'est-ce que tu attends ? Baise-moi.

T : Ah oui, tu aimes ça la bite, petite salope.

M : Oui oui… je t'en prie, fourre-moi viiiittte, je veux ta bite, ta belle bite noire.

T : Ahahah, c’est que je suis fatigué, à cause du match ma puce.

M : Non, je m’en fout, j’en veux encore, active-toi, dépêche-toi.

T : Tu veux que le mec des cités te saute, hein, petite bourgeoise.

M : Ouuiiiii, vas y mais vas y défonce moi, baise moi vite.

Teddy commença à me remonter le long de sa bite, alors que je commençais à perdre le contrôle de mes paroles.

Il me donna alors un coup de bite fulgurant tout en me laissant chuter le long de sa bite, ses couilles touchèrent mes fesses, son énorme manche tout entier était entré.

Je criais comme une folle sous le choc, je serrais Teddy de mes frêles bras comme si ma vie en dépendait, je sentis alors le sperme entré en moi, je me sentis gonfler, le flot ne semblait pas s'arrêter, comme si un tuyau d'arrosage m’était collé dans la fente, j’étais affalé contre le corps puissant de mon mâle.

Finalement Teddy commença à retirer sa bite, j’avais l'impression d'être une bouteille qu'on débouchait puis je sentis l'air entrer dans ma chatte, je me vidais alors du sperme une première masse de liquide blanc chuta directement sur le sol, puis le reste commencer à me couler le long des jambes.

Teddy me reposa à terre, et je m’écroulais en tentant de rester debout, je m’étais fait labourer, mes jambes ne répondaient plus, je me retrouvais accroupie au-dessus de ce qui me semblais être une petite mare de foutre. Mon mâle me releva m’embrassa et on se lava ensemble, nettoyant nos corps des affres de notre baise torride.

Teddy a mis moins de temps que moi pour se rhabiller et m’attendait avec son éternel sourire de mâle dominant, lorsque je remis ma culotte, je savais que dans les dix prochaines minutes ma lingerie ne serait plus qu'un torchon à foutre à mesure que tout le sperme qui était resté dans ma grotte humide retomberait.

Une fois totalement habillé, je sortais au bras de mon homme avec une démarche qui ne laissait aucun doute aux regards de tout ses potes sur ce que j’avais pris dans ce vestiaire.

Un jour tout bascula dans notre relation et je découvris le vrai visage de Teddy, comment et pourquoi il avait manigancé toute cette histoire avec moi.

Un jour, Teddy est venu me chercher chez moi en voiture, gardant le secret sur notre destination.

T : Tu vas voir bébé, c’est une surprise, ça va te plaire, tu vas grave kiffer ce plan, crois moi.

On sortait de Paris direction la banlieue nord, un endroit que je ne connaissais pas, j’y suis jamais allé.

Nous arrivons dans une cité, des carcasses de voitures calcinées jonchent le trottoir souvenir surement de la dernière nuit d'émeutes, la voiture stoppe devant l'entrée d'un immeuble où traînent 5 à 6 jeunes.

M : Mais qu’est ce qu’on fait là Teddy ?

T : Je vais te faire vivre le fantasme des petites bourges blondes des beaux quartiers parisiens comme toi ma puce, je vais te baiser dans une cave de la cité, là ou les racailles emmènent leur pute pour les sauter.

M : T’es sur que ça craint rien, je suis pas rassuré chéri.

T : T’inquiètes princesse, je suis chez moi ici, je connais tout le monde on va être tranquille et je vais grave te défoncer dans la cave comme si t’étais une pute à blacks ahahahah.

Teddy descendit de la voiture et vient m’ouvrir la portière me prit la main pour me faire sortir.

Toujours en me tenant par la main on se dirigeait vers l’entrée de la barre d’HLM, en passant devant des jeunes.

Teddy les salua par des checks et des hugs genre racailles.

: Putain!!! Frérot vas y…c’est qui ta poupée ?

T : C’est une petite bourgeoise en chaleur, je vais lui péter le cul à la cave, tu surveilles la caisse mec merci.

: Vas y la chance, tu pourrais nous faire profiter aussi mec.

T : Ahahahah, on verra les mecs un jour peut être.

J’en menais pas large, je me blottis contre Teddy pour me rassurer, j’avoue que j’avais vraiment peur.

Dans le hall de l’immeuble une bonne quinzaine de lascars à dominante black-beur était là, en me voyant, ils se mirent à siffler à qui mieux mieux la resplendissante blonde qui venait d’apparaître, ils devaient pas avoir l’habitude de croiser une petite blonde comme moi dans leur cité.

Un des mecs, qui devait être le chef s’approcha de nous.

T : Salut Bilal, comment tu vas ?

B : Très bien mec, ça fait plaisir de te voir ici et en plus en très bonne compagnie, tu me présentes ta princesse ?

T : Bilal, je te présente Gwenaelle.

B : Salut beauté, tu sais les choisir Teddy, elle est vraiment super canon, une vraie bombasse, je suppose que tu veux aller dans une cave, prend celle du fond vous serez plus tranquille, tu pourras la faire gueuler sans problème ahahahah.

Teddy le remercia et avec un clin d’oeil lui dit énigmatique.

T : Je te phone tout à l’heure, à plus mon pote.

Teddy m’entraina dans un escalier, descendant vers les caves, on trouve quelques jeunes fumant du cannabis et buvant de l'alcool tout en écoutant du rap, ils s'arrêtent net de discuter en nous voyant passer, et on continuait notre chemin vers la cave du fond.

On entra dans la cave, ça sentait vraiment pas bon, il y avait juste un matelas au milieu de la pièce éclairée à peine par une petite ampoule au plafond, une ambiance vraiment lugubre, j’étais mal à l’aise.

T : Allez bébé, on va pas s’éterniser, enlève tes fringues on va passer aux choses sérieuses, je vais te démonter comme une pute dans une cave, ça doit être la 1ère fois que tu te fais sauter dans une citée, tu vas grave kiffer, je vais te faire crier comme une chienne.

On se retrouva tout les 2 nus, il était là debout la queue déjà bien raide, il me mit sur le matelas et m’obligeant à m’agenouiller, me prenant la tête avec ces 2 mains, je compris très bien ce qu’il attendait de moi, j’ai pris sa queue en main, j’ai commencé à la lécher de bas en haut sur toute sa longueur, Teddy avait raison, j’étais vraiment excitée par la situation, je pris en bouche sa barre et débutais ma fellation essayant d’aller le plus profond possible dans ma gorge, je bavais sur sa queue comme une chienne, Teddy avait l’air d’aimer ma prestation, il grognait comme un fauve et au bout d’un moment il agrippa ma chevelure pour imprimer le rythme qu’il voulait m’imposer, il me baisait carrément la bouche comme si c’était un sexe, j’avais les larmes aux yeux et la mâchoire qui me faisait mal.

T : C’est bien petite salope, suce bien la queue qui va te faire crier et te défoncer ton petit cul, t’as intérêt à bien saliver parce que t’auras que ça comme lubrifiant quand je vais te pénétrer, tu vas connaitre comment on baise les petites tapettes bourges dans une citée.

Sur ces paroles, je me suis mis à le pomper comme une folle, essayant d’avaler le plus loin possible sa poutre au risque de m’étouffer, je me comportais comme une vraie chienne en chaleur.

Au bout d’un moment, Teddy me tira la tête en arrière, retira sa queue de ma bouche, me souleva et me jeta sur le matelas.

T : Allé salope en position de chienne, à 4 pattes, cambres bien ton boule de tapette que je l’explose.

J’obéis à l’ordre de mon mâle, prête à me faire défoncer, remuant mon petit cul attendant que mon homme prenne sa femelle.

M : Dépêche-toi mon chéri, je suis en feu, j’ai trop envie d'être baisé comme une pute.

T : Salope, ah tu veux être baisé petite lopette alors cambres toi et tends ton cul, je vais bien te bourrer ma salope.

Il positionna sa queue contre mon anus et se mit à peser dessus, la bite lubrifiée par ma salive et la mouille
émanant de mon petit cul, entra comme dans du beurre, l'intromission fut très longue et quand je sentis les bourses pleines de sève de mon mec contre ma croups, je sus qu'il m'avait enfessé totalement et un cri strident sortie de ma bouche, un cri de femelle soumise à la force de son mâle.
Je sentais dans mon fondement palpiter l'énorme bite, ses mains accrochées à mes hanches Teddy commença à aller et venir en moi lentement m'arrachant à chaque va et viens des gémissements, mélange de douleur et de bonheur, la fabuleuse verge coulissait sans aucune gène dans mon fourreau entièrement dilaté, je planais littéralement sous les coups de boutoir que m'assenaient mon amant, mes râles s'étaient transformés en cris de plaisir, je roulai des hanches en cadence tendant mon derrière vers cette magnifique queue qui me forait les reins.

T : T’es prête pour la grande chevauchée sale pute ?

Il me fessa brutalement, m’arrachant un cri, il me pilonnait le cul de toute la longueur de sa queue avec une violence, une brutalité et une virilité telle que je commençait à pleurer, le suppliant d’y aller moins fort.

T : Ta gueule petite pédale, tu es à moi, je te baise comme je veux, tu peux pleurer comme une gonzesse que tu es mais tu vas encaisser comme jamais.

Je me tordais comme une damnée sous celui qui me montait, Teddy me tringlait maintenant à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes fesses bouillantes, j'avais le trou complètement éclaté sous les assauts répétés qui me faisaient décoller chaque fois que le monstrueux engin se plantait au fond de mon sphincter démoli, je ne savais plus depuis combien de temps cette bite me limait mais j'avais l'impression que de la lave coulait de mon canal dévasté, mon mec me possédait avec des Han de bûcheron ,je hurlai sans discontinuer, mon amant avait écarté au maximum mes jambes et les avait relevé de manière à faire ressortir plus encore mon anneau pour accentuer l'angle de pénétration et me besognait avec une violence inouïe, s'il continuait comme ça il allait me déchirer le cul, ma tête ballottait de droite à gauche, ma chevelure blonde volait dans tout les sens, la bouche grande ouverte. je me mis à onduler comme une folle sous ses coups de boutoir.
Les mains crispées sur mes hanches Teddy me baisait de toute la longueur de son sexe en de rudes poussées.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de ma grotte et me plaquant contre lui que Teddy éjacula en râlant, ses épais flots de foutre crémeux giclèrent le long de mes parois surchauffées me provoquant un spasme foudroyant, l'air me manqua, mes mains se dérobèrent et je tombai lourdement sur la couche entraînant dans ma chute celui qui me chevauchait, mon corps se tendit comme un arc et un puissant hurlement pulsa de ma gorge, je suppose que toute la cité a du entendre mon cri de femelle fécondée par son homme.

Encore Anéantie par mon violent orgasme érotique, la bite encore raide plantée en moi, j’entends Teddy sur son portable parler à quelqu’un.

T : J’ai fini avec ma salope, tu peux venir avec tes potes.

M : A qui tu parles chéri ?

T : T’inquiètes ma pouf, c’est une surprise pour toi.

Soudain, il me prit par les cheveux violemment me faisant cambrer, je me mis à crier de douleur.

M : Aiiiee, tu me fais mal.

T : Ta gueule salope, j’ai à te parler sérieusement, j’espère que tu as kiffé notre baise parce que c’était la dernière fois que t’as eu la chance de te prendre ma bite dans ta chatte de pédale.

M : Mais pourquoi qu’est ce que tu veux dire ?

T : Tu sais c’était pas un hasard si on c’est rencontré à cette soirée, je savais que salope comme tu es, tu n’allais pas résister à te faire sauter par un mâle puissant comme moi, je t’es dragué, je t’es eu et ma vengeance a commencé.

M : Vengeance ? Quelle vengeance et pourquoi ?

T : Pourquoi ? Je vais te raconter une histoire pétasse, c’était en terminale tu organisais une soirée chez toi, j’étais là avec ma meilleure amie Valérie, évidemment on étais pas assez bien pour toi, quand en fin de soirée tes potes de petits bourgeois s’en sont pris à Valérie, la faisant boire et devant tout le monde l’ont mise toute nue en la plotant, j’ai essayé de l’aider mais tes potes m’ont maitrisé, elle a été humiliée, des photos et vidéos ont été pris, je suppliais pour que ça s’arrête mais personne n’a bougé, même pas toi, je t’ai regardé, tu souriais devant le spectacle.

Valérie après cette soirée est entrée en dépression, elle a même tenté de se suicider, depuis je me suis juré de la venger, et aujourd’hui c’est ma vengeance sur toi que j’exécute.

M : Je suis désolé mais je me souviens pas de cette histoire et j’y suis pour rien.

T : Ahahah facile de se dédouaner, ça c’est passé chez toi, un seul mot de ta part et ils auraient arrêté de la maltraiter mais non tu étais hautaine et méprisante, profitant du spectacle et tu vas payé pour ton comportement.

A ce moment là, un groupe de racailles entra dans la cave, Teddy se retira de mon cul, se rapprocha de mon visage ses mains toujours agrippés dans mes cheveux, il nettoya sa queue toute gluante de sperme et de mouille avec ma longue chevelure, quelle humiliation j’en pleurais de honte.

T : Je rêvais de faire ça depuis la 1ère fois que je t’ai baisé, tu es si fière de ta belle et longue chevelure de princesse que là tu ressembles à une pute souillée. Allé les gars, je vous la laisse, elle est à vous cette chienne, amusez vous.

Teddy se rhabilla et sortit de la cave sans un regard pour moi.

J’essayais de me lever quand je reçu une magistrale gifle qui me projeta sur le matelas.

: Ou tu crois aller petite salope ?

M : Je vous en prie, je suis très riche, si vous me laissez partir vous aurez beaucoup d'argent.

Un grand gaillard arabe, surement le chef, qui s’appelait Bilal, celui qui nous avait salué dans le hall de l’immeuble, s’avança vers moi tout proche de mon visage.

B : Je crois que t'as pas tout compris, pétasse, ton argent on s'en branle. Alors comme ça on s'autorise à insulter et à humilier une de nos sœurs, connasse ? On va t'infliger une petite leçon de savoir-vivre princesse, si tu veux que ça se passe bien pour toi t'as interêt à être gentille avec nous, de toute façon tu vas y passer alors vaut mieux que tu sois bien soumise ma belle et en plus je suis sur que tu vas kiffer. Kader moteur !!!

Il s’adressa à un jeune arabe qui avait en main son portable, je sus alors que mon supplice va être filmé.

Ce fut le début des hostilités, je me retrouvais entourée par cette bande de jeunes racailles qui commençait à me martyriser le corps de leurs mains sales, un des jeunes fit cette remarque.

: Putain les mecs, cette pédale n’a pas de couilles et en plus elle a des petits seins, une vraie meuf, on va grave kiffer notre race.

Les salauds se déchainèrent sur mon corps, enfonçant des doigts dans ma fente sans ménagement, je me résignais à cette situation en essayant de prendre du plaisir.

On m’écarta les jambes au maximum exhibant mon petit trou dilaté par la performance de Teddy, un des racailles enfonça un doigt et le secoua énergiquement, il en enfonça un second puis un troisième dans mon anus ce qui m’a fait hurler de douleur.

On me malaxait les seins, tirant sur les pointes, celui qui me doigtait se penche et me lécha le trou, je poussais un gémissement et le jeune ricane.

: Elle mouille cette salope, elle aime ça la chienne.

Un beur à capuche sort sa queue et s'approche de ma bouche.

: Suce-moi, sale pute!

Je détournais la tête en protestant, on me tira par les cheveux et le jeune força mes lèvres, engouffrant sa bite dans ma bouche, mes joues sont déformées par l'épaisseur de la bite, le jeune donne des coups de reins et fait des vas et viens dans ma bouche manquant de m’étouffer.

Des larmes me monte aux yeux mais résignée je m’exécute, suçant la bite avec des bruits écœurants, plusieurs mecs autour de nous ont sortis leurs téléphones portables et font des photos et même des films, on fait des photos de cette magnifique bourgeoise blonde en gros plan avec une bite dans la bouche, le jeune s'active et me dirige en me tenant par les cheveux tout en me donnant des instructions.

: T’es pas douée connasse, t'as jamais sucé ou quoi? Sors ta langue, suce le gland, voila c’est mieux reprends-moi en bouche.

Je pompais la bite aussi vite que je le pouvais pour écourter au maximum mon calvaire, finalement le mec éjacula libérant un torrent de sperme, je voulut recracher son foutre mais il m’ordonna de tout avaler comme le font les bonnes chiennes me montrant fièrement qui était le mâle.

Les autres se précipitèrent et de nouveau, je dus sucer des bites, on ne me laissa aucun répit, ma bouche est envahie à tout moment, à peine si je pouvais respirer.

Ceux que je ne pouvais sucer, se branlent au-dessus de moi et éjaculent sur mon visage, j’étais recouverte de sperme, dans les cheveux, sur mon menton, mes seins.

B : Allé les gars finis de rigoler, on va l'enculer cette petite bourge, Bouba tu commences.

Le Bouba était un grand black avec une queue énorme que j’ai eu du mal à avaler quand je le suçais, il se mis derrière moi agrippant mes hanches et s’apprétant à me sodo.

M : OOOOhhh non, je vous en prie pas lui il est énorme, il va me déchirer.

B : Ta gueule princesse de mes deux, je vais te baiser que tu le veuilles ou non alors prête à te faire défoncer.

Bouba m’agrippa les hanches et pénètra ma chatte, je poussais un cri strident tant la douleur était grande, il donna des coups de reins violents me faisant tressauter, ma tête ballottait dans tous les sens, faisant voler mes cheveux, le grand black me bourra violemment, les yeux exorbités, décoiffée, en sueur, je subis les assauts de Bouba en me mordant les lèvres, une bite se présente et je l'avale sans rechigner, le black accélère ses coups de reins et il éjacule au fond de moi en poussant un grognement sauvage.

Un autre le remplace aussitôt, celui que je suçais me gicle dans la bouche et se retire, 2 autres arrivent et me forcent à prendre leurs deux bites dans ma bouche, je poussais des geignements étouffés, ma bouche est ouverte au maximum, la mâchoire complètement déformés par les deux bites.

Bilal le chef se présente derrière moi et m’ introduit son index dans l'anus, pour me préparer dit il, est ce possible qu’il en a une plus grosse que Bouba ? Je n’eu pas longtemps à avoir une réponse à ma question.

Il pointe son gland sur l'ouverture de mes reins, pousse et sans pitié, le chef agrippe mes hanches et dans un violent coup de reins s'engouffre dans mon cul, je pousse un hurlement étouffé par les bites que je pompe.

Les commentaires vont bon train.

: Regardez la bourge, elle se fait enculer par la grosse queue de Bilal et elle aime ça la salope.

Bilal va d'abord doucement puis de plus en plus vite, sa bite coulisse de mieux en mieux dans mon canal, il m’encule sauvagement se moquant des couinements pitoyables que je poussais, je n’étais plus qu'un objet sexuel, il ne tarde pas à éjaculer à gros bouillons dans mes intestins et c’est vrai que je prenais de plus en plus de plaisir des saillis de ces mâles dominants, puissants et virils

Ressortant hilare de mon cul, il est aussitôt remplacé par un beur nerveux qui me retourne, me positionnant sur le dos, les jambes grandes ouvertes avec une vue magnifique sur ma chatte dégoulinante de sperme, il me regardait avec dédain et mépris presque de la haine.

Il me plaqua contre le sol, maintenant fermement mes poignets et enfonçant son sexe sec et dur dans mon anus ouvert. Il me lima brutalement, le bruit de ses bourses pleines claquant contre mon entrejambe, faisait écho à mes gémissements de femelle.

Il maitrise son sujet le salaud c’est un bon baiseur et prend un plaisir sauvage à prolonger le coït, savourant ma chatte de velours, il doit pas avoir l’habitude de baiser une femelle blonde de ma classe et il en profite à fond, enfin il se vide en d'interminables giclées dans mon fondement, il prend bien soin de déposer la moindre goutte de foutre dans ma chatte et se retire avec un sourire méprisant.

: On se voit dans 9 mois à la maternité petite pédale, je viens de te féconder.

Laisse-il tomber avant de me cracher à la figure.

Mon calvaire dura des heures, je suis baisée comme une chienne, je suis recouverte de sperme.

L'humiliation suprême aura lieu quand Bilal demanda à toute sa bande de m’entourer en se branlant pour me faire une douche de sperme, je ne veut pas subir cet affront, je lutte, proteste, pleurniche même mais rien n'y fit.

On appuie inexorablement sur ma tête pour que je me retrouve avec une dizaine de bites bien bandées, attendant qu’ils se déversent sur mon visage. C’est Bouba le premier, sentant l'orgasme monter qui m’agrippa par mes cheveux blonds défaits et expulsa de monstrueux jets de foutre sur mon visage, ce fut le signal du feu d’artifice, sous les cris de joies des lascars, de cette horde de sauvages en furie, les mâle en rut l'un après l'autre propulsent leurs jus sur mon visage et mes cheveux, je suis noyée sous cette pluie de foutre, mes yeux sont recouvert et je ne vois plus rien, haletante, épuisée, le corps perclus par les assauts que j’ai subis, devant de surcroît recevoir tous ceux qui se sont soulagé d'une excitation trop pressante.

On m’abandonna finalement, étendue sur le matelas, ne pouvant plus bouger, le cul en feu, déchiré et dégoulinant, tout comme ma bouche et mes cheveux d'où s'écoule les restes d'un flot de semences de mâle dominants.

Bilal signifiant la fin des hostilités, se rapproche de moi gisant au sol et m’empoigne les cheveux, tournant ma tête vers le portable qui me filme.

B : Regardes petite tapette, tu viens de participer à ta première sex tape dans une cave de cité, tu vas devenir une véritable star dans tout les lycées de banlieue, fin de partie, mission accomplie ma salope.

A bout de résistance, je tourne mes yeux bleus vers l'objectif et hoquette du sperme qui se trouvait encore dans ma bouche, le plan final est grandiose, couverte de foutre, les cheveux défaits et nu, je devais vraiment avoir l’air d’une pute.

Bilal demanda à 2 de ses hommes de me rendre présentable et de me raccompagner vers le premier métro pour que je puisse rentrer chez moi.

Une fois prête, je sortais tant bien que mal de la barre d’HLM, ayant du mal à marcher mais en essayant de garder un semblant de fierté sous les yeux de ces racailles qui venaient de me défoncer pendant des heures, on me déposa à un métro et je rentrais chez moi épuisée.

J’ai eu des séquelles physiques de ma mésaventure pendant bien 2 semaines, j’avais du mal à marcher normalement, mon petit trou était très sensible et douloureux, mais je dois bien avoué que malgré la violence des assauts subis, je me suis rendu compte que malgré tout j’ai pris du plaisir sexuel et que j’ai pu vivre un de mes plus grands fantasmes.

Bien sur je n’ai plus jamais revu Teddy, ni aucun des mecs de la cité.

GwenBlondinet

gwenaelblond@gmail.com

Suite de l'histoire

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💦 Dernère mise à jour:
13 Novembre | 74 pages

Les nouvelles | 9 pages

Lopé sur l'autoroute NicoLope
Comment se taper son prof marié Ceven-X
Nouvelle expérience Lolo
Mon garagiste GL
Ton plaisir est le mien Greg
Mon journal intime Chopassif
Premier pas Rik71
Le vendeur et la cabine d’essayage Glenn
Embauche Glenn
Envoie ta première histoire !

Les séries : 65 pages

L’enterrement de vie de garçon | 2 | +1 JulesP
1 | 2
Vie étudiante | 5 | +1 Alexandre
1 | 2 | 34 | 5
Le vrai visage de mon fils | 5 | +1 Adreprofeco
1 | 2 | 3 | 4 | 5
Arthur et Maxime | 12 | +1 Sylvainerotic
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 FIN
En groupe à la piscine | 3 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3
Mon beau-frère | 18 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18
L’ensemenceur | 4 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 34
L’amant de ma femme | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8
Bénévolat en Australie | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 67 | 8

ET CE N'EST PAS TOUT !
Il y a 115 pages en + ici

RETOUR AUX HISTOIRES

21 ans d'histoire :
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IMPORTANT
Rêve ou réalité, ces histoires ne sont pas un art de vivre
N’oublie pas les dangers d'une relation sexuelle sans protection,
que tu sois sous Prep ou pas.
PROTEGE-TOI ET METS DES CAPOTES !

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L'Impact Bar | Cruising gay à Paris'

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HISTOIRE AVEC DES MINEURS, ADO, ENFANT(-18ANS)
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