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606 | Robin-2 Escort
2 mois environ après son arrivée au Blockhaus, Robin demande à me voir. Comme il le fait très « officiellement » je le reçois dans mon bureau.
Je lui laisse le temps de mater la frise de mes escorts alors que je ferme l’application sur laquelle j’étais. Je le regarde et attends qu’il parle.
Il se racle la gorge et me demande si, maintenant qu’il s’est « remplumé » il pouvait éventuellement, s’il avait atteint le standard, selon mes besoins, intégrer mon équipe d’escorts.
Avant que j’ouvre la bouche il reprend. Bien sûr tout en continuant à encadrer mes lycéens.
Je réfléchi. Plus je réfléchi et plus il s’inquiète de ma réponse. L’enquête préliminaire à son entrée au Blockhaus a démontrée qu’il répondait parfaitement à mes critères, hormis le physique qu’il s’est empressé de mettre à niveau depuis son arrivée.
D’ailleurs j’ai dû trop le faire patienter car il se lève et se dévêt. Venu en tenue locale il n’avait pas grand-chose à enlever ! Le marcel enfilé pour l’occasion moulait parfaitement sa plastique et je ne gagne en précision que la couleur de sa peau. Le retrait de son short est plus intéressant. Pas que ce soit un modèle « basketteur » mais même ultra moulant comme peuvent l’être des Addicted, il gommait un peu le relief qu’il dissimulait. D’autant plus que dessous Robin avait enfilé un bottom-less de la même marque.
Il tourne sur lui. Je devine qu’avant de venir me voir il a passé quelques heures au rez-de-chaussée. Ses muscles sont gonflés et les kilos pris l’ont été harmonieusement. Coté « entretien de surface » aussi. Pas un poil visible.
Je le félicite d’avoir rebondi aussi vite. Il rougit et m’assure qu’il n’aurait pas pu sans l’aide qu’il a trouvé ici et mes installations. Le peu de tissus qui le recouvre commence à se distendre.
Je me lève fais le tour du bureau et pose mes mains sur lui. Il sursaute. Le touché est autant nécessaire que le visuel. Sous mes doigts sa peau fine laisse deviner les groupes musculaires. D’autant plus qu’ils viennent d’être travaillés.
Il en bouge plus me laissant « l’estimer ».
Ses fesses encadrées et directement accessibles sont petites, rondes et fermes. De côté par rapport à lui, ma main gauche les caresse alors que ma droite s’insinue sous le tissu et empoigne sa queue. Il prend l’initiative de baisser son sous-vêtement. Sa queue vient direct à la verticale coller ses abdos. Ses petites couilles collent à sa base. Il a finalement opté pour le rasage intégral. Ma main droite m’indique plutôt une épilation au ressenti de la douceur de sa peau à cet endroit. Je prends du champ. Effectivement il est à niveau. Car pour le sexe je le sais au point aussi. Dixit Marc qui le baise de temps en temps depuis le 1er de l’an.
Alors que je mate sa bite : bien droite, rose avec un gland découvert d’un ton au-dessus, il tourne la tête et quand je relève la mienne, vient me rouler une pelle.
S’il commence suave et doux, la faim le rend plus exigeant et impérieux. Je me place face à lui et nos langues entament un ballet/bataille qui nous laissent un peu essoufflés. S’il s’était retenu jusque-là de me « draguer », il commence à se rattraper. Il est légèrement plus petit que moi : 3 cm et encore plus léger aussi. Alors qu’on recommence à se rouler un patin, je sens ses mains courir sur ma peau, descendre mes épaules, mon dos pour attraper mes fesses et les tirer vers lui. Ma queue encore emprisonnée par mon short compresse la sienne quasiment identiques (lui -1cm).
Le contact réduit par le tissu doit le gêner car il glisse contre moi pour, genoux au sol, m’arracher l’ES que je porte à ce moment-là. Ma queue pointe à la verticale aussi le temps qu’il ôte mon short de mes pieds. Car dès que cela est fait il vient me pomper. OK, elle ne fait que 20cm mais je sens bien mon gland passer dans sa gorge sans difficultés. Je lui en fais la remarque. Il s’interrompt pour le dire qu’il s’était entrainé avec le 22 de Marc, les 23 de Sosthène et Justin et même le 26x6 d’Issa quand il passe au blockhaus. Cela dit il plonge à nouveau pour emboucher ma bite.
Ok il a de la profondeur et aussi de la technicité. Son « apprentissage » a été efficace. Il alterne mon gland dans sa bouche à le torturer à coups de langue avec des aspirations profondes qui l’entrainent au plus loin possible dans son larynx.
Je manque de jouir !
Je le repousse et le redresse. J’aime trouver le goût de mon précum quand je lui lèche la langue. Main gauche sur son paquet, j’enserre sa base « couilles et bite » comme un cockring. Il sursaute mais me laisse faire. Je le repousse et plaque son torse sur mon bureau. Il se cambre un peu pour coller le plateau. Son cul ressort comme un appel à la queue. La mienne est parfaite car couverte de sa salive.
J’écarte ses fesses. Il me laisse faire et son trou apparait. Tout rose, légèrement plissé (je l’attendais plus que cela vu les retours sur le fait qu’il baise au moins tous les 2 jours). Nickel évidement. Je plonge la tête entre et ma langue le lèche avant de le travailler. Il la fait palpiter. J’arrive à introduire quelques mm de langue avant qu’il serre et me l’emprisonne. De ce côté là aussi il a appris de ses contacts.
Je délivre une bonne dose de salive et me redresse. Je positionne mon gland encore englué pile sur sa rosette et appui. Elle s’ouvre gentiment. Mon gland passe et il vient me serrer juste après. Bien ! Je donne un petit coup de bassin, il relâche et je m’enfonce dans les délices de son corps. Ma queue est collée sur tout son long. J’écarte ses fesses pour ne pas perdre un mm de sa capacité à me recevoir. Je l’écrase sur mon bureau. Je le sens même essayer de reculer aux mêmes fins.
Je reste un moment, trop bien, ma queue toute recouverte de lui. Il tourne la tête, me sourit. Je me penche et l’embrasse. Il se cambre pour faciliter notre baiser. Ce sont mes reins qui décident et alors que nous mélangeons encore nos langues, mon bassin se met en mouvement. Lentement ma queue sort jusqu’au gland avant de plonger à nouveau dans sa douce chaleur. Je répète le mouvement lentement puis augmente le rythme. Je tape dans sa prostate et ça lui arrache des gémissements de plaisir. Il creuse encore plus les reins pour que ça le fasse à chaque fois que je le pénètre.
Brusquement, alors que je suis totalement sorti pour mieux le défoncer à nouveau, il se retourne et me fait face. De ses mains aux plis des genoux, il retient ses jambes levées et écartées. J’ai vue en 1er plan sur sa rosette qui se referme puis ses couilles collées à sa queue qui pointe vers son menton et au-dessus de pecs qui commencent à bien s’épaissir et son sourire qui barre son visage. Quand mes clients auront cette vue, ils ne penseront qu’à plonger sur mon nouvel escort, la queue en avant. Et comme il prend déjà du 26x6, cela devrait se passer sans soucis. Moi en attendant je profite du plaisir qu’il me donne même alors que j’en fais l’évaluation.
Il croise ses chevilles dans mon dos. Je me penche, l’attrape sous les bras. Il comprend, s’accroche à mon cou et d’un coup de rein je nous remets à la verticale. Il accuse le coup quand ses fesses tapent mes hanches. J’assure la stabilité en écartant un peu les jambes et à la force des bras, le soulève jusqu’à ne laisser que mon gland dans son cul avant de le laisser retomber de tout son poids. J’ai le plaisir de l’entendre gémir dans mon oreille. Je recommence et il participe. Ses cuisses aussi ont repris de la force et du volume. On baise encore quelques minutes avant que je pivote, pose mes fesses sur le bord du bureau. Ses pieds viennent encadrer mon bassin et je le laisse jouer.
Il me penche en arrière, un peu. Ses pieds sur le bureau (donc), ses mains derrière mon cou, il « squatte » sans poids à soulever mais fixé par l’axe de ma bite. Mes mains l’assurent en le tenant par les mollets. Géant comme il me branle la queue avec sa rondelle. Il la resserre limite à m’arracher la peau quand il descend. Je balance entre douleur et plaisir. Mais il dose juste et c’est le plaisir qui l’emporte. Tellement qu’il arrive à tirer mon jus. J’explose dans son boyau. Une fois, deux fois…8 fois je vide mes couilles. A mi-chemin, c’est lui qui repeint mes abdos et mes pecs de son épais jus blanc.
Je me couche sur le bureau. Il vient s’étaler sur moi. Enfin plutôt étaler son sperme entre nos deux bustes. Dix bonnes minutes et je l’aide à se reposer sur le sol. Un coup de sopalin et nous gagnons les sanitaires de l’étage.
Sous la douche je lui confirme qu’il est accepté dans l’équipe. Il est content et rit. Il me dit/questionne que s’il m’avait enculé il aurait été accepté dans « l’écurie » ?
C’est vrai qu’il m’arrive de parler de l’ensemble de mes collaborateurs sous ce vocable !
Comme il rejoint ses « élèves », j’appelle Justin.
Après avoir essayé de lui foutre la honte en lui demandant si cela ne les gênait pas lui et son mec de faire les sorties d’école, je le questionne pour savoir s’ils avaient rentré des RCZ. J’ai pris le parti de revenir, quand cela est possible, à ce modèle pour équiper à nouveau mes escorts. Quand le garage de Justin (plutôt de son père) rentre une RCZ, ils la reconditionnent totalement, moteur, suspension, carrosserie et sellerie…) avant que je la leur rachète.
Robin aura donc la chance de s’en voir attribuer une qui sera disponible dans les semaines à venir.
A croire que je n’arrive plus à satisfaire la demande. Les enchères s’envolent pour la première de Robin. En ces temps de pandémie, il atteint presque le plancher des escorts à dépuceler. Soit nettement plus que les 1ères classiques.
Je lui explique alors en détail comment il peut gérer tout cela. Je code un coffre à son nom. Il sait déjà que souvent les escorts reviennent de prestation avec un bonus.
Dernièrement j’ai modifié le système qui utilise la reconnaissance de l’iris de l’œil. L’ouverture de la porte blindée principale enclenche un enregistrement identité/jour et Heure. Si tous les bénéficiaires d’un coffre peuvent l’ouvrir, chaque coffre ne répond qu’à un iris bien sûr. Sauf ceux de nos fils.
Si pour sa première, il est gâté question sexe : client dans les mini côté équipement (un sexe de 25x6), il ne l’est pas coté bonus, le mec ne prends pas le temps de réfléchir à un cadeau mais alonge simplement les billets dans l’enveloppe.
Comme il louche depuis un bon moment sur les poignets de ses copains, je le conseil et il investit modestement dans une fort belle DDF12-44-SQ-AB de chez BRM. Je suis sûr que ce ne sera pas sa dernière. Certains autres demandeurs de prestations auront à cœur d‘upgrader son poignet !!
Affaires internes :
Nos « triplés » (faussement désigné comme tels) grandissent vers leurs 1ers anniversaires.
Alors que nous en sommes encore distant de plusieurs semaines, nous arrivent de partout, des trotteurs, des jeux de cubes et autres tables d’activités le tout en 3 exemplaires toujours ! Je crois bien que nous aurions de quoi monter un véritable jardin d’enfants.
Le covid ne nous a pas empêché de les amener voir leurs grands-parents. En fait avec leurs situations, ils n’ont que 3 grand-mères et 2 grands-pères + Marc qui s’apparente plus à l’un d’entre eux. Mais chacun d’eux considère nos trois garçons comme leurs descendants sans distinction aucune. Si les parents de PH et Emma comptent encore beaucoup sur Ammed qui les accompagne quand ils doivent rester plusieurs jours chez eux, ce n’est pas le cas des parents de Ludo. Issus de l’aristocratie avec « serviteurs », ils en connaissent les limites. Cela même si Ammed est tonton plus que larbin ! Quand il est chez mes BoPs, c’est quasiment des vacances. Ils prennent en charge les périodes de veille des enfants. Il n’a juste qu’à les aider pour les biberons. Il en profite alors pour aller voir les copains à l’écurie. Dylan est toujours prêt à le monter seul ou avec de l’aide. Quentin et Gaétan ne sont pas les derniers à participer à un bon plan cul. Une double sodo d’Ammed ça en fait partie !
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!