Soumission & Domination | 607

607 | Tilian aux études 3

Tilian :

Quand je retourne au lycée qui abrite ma formation de DMA, mon arrivée dans mon « véhicule de fonction » ne passe pas inaperçue.

Anne remarque même la montre que je m’étais permis de porter. L’Ulysse Nardin Blast Hourstriker ne lui échappe pas !

Ce qui n’échappe aussi à personne c’est la pelle que nous nous roulons dès qu’on se revoit. Je suis étonné de sa puissance. Je ne pensais pas être tant en manque de lui. Après tout c’est pas comme si je ne baisais pas par ailleurs ! de ce je ressens chez lui ça l’air d’être pareil.

C’est notre prof d’art appliqué qui nous fait revenir à la réalité. D’une tape sur l’épaule, il nous demande de faire montre d’un peu de retenue. Après tout nous sommes au beau milieu de la cour principale du lycée et même si les effectifs sont réduits par le COVID, nous ne sommes pas seuls au monde.

Nous saluons de loin nos collègues et montons direct à l’étage qui est réservé à notre formation supérieure. Alors que nous sommes déjà pressés par le temps, nous ne pouvons nous retenir d’une première baise ! Fébriles, les lèvres soudées, nous défaisons nos ceintures et baissons nos jeans. Je retourne Anne et me plante en lui. Ma première entrée lui tire une grimace. Pas assez de salive ! Petit problème vite résolu et je profite de son cul comme lui profite de ma queue. Ma langue lèche son cou. Il se cambre et tourne la tête. On peut se regalocher le museau.

Nous sommes heureusement pour le cours à venir trop excités pour durer et vite je me vide au fond de son cul alors qu’il me remplit la main. Nettoyée à coup de langue puis pelle de partage, nous passons vite aux sanitaires avant d’aller en cours avec 5mn de retard. Nous ne trompons personnes quand à ce que nous venons de faire et ce n’est pas l’explication vaseuse d’avoir du vider nos valises pour éviter les vêtements froissés qui pourrait nous dédouaner.

Déjeuner avec les collègues. Questionnement sur mon Pickup Ford. Je reste vague. Anne mérite d’avoir la primeur. Sur nos retrouvailles explosives nous subissons l’ironie de nos comparses. Le tout est bon enfant et sans méchanceté.

La seconde cession de cours me parait d’une longueur inusitée. Je me surprends plusieurs fois à fixer le dos de mon ami la tête remplie de plans cul.

Ayant pris le temps de quelques coups de téléphone j’arrive au foyer après les autres. Anne agite les poignées de Babyfoot qui gèrent goal et arrières. Arrivé dans son dos, je l’enoure de mes bras ce qui lui fait encaisser son premier but. Remerciements de ses adversaires et engueulade de son partenaire.

Corentin (avec qui nous avons déjà baisés) me tire en arrière pour laisser les joueurs à leur partie.

Je lui demande s’il a baisé pendant notre distanciel.

Il me raconte tout. Cela me distrait alors que j’attends Anne.

Depuis le premier confinement il s’était pas mal limité à sa main droite. L’été lui avait permis de belles rencontres mais depuis la rentrée seul ma « prise en main » d’Anne lui avait jusqu’alors permis de se vider les couilles normalement. La semaine passée, fort de nos baises, il s’était remis en chasse. L’appli qui va bien lui avait fourni son premier plan. Un commercial dans la 30aine qui résidait dans un hôtel pas loin de chez lui. Alors même qu’il n’avait rien demandé le mec lui a direct proposé du fric.

Je lui demande s’il avait accepté.

Il me dit que ça l’avait super excité comme situation et s’était surpris même à négocier à la hausse. Je demande des précisions. Il me dit que le mec proposait 50€ pour une pipe. Ils se sont mis d’accord sur 200€ pipe et sodo. Je ne dis rien mais pense au travail de Sasha pour nous trouver des prestations à 20 fois ça minimum !

Il me raconte qu’ne plus c’était un super coup qu’il aurait apprécié même gratuitement. Puis d’un coup il se rend compte de ce qu’il vient de me raconter et rougit avant de me demander si cela me choquait et de ne surtout rien dire aux autres.

Je le rassure d’un « ça m’est déjà arrivé à moi aussi » avant l’arrivée d’Anne.

Ce dernier s’installe d’autorité sur mes genoux et ses bras atour de mon cou me roule une pelle à faire bander un eunuque ! c’est très naturellement qu’après en avoir fini avec ma bouche il se tourne vers Corentin pour prendre de ses nouvelles.

Montée à notre étage. On se déshabille et nous partons nous doucher. Nous ne sommes pas les seuls à avoir penser à ce moyen de se détendre. Même s’il reste deux douches de libres sur 10, nous occupons la même. Le manque même partiellement comblé ce matin nous fais de nouveau bander. Faut dire que le savonnage mutuel y à bien participé. Il n’y a pas eu que les mains qui ont servi à étaler le gel douche 😉

En manque moi aussi d’Anne, je le laisse cette fois ci m’enculer. Son 20x6 s’il n’est pas le plus gros calibre que ma rondelle se soit prise, mais elle me comble parfaitement et le mec sait s’en servir. Les occupants des autres douches s’en aperçoivent car je ne me retiens pas d’exprimer mon plaisir. Les mains en appuis sur le carrelage, les reins cambrés, les pieds écartés, je me fais royalement sodomiser. Les mains d’Anne qui me tenaient aux hanches migrent vers mes épaules quand l’excitation monte et que ses coups de rein se renforcent. Montent des autres douches des reproches comme quoi on pourrait attendre d’être dans notre chambre, que ce n’est pas humain de faire ça sous les oreilles de pauvres mecs qui n’ont que leur main…

Comme la douche ne permet pas de s’essuyer convenablement à deux, nous le faisons dans l’espace commun. Nous sommes rejoints par les collègues qui eux sont secs. Les blagues fusent encore et je mate. Ils sont tous en demi-mole post éjac à part deux qui se cache le sexe.

En plaisantant je félicite Ethan qui arbore la plus grosse bite du groupe. Bien que pendante elle ne doit pas faire moins de 15 x 4 ! alors qu’il passe à ma portée, je le caresse d’une main et souligne mon geste d’un « en voila une dont je ferais bien connaissance ».

Il rougit et se fait siffler par les autres. Mais sans méchanceté.

En milieu de semaine, il nous accompagne même à une partie de Street basket.

Alors que nous faisons un 2 contre 2, Anne et moi contre Corentin et Ethan, nous sommes rejoints par deux BMA (niveau précédent le nôtre). En tenues larges, ils nous demandent si c’était possible de jouer avec nous.

De gabarit plus léger que nous autres mais musclés quand même, les mecs sont plutôt pas mal. Ils s’intègrent un dans chaque groupe. Le BMA de l’équipe adverse a décidé de ne pas me laisser le champ libre. Il me colle et à force (sans mal) il me fait bander. Ce qui, avec mon short plutôt moulant ES et le 20x6 qui m’équipe, ne passe pas inaperçu !

Je profite qu’il me colle une nouvelle fois pour vérifier son état. Caché par les plus large de son short de basket, il bande autant que moi. Sous ma main je devine même les mailles d’un jock.

On se fait rappeler par les potes que nous sommes là pour jouer pas pour draguer. Je me fixe devantlui, attrape son menton pour lever ses yeux vers les miens et lui demande si c’était pour jouer ou pour draguer qu’il était venu avec son copain.

Il rougit, commence à ouvrir la bouche pour parler mais je le prends de vitesse et pose mes lèvres sur les siennes pour une pelle qu’il ne rejette pas. Quand je recule je donne ma conclusion : « ils sont là pour baiser ». C’est au tour de son copain de rougir lui aussi.

Comme je trouve les douches du vestiaire plus intime que les 1000m² de la salle de sport, j’y entraine mon dragueur et les autres suivent. Mises à poil sans fausses pudeurs. Ils sont effectivement bien faits comme le laissait supposer les emmanchures larges des maillots et le bas des jambes. Coté sexe le « miens » bande à coller son gland devant son nombril soit d’un environ 18cm x 4 ou 4.5 selon ma palpation précédente.

L’eau chaude des douches provoque un brouillard propice à l’égarement des mains. Avec Anne nous encadrons mon allumeur. Je tire son menton vers le haut pour lui rouler une pelle alors qu’Anne dans son dos le presse contre moi.

Je note que dans le trio voisin, Ethan ne laisse pas sa place pour entreprendre l’autre BMA !

Notre jeune partenaire me semble pas farouche et il répond bien de sa langue contre la mienne. Ses mains dans mon dos me serrent contre lui. De quelques cm de moins en hauteur il en est de même pour le reste de son corps queue comprise. Anne glisse la sienne de queue sous le périnée et je sens même son gland taper mes couilles. S’il est musclé et a un beau petit cul, notre BMA n’est pas épais pour autant.

Je m’écarte de notre nouveau partenaire et le fait pivoter à 180°. Il fait maintenant face à Anne qui entreprend de gouter lui aussi à sa langue.

Mon gland glisse dans sa raie. Il descend, ecartant les deux globes jusqu’à tester sa rondelle. Plutôt souple, il la contracte pour me prouver qu’il le peut. Mon gland continu sa descente et coule sous son périnée. A mon tour, je viens taper les couilles de mon partenaire. Son anneau me tente mais je suis « nu » sous la douche. J’entraine mes deux comparses vers les vestiaires où je prends dans mon sac le bout de plastique indispensable.

Avec Anne nous couchons Paul dos sur un des bancs et je m’assois àses fesses après lui avoir levé les jambes à la verticale. Anne lui se place devant lui et par le fait que sa tête dépasse du banc, plonge sa queue dans sa bouche et pousse jusqu’à l’os.

C’est sûr que notre partenaire de jeu n’est pas à sa première fois ! Il encaisse les 20x6 en pleine gorge comme un pro ! J’enfile vite le plastique et avance mon bassin pour présenter mon gland à sa rondelle. Cette dernière apprécie la rencontre et s’ouvre comme je pousse. La salive ajoutée au gel de la capote m’aide à progresser jusqu’au fond moi aussi. Si elle rentre facile, Paul prend bien soin de me faire sentir la force de son anneau. Il arrive même à me bloquer deux fois dans ma première pénétration. Ok, là aussi il n’est plus vierge mais il n’est pas devenu un garage à bite pour autant.

Je jette un œil vers les douches. L’autre BMA est à genou et mes deux collègues se branles au-dessus de lui en alternance avec des plongées dans sa bouche et même sa gorge lui aussi si j’en crois mes yeux.

Je reviens à notre « trait-d’union ». Il encaisse bien et j’entends même des grognements de plaisir couler le long de la queue d’Anne. Comme je le tiens par les chevilles, j’écarte les bras pour tester sa souplesse. Si je n’arrive pas au grand écart facial, il n’en est pas loin. Ça resserre ses petites fesses sur la queue ce qui n’ets pas désagréable. Ça ne l’est tellement pas que je fini par me vider dans son cul. Sous capote que je rempli copieusement, il me jouit dessus. Mes dernières éjac sont saccadées de ses contractions anales concomitantes à ses propres éjaculations.

Devant, Anne se retire de sa bouche et couvre ses pecs et ses abdos de sperme frais.

Temps mort. J’aide Paul à se redresser. Il m’attrape par le cou et me roule une pelle avant de me dire qu’il était très heureux de faire notre connaissance à tous les deux. C’est notre pelle en pleine cours du lundi matin qui lui avait donné l’idée de tenter le coup.

D’un coup de menton je désigne son collègue en train de se faire doucher au sperme. Il nous dit que lui, cela fait maintenant 2 ans qu’il l’encule régulièrement et qu’il le prête au besoin.

Cela m’intrigue de savoir à qui il peut bien le céder au lycée. Je lui pose la question. Réponses : 1 prof et jusque-là 4 surveillants/maitres d’internat dont celui qui les « surveille » cette semaine. Cela lui permet, lui, d’être libre de ses déplacements et de naviguer entre les étages pour profiter des culs accueillants, et il y en a plus qu’on ne le penserait, et des bites en manques comme celle de Corentin notre collègue présent avec nous.

On retrouve l’autre trio sous les douches. Echanges sur nos plaisirs réciproques avant de regagner nos chambres. Avant de regagner l’étage du dessus, Paul nous fait promettre de remettre ça très vite. Il avait apprécié d’être le « jouet » de deux « beaux mâles » selon lui.

Tilian pour Jardinier