Le village de vacances 2
Cette rencontre inattendue m'avait habité toute la journée... cela avait été tellement intense, sexuellement bien sûr, mais cela avait été aussi une sacré dose d'adrénaline! Tout mon corps se rappelait des caresses reçues et j'avais une envie folle de le revoir et de recommencer. Sûr que je vais aller lui rendre visite !
Le lendemain matin, Je décidai de me refaire une bonne séance de cardio et de muscu avec le secret espoir de réitérer et de refaire une belle rencontre. Comme si c'était le spot gay du club de vacances !
Surprise donc, à mon arrivée, il y avait déjà un gars en train de courir sur un tapis roulant. Pas très grand, Brun, il devait courir depuis un bon moment car son torse nu était luisant de sueur, il arborait quelques tatouages et n'était vêtu que d'un large short visiblement sans rien dessous car on distinguait bien son sexe balloter sous le tissu....plutôt bien bâti, il avait besoin de s'entraîner car il avait visiblement une petite tendance à l'embonpoint .
Pour ma part j'avais juste emporté mon short de compression et un marcel.
Nous nous sommes bien sûr salués à mon arrivée dans la salle et j'ai quand même perçu sous le beau sourire de bienvenue, un petit coup d'œil vers mon entrejambe.. mais peut-être que je commençai bêtement à fantasmer...
Il m'a tout de suite proposé en descendant du tapis de course que l'on s'entraide "cela sera plus efficace et sympa ".
Ça tombait bien car j'avais prévu de faire les pecs en développé couché et effectivement c'est plus sûr à deux.
Couché sur le dos et lui debout jambes écartées au dessus de ma tête pour retenir la barre des poids, je ne pouvais pas ne pas voir sous le short, le bout de son sexe.. plus de doute, il n'avait rien dessous.. pourvu que je ne réagisse pas..
Par contre difficile de finir la série sous cette pression surtout qu'un fourmillement caractéristique se faisait sentir du côté de mon bas-ventre.. la moindre tension de ma queue se verrait immédiatement sous le short de compression.
A mon tour j'ai pris place derrière lui pour accompagner ses mouvements.
- pas mal ton cycliste, pas trop serré? me dit-il entre deux mouvements
- en fait c'est pas un cycliste c'est plutôt un short de compression qui effectivement est très serré exprès pour bien maintenir les muscles, faciliter la circulation sanguine. Et c'est très agréable à porter. En plus là "où il faut " le tissu est aéré et très extensible pour bien évacuer la transpiration et pour le confort.
- ah, effectivement on voit un peu au travers et.. ça met bien en valeur...
J'ai failli laisser tomber la barre, tellement j'étais troublé par sa réflexion sans compter que j'aurais juré voir le tissu de son short se soulever légèrement.
Quand il repris sa place derrière moi, Le doute n'était plus permis. Je voyais distinctement le bout de sa verge légèrement décalottée, soulever le tissu du short..
Nous avons continué une bonne heure notre entraînement sans être dérangés par de nouveaux clients. C'était très sympa car non seulement il avait de la conversation mais tous nos échanges étaient ponctués de petites pointes d'humour allusives. Sans compter les innombrables "effleurements fortuits ". Coude contre verge , protubérance contre cul.. Sans compter tous les petits gestes pour aider l'autre à bien se poser.. ah j'ai oublié de préciser que j'avais moi aussi enlevé mon marcel et que tous deux étions torses nus...
A la douche ! Dit-il , on a bien travaillé !
C'était le moment de vérité, on allait se retrouver à poil tous les deux dans un instant.
J'enlève mes chaussures, les pose dans le petit casier ; le retourne, pose mes mains sur la ceinture élastique de mon short... et je le fixe du regard tout en le baissant doucement, comme pour un strip-tease..
Nu devant lui, la queue semi raide, j'attends sa réaction..
Il sourit , fait de même..
Il bande déjà bien.. une belle verge massive sur de grosses pêches...
Hmmm , d'un coup, ma bite se dresse, ne laissant plus aucun doute sur mes émotions.
Je file la queue ballante bloquer d'un panneau "fermé " la porte d'entrée de la salle
Sous le jet puissant de la douche on s'embrasse voracement.
- il faut que tu saches que je ne suis pas pd.. me dit-il entre deux embrassades ça fait longtemps que j'ai envie d'essayer et ce matin quand je t'ai vu arriver, Je le suis décidé. Mais c'est la première fois... que je tiens dans la main une belle bite de mec ajoute t'il en riant et en m'embrassant. Et le voilà qui se baisse et qui enfourne ma verge et la tète avec entrain.
- oui vas y, c'est bon bouffe moi les couilles, oui comme ça... reprend ma queue en bouche , je vais te pilonner sévère... et ma main sur sa tête enfonce ma longue verge jusqu'au fond de la gorge. Une ou deux fois, Je le maintient ainsi, la bouche contre mon bas-ventre, ...
il se lève enfin satisfait, ravi, le regard enflammé.
- je suis puceau du cul, dit-il d'une voix rauque... baise moi...
Surpris, cette demande presque implorante m'émeut tellement que je l'étreint le plus tendrement possible ;
- on va faire ça bien, que du plaisir.. après tu ne voudras plus de ta copine...et d'abord je vais m'occuper de cette bonne grosse bite qui attend qu'on s'occupe vraiment d'elle.
Un bel engin, épais, veineux que je
décalotte complètement laissant apparaître un gros gland; je donne des petits coups de langues, léchant bien, et l’entourant de mes lèvres, j'aspire.. suce, lèche.. sa main appuie sur ma tête pendant que sa queue s’enfonce dans ma bouche, que j'ouvre en grand, tirant bien la langue pour laisser glisser l'engin qui se faufile vers le fond de ma gorge.. ma tête prise entre ses mains et mes va-et-vient, tour à tour lents, puissants font que le gland frappe sur ma luette. Je déguste ce gros sucre d’orge.. ses couilles frappant mon menton, Il aime ça, le mec! Sûr que sa meuf ne pompe pas aussi bien ! et il gémit!
Maintenant je m'aventure sous les couilles, lèche son périnée.. Il écarte bien les cuisses laissant libre le passage vers son cul.
J'écarte ses globes, et joie, derrière un maquis de poils noirs, sa rosace . Je me glisse dans son sillon et fourre ma langue. Ce premier contact l'électrise littéralement. Il halète, se cambre et appuyé contre la paroi, écarte de lui même ses fesses pour me faciliter la tâche...
Il est vraiment réceptif le mec, il devait en rêver depuis longtemps car déjà sa rondelle s'ouvre me laissant pénétrer en lui..
Pas de précipitation, je glisse un doigt puis deux et je prépare le terrain en écartant bien ses sphincters. Son excitation est à son comble, sa queue les veines saillantes cogne contre son ventre.
Je me relève, colle ma verge entre ses fesses et la fait coulisser tout en écartant ses fesses; ma queue coincée entre ses deux globes, je me rapproche de lui et lui murmure,
- toujours ok, on n'est pas obligés, tu sais; on arrête quand tu veux
Son beau cul s’ouvre devant moi juste à la bonne hauteur… je crache dans mes mains et humidifie quand même son trou… je mouille bien ma queue de salive.. pose mon gland contre sa rondelle, le saisi par les hanches et l’attire à moi, ça force.. il gémit, serre des dents… je force encore, je sens son rosace s’ouvrir d’un seul coup et ma queue l’enculer… il gueule mais pas trop fort… je force encore et ma queue est complètement engloutie… mon pubis vient taper sur ses fesses.. alors je commence mes va-et-vient; doucement d'abord mais bien profonds…puis plus rapides, plus secs e fouillant bien son cul par mes mouvements de bassin; je l’entends gémir à chaque fois que mon pubis vient claquer sur ses fesses..
- oui.. c’est bon,! encore.. encore dit il
Alors j’y vais de plus en plus fort.. mais il encaisse bien, tend bien son cul pour en prendre le maximum.. mais à cette cadence je vais pas tarder à jouir.. quand je sens que le jus va monter.. je me retire d’un coup, le retourne, le pousse contre le mur pour l'embrasser passionnément comme pour le remercier de ce moment de sa jouissance réelle et première.
-Putain, mec pour un dépucelage, je trouve que tu t'en sors plutôt bien! moi qui craignait de te faire mal, et que ça te détourne à vie de la sodomie, pardon mais t'as pris ton pied, le nie pas!...
-Non, c'était super mais maintenant l'hétéro de base veut baiser un cul de mec, à la casserole !
je me suis bien entendu exécuté! couché sur le dos sur le tapis de sol, il me relève les jambes et frotte sa queue épaisse contre mon troufignon. Je le regarde avec envie et il prend ça comme un encouragement. Il s’enfonce en moi sur toute la longueur de sa queue. Il progresse doucement en moi. Sa queue est tendue à mort. Je sens bien la base de sa teub m’ouvrir en grand. Il commence à donner des coups de reins et son gland me tape bien le fond du cul. j'enserre tant que je peux cette masse de chair ; il râle de plaisir dans l'effort. J’adore voir ce mâle baraqué me baiser, Son torse massif, puissant et viril m’étreint à chaque mouvement.
Puis il me retourne, je me mets en levrette et il commence à me caresser le cul. Puis il se penche et enfonce sa langue dans ma rosette. Il m’écarte bien les fesses, fait tourner sa langue dans mon trou. Je suis au septième ciel. Puis il remonte, entoure mon torse de ses bras puissants et m’embrasse dans la nuque.
- c'est une première, tu sais, j'ai jamais bouffé un cul... trop bon
Je sens son ventre frotter contre mon dos et ses poils me chatouiller le sillon. Sa bite se trouve à l’entrée de mon trou ... et lentement, de nouveau, elle s’y enfonce. Il entre moi jusqu’à ce que ses grosses couilles soient plaquées à l'entrée de mon cul. Il me baise lentement, sensuellement. Sur ma gauche, je vois une armoire avec un miroir et prend plaisir à voir cet homme me baiser. Je vois sa bite marron entrer et sortir de moi et bien ouvrir mon cul. Ses couilles cognent contre mes fesses et son beau fessier accompagne ses mouvements de reins.
Il empoigne mes hanches, il rentre et ressort de mon cul et ses coups de bites s’accélèrent. Je sens bien sa queue s’enfoncer en moi. Il est endurant.
Après une éternité de baise, il me susurre à l’oreille :
- Je vais pas tarder à jouir.
- Oui, vas-y...
- Tu veux mon jus où ?
- Au plus profond de moi.
Il se relève, accélère sa cadence. Ses couilles rebondissent contre mon cul. Et il lâche sa purée abondante. Ses jets semblent ne plus s’arrêter ! Sa bite est prise de secousses interminables. Il continue de me baiser et je sens son foutre chaud sortir de mon cul et dégouliner le long de mes couilles.
Il se retire de moi, il serre mon corps contre son torse. Puis, il me retourne et me suce. Je ne mets pas longtemps avec de jouir dans sa bouche. Il avale tout mon jus ! Puis avec sa langue, il remonte le long de mon pubis, de mon nombril, de mon ventre, de mon torse et de mon cou. Il me prend alors la tête et m’embrasse goulûment.
- ça aussi, c'est encore une première! allez, on se douche et on se casse fissa, si non quelqu'un finira bien par arriver!
sous le jet brûlant On ne cesse de se caresser, de s’enlacer, de s’embrasser, de se toucher la bite ou les fesses. Puis on reste un long moment dans les bras l’un de l’autre, sans rien dire, savourant l’instant. Il finit par briser le silence :
- Je n’aurais jamais cru dans mes rêves les plus fous que cet instant se réalise. C’était la meilleure baise de toute ma vie...
- et ta copine alors?! mais quand tu veux, on recommence , tiens voilà mon mobile.. j'ai très envie de te revoir, au fait moi c'est Bastien ........
Moi, c'est Marc et après quelques secondes de silence, j'ai déjà très envie de te rappeler.
On est vite sortis par l'issue de secours.
Chapitre 3 : la visite chez Max
Max m'a téléphoné ce matin et son coup de fil m'a mis de très bonne humeur. J'avais vraiment très envie de le revoir et d'approfondir, dans tous les sens du terme, notre relation.
Il me proposait de passer l'après-midi chez lui. Il est avec un couple d'amis, la maison dispose d'une piscine, bref un bon moment de vacances en perspective.
Et puis ça tombait bien, mon pote avait réservé un tennis pour l'après-midi et je ne joue pas...
Vers 14heures 30, Je le retrouve devant l'entrée de la maison. La grande porte vitrée est entrouverte mais je ne vois personne dans ce qui doit être le grand salon. Je sonne néanmoins mais personne ne répond ni ne vient.
Puisque c'est ouvert, Je rentre et pas trop fort au cas où ses potes fassent une sieste, Je l'appelle
- Max, salut c'est Bastien, t'es où ?
De la musique s'échappe par une porte entrouverte.
- Max, t'es là.
En fait c'est la salle de bain et effectivement ce cher Max est sous la douche.
Je reste un moment à le regarder frotter, savonner son beau corps musclé et bronzé. Sa main passe sur son torse, son ventre, s'attarde un instant sur sa verge qu'il décalotte, sous ses petits abricots tout fermes. dans son sillon...se glisse un flot d'eau moussante.. comme j'aimerais en être !
Soudain, il lève les yeux et je me recule vivement. M'a t'il vu ? J'espère pas, Je ne voudrais pas passer pour un voyeur.. mais il est tellement beau.
Je rejoins le salon, allume la télévision pour l'attendre. Je tombe sur un film genre série z mais je ne m'y intéresse pas, ma tête occupée par les images de Max sous la douche. Ma queue prise au piège de mon boxer tente de durcir, pousse contre la ceinture élastique et me fait mal.
- salut! Content de te voir, s'est exclamé Max en entrant dans la pièce. Tu regarde quoi ?
- oh, rien j'ai juste allumé la télévision en t'attendant.
Il était juste magnifique, torse nu, les cheveux ébouriffés encore mouillés et simplement vêtu d'un ample short kaki.
- tu sais, je t'ai vu me mater quand j'étais sous la douche.. pourquoi tu t'es barré ? Tu aurais dû me rejoindre, plutôt que de t'enfuir comme un môme chopé dans le pot de confiture.. j'aurais adoré que tu me frotte le dos! Hey! Dis-moi c'est pas la pépé dans le film qui te donne cette gaule.. me dit-il en me montrant du regard la bosse de mon bermuda . T'as pas envie de goûter à mon sucre d'orge? T'avais l'air de l'apprécier l'autre matin. A t'il ajouté en palpant son short.
- on devait pas aller profiter de la piscine cet après-midi ? Et tes potes, s'ils viennent ?
- oh, juste une petite gâterie pour le souvenir ; quant à mes potes, ils sont sûrement en train de griller au bord de la piscine, de vrais lézards.
Bien sûr, comment refuser ce qui m'obnubilait depuis l'autre matin.
Je me penché vers lui le long de l'énorme canapé sur lequel nous étions assis.
J'ai déboutonné son short, sa longue verge s'est immédiatement dressée devant mon visage et je l'ai prise en bouche tandis qu'il se débarrassait de son short.
Quel bonheur de sentir cette tige coulisser dans ma gorge, ces couilles bien fermes serrées dans ma main, la chaude moiteur de son entrejambe..
Il glisse une main dans mon bermuda, libère enfin ma queue endolorie de son carcan de tissu. Décalotté mon gland trempé de mouille , l'essuie et porte ses doigts jusqu'à sa bouche.
Tout d'un coup, des voix, ses amis débarquent dans le salon.
- c'est quoi ça ?! Et bien mon Max, tu t'emmerde pas, tu te tape le livreur de pizza ? Mignon d'ailleurs...
- imperturbable, Je continue à m'occuper de son vit.
- les gars je vous présente Bastien, il a la bouche pleine en ce moment, mais il vous salue !..
Ses potes étaient plutôt mignons, deux crevettes torses nus, l'un avec un short bleu l'autre avec un short lavande.
Short bleu s'approche de moi,
- je peux goûter ? Me dit-il
- je t'en prie , et je lui laisse à regret gober la bite de Max que j'embrasse tendrement .
Lavande s'approche également et caresse l'entrejambe de Max, attendant sagement que bleu le laisse goûter aussi.
J'ôte mon tee-shirt, caresse un instant le dos de bleu penché sur le bas-ventre de Max et lui baisse son short.
Son beau petit cul s'offre à moi ; j'en écarte les globes, son petit trou est là qui m'appelle. J'y glisse ma langue, déjà il s'entrouvre .
C'est une belle scène qui s'offre à moi quand je lève les yeux abandonnant un instant la rondelle de Bleu.
Max à moitié couché sur le canapé qui suce la longue et fine tige de Lavande, Bleu très attentionné s'affairant sur sa tige et moi le visage entre les fesses blanches de Bleu..
Il est temps de me débarrasser de mon falze et calbut. Maintenant les crevettes s'occupent avec enthousiasme de Max. Lavande lui laboure le sillon à grands coups de langue et Bleu engouffre sa verge dressée échangeant parfois les rôles . A peine revenu, nu sur le canapé, Max vient s'occuper de ma bite. Dans la fraîcheur relative de la pièce, Plus personne ne pense à la piscine. Je savoure ces instants de plaisir intense ; mon vit tout entier dans la gorge de Max, les crevettes léchant, tétant fougueusement, moi enfin un doigt dans la rosace de Bleu... bientôt remplacé par la langue de Max.
Au bout d'un moment, Max me prend à témoin
- regarde moi ce cul, tu crois pas qu'il n'attend plus que ma queue ? Vise cette belle chatte bien ouverte !
Une petite claque sur les fesses,
- viens mon beau, viens t'empaler.
Assis sur le canapé, la verge bien droit, les cuisses bien écartées, il fait signe à Bleu de venir le chevaucher et s'empaler. Ce qu'il fait sans hésitation. Entamant avec entrain un énergétique va-et-vient sur le vit de max, il aime ça visiblement et sa queue raide bat contre son ventre; c'est beau à voir ça m'excite terriblement
Lavande s'approche de moi, se penche sur le dossier du canapé, écarte bien les cuisses et m'invite à l'enculer.
Je crache abondamment sur ma queue, et le pénètre doucement. Quand mon bassin ventre se trouve contre ses fesses, j'entame mes coups de reins .
Max et moi exultons. Voir nos deux crevettes pilonnées et y prenant un réel plaisir nous rapproche et fait monter en nous l'envie l'un de l'autre. Bientôt, cela devient obsessionnel, tout en martelant Lavande, les yeux rivés sur sa verge allant et venant dans Bleu je ne désire qu'une seule chose, me faire défoncer par Max.
Je me sépare de Lavande, non sans le remercier pour son "hospitalité " et file vers Max qui m'attend, le sexe bien droit tout humide du cul de Bleu.
Je me couche sur le canapé tandis que bleu va rejoindre Lavande et prendre ma place. Retenant mes jambes tout contre moi, le cul tendu vers lui, j'attends ses coups de butoir.
Bientôt, nos gémissements respectifs et le flip flop des chairs en mouvement couvrent les bruits de la télé restée allumée.
Max me lamine furieusement, ma queue toujours raide cogne contre mon ventre à chaque coup de reins. Mon ventre est couvert de mouille et chaque minute me rapproche de l'orgasme, j'en pleurerais de plaisir et seuls les rares instants où Max retire sa verge de mon cul pour contempler ma rosace largement ouverte, retarde l'instant ultime.
Pendant ce temps Lavande et Bleu s'enculent par alternance.
Enfin, la vague, le tsunami final me submerge, dans un ultime et profond spasme, J'expulse de puissantes giclées de foutre, Max qui se retenait, pousse violemment sa verge turgescente encore plus profondément et inonde mon tréfonds de sa semence. Puis avant de s'écrouler sur moi, lèche mon sperme accumulé dans mon nombril et sur min ventre et le partage dans un tendre baiser.
Il se sépare de moi dans un flop caractéristique et déjà sa semence s'écoule de mon cul.
-Donne-moi ta queue dis-je dans un soupir
Et tandis que nos crevettes jouissent bruyamment, Je me délecte de sa verge humide de foutre.
- allez les gars, une douche et un plongeon s'impose.
Tous nous filons vers la piscine et après une douche rapide, nous nous retrouvons à jouer comme des gosses dans l'eau bleue.
Max ne restons pas longtemps et laissons les crevettes continuer leurs jeux bruyamment.
Je le couche sur un transat et laisse le soleil sécher mon corps.
Max me rejoint peu après, assis sur le sol, se glisse entre mes jambes et pose sa tête tout contre mon sexe au repos.
- c'était super bien Bastien...
Et tendrement il pose du bout des lèvres de petits bisous sur ma couronne de poils, tout le long de ma verge flaccide, sur mes couilles flasques. Je lui caresse la tête, nous sommes bien.
Je voudrais que ça continue ainsi, tendrement, amoureusement mais bien sûr, un léger fourmillement se fait sentir dans mon bas-ventre, ma queue se raidit doucement sous son visage posé. Mon gland se décalotte légèrement mais suffisamment pour sentir la fraîcheur de son souffle.
Il rit et reprend ses baisers ; ma verge rapidement se dresse contre son visage amusé.
Max me fixe soudain d'un drôle de regard. Sans un mot, il s'empare du flacon de crème solaire qui traînait là. Se tartine le troufignon avec, en enduit ma bite et sans attendre me chevauche et s'écroule lourdement sur mes cuisses, empalé.
J'avais juste envie de te sentir en moi, dit-il en m'embrassant très tendrement et en se soulevant très doucement, les sphincters contractés au maximum autour de ma pine. C'est tellement bon, intense, intime qu'il ne me faut pas longtemps avant qu'une immense vague de plaisir me submerge et que je jouisse en lui.
Nous sommes restés un moment silencieux, imbriqués l'un et l'autre. Quand il s'est détaché de moi, quelques gouttes de ma semence ont coulé sur ma cuisse, d'un doigt, Je les ai recueillies puis partagé avec lui.
A regret, j'ai enfilé mon bermuda et mon tee-shirt. Il me fallait rejoindre mon pote qui avait sûrement terminé sa partie de tennis.
A bientôt dis-je après un dernier baiser et en m'éloignant.
- au fait, avant que je j'oublie, m'interpelle Max, la crevette que t'a baisé, s'appelle Laurent et il voudrais bien te revoir.... ah! pour être précis, il a pas l'air comme ç mais il aime bien les trips vaguement bondage soft, tiens il m'a donné son tel pour toi.... et il me tend un bout de papier...
Chapitre 4 : le trip de Laurent
Deux jours après mon après-midi de partouze chez Max, Je reçois un Whatsapp de sa part.
- tu te souviens de la proposition de la crevette que t'as baisée chez moi, Laurent?, Je t'avais dit qu'il avait des goûts un peu "bondage" et qu'il avait flashé sur toi... Et bien, il te propose un plan demain après-midi.. si ça te branche, on le prépare selon ses consignes le matin, tu vois le genre - chaînes et genre esclave puni par son maître - Quant à toi, tu passe à l'heure que tu veux mais pas trop tôt. L'attente enchaîné fait partie du jeu. Après il te diras ce qui le branche.. rien de dur, c'est juste du théâtre. Au bout du compte, tu vas le sauter et t'éclater à fond mon salaud, il est chaud bouillant !
- ok, pourquoi pas, ça peut être drôle... et puis demain après-midi mon pote est au golf.
- bonne baise master Bastien ! A au fait, ça se passe à la cave. Je te laisserai quelques consignes à l'entrée de la maison .
Pour se rendre à la cave il faut descendre un escalier derrière une porte située dans la cuisine.
L'endroit était plutôt encombré de tuyaux, câbles , armoires électriques, chaudière,.. et on était carrément dans la terre battue. Le tout dans le noir... Max m'avait bien dit d'utiliser la lampe torche qu'il avait posé près de la porte de la cave.
Après un petit dédale, Je l'aperçois dans le faisceau de la torche.
Il est debout , bras et jambes écartées , attaché par une chaîne aux piliers de bois. Simplement vêtu d'un jockstrap blanc à ceinture noire.
Un corps magnifique que je n'avais pas pris la peine de bien apprécier la dernière fois tellement j'étais obnubilé par Max. Je l'avais baisé certes mais sans remarquer son corps athlétique. Des muscles finement ciselés, des abdos superbement dessinés, peut-être un poil trop sec. La peau blanche presque laiteuse, glabre, quelques tatouages.
- Maître, à boire, s'il vous plaît..
Ses yeux sans doute habitués à l'obscurité, clignent, aveuglés par le faisceau puissant de la torche; je regarde autour de moi et trouve une lampe de chantier que j'allume et qui inonde la scène d'une lumière chaude et intense.
Il y avait effectivement une petite bouteille d'eau posée sur le sol. Je l'approche de sa bouche et il s'en abreuve goulûment. Il est vrai que Max l'a attaché là, ce matin tôt...
- ça suffit pour l'instant et je lui enlève la bouteille; je lui prend le visage en mains, ouvre la bouche, il s'exécute et je crache abondamment dedans.
- Si tu es aussi assoiffé, Je vais t'abreuver!
Et je déboutonne mon jean, baisse mon boxer , prends ma queue en mains et urine sur lui
- Merci maître et il ouvre grand la bouche.
Que veux tu de ton maître !?
- votre amour, maître, prenez mon sexe pour qu'il vous donne du plaisir.
Je regarde son jockstrap d'un air faussement dédaigneux et presse fortement d'une main, le renflement de son sexe. Il pousse un petit cri de douleur.. de l'autre je caresse son torse, ses pecs durs, son ventre sec et musclé. La peau est si douce et pas un gramme de graisse, le muscle est là juste sous la peau. Son aine est bien dessinée, d'un doigt j'en parcoure le dessin. Je baisse enfin le jockstrap, une merveille apparaît. Une statue grecque. Un pubis rasé de frais, une courte verge , flasque encore sur des couilles terriblement fermes comme une unique balle de tennis. Je les prends en mains et les tire vers moi, Il grimace, je le gifle.
Je m'empare de sa verge, elle coulisse molle encore dans ma bouche, Je la lèche, l'étire, la mordille, la soulève pour d'une pichenette frapper ces merveilleuses couilles si fermes, si douces .
Enfin elle se déploie. Le gland se détache bien, les veinules apparaissent bien gonflées ; cette verge qui semblait si petite devient une belle bête qui coulisse bien dans ma gorge. Je l'aspire , la gobe toute entière
D'une main libre je caresse fermement son corps, c'est doux, sec, dur; je titille, pince ses tétons. Parfois il se baisse, pose un baiser sur mon crâne, susurre des mots de reconnaissance et je lui donne mes doigts à lécher. Mais quand il se fait trop affectueux, quand il tente de s'approcher de mon visage ou de ma bouche pour un baiser, Je le punis d'une gifle.
J'adore ses couilles dures, pleines, brûlantes. Ses bourses, rasées de très près sont d'une douceur incroyable, renversante. Je les malaxe tout en le suçant et parfois je les gobe et les mordille alors il se tortille sous la douleur et me remercie; drôle de trip quand même, mais ça m'amuse de jouer le jeu et surtout il est si beau!
je me lève, lui crache au visage et lui demande de se retourner et je lui ôte son jockstrap qui était toujours sur ses cuisses.
- tu couines trop, mon gars! tiens ! et j'enfonce son jock dans sa bouche; il marmonne un vague oui! maître, merci maître! - drôle de trip décidément -.....
- écarte bien les jambes, pose ton pied là et ici; oui comme ça c'est bien je verrai mieux ta petite chatte. j'écarte bien ses fesses; putain, c'est trop beau! là aussi, c'est hyper net, rasé ou épilé de frais, d'une douceur incroyable! sa rosace est là, une belle fente offerte à mes yeux, à ma langue. je m'y précipite, lèche, titille, enfonce, pénètre, crache; malgré le jock, il couine de plaisir et écarte encore plus ses jambes en prenant appui différemment , ouvrant encore plus sa rondelle . je le prépare à grands coups de langue tout en tenant fermement ses boules en mains; parfois, je les excite avec de petites chiquenaudes ; j'adore ! du coup il couine encore plus et s
e cambre davantage!
J'enlève mon jean et mon boxer, frotte ma pine bien raide entre ses fesses, couvrant de mouille son sillon .
- Cambre-toi davantage! amène ton cul ; oui, comme ça écarte bien les jambes.
Mon gland pousse déjà sa corolle qui comme un diaphragme s'ouvre et me laisse pénétrer. Mon pubis est tout contre ses fesses mais je pousse encore, rien ne doit rester à l'extérieur. je tire un peu sur ses charmantes couilles pour qu'il se cambre encore un peu plus et enfin je le ramone doucement au départ et de plus en plus violemment.
je le libère de son jockstrap,
- tu aimes? tu aimes ma queue qui te défonce la chatte...
- oui maître, c'est bon, continuez, donnez-vous du plaisir murmure t-il entre deux gémissements. Je l'embrasse comme pour le récompenser du plaisir qu'il me donne, de son corps qu'il m'offre.
A force de pilonner son petit cul bien serré, je sens monter en moi l'orgasme et je ne veux pas que cela cesse si vite. toujours encastrés, je le libère de ses chaînes et lui intime l'ordre de se coucher sur une sorte de malle qui traine sur le sol
Pour respecter son trip, je l'attache vaguement aux poteaux juste derrière lui. il lève haut les jambes bien écartées et je le fourre de nouveau. Sa "balle de tennis" m'obsède, je ne résiste pas à la malaxer durement et de temps à temps à la baffer.
Je me retire de nouveau; j'ai besoin d'un peu de calme...
-lève encore plus le cul! je lui soulève les jambes, bloque ses pieds contre les piliers du mur et debout contre lui, je lui enfonce mon pied dans la bouche et l'encule à nouveau.
-lèche mon pied! oui comme ça passe bien la langue entre les orteils! nettoie-moi ça et je continue mes coups de bite dans sa corolle béante.
Sympa la position mais c'est épuisant pour nous deux.
on inverse donc; c'est moi qui me couche sur la malle .
-suce-moi bien cette queue encore humide de ton cul! et je veux la voir tout entière dans ta gorge; tu m'entends?!
- Oui maitre! et il s'exécute. Le salaud il sait s'y prendre, il
gobe bien, sa langue experte sait ce qui me fait du bien. j'attire son visage vers moi en tirant ses cheveux,
- ouvre la bouche! et je crache dedans ; vas-y continue suce à fond!
Putain, il aime ça; avec ses va-et-vient profonds , sa bouche caresse mes poils pubiens et je monte vite , trop vite en tours...
- viens maintenant, empale-toi . bien sûr il obéit. Il me chevauche de dos, s'assoit de tout son poids sur mes cuisses, son dos repose sur mon torse et il m'embrasse tout en soulevant son bassin avec l'énergie et la force de son corps musclé. Bientôt son corps se couvre de sueur sous l'effort et il m'offre son aisselle à lécher . Il a sans doute deviné que les odeurs fortes m'excitaient ....je hume et lèche cette sueur accumulée, Je le régale de cette saveur âcre.
Là encore, il sait s'y prendre! il bouge son bassin offrant à ma verge en lui une infinité de sensations sensuelles. Il se baisse pour me permettre de mieux voir ma queue aller et venir en lui. sa queue toute riquiqui il y a peu encore sous sa main libre prend peu à peu un beau volume.
je suis bientôt au bout du bout, ma queue encore plus raide, plus gonflée manipulée par son cul expert explose soudain et je ne peux réprimer un cri de plaisir; plusieurs spasmes inondent de foutre son cul. Il se soulève alors, laisse ma semence couler contre ma verge extraite et viens la sucer et la nettoyer;
C'est ma queue en bouche qu'il jouit enfin lui aussi envoyant sur mon ventre de belles giclées de sperme.
Je le quitte enfin, prends au passage mes vêtements et le laisse là à nouveau enchainé; mais c'est son trip. Je suppose que Max viendra le libérer plus tard!
Chapitre 5 : le massage sensuel
Arrivé dans la cuisine, alors que je m'apprête à me rhabiller, Je croise un gars que je ne connais pas. Torse nu, il est train de se laver les mains.
- Salut! Tiens tu te ballade à poil dans la cave ? C'est marrant ! Moi c'est Zak.
- désolé, ça serait trop long à raconter..
- t'inquiète pas ! Je suis masseur, j'ai l'habitude de voir des mecs nus !
- hello Bastien ! Alors, c'était bien, tu t'es éclaté ? T'inquiète pas pour Laurent, j'irais le libérer plus tard et peut-être que j'abuserais un peu de lui moi aussi.
Je te présente, Zak, il est venu pour me faire un petit massage relaxant mais peut-être en as tu plus besoin que moi après ta, comment dirais-je.....
Qu'en dis tu Zak? Il a besoin d'un peu de lâcher prise, tu crois pas ? Tu t'occuperas de moi demain si tu as un petit moment.
Bastien, pas là peine de te rhabiller.. viens la table de massage est déjà installée .
Je n'ai hésité qu'un moment - tout petit à vrai dire - le Zak en question était plutôt canon, il avait dans le regard quelque chose qui semblait dire - je vais bien m'occuper de toi, tu vas voir comme je vais te faire lâcher prise - sans compter l'empressement de Max à céder la place.
- faudrait peut-être que je prenne une douche avant, je pue la sueur...et le reste....
- ne t'inquiète pas, Je vais te masser avec des huiles essentielles, tu prendras ta douche après.
Je l'ai suivi dans la pièce où il a installé sa table de massage. Je me suis étendu sur le ventre, il a ôté son tee-shirt et j'ai profité du moment où il a préparé ses huiles pour le mater en douce. Un beau dos sec et musclé un cul bien dessiné dans son jean. Cool ! Je ferme les yeux pour mieux profiter du moment. Soudain, une sensation de frais me fait frémir, c'est l'huile qu'il fait couler le long de ma colonne vertébrale. Ça sent très bon.
- c'est un mélange bio de ylang ylang et d'orange douce.
Ses mains parcourent mon dos tour à tour fermement et délicatement. C'est je dois dire délicieusement relaxant ! Et malgré moi, mon sexe durcit sous mon ventre et évidemment, à plusieurs reprises, j'ai dû soulever les fesses pour mieux le "positionner" redoutant déjà le moment où il faudrait me retourner. Et puis, c'est bon après tout, il suffit que je me laisse aller à la douceur et à la sensualité prononcée de ses mains palpant, malaxant, caressant ma peau et des senteurs sophistiquées des encens, que je me laisse fondre dans la musique qui emplit doucement la pièce. Lâcher prise, voilà le secret pour profiter pleinement de cette expérience ! Après avoir bien étalé les huiles sur tout le corps, Il masse mes mollets, mes chevilles puis remonte progressivement vers mes cuisses; c'est à la fois, ferme, caressant, enveloppant et je dois avouer que je pourrais presque m’endormir tellement cela me fait un bien fou. Je suis cependant tiré de ma douce léthargie lorsque je m’aperçois que ses mains remontent sur mes fesses . A chaque passage, il malaxe fermement mes globes et les écarte.
A mon corps défendant je me crispe légèrement et il le sent étant donné qu’il me demande de me détendre. Ce que je finis par faire grâce à ses caresses qui me relaxent de la plus belle des manières...
Il continue de me masser les cuisses avec insistance. Ses mains vont et viennent m'effleurant les fesses et l'entrejambe... j'en soupire d'aise, écartant bien malgré moi les cuisses... comme une invite, comme un désir inconscient. Il m’exauce, malaxant mes fesses enduites d'huiles, passant la tranche de sa main entres celles-ci et les écartant enfin, caressant volontairement où non de ses pouces enduits d'huile, ma corolle. Son visage doit être très proche car je peux ainsi sentir son souffle frais sur ma rondelle . Quoique surpris par ces gestes que je n’imaginais pas vraiment, quoique, dans cette maison même un masseur doit en être... je me persuade encore en mon for intérieur que c’était sûrement « traditionnel », je ne savais pas vraiment où cela allait me mener mais j’étais prêt à y aller direct! Soudain, il vient chercher sous moi ma queue, je ne me fait pas prier, sans même réfléchir, Je lève mon bassin pour lui faciliter la tâche ; il la caresse de sa main huilée et la tire vers lui , sans surprise, hyper raide, toutes veines saillantes, l'opération est douloureuse. Il me décalotte, de ses doigts recouverts d'huile et me caresse le gland , le prépuce en tension. Je ne sais plus où j’habite; à la fois gêné par mon érection, conquis, excité et finalement rassuré car, il ne fait plus aucun doute que cela fait partie de son « protocole ». Ce salaud de Max savait ce qu'il faisait... d'ailleurs, en ouvrant un instant les yeux, je l'aperçois assis à poil sur un fauteuil en train de se branler.
Le bougre nous matte tranquillement ! Et puis je m'en fous , je suis plutôt exhib et je n'ai finalement plus rien à cacher à Max. Je glousse de plaisir bien malgré moi mais quelle n'est pas ma surprise quand je sens sa langue me lécher la rosace et entamer une douce pénétration. Je me cambre, tandis qu'il se déchaîne sur mon cul, léchant, mordillant, suçant mes couilles et mon gland gonflé de désir. A sa demande, je me tourne sur le dos lui offrant ainsi ma queue dressée. Sans la moindre remarque de sa part, très professionnel, il fait couler de l’huile chaude sur mon torse, sur mon ventre et entame un massage vigoureux, malaxant tantôt fermement, tantôt sensuellement mon torse, mon ventre avant de s’attaquer aux jambes puis à remonter doucement vers les cuisses et l’aine qu’il masse en écartant de temps en temps ma verge quand elle se trouve sur son passage. Il entame ensuite un massage de mon entrejambe, insistant bien sous les testicules qu’il soulève régulièrement. Enfin il fait couler sur ma verge un filet d’huile chaude et la gobe goulûment. Je le laisse me branler, me lécher la poitrine, me mordiller les tétons.
Tout cela ne ressemble plus du tout à un massage ! Surtout quand il approche sa bouche de la mienne tandis que sa main tenant fermement mon vit et que d'un doigt il explore mon tréfonds. J'hésite encore quelques instants et me laisse enfin embrasser. C'est délicieux, sa bouche à le goût de l'huile qu'il utilise, un doux goût d'orange, normal il a sucé ma tige et mon cul! Il ôte alors son pantalon laissant échapper une queue longue, fine et bandée que j'engloutis entièrement tout en lui tenant les fesses des deux mains ; de belles petites fesses, délicatement musclées et fermes. Il grimpe sur la table, me chevauche complètement, s'empare de mes couilles et gobe ma queue. De mon côté, ma bouche et ma langue vont de son vit érigé à ses couilles et à son cul dont j'écarte les globes découvrant ainsi sa fente entreclos.
Il sort un préservatif du tiroir d’un meuble à côté de la table de massage et en revêt mon sexe. Puis se plaçant à califourchon, il s'empale sur moi. Il a un beau torse sec et musclé, des abdos saillants et des pecs aux tétons érigés que je triture et pince tandis qu’il va et vient sur ma queue.
Sa verge dressée se balance au rythme de ses mouvements. Nous haletons bruyamment tandis que le plaisir inexorablement monte.
Cette tige , longue, veinée qui se meut face à moi me fait envie et je l'invite à se lever avec moi.
Je m'accroche jambes écartées contre la table de massage et le laisse me pourfendre.
Soudain dans un spasme profond et des mots criés, il inonde mon cul de sa semence. Se séparant de moi, il me branle énergiquement m'arrachant un cri et une longue giclée de sperme qu'il goûte avec délice.
Max, gémit de son côté, s'approche de nous et à genoux il nous offre en bouches sa semence.
 là douche !
- Hey Max, n'oublie pas Laurent dans la cave !
Chapitre 6 : journée avec mon mec
Au retour de mon après-midi dans la maison de Max, après mon expérience vaguement bondage avec son pote Laurent et la super séance de massage, j'étais, J'avoue plutôt épuisé... pour couronner le tout, mon mec était déjà rentré de son après-midi de golf et plutôt furibard. Il me connais par coeur et avait compris au premier coup d'oeil que j'avais fait des rencontres... sa seule remarque fut glaciale mais nous avions un accord depuis le début : libres même si on évite de trop déconner et surtout on ne se cache rien.
- tu pue le sexe à plein nez... raconte !.
- Ok, je te raconte, promis mais avant, Je file prendre une douche pour me débarrasser de ce que tu appelles fort élégamment "cette odeur de sexe " qui est en fait de l'huile essentielle de ylang ylang.. mais promis je te raconte..
Bien sûr, J ai tout raconté, pas avec tous les détails mais bon l'essentiel depuis le premier jour à la salle de sport..
Bon, il a naturellement fait un peu la gueule mais un contrat c'est un contrat et on a finit d'en discuter par un diplomatique
- j'espère que tu vas me le présenter ce Max!
Et la promesse de passer la journée de demain ensemble...
Soudainement mon téléphone a vibré ; c'était Max qui me demandait de le t'appeler dès que possible..
Regard courroucé de Mathieu qui s'occupait du BBQ....
Max avait une urgence familiale grave et devait dès ce soir répartir vers Paris, les deux crevettes suivaient. Il me proposait de venir occuper la grande maison car il ny avait pas de possibilité de remboursement. Si on était ok, il fallait dans l'heure passer prendre les clés et éventuellement amener nos affaires..
- si tu veux faire la connaissance de Max, c'est maintenant ou jamais, Mathieu. Il a un gros problème familial t rentre à Paris ce soir. Si on veut il nous laisse la maison car elle est payée jusqu'à la fin de la semaine ; c'est super, non? La baraque est immense, elle est sur les hauteurs, isolée sans vis à vis, une vue trop top et une piscine..
L ne s'est pas trop fait prier.. on a fait un petit sac de quelques affaires pour passer la nuit, on prendrait le reste demain et in est monté chez eux. Son envie de voir Max et les crevettes - surtout Laurent- mont vite fait taire ses éventuelles réticences.
La rencontre fut très courte. Max finissait de charger la voiture avec les crevettes. Le temps de nous passer les consignes pour la maison, de changer quelques mots et ils étaient partis. Max avait l'air bouleversé mais n'avait visiblement pas envie de parler. Nous nous sommes embrassé et rapidement quittés sur un laconique " je t'appelle ".
Malgré le léger malaise causé par le problème de Max, Mathieu et moi avons passé une belle soirée à nous baigner nus dans la piscine éclairée , à descendre quelques bières en regardant la baie illuminée.
Malgré le merveilleux de la soirée, Mathieu et moi n'avons pas fait l'amour. Il devait considérer ça comme une sorte de punition et moi j'avoue n'avoir pas insisté, j'avais eu ma dose!
Le matin, quel bonheur de prendre un petit déjeuner sur la terrasse. Max n'avait pas pris le temps de vider le frigo ce qui nous permis de nous faire un copieux petit dej avec fruits, yaourts, jus, etc...
Après cela nous avons décidé de nous dépenser un peu avant les grandes chaleurs et d'explorer les collines environnantes en courant.
Après près de deux heures à petit rythme- mais ça monte par ici - nous sommes arrivés à la maison trempés de sueur, épuisés, haletants mais contents de l'effort intense fourni.
- une bonne douche enfin ! Et après poisson grillé salade, Je meurs de faim, s'est écrié Mathieu en ôtant péniblement son tee-shirt trempé à tordre.
- et si on faisaient plutôt un beau plongeon, la piscine nous tend les bras !
Et sans attendre sa réponse, j'ai ôté mes chaussures, mon tee-shirt, mon short que j'ai jeté au visage de Mathieu
- prems à l'eau ! Ai-je crié
- tu crois que l'on peut se baigner à poil ?
- bien sûr, il n'y aucun voisin et personne ne vient par ici..et puis on est chez nous, merde et je cours me jeter à l'eau en hurlant, rejoint très vite par un Mathieu rigolard et bien sûr à poil aussi.
- je vais me venger, tu m'as jeté ton short dégueulasse à la gueule, tu vas périr noyé !
Et dans un grand plouf, il m'a rejoint dans l'eau. Il a bien entendu essayé de me couler, faire boire la tasse et s'en est suivi un combat mémorable et aquatique. C'était vraiment amusant de se bagarrer dans l'eau, de tenter de faire basculer, valser le corps glissant de l'autre, de passer le bras ou les mains entre ses cuisses, de sentir ses couilles glisser entre mes mains..
Épuisé, Mathieu a crié " pouce" et est remonté s'asseoir sur le rebord de la piscine. Bien entendu, le jeu suivant a été de tenter de le remettre à l'eau en tirant sur ses jambes.. raté et toujours raté !
Comme il est beau, là un peu à contre jour, tout mouillé, tout nu. Cette lumière accentuant encore plus le mat de sa peau, la marque de son maillot. Ses cuisses écartées m'offraient un paysage connu de moi mais qui soudain prenait un relief particulier. J'avais envie de lui. De goûter à ce sexe bien connu. Je me suis glissé entre ses cuisses pour caresser son pubis rasé de frais, prendre ses couilles devenues riquiqui par le bain et enfin baiser sa verge avant de la gober tandis que déjà elle réagissait...
Tandis que sa queue coulisse dans ma gorge, il m'encourage en caressant ma tête et en me disant tout le bien qu'il éprouve dans ce moment de grâce. J'aime voir le fort contraste de couleurs de nos corps ainsi mêlés, ma blancheur opaline et sa couleur miel . Sans parler de la blancheur de son cul et ses cuisses car il m'aime pas le naturisme ou plutôt il aime et il sait que je l'aime ainsi, voir à la fin de l'été la marque du maillot, la " tan line" comme disent les anglo-saxons.
C'est marrant, sa queue qui glisse dans ma gorge a un goût de chlore et mouille mêlés. Je le regarde, basculer la tête pour bien se concentrer sur le plaisir qu'il reçoit; ses abdominaux se contractent et ses petites couilles remontent à chacune de mes aspirations.
- si on montait dans la chambre, me glisse t'il à l'oreille.
Je le suis vers l'intérieur de la maison et le voir nu, la queue à l'horizontale, bronzé avec son beau cul bombé et blanc me met en joie . Je le rattrape un instant pour l'embrasser, caresser ses fesses, passer ma paume de la main dans son sillon. On rit , on bande grave. J'attrape au passage un drap de bain pour m'essuyer vite fait. Arrivé dans la chambre, Mathieu m'arrache le drap, m'enlace, m'embrasse avec passion. Nos vit dressés s'entrechoquent délicieusement. Il me jette sur le lit, écarte mes cuisses et vient lécher mon sexe, attrape en bouche mes couilles l'une après l'autre petite fulgurance douloureuses et me font gémir de douleur. Puis il me soulève haut les jambes pour mieux accéder à mon entrejambe. Voir ce corps puissant couleur miel contraster avec ma peau laiteuse m'excite encore plus. Voir ma bite coulisser dans sa gorge, sentir sa bouche caresser mon pubis, sa langue titiller mon prépuce, mon méat me rend fou de plaisir et je m'accroche au couvre lit comme pour ne pas me précipiter sur lui.
- je veux ton cul, dis-je d'une voix rauque, viens.
A califourchon sur moi, il a posé ses fesses contre mon visage. J'ai écarté ses fesses et envoyé la pointe de la langue à l'assaut de sa rosace.
Il s'est alors couché sur moi pour reprendre mon vit en bouche m'offrant une vue splendide sur sa raie et sur sa fente. La voir réagir à mes coups de langue m'émeut toujours autant bien que je la connaisse si bien. Je lèche, pointe, mordille son périnée, le délicieux entame de ses couilles. Il aime tellement ça que par les subtils mouvements de son bassin, il vient chercher ma langue pour caresser ses sphincters ou la laisser le pénétrer. Sa queue aux veines gonflées frotte contre mon torse au rythme des mouvements de son cul et laisse une longue trainée de mouille. Ma verge en bouche, il grogne et gémit.
- viens, assied-toi sur ma gueule et il se couche sur le dos. Accroché à la tête de lit, Je le chevauche et les cuisses bien écartées, Je pose ma raie contre sa bouche. De lui même, les mains sur mes fesses, imprime mon va-et-vient au dessus de sa langue. Je sens ma corolle s'ouvrir, la pointe de sa langue, caresser ses parois...Ma verge se branle contre son front et son crâne. Je voudrais tellement que sa langue soit plus longue, qu'elle vienne encore plus profondément en moi..
Derrière moi, j'entends le clapotis de sa verge branlée et j'ai de plus en plus envie d'elle...
- baise-moi , dis-je soudain.
Il se tourne alors, me tend son braquemart dressé et moi toujours agrippé à la tête du lit, Je m'empale sur lui et entame mes va-et-vient sous ses encouragements..
Quand je commence à fatiguer, il prend le relais et m'envoie sa tige à grands coups de reins.
Aujourd'hui, c'est son jour, Je ne veux que son plaisir et plusieurs fois il a été proche de l'orgasme. Au bout d'un long moment à me pilonner ainsi, épuisé, il m'a demandé de me mettre à quatre pattes sur le lit et il m'a à nouveau transpercé debout.
Il m'a longuement embroché, fouillant du bout de sa verge chaque recoin de mon cul, me fessant régulièrement.. Je gémissait, hurlait de plaisir.
Puis à nouveau, nous avons changé de position et c'est couché, les cuisses sur ses épaules que j'ai encaissé ses coups de butoir accroché à mes couilles.
Quand il a compris qu'il ne pouvait tenir bien longtemps encore, il a pris ma queue en main et m'a branlé au rythme de ses mouvements . C'est moi qui ai joui le premier couvrant mon ventre de foutre. Je l'ai précédé de peu .. Il s'est séparé de moi et a mémé son sperme au mien.
Nous nous sommes enlacés et après un long moment de repos, la faim nous a tiré du lit.
Nous avons préparé le repas sans prendre la peine d'enfiler ne serait-ce qu'un short et sans prendre une douche.. j'aimais garder le sperme séché sur mon ventre.
Garbxc
Certaines histoires sont inspirées de petits films de boules que j'ai bien aimé et que j'aime raconter avec des mots ; si elle vous plait et si vous voulez en voir l'illustration filmée, rendez-vous sur mon blog MOIHIMSELF.
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