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HISTOIRE

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Premier épisode

Maître Francis

2 | Second rdv avec Maitre Francis

« A poil »

C’est l’unique chose que j’ai entendu, et je me retrouve là. Nu, poings et pieds menottées à une table en cuir. Un collier autour du cou avec en guise de laisse une chaîne bien fixée au châssis de la table. Un espèce de bâillon-boule m’écarte les muqueuses et me fait baver intensément.

Maitre Francis m’a harnaché là il y a cinq minutes et s’est barré dans une pièce dans un tintamarre de claquements de bottes. Tout ça l’acier et le cuir ici.

Ça fait deux semaines que j’y pense tout le temps. Après la première rencontre avec le Maitre et sa pipe forcée, impossible de me sortir cette expérience fantasmagorique de l’esprit. J’ai rêvé de sa bite toutes les nuits, me réveillant le jonc raide et suintant. J’ai discrètement posé mon après-midi et je suis revenu frappé à la porte de Maitre Francis qui m’attendait de talonnette ferme.

Et je me retrouve là. Le cul à l’air, en offrande, avec cette boule de silicone noir dans la bouche ce qui à chaque inspiration me provoque un déferlement sanguin dans la bite. Je ne me suis pas branlé depuis quinze jours ni ai honoré ma femme comme le Maitre me l’avait ordonné. J’ai les couilles gonflées de cette abstinence et mon gland maltraité frotte déjà sur le cuir de la table de torture. Je peux voir les poutres d’ici et ce qui y pend. L’idée même d’y être pendu un jour me raidit la queue encore un peu plus. Chaque inspiration font tinter mes chaînes et me rappelle que je ne suis plus qu’un objet. C’est l’hiver mais ce cagibis est chaud. L’énergie dégagée par la chaudière rangée dans un recoin fait craquer le bois en y expiant son humidité. J’en expire l’ oxygène et bave à travers mon bâillon lorsque soudainement les bottes claquèrent de plus en plus fort.

Le maître était dans sa tenue habituelle. Perfecto en cuir noir, bottes jusqu’à demi mollet, et pour changer un espèce de cuissard avec les fesses apparentes. je pu voir son cul poilu lorsqu’il passa devant moi sans un bruit. Il se retourna en silence, me mettant son énorme paquet à demi gonflé sous le nez dégageant une forte odeur de cuir et me libéra de mon bâillon. La botte claqua immédiatement devant mon visage, martelant la matière de la table de ses talons ferrés.

« Leche. »

Je leva les yeux pour capter les siens. Ses pupilles noires me transpercèrent. Il était accoudé sur son genoux et gesticulait lentement de la cheville pour me faire comprendre qu’il n’allait pas répéter.

Alors, docilement, je tira du cou sur ma laisse en acier pour poser ma langue sur la chaussure. Tant bien que mal je huilais de ma baveuse de haut en bas et de gauche à droite autant que les entraves me le permettaient. Il me fourra le bout de la botte droit dans la bouche pour me le faire mordre.

Ce cuir.

Ça éveille des sens jusqu’alors inconnu. Ça pulse dans mon échine. Je mords et je bave autant que je peux sur la pompe. Maitre Francis en profite pour me claquer le cul, me faisant sursauter. Puis deux, puis trois, puis quatre claque sur le cul. Je sent mon fessier qui rougit. Puis je sens aussi un doigt qui commence à caresser mon tréfonds. Une décharge d’électricité me prend dans tous le corps.

« Bon on va passer au chose sérieuse, tu vas être un bon soumis aujourd’hui aussi. J’espère que t’es en forme. » ses mots s’accompagnèrent d’un bruit de braguette qui s’ouvre. A peine ce son me parvint aux oreilles, qu’un monstre chaud et raide comme un cierge jaillit du froc sombre. Dans l’élan sa bite me claqua la gueule à m’en déchausser les dents. Il l’attrapa d’une main puissante et me gifla avec sur tout le visage, les joues, le front et manqua presque de me briser le nez tellement son engin est lourd. Il n’avait pas de caleçon alors sa queue avait prit l’odeur du cuir. Il étalait ce mélange de parfum de sexe et de peau de vache sur ma tronche et cela m’enivrait. Je me sentait décoller sous le fumet. Seul la douleur des chairs tirées de ma queue tendue me ramenait à la réalité. Puis d’un coup il m’agrippa les cheveux pour me faire ouvrir grand la bouche.

« Allez gobe ça comme une grande et t’as intérêt d’être aussi bonne suceuse que la dernière fois!! »

Son énorme chibre m’étouffa d’un coup. Le premier coup de piston me fit toucher sa veste avec le pif tellement il était profond. Il envoyait ses suintement de pre-foutre directement dans le fond de ma gorge pour être sûr que je n’en recrache pas une goutte. Ses couilles claquent sur mon menton et je sens ses mains qui font pression sur l’arrière de mon crâne. Je n’entends que ses râles et chaque coup de reins je commence à suffoquer. Son gros gland visqueux frotte sur mes amygdales pendant que ses poils de chibre me pique le visage. Il se retire pour me laisser reprendre mon souffle. J’halète a pleins poumons de ma séance d’apnée mais ma bite et toujours aussi dure. C’est dingue mais je la veux encore dans mes muqueuses. Cette énorme matraque me fait plus d’effet que ma propre femme!

Sans prévenir il me biffle deux-trois fois la joue avec son tuyaux et me le ré-enfile entre les molaires.

« Voilà… tu es bien sage pour ton Maitre… c’est bien… c’est bien. Lubrifie-la bien car après ça va être à ton cul! »

Ni une ni deux et malgré le saucisson huilant qui me farcit la bouche, la simple idée de me le prendre dans le cul me terrifie mais m’envoie aussi une secousse inhumaine au fond des bourses. Comme un fantasme enfoui qui refait surface et me transgresse. Le genre de sensation inouï qui vous dépasse.

Les bottes claquent autour de moi et la mélopée ferrées se stoppa net dans mon dos. Je n’entendais plus que sa respiration lente, calme. Ses poumons s’emplissaient et se désemplissaient au rythme lent des secousse de sang que son cœur envoyait droit dans son membre. Seul le froid du lubrifiant qu’il fit couler sur mes fesses mis fin à la lugubre atmosphère. Le choc de température m’envoya une décharge de plus dans la moelle épinière.

Il me tartina les fesses de son gant de cuir. Massant mon postérieur lentement, il inspirait fort par le nez et j’imaginais sa barbe se trémousser à l’idée de me dévierger le cul. D’ailleurs je commençais à sentir un doigt s’enfoncer dans mon tréfonds… « outch » sensation bizarre mais agréable qui fit faire un sursaut à ma bite au bord de l’explosion. Les quinze jours sans purge commençaient à avoir raison de mes chairs.

Il enfonçait son index plus profond encore, le retirait, le tournait et le ré-enfonçait encore. Je sentais mon conduit qui chauffait et mes couilles qui tremblaient.

Un deuxième vint en renfort du premier. Putain ça commence à faire large. Il s’enfonce un peu plus difficilement mais je sens que cela fini par passer. Une fois ses doigts bien trempés de liquide gluant, il les retira d’un coup sec pour observer mon trou légèrement ouvert et pour me remettre le bâillon-boule.

« Il est possible que tu cries et je n’aime pas ça… » je sentis la boule de silicone me rentrer dans les molaires et le harnais se resserrer derrière mon crâne. Impossible d’implorer la pitié. J’allais me faire enculer quoiqu’il arrivait. Et ça remettait une couche d’excitation sur la multitude d’autres. J’huma une odeur de latex qui trahissait l’ouverture d’une capote et je l’entendis l’étirer durement sur son énorme sexe. Dans une douce cavalcade de talon cuivré, il s’avança devant moi pour ajuster le préservatif sur sa grosse bite. Il me regardait dans les yeux pendant qu’il martyrisait le latex. Je ne pouvais lâcher l’engin du regard. Dieu que c’était gros. Je ne voyais pas comment un truc pareil pourrait me rentrer dans le cul…

Ajustée, il prit son chibre comme une matraque et la claqua dans sa main libre dans un lourd bruit de choc. Le son raisonna dans tout le gourbis.

« Maintenant on va passer au chose sérieuse. C’est ta première fois je vais y aller doucement. Je ne veux pas que tu rentre en boitant chez ta femme. Déjà que tu vas te retrouver avec le trou-du-cul plus large que le sien… » me sourit-il.

Les fers claquèrent une fois de plus jusqu’à mon séant. Tout s’arrêta. Plus de bruit. Plus de respiration. Juste mon cœur qui battait et ma queue qui tremblait. Il remis une bonne dose de gel droit dans mon cul et je sentis son énorme gland emprisonné dans le latex se poser sur mon anus.

« Allez on y va… » et il poussa lentement mais puissamment le bout de son membre dans mon cul.

Putain c’est gros. Ça tire! Il m’en a coupé la respiration et je sens que ce n’est pas encore rentrer. Il pousse, il pousse et m’étire de plus en plus l’œillet. Je tremble, je transpire, je mort ce bâillon qui m’empêche de respirer et d’un coup je sens que mon trou accueille quelque chose. L’énorme bout violacé venait de glisser dans mon fondement.

Je le sens dans mon ventre comme un intrus. Mais l’explosion d’adrénaline me fait prendre un pied formidable de cet instant avec cet énorme chose dans le cul.

« Voilaaaa… on y est… tu vois que ce n’était pas trop difficile. »

Ses gants de cuirs posés sur le haut de mes fesses, je commence à sentir ce volumineux marteau bouger dans mon intestin. Je sens les allers-retours de plus en plus amples, la vitesse de pistonnage s’accélèrerait au fur-et-à-mesure que mon trou-du-cul s’adaptait au diamètre gigantesque du chibre de Maitre Francis. Ça commençait à sérieusement me faire transpirer, les coups de reins faisaient tinter mes chaînes et je ne pouvait empêcher des gémissements de sortir de mon bâillon à chaque fois que j’encaissais un coup de bite. Mon ventre frottait contre le cuir, mon cul giclait du lubrifiant pendant que les expirations sportives du Maitre inondait la pièce. Je le sens tirer sur mon collier pour s’enfoncer plus profondément . Putain il me déchire!

Mes jambes sont crispées et inconsciemment je sers mon cul. J’entends ses râles et je sens sa bite se compresser. Mon corps la refuse mais mon esprit s’enivre de cet engin.

« Oui vas-y petite salope, sers ton trou ça fait du bien. Dans pas longtemps il sera plus large qu’une autoroute. » et il renvoya un coup de rein.

Ses couilles arrivent à claquer sur les miennes, je ne sens plus mon ventre mais simplement un énorme mât qui me transperce. Il tambourine encore plus fort, ses cuisses commencent à claquer sur mon cul.

Je souffle. Je souffre et je souffle. Mon cœur bat la chamade, j’expire et respire autant que je peux avec mes entraves mais je découvre que se faire enculer est de loin bien plus physique que je ne l’avais imaginé. Mon corps en tremble et arrive à sa limite.

Lui s’en fout. Il tape. Il frappe. Il cogne avec son chibre à m’en déboîter le sphincter. Ses poils de bite me piquent le cul, ses boules volumineuses giflent les miennes et il commence à me gifler l’arrière du crâne pour m’humilier, me montrer que je ne suis que sa chose.

Mon corps me surprend à encaisser, mon cul n’est devenu qu’un réceptacle à cylindre.

Maitre Francis retire tout son membre et me le ré-enfonce. Il s’amuse, il s’éclate avec ma rondelle. Il retire sa queue puissamment et prend son pied à m’écarter le cul pour mieux voir son travail. Puis il la ré-enfourne dedans.

Ça dure, ça dure et ça dure encore . J’ai perdu la notion du temps et de mon trou-du-cul qui n’est plus qu’un trou béant. Je sens ses gants se refermer sur mes cheveux et son gland taper dans un endroit encore plus profond que les autres auparavant. Je l’entend râler avec force. Il se crispe, se tend puis se retire violemment.

Il éjecte la capote d’un coup sec et m’asperge la gueule de son foutre épais. J’en ai plein la tronche. Le bâillon-boule est maculé de sperme odorant, mes cheveux collent. Il finit par me claquer délicatement la joue avec son engin pour s’essuyer le gland sur la chose que je suis devenue et s’en va en soufflant dans une autre pièce en me laissant là, enchaîné, bâillonné, le cul comme la grotte de Lascaux et du jus plein le visage.

Attentionné, il file derrière et me glisse trois doigts dans le cul en astiquant ma verge en asphyxie avec son gant de cuir. A peine quatre va-et-vient et je sens une puissante cascade me libérer la bite. Les chaînes, le cuir et l’odeur de foutre sur ma gueule on eu raison de mon abstinence en a peine quelques secondes. J’ai envoyé une quantité de sauce incroyable que ça en dégouline de la table en cuir. Le Maitre lâche ma queue devenue flasque et s’essuie le gant foutré sur mon cul.

C’était il y a quatre heures, je suis à table avec ma femme et mes enfants et malgré un mal de ventre colossal, je suis pris d’une irrémédiable trique en y repensant.

Jean Surin

jeansurin445@gmail.com

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