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3 | Maitre Francis, Maitre absolu
Il me pilonne de plus belle.
Son gros membre se ré-enfonce toujours plus durement dans mon tréfonds me coupant la respiration à chaque coup de pine. Je sens son gros gland massif me dilater les entrailles à m’en faire avoir des hauts le cœur.
En chandelle, les poignets liés à mes cuisses avec des lanières de cuir crantées et mes chevilles menottés à des chaînes ancrées dans des mousquetons riveté au sol, je ne peux que subir les assauts de Maitre Francis. Uniquement en bottes cavalières, je peux voir son cul poilu se contracter à chaque fois qu’il me la mets copieux.
Ses couilles claques sur mon postérieur tellement il y va profond et le pied sur ma gueule ne fait qu’accentuer ma condition d’objet. Les chaînes tintent sous les assauts du barbu dont je vois dans ma position l’énorme sexe sertit d’un latex sortir de mon cul pour mieux y retourner. Il m’a coltiné d’un écarteur de bouche durement serré qui me comprime les mandibules grandes ouvertes. Je bave de partout à chaque respiration. Ça dégouline sur mon visage et mon menton.
De temps en temps des gouttes de sueur salées du Maitre besogneux me tombe dessus tellement il s’emploie à me defoncer.
C’est la cinquième fois en à peine un mois que je retourne le voir et à chaque fois il est plus créatif. Son énorme chibre de 24 cm qu’il m’a forcé à mesurer en lui massant les couilles rentrait beaucoup plus facilement à présent. Cela piquait toujours au début vu le diamètre de l’engin mais mon cul avait prit le pli de la chose démesurée.
Ses talonnettes me marquaient le visage à m’écraser la tronche comme ça. Je sens chaque coup de piston m’ouvrir toujours un peu plus l’œillet quand ses cuisses claquent lourdement sur les miennes. Tout cela sans pouvoir bouger, prisonnier de ces chaînes et dans la position de soumission ultime.
Je sentais les fluides lubrifiant ruisseler en cascade depuis mon cul. Le membre gorgé de sang en projetait partout aux alentours à chaque fois qu’il s’enfonçait dans mon séant. Mon dos meurtrit par le sol froid m’envoyait des décharges dans la moelle épinière.
Tout en me pilonnant, le Maitre m’agrippe les couilles à les en faire devenir bleues sous la pression de ses mains. Depuis le sol où je me fais baiser comme une vulgaire serpillière, je peux voir ma bite qui n’avait pas débandée depuis le début. Plus je vois cet énorme cylindre sortir et rentrer de mon cul plus les chairs me tirent dans la verge.
Je tire sur mes sangles pour tenter de l’attraper et de la branler aussi fort que je pourrais mais en vain, les liens étaient bien trop dur.
Maitre Francis aime torturer ses victimes jusqu’à la fin.
Il sort enfin de mon cul. Je peux voir son énorme queue suintant latex et lubrifiant qui pend, raide, dure, massive. Les mouvements de son corps ramassé et musclé lui font prendre de la gîte allant jusqu’à percuter une de mes cuisses sans qu’il ne s’en rende compte. Une grosse trace pegueuse se fige alors sur ma jambe sans qu’il n’en prenne cas. Je peux d’ici sentir l’odeur de capote entre deux bavements dégueulasse.
Il m’écarte le cul avec ses mains puissantes. Ses grosses couilles pendent au-dessus de mon visage dans un mouvement léger.
« Voilà… bien… ça prend forme. » fit-il en ouvrant mes fesses bien face à la lumière de l’halogène. « Ça commence à être un trou du cul très accueillant pour mon chibre. Tu vas devenir une femelle de compétition. Mieux que ta femme vu ce que tu ramasse ma salope! » et sur ce je l’entends se racler profondément la gorge pour pouvoir cracher brutalement un gros glaireux en plein dans mon trou ouvert.
Je sentis la masse visqueuse s’enfoncer en moi comme si plus rien ne l’arrêtait. Je comprends alors l’ampleur du massacre. Je n’ai sans doute plus de cul mais la porte de Vincennes. Une entrée des artistes si large qu’un train pourrait y passer.
« Allez on y retourne… »
J’halete. Mon cœur tambourine en me fracassant les côtes, me faisant expier toujours plus de liquide buccaux à travers ce foutu ring ball. Ma poitrine se soulève toujours lorsque j’entends ses mots et que je le vois saisir ma cheville prisonnière d’une main et son gros membre de l’autre. Il l’empoigne des ses cinq doigts ce qui n’empêche pas une grande partie de sa queue de se montrer.
Gonflée, tendue, captive de son préservatif, Maitre Francis la claque salement sur mon trou et sur mes couilles. Le poids de l’animal sur les bourses me fait sursauter sous la douleur. Il l’a claque plusieurs fois comme un dégénéré pour me faire danser dans mes liens. Je me tortille dans tous les sens, gesticule mécaniquement sous la torture jusqu’à ce qu’il s’arrête brusquement.
« Bon repassons aux choses sérieuses… » et il s’embourba de nouveau gravement dans mon tréfonds.
Mon cul s’ouvrît sous la pression et les lubrifiant claquèrent sous la masse. Il me chevauche à présent à la cow-boy avec un rythme toujours plus soutenu. Je ne vois que son cul poilu et ses couilles massives qui s’écrasent sur les miennes.
Les bruits de mes chaînes meurtries cadencent les coups de bambou qu’il m’enfile, je sens parfois son gros gland violacé frotter ma prostate me donnant la sensation de pouvoir décharger sans me toucher. Mais ce n’est qu’un mirage et rien ne vient. Toujours cette frustration.
Ma bite virevolte sous les assauts tenaces du Maitre, fouettant mon ventre et mes cuisses sous contrainte. Je l’entends râler.
Son sexe gonfle encore sous la pression de ses boules, ça ne dois pas être loin.
Je ne sens plus mes entrailles. Réduites en compote par le marteau-pilon.
L’halogène m’aveugle et la transpiration des poils du cul du tyran me ruisselle dessus.
Ses fesses se contractent toujours plus fort pour me pilonner toujours plus violemment. Je le sens serrer les dents.
Je mords mon bâillon d’acier jusqu’à ce que d’un seul coup je sens un vide gargantuesque en moi. Le Maitre s’était retiré d’un bond.
Droit dans ses bottes, il arrache violemment la capote qu’il jette sur le sol froid. Il claque les talons jusqu’à mon visage et s’accroupît sur ma gueule, m’enfonçant sans ménagement son gros chibre au fond de la gorge.
Docilement je tire la langue pour en laisser entrer le plus possible comme il m’avait apprit. Son membre s’enterra dans mon gosier jusqu’à l’étouffement, le dard chaud et tendu me réchauffe les muqueuses et je peux sentir son cœur battre à travers sa queue.
Sans prendre gare à mon confort il me recouvre le nez avec ses couilles poilues et pose son cul sur mon front. Il y laissa une grosse trace odorante de transpiration. Sa bite attaque des va et vients violent dans mon œsophage à m’en déclencher des réflexes vomitifs.
Je ne peux que subir avec cet écarteur de bouches et je me sens devenir encore un peu plus la poubelle à foutre de Maitre Francis.
Ses testicules épaisses se délestent et s’écrasent en cadences sur mon pif sous la musique de ses râles. D’un coup, une de ses bottes crisse sous la pulsion et je sens un flots visqueux et chaud me descendre directement dans l’estomac.
Je m’étouffe.
Je m’étouffe et il n’en a que faire. Les jets ne s’arrêtent plus, il décharge encore et encore. Mon corps bloque et régurgite le sperme par delà les lèvres dans un sursaut de chaînes.
Sans un mot mon tortionnaire se retire. Lentement. J’ai l’impression que son mât fait des kilomètres tellement il prend son temps. Ses couilles libèrent petit à petit mon visage et je le vois, bite en main, éponger mon visage pour déverser tout le foutre gaspillé dans ma bouche ouverte par contrainte.
Il ne veut pas que j’en perde une goutte alors il fait lourdement traîner son gros gland violacé sur ma peau pour accompagner les derniers millilitres.
J’halete. Je respire fort.
Mon corps arrive à la limite de ses apnées forcées mais malgré ça ma bite ne c’est pas détendue d’un yota. Toujours aussi dure. Bien moins imposante que celle du Maitre même lorsque celle-ci commence à dégonfler après avoir purgée, mais rigide à en casser des briques.
Accroupi au dessus de ma face, les mains sur les cuisses, le barbu laisse pendouiller son gland poisseux juste au dessus de ma bouche. Il pendule légèrement, brassant un volume d’air considérable.
« Lèche. Nettoie-moi ça correctement ! » m’ordonne t-il sèchement.
Je m’exécute en bon soumis que je suis devenue et je passe ma langue partout sur son urètre odorant pour le laisser brillant au possible.
Grand prince, Maitre Francis ré-enfile une capote sur son gros sexe devenu mou mais dont les dimensions suffisent largement à enfiler le latex. Nonchalamment il clapote des bottes jusqu’à mon cul dans lequel il s’enfonça molassonement. Le diamètre que mon anus avait prit permit à sa queue flasque de s’y enfoncer sans trop de soucis. Je sentis de nouveau ce corps étranger m’envahir et ma prostate vibrer.
Bien ancré dans mon fion il me branle énergiquement. Ma petite queue en émoi lâche tout après quelques secondes seulement et je prend tout à travers la gueule.
Un jet puissant me recouvre le visage suivi de plusieurs autres. Le Maitre a la gentillesse d’astiquer ma verge jusqu’à ce qu’elle rende l’âme, potelée dans sa main.
Il retire sa bite molle et laisse tomber la capote sur mon visage et s’en va, me laissant attaché le cul en l’air avec ma sauce sur le visage, seul, dans cette pièce étouffante, la bouche toujours forcée à rester grande ouverte.
Il ne revient qu’une bonne demi-heure après. Il avait pris le temps de se faire couler un bain et de se changer sans prêter attention à la pauvre merde poisseuse qui moisissait dans sa cave.
Il me défît de mes liens avec un regard paternel.
« On progresse à grand pas Christian. On progresse. Va vite retrouver ta femme qu’elle ne se rende pas compte que ton anus est plus dilaté que le sien. Et passe par la salle de bain tu as du foutre plein la gueule, ça fait désordre ! » me conseille t -il en ôtant mes lanières des mes poignets.
« Pour la prochaine fois je te réserve une surprise… » et son sourire se noya dans sa barbe drue.
Je viens à peine de rentrer dans mon foyer que je dois déjà lever la voix sur mon gamin qui n’en fait qu’à sa tête, ma femme ayant des choses à faire en cuisine. Je gueule un bon coup mais une sensation étrange m’enlace, me faisant ressentir l’illégitimité de l’autorité paternel en repensant qu’il y à peine une heure, j’étais en train de me faire souiller dans une cave. L’haleine de foutre me ramène mentalement à ma condition d’objet de Maitre Francis.
Jean Surin
jeansurin445@gmail.com
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