Premier épisode
Chapitre 2
Toujours à la recherche d’actifs motivés pour se vider dans mon cul, je suis à votre dispo si vous passez par Bordeaux.
Pour vous donner une idée de ce que je sais faire, voici la fin de mon histoire…
Épuisé par les premiers assauts de la nuit, je dors à point fermé. Je ne me rends pas compte que deux mecs entrent chez moi et monte l’escalier pour me rejoindre dans la chambre.
Je me réveille le souffle coupé sans vraiment comprendre ce qui se passe. Je prends très vite conscience qu’on me plaque un mouchoir imbibé de poppers sur le nez. L’odeur me pique et commence à me faire tourner la tête. Mes bras sont tendus vers l’arrière et une forte douleur me plaque au matelas. Le mec qui me gaze m’écrase avec son genoux pour m’immobiliser. La couette a été tirée et je sens qu’une main me fouille le cul qui dégouline du jus récolté plus tôt dans la nuit.
Très vite les doigts laissent la place à une teub qui me semble énorme. C’est la que je comprends qu’ils sont deux. Pourtant bien ouvert, j’ai du mal à encaisser ce morceau super large qui me donne l’impression d’être fendu en deux. Le mec qui m’écrase se penche et me susurre à l’oreille : « Gueule pas mec ! C’est ton pote qui nous a dit que tu servais de sac à jus cette nuit. Il nous a promis que tu serais bien docile et que tu t’occuperais de nos queues. T’as intérêt à obéir gentiment sinon on va être beaucoup moins sympa. »
Entre coup de flippe et excitation, je fais oui de la tête. Je suis plus vraiment lucide, explosé par le poppers pris à haute dose. Le mec se relève pendant que son pote commence à m’exploser le cul à gros coups de rein. Il vient se placer face à moi, allonge ses jambes et plante ma gueule sur sa queue. Je découvre alors un rebeu d’une vingtaine d’année, finement musclé. Je me mets à le pomper frénétiquement, encouragé par les coups de bite de son pote.
Il ne faut pas longtemps à ce dernier pour accélérer ses mouvements et se raidir en lâchant son foutre. Il s’écroule alors sur moi, m’écrasant de tout son poids. C’est le rebeu qui le fait bouger pour prendre sa place. Complètement perché, je me laisse faire. Ils me retournent tous les deux, et me placent sur le dos. J’ai le rebeu qui s’installe face à mon cul pendant qu’un ours bien poilu me relève les jambes en tirant sur mes chevilles.
Mon trou est ouvert mais il ne reste pas vide longtemps. Je me fais pilonner direct. Je commence à couiner comme une truie, ce qui semble gêner mes invités. L’ours récupère le mouchoir imbibé de poppers et me le plaque à nouveau sur la gueule. Sa main puissante m’empêche d’ouvrir la bouche, m’obligeant à respirer les vapeurs de propyle. Je me sens à nouveau partir, subissant les assauts de son pote sans plus vraiment chercher à comprendre. Épuisé, défoncé au poppers, je m’endors à moitié.
L’ours me colle deux/trois baffes et retire le mouchoir. Toujours plié en deux, les jambes tirées en arrière, il plaque son gros cul poilu sur ma gueule. Il m’ordonne de lécher, ce que j’essaie de faire au mieux. Il insiste un peu mais ne semble pas satisfait de mon nettoyage à la langue. Il pousse alors son pote qui sort sa queue d’un coup. Il s’allonge à côté de moi, pivote et m’allonge sur lui. Son pote comprends très vite. Il place la queue de l’ours dans mon cul et commence à enfoncer la sienne.
La double pénétration me fait redescendre direct. Je veux gueuler mais le rebeu me plaque sa main sur la bouche. Les mecs s’enfoncent lentement jusqu’à ce que leurs couilles touchent mon cul. Là, l’ours s’immobilise et laisse son pote faire le job. Il commence lentement à coulisser et très vite enchaîne les coups de rein. Il leur faudra pas longtemps pour juter ensemble m’inondant le cul de deux doses supplémentaires.
Je suis mort. J’ai mal aux jambes et au cul lorsqu’ils me font rouler sur le côté. Je les entends se congratuler et s’amuser de mon trou super dilaté qui n’est plus capable de retenir le jus.
Comme les mecs précédents, ils prennent une photo et l’envoient à mon pote pour lui confirmer que j’ai été bien sage. L’ours se rhabille pendant que le rebeu se penche sur moi et écrit sur mon torse avec un marqueur. Je les entends se marrer puis quitter la chambre puis la maison. Je sombre direct et me réveille une vingtaine de minutes plus tard, seul et endolori.
La porte claque. Un autre mec est là.
A suivre…
Si vous voulez savoir comment l’histoire se termine, n’hésitez pas à me le dire sur mon snap. Pareil pour ceux qui voudraient profiter de mon cul sans retenue : actifs solitaires, potes en chien qui veulent niquer en groupe ou master qui voudrait me mettre à dispo, allez-y !
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Lopsa33
milothatch33@gmail.com
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