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Chapitre 3
Arrivé au jeudi soir, jour de Badminton pour les jeunes. J’étais impatient de retrouver mon petit soumis. La séance se déroula comme d’habitude, je jouais avec les jeunes, distribuai les conseils, animant les exercices, et cherchant déjà une nouvelle proie. Le choix semblait toutefois impossible, ils étaient tous parfaits physiquement. En effet, l’équipe de Badminton de la ville n’avait pas à se plaindre niveaux culs rebondis.
Benoit avait très bien choisi son short qui moulait à souhait son cul et serré sa petite queue. Il l’avait sûrement récupéré de l’ancienne saison, le coquin. A la fin de la séance, Benoit m’annonça, à contre cœur, qu’il devait filer rapidement son père venait le récupérer pour un diner en famille. J’ai pu alors rencontrer Pierre, le père de Benoit, qui me remercia d’entrainer son fils, je reçus de sa part les meilleurs compliments possibles :
Pierre : « Vous êtes toujours serviable pleins de bonnes intentions envers les autres »
S’il pouvait se douter de l’attention que je porte à son fils, dès qu’il quitte sa maison. J’ai pu également rencontrer le cousin de Benoit que, Pierre accompagné aussi. Je demande, non désintéressé, à Benoit de faire les présentations avec ce jeune homme.
- Moi : « Enchantez-moi c’est Louis, prof de Badminton de ton cousin »
- Hugo le cousin : « Enchanté »
Je lui serrais la main et sentis tout comme Benoit, sa docilité débordante ne demandant que de l’attention.
Pierre : « Dépêchons-nous allons être en retard »
Benoit me présenta rapidement Hugo son cousin du même âge, joueur de Tennis et non de badminton au grand regret de Benoit. Directe, une étincelle jaillit en moi, je connaissais l’entraîneur des jeunes pour le Tennis, ce n’était qu’autre que Mathieu, mon ami d’enfance. Je saluai la « belle » famille, les autres jeunes et parti rangé la salle.
Après avoir rangé la salle, c’était malheureusement à mon tour ce soir, j’allais au vestiaire, direction la douche. Mais, qui je croise par hasard en retard, Valentin un des jeunes dont je m’occupe, il était seul, l’occasion n’était que trop belle. Et si une approche marche une fois, elle peut marcher une seconde fois. Je me déshabille donc rapidement tout en parlant avec lui de ses progrès musculaires. Avec mon seul caleçon, je me dirige vers lui pour tâter ses muscles et comparer avec les miens. La comparaison était ridicule, il est à peine plus musclé que Benoit, alors il n’a pas grand-chose. Il sort à peine de l’adolescence, mais je vois déjà un bon cul à prendre.
Tout de suite, je me rendis compte que l’affaire serait plus compliquée qu’avec l’autre suceuse. Valentin restait en apparence de glace à mes avances. Ce qui fit tout basculer, ce fut lorsque je retirai mon caleçon. Valentin eut un moment de recul :
- Valentin : « Tu es trop chiant, tu fais toujours ça avec nous, on ne veut peut-être pas te voir à poil »
Je le sentis plus gêné d’être seul avec moi qu’apeuré
- Moi : « Je ne suis vraiment pas pudique et si entre homme on ne peut pas se foutre à poil alors qu’on a les mêmes corps, je ne comprends plus rien »
- Valentin gêné : « Mais c’est qu’on n’a pas les mêmes corps »
- Moi bêtement : « Comment ça ? »
- Valentin expressif « regarde-toi, tu as tout pour toi, tu es grand, musclé, beau… »
- Moi « Arrête c’est que je suis plus grand, tu auras pareil à ton âge si tu pratiques davantage la musculation »
Et voilà, la proie était cernée, il ne me restait plus qu’à l’attirer dans les douches. Je recommence alors la même technique que la dernière fois, à la seule différence qu’il s’était rhabillé en tenue de sport. Alors, je lui dis que s’il ne voulait pas tomber malade avec son pauvre manteau, il devait se laver. Valentin hésita, il n’avait rien pour se laver et se sécher. Moi ayant tout prévu en réaction à la semaine dernière avec Benoit, j’avais pris une serviette de plus. Ainsi, je lui dis que par tout hasard, j’avais pris deux serviettes au lieu d’une. Je vis dans son regard, qu’il se laissait tenté par ma proposition. Alors toujours à poil, je me dirige vers non pas les douches collectives, mais dans une cabine individuelle.
Voyant Valentin arrivé, je me précipite pour lui dire que seule cette cabine fonctionne. Valentin se dirigea alors vers moi pour me rejoindre. Laissant la porte ouverte par provocation, je commençais à me laver. Valentin après s’être déshabillé fit de même. J’en profite alors pour l’observer en détail. Sa queue semblait assez fine, son cul était bien l’un des plus rebondis de l’équipe, mes yeux ne me trompait pas. Grâce à la taille réduite de la cabine, nos corps se touchaient fréquemment.
Mais voulant changer de stratégique, probablement par ambition, je lui demande s’il peut me masser le dos, j’avais selon mes dires un blocage assez douloureux. Valentin n’hésita pas et accepta, je me mis donc dos à lui, le laissant toucher ma peau et commercer le massage. Je le remercie et lui demanda de continuer met au niveau des mollets. Valentin alors s’agenouilla dans la cabine plus qu’exigüe. Pendant le massage, l’eau s’arrêta, c’était comme dans tous les vestiaires, il est nécessaire d’appuyer sur le bouton on.
Je me retourne alors « bêtement » pour appuyer sur le bouton et relancer l’eau. Mais dans mon geste, ma queue en érection toucha le visage de Valentin. Celui-ci resta figé, et fit comme si rien ne s’était passé, mais moi pour le provoquer, je reste dans cette position. Ma bite juste à côté de lui. Il ne pouvait détourner le regard de ma queue, et au fur et à mesure il arrêtait son massage. Je pris donc les devants, pour l’orienter bien sûr.
- Moi : « Tu masses très bien Valentin, je peux te demander un autre service, je me suis pas branlé depuis plusieurs jours, et là j’en ai vraiment envie, tu peux prendre ma queue dans tes mains »
- Valentin « Je ne suis pas gay, je ne fais pas ça »
- Moi « Je te demande pas de la sucer, juste de la branler, comme lorsque tu te branles entre potes »
- Valentin : « Je ne fais pas sa avec mes amis »
- Moi « Tu devrais essayer pourtant »
Je ne sais pas si mon argumentaire a fonctionné ou s’il ne pouvait résister à l’excitation, dans tous les cas, il se saisit de ma bite. Cette fois, ma queue était à quelques centimètres de sa bouche. Il commença doucement les va-et-vient, puis après avoir demandé à que ce qu’il accélère, il mit davantage de vitesse et de pression autour de ma queue. En même temps, Valentin bandait et se branlait. L’occasion était trop belle, je mis mes mains autour de sa tête et orientai sa bouche vers ma bite. Valentin se laissait faire, et au moment fatidique, je lançais un simple :
- Moi : « Ouvre la bouche, tout va bien se passer, c’est comme si tu suçais une glace »
Valentin ouvrit la bouche pour accueillir comme il faut mon membre. Sentant qu’il fallait le guider pour ne pas qu’il s’arrête, j’imposais un rythme assez doux. Je le laissais faire connaissance avec sa glace. Je n’hésitais pas à lui conseiller certains tours ou coups de langue, pour finir par enfoncer davantage ma bite dans sa bouche. A chaque va-et-vient, j’essayais de lui faire gober davantage de chair, toutefois ma queue ne rentrait pas en entier dans sa bouche, le petit commençait à suffoquer, je le félicite alors par quelques caresses dans ses cheveux et des formules dont j’ai le secret :
- Moi : « Continu tu suces trop bien, essaye de lécher davantage, oui par ici c’est ce que l’on appelle le frein continu »
Puis dans un râle, je gicle sans prévenir de longs jets de sperme dans sa bouche, en lui ordonnant d’un ton directif : « Avale petite suceuse »
Il réussit à avaler la majorité du jus, j’étais satisfait, il voulut se relever, je lui dis que ce n’était pas fini, il devait nettoyer le reste. Sans rechigner, il reprit ma queue en bouche. Je le fis se relever et l’embrassa dans le cou, ce qui lui provoqua plusieurs gémissements trahissant son plaisir. Je venais, avec une telle simplicité, de me faire pomper par l’un des mecs les plus mignons du groupe. Je fis alors exactement comme la première fois, je le branla et le fis avaler son propre sperme.
En sortant du vestiaire une fois préparé, j’entendis un bruit de porte claquée, j’accusais le vent, mais, qui sait c’était peut-être autre chose. Enfin, je me sépare à contre cœur du petit Valentin, qui est désormais un apprenti suceur à ma pleine disposition.
Louisorigine
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