L’espagnol

Chapitre 1

Ça faisait déjà quelques temps que j’étais célibataire, depuis le début de mes études en fait. Je commençais sérieusement à me dire que la vie de couple n’était pas faite pour moi. Et à 21 ans, déménager dans une grande ville me convenait parfaitement pour continuer à prendre du plaisir, sans lendemain.

Jusqu’à un beau jour où une notification Instagram me sorti de ma rêverie. J’en recevais souvent, des mecs de tous âges intéressés, et tombés sous le charme de mon corps sec et dessiné, bruni par le soleil. Ou tout simplement par mes boucles brunes, mes yeux bleus et mes oreilles percées. Cependant ce garçon m’interpela, d’abord car il semblait vivre en Espagne et enfin par son côté minet.

On me qualifiait souvent de minet viril, avec mon début de musculature, mes poils sous et sur les bras et la fine ligne qui descendait vers mon pubis. Mais si moi j’étais un minet viril, lui était un minet 100%.

Avant même de me résoudre à lui répondre je me suis perdu sur sa page. Lorgnant sur ses nombreuses photos torses nu voir entièrement nu, cachant juste ce qu’il fallait. Son corps était maigre, imberbe, seuls ses abdos s’y dessinait. Le soleil espagnol ne l’avait pas épargné dorant finement sa peau ce qui contrastait à merveille avec ses cheveux blond décolorés du moment. Enfin il est important de préciser qu’il était plus grand que moi, j’aimais souvent mettre des compensés pour atteindre le mètre quatre-vingts mais même comme ça il m’aurait encore dépassé de trois quatre centimètres. Ce genre de minet n’était pas courant, il me plaisait vraiment.

— Hola Carly, j’adore ta page et j’ai cru comprendre que tu aimes voyager ? Si un jour tu passes par Barcelone n’hésites pas je te ferai une visite guidée, tu kifferas. Kiss <3

— Salut Leo ! Tu es trop pipou comme mec <3 J’ai vu que tu parles aussi français ? Trop sexy ! Je me souviendrai de ton invitation ;) Besos de Francia.

Ce soir-là, sans m’en rendre compte je me retrouvais entièrement nu devant sa page, navigant de photo en photo essayant de deviner ce qui pouvait se cacher hors du cadre ou sous ses vêtements. Ce qui est sûr c’est qu’à la fin j’étais vidé et mon torse était maculé de plaisir. Plus tard j’appris que lui aussi s’était déjà souvent fait plaisir en naviguant entre mes photos.

La machine était donc lancée, nos discussions s’étalèrent sur des semaines. Je découvris qu’il avait sa petite notoriété en Espagne mais qu’il idéalisait tellement la vie de couple qu’aucun mec ne voulait de lui plus d’une nuit. Il était romantique, fleur bleue et souhaitait trouver l’homme de sa vie. De mon côté j’étais partagé, j’avais envie de lui, j’en avais profondément envie mais je ne voulais pas lui donner de faux espoir. Ma vie de célibataire me plaisait même si depuis que je le connaissais le nombre de mec que j’invitais à la maison avait fortement diminué. Il n’y en avait plus qu’un par semaine et encore … les bonnes semaines.

Faut dire que Leo avait fait renaitre un fantasme en moi. Après mes années Lycée où mon mec m’avait dominé et pas que sexuellement, je m’étais construit cette carapace et ce physique viril pour dominer à mon tour. Je n’arrivais même pas à me rappeler la dernière fois qu’un homme m’avait pris afin de me faire jouir. Je me contentais de jouer le rôle que je m’étais construit et je jouissais sur ou dans tous mecs avec qui je passais la nuit. Cependant le côté mignon et adorable de Leo me donnait envie de la laisser se servir de moi, j’avais envie avec lui de redevenir l’adorable Carly du Lycée en espérant que je puisse de nouveau tomber amoureux. Je n’ai jamais pu aimer quelqu’un que j’ai dominé, peut être le pourrai-je si j’engageais une relation sur un pied d’égalité ? En tout cas je ne pouvais m’enlever le fantasme de lui derrière moi me prenant sauvagement. Et j’étais incapable de laisser un autre que lui me faire ça.

Avec le temps la chaleur s’immisça dans nos conversations, on devint curieux du corps et des pratiques de l’autre J’appris qu’il était versa mais un peu plus passif quand même, ce qui me fit tout de même plaisir au vu de mon fantasme. Je su aussi que malgré ses 19 ans il avait quand même eu l’occasion de parfaire ses techniques puisqu’il avait perdu sa virginité très jeune. De mon côté je fini par arrêter de lui cacher mon fantasme tout en lui promettant que je me voyais aussi inverser les rôles pour une relation équilibrée, celle dont il voulait et que j’espérais vouloir.

On se mit aussi rapidement à s’échanger des photos, moi souvent pendant mon sport il adorait mon corps en sueur et mes tétons qui pointent. Lui me montrait très souvent son bassin ou ses fesses entièrement nues. Il aimait aussi m’envoyer ses lèvres pulpeuses ou tirer la langue depuis que j’avais la remarque qu’elle était très grosse.

Les semaines passant mon envie pour lui monta. Un soir où j’étais encore nu en pensant à lui je m’allongeais sur le ventre et remontait mon cul le bombant au maximum. Je pris comme ça une photo sur laquelle on voyait mon dos musclé, mon cul rebondis, le bas de mes jambes recouvert d’une fine toison ainsi que mes pieds.

Il était 22h il me répondit aussitôt avec une photo de son corps entier, allongé sur le dos avec seulement un bout de tissue cachant son sexe clairement en érection. Il n’y eu pas d’autres photo cette nuit mais on s’est masturbé et doigté jusqu’à la jouissance. Une fois cet acte accompli on s’est envoyé une photo de notre sperme. Le mien sur mon torse, des abdos aux tétons. Le sien dans son cou et sur cette bouche pulpeuse qui me faisait si envie. L’air lubrique qu’il avait sur cette image me fis recommencer dans la nuit, cette fois je m’imaginais me branlant au-dessus de son visage.

Le lendemain je tenais plus et je pris un billet de train. Dans 2 semaines je serai chez lui.

Chapitre 2

Quand je descendis du train Leo était là aussi sexy que je pouvais l’imaginer. Il portait un débardeur qui laissait voir ses bras et les côtés de son torse. Il portait aussi un mini short de bain ainsi que des basquettes avec un léger compensé. Je n’aurai pas dû lui parler de mon fantasme de me faire prendre par un minet plus grand. De mon côté j’avais mis des chaussures plates justement pour accentuer son côté plus grand, ainsi qu’un des tee-shirts moulants que je mettais habituellement pour le sport. Enfin je portais un short classique avec un maillot de bain en dessous car il m’avait promis en arrivant un plongeon dans la piscine familiale.

La famille n’était pas là donc après un court voyage en transport en commun à s’échanger des banalités sur mon trajet en train et la météo très chaude nous étions arrivés.

Une fois le portail passé je fus subjugué par la piscine en forme d’haricot qui me faisait très envie par 33°C.

Sans même me laisser le temps d’y penser Leo avait déjà enlevé son débardeur et me dit en tirant la langue :

— Les chaussures aussi ? Même sans je suis assez grand ?

Le trajet à son côté m’avait laissé rêveur il devait faire bien 10 cm de plus que moi avec.

— Oui c’est bon tu peux y aller, il te restera encore cinq ou six centimètres de plus.

Pour faire bonne mesure je lui tirais la langue Il fit de même avec un clin d’œil appuyé. Mon dieu cette langue.

Voyant que je galérai à enlever mon tee-shirt, ce dernier trop moulant me collait à la peau il s’approcha de moi pour m’aider. Il glissa ses mains en dessous au niveau de ma taille avec les pouces au-dessus et commença à remonter lentement me caressant par la même occasion. Je le laissais faire remontant les bras. Quand il arriva au niveau de mes aisselles il s’arrêta, je ne voyais plus rien avec le tee-shirt à moitié sur le visage mais je devinais qu’il devait me mater. Puis il termina ce qu’il avait commencé et je fus libéré.

— ça va tu n’en as pas trop profité ? demandai-je d’un air amusé.

— Juste ce qu’il faut, me répondit-il avant de s’allonger sur un transat. Vas-y dépêche-toi on n’a pas toute la journée.

— Non en effet, on a toute la semaine.

Ça nous fit rire de bon cœur. Je finis d’enlever on short et mes chaussures me retrouvant dans mon tout petit slip de bain en face de lui toujours allonger. Il me détailla et dit :

— Même tes pieds sont virils et bronzés.

Je m’attendais à tout sauf à ça et je rougis gêner ne sachant pas quoi dire. Il sorti alors de sous le transat une casquette et me coiffa avec.

— Quand tu m’as dit que tu avais oublié la tienne ça m’a frustré car tu es tellement sexy avec. Et me tira de nouveau la langue.

Il arrangea mes cheveux de manière que certaines de mes boucles sortent de la casquette. Ce qui me laissa le temps de détailler son corps. Ses abdos ressortaient vraiment beaucoup j’adorai ça. Par ailleurs ils avaient des tétons aussi beau et foncés que ses yeux. Ensuite le blond de ses cheveux, rasés sur les côtés jurai avec le sombre de ses sourcils. Ce mec était beau comme un dieu grec. La fine chaîne en or autour de son cou n’arrivait pas à plus m’éblouir que je ne le fusse déjà.

Il se retourna pile au bon moment je commençais à avoir une érection, ce qui me laissa la possibilité d’admirer son cul bien bombé. J’étais jaloux, mon fantasme était qu’il me prenne et c’est lui qui avait le meilleur cul.

Il s’assit au bord de la piscine laissant uniquement ses pieds tremper dedans. Le paquet que je vis au niveau de son entre jambe me laissa rêveur.

— Arrête de me mater et vient d’assoir à côté de moi que j’en profite aussi.

En allant m’assoir je me rendis compte que je mis mon pubis juste au niveau de sa tête, tant mieux. Enfin une fois au bord je gardais mes jambes tendues, les pieds hors de l’eau.

— Vas-y fantasme sur mes pieds virils ! lui dis-je, joueur.

Il éclata de rire, je remarquai alors tous les grains de beauté qu’il avait dans le cou et sur le torse.

Il me posa une main sur la cuisse alors que je baissais les pieds dans l’eau. La piscine eu beau me rafraichir j’eu bien chaud tout un coup.

— On y vas à trois ? me proposa-t-il.

— Ça marche !

— 1

— 2

— 3 !!!

Je le laissais plonger seul dans l’eau. Il en ressorti juste après ramenant ses cheveux en arrière et s’essuya le visage.

— Tricheur !

— Hey je ne voulais pas mouiller ta casquette ni gâcher cette coiffure parfaite que tu m’as faites !

— Ce n’est pas une raison, tu pouvais l’enlever !

— Tu as dit toi-même que comme ça je suis super beau et sexy, comment je fais après pour te faire craquer et te donner envie de m’embrasser.

— Tu n’as pas tort, je devrais peut-être le faire tant que tu l’as.

Il posa ses deux mains froides et humides sur mes cuisse et issa sa tête au niveau de mon nombril qu’il embrassa. Il remonta un peu plus haut et lécha mes abdos. Arriver au niveau de mes tétons il en mordilla un. Puis j’eu droit à un baiser dans le cou avant qu’il s’arrête juste en face de mon visage.

De l’eau perlait de ses cheveux et plus aucune trace du garçon joueur, je me retrouvais en face d’un Leo fragile et vulnérable.

—Embrasse-moi Carly, dit-il dans un murmure.

Je me fondis dans ses yeux bruns foncés et collait ma bouche à la sienne le retenant de mes bras. Il enleva les mains de mes cuisses et m’entoura avec. Ses lèvres étaient si bonnes, si gonflées et pulpeuses mais sa langue qui me pénétra la bouche manqua de me faire gémir. Notre baiser dura une minute, mes mains se baladaient sur son corps tout en continuant de le maintenir à ma portée.

Il finit par m’attirer dans l’eau, j’avais bien besoin de me rafraichir. Une fois dedans il encercla mon bassin de ses jambes et m’embrassa de nouveau. Il coinça une de ses lèvres entre les miennes pour que je tire dessus. Avant de s’écarter de mon visage.

— Qu’est-ce que ça doit être quand tu utilises cette bouches autre part, lui dis-je.

Il me lâcha le cou et se mis à flotter à la surface de l’eau tout en continuant à enserrer mon torse de ses jambes pour se maintenir à flots.

— Où ça par exemple ?

Je compris par cette question qu’il voulait que je lui montre où j’avais envie de cette bouche.

Je commençais par lui designer le torse, profitant pour enfin lui toucher les tétons qui durcirent très vite. Il gémit. Puis ses abdos et son nombril.

— J’ai déjà mis ma bouche ici.

Il était joueur et voulais que je passe au niveau au-dessus. Mais j’avais encore envie de prendre mon temps. Je lui désignais donc ses aisselles imberbes, les cuisses et les pieds.

— Tu as envie que j’embrasse tes aisselles et tes pieds ? me demanda-t-il toujours à surface de l’eau.

— Bien sûr car je sais que tu en as envie et que ça te rendra fou.

— Comment tu sais ?

— Tu aimes tout ce qui est virile chez moi et je sais que tu trouves ces endroits très virils.

— C’est vrai tu as raison, quoi d’autres ?

Je voyais à quelques centimètres de la surface qu’une érection commençait à voir le jour dans son short de bain. Je mis donc mes mains sur ses fesses. Elles n’étaient pas tout à fait fermes contrairement aux miennes mais rentraient à merveilles dans mes mains. Je pris beaucoup de plaisir à les toucher.

— Ensuite ici.

Il gémit un peu, je fis donc aller mes mains vers sa raie et désigna un point où je devinais son anus.

— Et je veux ta langue là, pendant longtemps.

Ensuite je me mis désigner le point qui se trouve sous ses couilles avant de lui dire

— tout le reste qui m’intéresse c’est ce qui trouve juste là sous la surface de l’eau, dis-je en essayant d’englober sa queue et ses couilles. Mais son érection était déjà trop importante et le tissue me gênait.

Il enleva les jambes de ma taille et descendit le long de mon corps, buttant contre ma bite qui formait une bosse plus que déplacé dans mon maillot. Il se plaqua contre moi et commença à se frotter.

— je veux te voir nu Carly, te voir jouir, dit-il dans un souffle obscène.

— Je veux te faire jouir Leo, lui répondis-je.

Je le portais jusqu’au bord avec de le hisser dessus. Il se retrouva assis les pieds dans l’eau avec ma tête pile au niveau de son entre jambe. Je le forçais à s’allonger sur le sol pour pouvoir lui enlever son short. Il leva les jambes pour m’aider. Je tirai sur son maillot entrainant sa queue vers le bas. Quand le short dépassa enfin la longueur de sa bite elle s’en retrouva libérée d’un coup et retourna en arrière avant de s’écraser en un bruit humide sur ses abdos.

Il gémit de plaisir. Ayant reculer et pour le frustrer je pris un de ses pied que je portais à ma bouche tout en admirant la vue que j’avais sur son entre jambe, le dessus de son cul et ses couilles.

En même temps je m’étais arrangé pour laisser tomber au fond de l’eau mon slip de bain, libérant ainsi ma queue.

Alors que ses orteils disparaissaient entre mes lèvres il écarta l’autre jambe pour me donner une meilleure vue.

Il était totalement imberbe, on devinait que par endroit il avait dû se raser. Ses couilles fermes et gonflées étaient glabres tout comme le dessous de son cul et sa queue. Sa bite ne cessait d’être prise de spasme de plaisir ce qui me permit d’en admirer la taille et la forme.

Lors de nos discussions on ne s’était jamais envoyé de photo de nos sexes mais un soir où on avait bu je lui avais demandé sa taille. Il m’avait alors répondu « 18x6 et toute bronzée, je fais des séances de bronzage intégrale » Je ne l’avais pas cru à l’époque mais finalement il avait raison. Alors que je lui léchais la plante du pied j’avais en face de moi une large queue aussi cuivrée que le reste de son corps. Alors que je délaissai son pied pour me précipiter vers cet organe épais je remarquais qu’elle était toute lisse, sans veine apparente ni même un repli.

Je vins d’abord mettre mon nez et ma bouche sous ses couilles pour l’embrasser et enfoncer cette zone molle agréable. Il se cambra légèrement je caressais alors doucement ses boules très gonflées quand il se relava.

— Je veux te voir la sucer.

Sans que je puisse dire quoique ce soit il remit la casquette sur ma tête.

Je lui gobai une couille tout en entourant sa queue de ma main. Il n’arrêta pas de me fixer mais je me concentrais sur mon travail. Je fini par décalotter entièrement son gland qui devait bien faire dans les 7cm. L’extrémité était humide et ce n’était pas de l’eau de la piscine.

— ça m’a excité de savoir que tu me regardais par en dessous, me dit-il.

J’ai englobé directement son gland sans penser et j’ai commencé à le masturber doucement avec mes lèvres. Il poussa un petit cri qui fut bientôt remplacé par des râles de plaisir. Après 5min de ce traitement je me mis à faire bouger mes lèvres sur l’ensemble de sa bite, savourant le goût de sperme mélangé à celui du chlore de la piscine. J’accompagnais mon mouvement avec ma main qui écrasait d’un coup de poignet son pubis pour décupler son plaisir. De mon autre main je jouai avec ses couilles en caressant aussi plus bas au niveau de son anus.

Je devinais qu’il ne tiendrait pas longtemps, alors que la jouissance allait arriver, il me repoussa à contre cœur et me fit sortir de l’eau.

Il vit alors mon corps nu et m’accompagna jusqu’à une chaise sur laquelle il m’assit. Il détailla alors ma queue et mon entre jambe. Contrairement à lui j’avais des poils sur le pubis, une fine toison brune bouclée, ainsi qu’un duvet sur mes couilles très volumineuses qui pendaient entre mes jambes. Il les prit et les souleva pour voir en dessous et découvris que j’avais totalement raser la zone sous mes boules ainsi que l’ensemble de mon cul. N’y résistant pas il enfonça son visage dedans laissant mes couilles retomber sur nez. Il me bouffa littéralement la zone mole qui s’étant entre mon cul et ma queue avant de se souvenir que cette dernière attendait au-dessus.

Il la souleva et l’admira. A l’époque j’avais répondu à son message par « La mienne fait 20x5 cm avec quelques veines et jamais totalement découverte ». En effet lorsque je me masturbais il était très difficile pour moi de me décalotter entièrement il restait toujours 2-3 millimètre de mon gland couvert. Les seules fois où je pouvais le faire c’était grâce au mouvement violement exquis de la pénétration.

Leo essaya évidemment en premier de la décalotter entièrement mais il vit que ça me gênait et arrêta. Il tira donc ma queue vers le bas et recommença, à ma grande surpris il réussit à en dévoiler un peu plus. Il posa ensuite mon gland sur la langue et se mis à le traiter comme un cornet de glace. Sa langue était gigantesque, toute humide et musclée. Ça me fit un bien fou, jusqu’au moment où ma queue entière disparue dans sa bouche. Je vis mes veines pulser en rythme avec le mouvement de va et vient de ses lèvres. Je sentais sa langue qui tournait et retournait autour de mon gland suintant de precum. Il posa une main sur mon pubis pour l’écraser ce qui occasionna un spasme de plaisir chez moi qui me fit relever la tête en arrière. Son autre main s’affairait sur mon torse, malaxant mes muscles et pinçant mes tétons.

Il n’avait pas besoin de main, ses lèvres pulpeuses branlaient à merveille ma bite alors que sa langue excitait mon gland.

Quand ma tête redescendit je vis qu’il me fixait droit dans les yeux, cet angelot voulait me faire jouir. Je mis une main dans ses cheveux et ne détournait pas le regard, je voulais qu’il voit le plaisir dans mes yeux.

Ma bouche s’ouvrit à mesure que mon souffle s’accélérait, je commençais à être pris de spasmes incontrôlables. Et mes abdos se contractaient sans cesse. Il le remarqua et les effleura de la main qui enfonçait la zone molle de mon pubis.

— Leo je vais jouir ! Leo tu vas me faire jouir ! C’est trop bon t’arrête pas !

Entre deux phrases je poussai des cris de plaisir, mes doigts pieds étaient en train de se recroqueviller. Mes couilles ne pendaient plus, elles étaient fermes et relevées, le jus montait dans ma verge.

— LEO OUI, JE JOUIS, COMME CA, TAREETE PAS, OUIIII ENCOOOORE

Je sentis mon gland se décalotter entièrement ce qui fut le déclencheur. Mes trois premières giclées de sperme atterrir au fond de sa gorge. Ensuite il retira ma queue de sa bouche et la branla devant son visage. Trois autres giclées atterrir sur ses lèvres, son nez et ses joues. Il remit ma bite décalottée en bouche et la nettoya ce qui occasionna trois autres spasmes de plaisir.

Quand il eu fini j’attirai son visage et l’embrassai lui et mon jus qui dégoulinait sur sa bouche. Je remarquais alors qu’il branlait sa large queue énergiquement, la situation l’avait amenée au bord de la jouissance. Je le mis debout et amena sa queue devant mon visage, à la seconde où j’ouvrit la bouche il dit

— CARLY C’EST TROP BON AAAAAAAAAH

Il y eu cinq giclées qui tartinèrent tout mon visage et sa casquette. Malgré ça il continua de se branler, je devinais aux goutes qui continuaient de perler qu’il prenait encore du plaisir, je pris donc ce gros gland dans ma bouche et le nettoyais consciencieusement.

— Hum oui encore Carly, c’est bon.

Quand j’eu fini il alla s’allonger sur un transat. Je vins le rejoindre, m’allongeant à moitié sur lui. Il me pelotta les fesses allant jusqu’à me caresser l’anus. Signe de futurs plaisirs à venir.

Note

Cette histoire est un peu particulière elle est en partie vraie, elle m’a été raconté par un de mes potes à qui elle est arrivée. J’ai un peu embelli et accéléré les choses mais croyez moi sur parole ils sont aussi torrides l’un que l’autre et encore plus quand ils sont ensemble !!!

La suite bientôt et dans tous les cas on les reverra mais séparément car il nous est arrivé plein de choses ces dernière années ^^

Dites-moi si vous aimez.

Des bisous