Saison 1 : Thomas - Chapitre 1
Encore une nuit pendant laquelle Thomas n’arriverait pas à dormir.
Dolph les avait rejoints la veille pour manger avec eux, Pénélope l’invitait souvent ces derniers temps, il faut dire qu’elle l’aimait autant qu’elle aimait l’exhiber à sa famille et ses amis.
Depuis le remariage de son père, Thomas fut émerveillé par la beauté naturelle de Pénélope, Penny, la fille de sa nouvelle belle-mère. Il faut dire que l’introduction dans la maison d’une jeune fille de dix-neuf ans alors que son corps de mâle change, que les hormones nous remplissent pour la première fois et que la masturbation s’accompagne maintenant d’une montée de sperme n’aide pas.
Penny avait ce sourire Colgate, comme disaient les amis de Thomas, et les yeux d’un gris clair pétillant mis en valeur par sa chevelure brune. Mais Thomas n’avait d’yeux que pour sa poitrine et la taille fine qui la mettait en valeur. Il restait persuadé que c’était l’arrivée de Penny cette année-là dans la maison qui lui fit redoubler son année de troisième.
Depuis cinq ans Pénélope leur ramena étonnamment peu de petits amis, elle restait surtout concentrée sur ses études de marketing. Mais voilà, à la suite de son diplôme, depuis quelques mois elle n’avait eu d’yeux que pour Dolph, que tout le monde appelle Dee, un collègue de bureau. Pendant trois semaines elle avait essayé tous les moyens possibles pour lui mettre le grappin dessus. Thomas avait vu chaque matin Penelope redoubler d’effort pour paraitre la plus sexy possible tout en restant dans les limites de ce que son environnement de travail lui permettait. Il la voyait à la table du petit déjeuner maquillée de manière très subtile, car « Dee n’aime pas les filles trop maquillées », leurs avait-elle avoués un soir. Elle attachait aussi très souvent ses cheveux pour mettre en valeur son cou orné seulement d’une très sobre chaînette en or tombant entre ses seins. De même elle s’arrangeait pour avoir systématiquement les bras nus, la poitrine bombée et des collants aux motifs floraux.
Plus d’une fois Thomas du s’isoler dans une cabine des toilettes en arrivant lycée pour mettre fin à la tension de son jean. Mais rien n’aurait pu le préparer à la suite.
Un soir Penny rentra en leur annonçant à tous que le beau Dolph l’avait invitée à sortir, puis un autre soir qu’il l’avait embrassée et enfin qu’elle l’amènera pour le repas afin de le présenter à la famille.
Il arriva à 19h précises sans une seconde de retard, malgré l’heure et demi de trajet entre son cagibi dans le 11ème arrondissement de Paris, comme il l’appelait, et notre maison dans le Val d’Oise. Il portait une chemise blanche lâche avec les deux boutons du haut d’ouverts dévoilant une très fine pilosité châtain, même couleur que ses cheveux, sur le haut de son torse. Il avait rentré le bas de la chemise dans son chino bleu montrant ainsi à tous sa taille svelte. Ses cheveux moyennement courts étaient légèrement frisés et on regrettait seulement qu’ils ne furent pas plus foncés pour mettre en avant ses yeux bleus glaces. Son visage semblait dépourvu de barbe ou alors il se rasait de près tous les jours. Cela étant dit Thomas compris que sa demi-sœur ait craqué sur cet Appolon au physique de surfeur.
Le repas fut une franche réussite et tout le monde se retrouva sous le charme de Dee et des mille aventures dont fut ponctuée sa courte expérience de seulement vingt-six ans.
Après le repas, Pénélope et Dee montèrent dans sa chambre, au-dessus de celle de Thomas, et il ne reparti que le lendemain, après être aller chercher les croissants à la boulangerie au coin de la rue.
À la suite de cette soirée Dolph passa de plus en plus de temps à la maison, il faut dire que même si cette dernière se trouvait loin de leur lieu de travail il y avait plus d’espace que dans son appartement parisien. Ça commença par une nuit de temps en temps avant de se transformer en un weekend par ci par là puis trois quatre jours consécutifs. Personne ne s’en plaignait, à part Thomas peut-être.
Thomas se doutait que comme tous les couples de leur âge Penny et Dee couchaient ensemble, mais alors que lui à dix-huit était toujours puceaux il n’était pas partant pour entendre Pénélope faire jouir un autre que lui. Au début Penny et Dolph furent très discrets, Thomas les voyait disparaitre pour s’adonner à leur plaisir avant de revenir quelques dizaines de minutes plus tard. Mais il comprit très vite aux regards que lançais Dee à Penny que ce dernier avait beaucoup d’appétit. Ils pouvaient disparaitre au milieu d’un repas, pendant une balade en forêt ou même dans un parc d’attraction. Il ne fallu pas longtemps pour que leurs danses incessantes reprennent tard dans la nuit, quand tout le monde était sensé dormir.
Y a trois ans, le nouveau couple formé par son père et sa belle mère avait fait construire au rez-de-chaussée une extension à la maison pour y installer une suite parentale avec salle de bain, laissant Thomas au premier en face de l’autre salle de bain et Penny au second sous les combles. Cependant quand Penny emménagea Thomas s’était gardé de lui dire la vérité, la chambre sous les combles faisait caisse de résonnance, résultat, il avait toujours pu espionner sa sœur par alliance comme si elle était dans la même pièce que lui. Il l’entendait parler à ses copines au téléphone et sur skype, il l’écoutait pendant qu’elle regarde ses séries sur son ordinateur et surtout il l’espionnait alors qu’elle s’adonnait à la joie de la masturbation féminine avec ou sans film pornographique (dont elle coupait la plupart du temps le son), avec ou sans jouet vibrant caché sous son lit.
Thomas n’avait pour ainsi dire jamais regardé de porno de sa vie puisque Pénélope ponctuait chacune de ses envies. C’était comme vivre dans un film porno sans savoir quand l’acte sexuel allait démarrer.
Mais voilà, elle était avec Dolph maintenant et malheureusement ce dernier faisait bien souvent plus de bruits qu’elle. Depuis le mois d’août, en plein milieu de la nuit, ce dernier se jetait sur Penny pour assouvir avec passion ses besoins. Thomas n’en pouvait plus, une fois sur deux il fallait que ça le réveille et l’empêche de se rendormir.
Cette nuit de septembre était particulièrement chaude, il ne dormait qu’en boxer blanc ayant renoncé au tee-shirt. Il avait l’impression de suffoquer alors que sur son lit se trouvait seulement un drap fin qui lui collait à la peau couverte de sueur. Il ne réussit pas à trouver le sommeil avant 1h du matin et ce n’était qu’un demi sommeil.
Ça faisait à peine trente minutes que Thomas dormait qu’un bruit se fit entendre à l’étage du dessus. C’était Dolph qui marchait sur le sol de la chambre. Ça le réveilla instantanément. Il entendit Penny demander à son copain pourquoi il se levait, ce dernier répondit qu’il fermait la fenêtre car le courant d’air lui donnait des frissons. Thomas su immédiatement de quoi il retournait. Dee fermait toujours la fenêtre avant de passer à l’acte de peur que leurs bruits puissent être entendus des voisins. S’ils savaient …
Thomas n’avait aucune échappatoire, pas de couette sous laquelle se réfugier, impossible de quitter la pièce sans les alerter ni même de mettre ses écouteurs car restés à l’étage du dessous. Il s’allongea donc sur le dos les yeux fixés au plafond, sur l’endroit où se trouvent Dee et Penny trois mètres au-dessus près à subir leur rapport.
Cependant cette nuit là ce fut différent, sans doute à cause de la chaleur, mais il n’y eu aucun mot. Dolph ne complimenta pas Penny sur sa beauté, sur la forme de ses seins ou la dureté de ses tétons et cette dernière ne dit rien sur son envie de se faire pénétrer par le sexe tendu de son compagnon ni sur le fait qu’elle voulait admirer son corps en le chevauchant. Non, il n’y eu rien de tout ça, ce fut seulement animal car Thomas entendit juste les râles de plaisir de Pénélope alors que Dolph commença les préliminaires sur sa compagne.
Le lendemain Thomas se dit que c’était la raison pour laquelle il se laissa lui-même aller au plaisir que ça lui procurait de les entendre. Ça et le fait qu’il ne s’était pas touché depuis une semaine puisque son film porno quotidien s’était transformé en cauchemar.
Etant à fleur de peau et ayant le corps luisant de sueur il profita de l’instant pour se redécouvrir. Il commença par coincer le drap autour de sa jambe gauche, il le roula comme une corde épaisse et le tendit en tirant dessus avec son bras droit. Cette corde improvisée vint appuyer tout le long de sa jambe, sur son paquet grandissant ainsi qu’en ligne droite de son pubis jusqu’à son épaule en frôlant son téton droit. Il commença les va et vient, tendant, détendant le drap, relevant le bassin, pour faire monter le plaisir en lui.
En haut il crut comprendre que les préliminaires étaient passés de Penny à Dolph dont il commença à entendre le souffle s’accéléré.
Il relâcha le drap, décidant de le garder pour plus tard, et commença à caresser tout son corps délaissant volontairement seulement son entre jambe. Il commença par ses joues et son cou trempé de sueur avec une main de part et d’autre. Elles glissèrent toutes seules sur sa peau, Thomas avait toujours été totalement imberbe, excepté une fine toison sur le pubis et les testicules ainsi que le bas des jambes.
En descendant il arriva sur ses petits pecs. Ces derniers étaient à peine formés ils suffisaient juste à souligner le haut de son torse pour ne pas le faire passer pour un maigrichon. Il caressa longuement sa peau finissant par pincer ses tétons déjà bien dressés. Il serra de plus en plus fort s’arrachant un petit cri de soulagement mais aussi de frustration quand il arrêta. Il fit descendre une de ses mains vers sa cuisse pendant que l’autre caressa ses abdos secs et son nombril. La sensation de plaisir commença à lui faire tourner la tête et son début d’érection n’en était plus du tout un. Il jeta un œil vers son boxer banc serré et trempé ne sachant faire la différence entre la sueur et le précum. Il prit ça comme le signal qui fallait se défaire de ce bout de tissu. Il l’enleva en relevant les jambes vers sa tête. Quand ses genoux furent au niveau de son menton il s’extirpa complètement du bout de tissue le jetant nonchalamment sur le sol. Il aimait cette position il s’était d’ailleurs déjà fait jouir comme ça profitant du plaisir suscité par la tension qu’il ressentait sur l’ensemble de son pubis, testicules et anus.
Mais pas ce soir. Il se caressa rapidement les cuisses et les fesses, sèches car le matelas et le boxer avait tout absorbé, avant de rebaisser les jambes. Son penis tomba d’un bruit sec et humide sur le bas de sa taille. Il avait toujours eu le corps fin. Thomas était un garçon athlétique, élancé de 1m77 mais son corps était très fin. Seules ses épaules étaient un peu plus larges que le reste accentuant encore plus la finesse de son bassin. De même son ventre plat avait toujours mis en valeur ses fesses imberbes bombées par le sport.
En haut le rapport à proprement parlé commença, Thomas entendait des bruits humides ainsi que de très légers bruits de matelas qui grince.
Il dirigea donc une première main vers son entrejambe tout en mettant l’autre dans ses cheveux blonds coupé courts pour humidifier ses doigts de sueur.
Il décida que son propre film prono allait commencer et laissa donc tomber la prudence et les manières.
Il se caressa d’abord les couilles dont le fin duvet commençait à se recouvrir de sueur. Elles étaient molles, douces et pleine ce soir. Grosses comme des noix habituellement, elles lui semblaient ici, sous la lumière de la lune, encore plus volumineuses. Sans doute un effet d’optique créé par l’excitation. Il les malaxa avec plaisir, les tirant vers le bas pour que la sensation se retrouve aussi dans sa bite. Plusieurs fois il tira pour faire remonter sa queue et relâcha pour que cette dernière, luisante, retombe en un bruit mat, le gland encore couvert sous son nombril. Il finit par lâcher ses couilles pour placer sa main gauche juste en dessous. Il adorait caresser et enfoncer ses doigts à la base inférieure de sa bite, celle qui se trouve juste sous ses couilles. Il enfonça suffisamment fort ses doigts dans sa peau pour comprimer sa prostate qui se trouve juste derrière la base de sa queue. C’était tellement bon qu’il se senti partir. Instinctivement il amena son autre main sur son pubis et enfonça aussi cette zone mole qui le faisait chavirer. Son souffle était empli de plaisir, il faisait écho à celui de Dolph qui se faisait chevaucher au-dessus. Penny plus discrète gémissait à peine.
Alors que Thomas continuait d’enfoncer le point sous ses couilles avec l’index et le majeur il agrippa ces dernières avec son pouce redressant instantanément sa bite. Il pu l’admirer à la lueur de la lune tout en continuant d’enfoncer ses doigts dans les poils sur son pubis.
Il entendit les amoureux temporiser après que Penny eu beaucoup souffler, sans doute la position allait changer après que cette dernière eu un court orgasme.
Thomas relâcha tout et son gland cette fois retomba sur son nombril. Il comprit qu’il avait atteint son érection maximale. Sa bite avait toujours dénoté avec sa taille, il faut dire que Thomas se savait très bien membré. N’ayant jamais vraiment regardé de porno il ne su que tardivement qu’elle était la norme après avoir entendu des amis en parler. Il se mesura ce jour là avec sa règle de math dans les toilettes et il comprit que ses 21,5cm de long pour 4cm de large étaient un véritable monstre.
Il commença à entendre des claquements sourds au-dessus de lui et Dolph qui poussait les mêmes bruits que quand il soulevait des haltères en l’accompagnant à la salle de sport. C’était son tour de jouir en elle et il comptait bien s’y prendre de la manière dont il en avait envie.
Thomas replaça une de ses mains sous ses couilles en tirant dessus avec le pouce, dressant ainsi sa bite. De son autre main il la décalotta avec deux doigts révélant son gland trempé de précum. Il en profita pour le caresser, il étala tout ce sperme sur l’extrémité ultra-sensible de sa queue, il s’attarda beaucoup sur le frein ce qui eu pour effet de cambrer tout son corps de plaisir. Il continua le mouvement de va et vient sur son frein avant d’attraper à pleine main la peau de son prépuce et de branler uniquement l’extrémité de sa bite avec, seulement la frontière entre son gland et sa queue. Quand il sentit qu’il en pouvait plus il baissa d’un coup la main qui entourait sa bite enfonçant ainsi la zone agréable de son pubis tout en tirant sur son frein. Il répéta l’opération plusieurs fois tout en continuant à enfoncer son index et son majeur sous ses couilles pour stimuler la base de sa queue et sa prostate. Il sentait le point de non-retour arriver, son corps était en feu, il recroquevillait ses orteils, se contorsionnait et avait les tétons ultra sensibles.
Il entendit Dolph changer de position, il comprit au bruit que ça faisait qu’il ne prenait plus Penny en levrette mais qu’il s’était couché sur le dos de sa copine la baisant par derrière en remontant seulement son cul avant de pilonner avec force.
Thomas eu envie de reproduire la position. Il arrêta tout alors qu’il était à deux doigt de jouir et se mis sur le ventre, ce qui lui arracha un cri quand ses tétons sensibles frottèrent le matelas. Il cala son coussin sous son bassin, ce qui orienta sa bite vers ses jambes et repris le drap qu’il avait laissé de côté qu’il passa sous lui. La corde se trouvant en dessous contre son torse, il ramena l’autre extrémité dans son dos et tira dessus le plus fort possible. L’opération appuya très fortement, plus fort qu’avec ses doigts, la zone sous ses couilles mais aussi sur son anus qui s’ouvrait un peu. Il cria de plaisir et commença à se frotter comme un possédé sur son coussin qu’il serrait sous lui de son autre main.
Alors que Dolph accéléra le rythme poussant des bruits bestiaux, arrachant un autre orgasme à Penny, thomas tira de plus en plus fort sur sa corde improvisée, il enfonça de plus en plus fort le cousin sur son pubis, sa bite ramenée en arrière sur sa droite.
Tout un coup il entendit les premiers mots de la nuit, Dolph gémissait et dit d’une voix bestiale :
— Oh oui encore, putain c’est bon, je vais te remplir
Ensuite il hurla.
Thomas ne sut jamais si ce fut lui qui criait de plaisir, Dolph ou tous les deux. Ce qu’il sait c’est qu’alors que le sperme qu’il avait accumulés pendant sept jours remontait de ses couilles contractées en passant par le point comprimé par la corde jusqu’à l’autre point comprimé par le coussin avant de finir dans sa bite, au même moment les couilles de Dolph se vidaient elles aussi en Penny le faisant gémir et le forçant à faire des ultimes mouvements saccadés pour accentuer la descente de plaisir.
Thomas lui tira puis relâcha la corde six fois, pour accompagner les six giclés de sperme qui sortirent de son gland gonflé et qui se répandirent le long de sa jambe jusqu’à son pied droit, tartinant toute l’extrémité de sa bite. Son souffle retrouva peu à peu une cadence normale alors qu’il quitta sa position tout en déroulant la corde pour lui redonner la forme d’un drap.
Il se retrouva sur le dos, nu, alors qu’il entendait Dee aller rouvrir la fenêtre.
Il profita de la toute fin de la descente pour enfoncer encore une fois la base de queue côté pubis et grapiller les dernières pulsations de plaisir.
Il était totalement vulnérable, en nage, la bite en demi-molle qui retombe sur ses couilles vidées, du sperme qui recouvre la moitié de son lit mais heureux. Il profita quelques minutes de la sensation d’apaisement et de l’odeur agréable de foutre avant de tomber dans un sommeil profond.
Nei
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