Premier épisode
2 | Première sodomie
Il s'est passé 2 semaines depuis ma première rencontre avec Fabrice. Je crois que chaque jour depuis cette chaude soirée, j'ai repensé à sa queue dans ma bouche, au gout de son sperme sur ma langue.
Nous avons discuté encore et encore, puis nous avons trouvé une nouvelle date pour se rencontrer.
Cette fois-ci, je n'allais pas seulement le sucer. C'était décidé, je voulais sa bite dans mon cul!
Il est donc 22h00. Belle nuit d'été. Même endroit que d'habitude, j'attends mon chauffeur, un stress grandissant au fond de moi. Lorsque sa voiture arrive, je me sens nerveux et chaud à la fois. Sans aucune hésitation, je monte dans le véhicule.
"Salut Stéph'! Alors, moins stressé que la dernière fois?
- Coucou! Encore un peu, dis-je.
- On va au même endroit que la dernière fois? C'était plutôt tranquille."
Je lui répond en hochant la tête, je boucle ma ceinture et nous partons.
Après cinq minutes de route, je viens déjà glisser ma main par dessus le pantalon, contre son sexe. Fabrice tourne la tête vers moi et me lance :
"Hm... Tu m'as l'air bien chaud ce soir, toi!
- T'imagines pas!"
Je sens sa bite durcir. Alors, j'ouvre sa braguette et rentre ma main à l'intérieur. Je viens saisir ses couilles que je caresse.
"Je veux que tu me l'as mette dans le cul ce soir, lui dis-je tout en malaxant ses boules
- T'inquiètes pas. Tu vas d'abord me montrer encore une fois tes talents de suceur, puis tu m'offriras ton petit cul."
Nous arrivons dans le champs. Pas le temps de sortir de la voiture que Fabrice porte une main sur ma tête et la dirige vers son sexe.
"Suce-moi déjà ici!"
Il sort sa queue que je m'empresse de prendre dans la bouche. La gout m'avait manquait! Je lèche son gland, puis enfonce sa bite le plus profond possible. Une fois comme ça, je commence mes vas-et-viens. Je la sens grossir jusqu'à sa taille maximum. Mes mains caressent ses couilles tandis que ma langue lui lèche le gland. Parfois, je sens les mains de Fabrice venir appuyer sur ma tête. Alors, sa queue s'enfonce dans ma gorge. Lorsque je relève la tête, je me sers de toute la salive pour le branler.
"Je veux que tu m'encules, lui dis-je tout en le masturbant. Je veux sentir ta bite dans mon cul!
- Sors, je vais te prendre contre la voiture, me répond-t-il."
Je viens me placer devant la capot de la voiture. Une fois Fabrice devant moi, je prends sa queue dans ma main et laisse couler un filet de bave dessus. Je le branle doucement, et lui se rapproche de moi. Il m'attrape par les fesses, et colle son visage contre le miens.
"Alors comme ça tu veux que je te baise?"
Tout en continuant de branler sa queue plus dur que jamais, je hoche la tête en ouvrant légèrement la bouche et sors ma langue. Alors, Fabrice glisse ses mains sous mon pantalon, écarte mes fesses et viens caresser mon trou tout lisse. Il me tire vers lui, enfonce sa langue dans ma bouche, et je la suce entre mes lèvres.
Puis, d'un mouvement sec, il me retourne, me penche contre le capot, baisse mon pantalon et l'enlève des chevilles et me demande d'ouvrir mes jambes ; ce que je fais directement.
"Ton petit cul bombé est trop bandant putain!"
Il écarte mes fesses, et je sens sa langue entrer en contact avec mon trou. Il lèche autour, entre dedans, crache dessus puis me doigte. Un doigt, deux doigts... J'adore ça! Je suis tellement excité que je lui dis :
"Encule-moi maintenant s'il te plait!"
Je sens les mains de Fabrice m'écarter les fesses, puis son gland rentre en contact avec mon trou. Le voilà qui rentre en moi. J'imagine sa queue forçant mon anus... je suis fou d'excitation. Sa bite continue son chemin jusqu'à disparaitre entièrement en moi. Puis elle ressort lentement pour rentrer de nouveau. De plus en plus vite, plus en plus fort. La sensation est divine. Ma bite est dressée, si je la touche, je jouis.
"Ton cul est super serré! C'est trop bon! me dit Fabrice qui devient de plus en plus brutal avec moi.
- Plus fort s'il te plait...
- Tu veux que je te baise, c'est ça, hein?
- Baise-moi oui! Défonce-moi le cul!"
Alors, ses mains toujours sur mes fesses, il les écarte à fond, puis il vient me donner un coup de hanche si puissant que je viens m'écraser contre le capot. Une petite douleur nait dans mon cul, mais comparé au plaisir, je l'ignore totalement. Et il recommence, encore et encore. Des énormes coup de bassin qui me plaque contre la voiture. Je ne peux plus bouger.
Fabrice lève une jambe et pose son pied non loin de mes hanches, sur le capot. Et dans cette position, il m'encule encore plus profondément. Je sens sa bite entrer en moi et sortir, dilatant mon cul comme jamais.
"T'aimes ça, petite salope? lâche-t-il tout en me sodomisant comme un fou furieux.
- J'ad... j'adore..."
Sous l'excitation et le plaisir, j'arrive à peine à parler. Je suis soumis comme la chienne dont j'ai toujours rêvé être.
Il me baise comme cela pendant plusieurs minutes. Combien? Je l'ignore, j'ai perdu la notion du temps.
"Je vais bientôt gicler, fous-toi à genoux!"
Fabrice sort de mon cul, m'attrape par la gorge et me fais tomber à genoux devant lui. J'ai à peine le temps de comprendre ce qu'il m'arrive qu'il enfonce sa queue dans ma bouche. Elle est toute chaude. Je la lèche comme une glace, saisis ses couilles et la branle.
"Ouvre ta bouche de pute!"
Fabrice prend sa queue en main et gicle sur ma langue. Les jets inondent ma bouche. Je le regarde dans les yeux pendant qu'il jouit. Mon cul, lui, est en feu. Je peux sentir mon anus bien ouvert.
Une fois l'orgasme terminé, je ferme la bouche et avale le tout. Puis je l'ouvre de nouveau pour lui montrer qu'il ne reste plus rien.
"Hmmm, j'en veux encore, lui dis-je.
- Putain, c'était trop bon!
- Prochaine fois, tu gicles dans mon cul, ok?
- Avec plaisir"
Il approche un doigt de mon visage, essuie un peu de sperme sur ma joue et me le donne à sucer. Je le fais, et avale.
"Tu m'as défoncé le cul. C'était encore plus bon que ce que j'imaginais.
- Avec un boule pareil, c'est mérité."
Je lui souris.
Nous reprenons la route et papotons quelques minutes dans la voiture. Avant de sortir du véhicule, je passe une main sur ses couilles et lui dis :
"Prochaine fois, je grimpe sur toi, et je la sors pas de mon cul jusqu'à ce que tu ais giclé la dernière goute"
Fabrice me regarde. Je vois dans ses yeux l'excitation qui revient.
"Salope... me cherche pas ou bien je te baise maintenant une nouvelle fois."
Je sors de la voiture et lui fais un petit coucou de la main.
N‘hésitez pas m‘écrire mon mail si cela vous plait. La suite de mes aventures arrivent très prochainement ;)
Osah57
objsexahum@hotmail.com
Autres histoires de l'auteur :