Je venais de recevoir une invitation pour une partouze chez un pote. La maison est un peu reculée, en périphérie de Paris. Autrement dit, aucun problème pour baiser en faisant le max de bruit. Plus de 20 participants sont confirmés.
Je connais bien l'hôte, une vraie lope qui aime se faire défoncer à coup de queues. Il m'avait confirmé que le ratio des participants serait d'une majorité de passifs (ou de mecs a priori versa mais qui s'agenouillaient devant n'importe quelle queue) et d'une minorité d'actifs. Autrement dire, j'allais être vénéré par une horde de lopes. Le pied.
La soirée se déroule plutôt bien. On me suçait mes 17 cms, on me léchait les couilles, on me massait. J'enculais quelques mecs, mais je préférais nettement baiser la bouche jusqu'à ce que leur tête devienne toute rouge et qu'ils perdent leur haleine. En bon actif un peu domi, j'aime les humilier.
Au bout d’une heure d'action, j'étais assis sur le canapé, avec une petite lope qui essaie de me faire juter pour la deuxième fois avec sa langue. Elle fait bien son boulot, mais je veux me retenir pour continuer à profiter de la soirée.
Mon regard vagabonde sur les autres participants de la salle. C’est une véritable symphonie de gémissements et de râles. La majorité des soumis a moins de 40 ans, et les autres actifs ont plutôt mon âge, au milieu de la vingtaine et début de la trentaine.
À l'exception d'un actif. Un vrai daddy, milieu de la cinquantaine. Plutôt grand, velu, massif. Évidemment musclé, mais avec un peu d'embonpoint. Il tringle un petit minet qui couine à chaque coup de rein appuyé sur une table. Le pauvre, il a l'air de souffrir! Je ne voie pas la taille de son engin mais je l’imagine plutôt large vu les gémissements de la pute.
J'ai toujours été un peu exhib, et un peu voyeur. Et mater ce mâle qui ouvre le cul du soumis en deux m'excite beaucoup.
Je réalise d’un coup que le daron me fixe. Avec un sourire pervers, il se lèche les lèvres en me regardant. Je continue de me faire sucer par ma lope, donc j’ai un peu la tête ailleurs, mais j'aurai parié que le daron commence à redoubler d'efforts tout en me fixant. Son sourire s’élargit. Je maintiens son regard en lui rendant son sourire. C’est un sacré mec viril, et son minet à vraiment l’air de prendre son pied…
Le daron, en me fixant, porte ses doigts autour de sa bouche en faisant un "V" (comme celui de la victoire…ou du cunni) puis me pointe du doigt avec un grand sourire pervers.
Eh! Il veut s’occuper de mon cul? Je suis un peu troublé par ce geste. C’est moi qui casse des culs en deux, pas l’inverse! Je me re-concentre sur les talents de suceur du petit minet.
Deux minutes s'écoulent, et par curiosité, je recherche mon daddy du regard. Parti. Je suis un peu déçu, et finis par gentiment repousser le passif qui me suçait. Un deuxième mec me présente son cul, mais j’ai besoin d'un peu de repos.
L'hôte avait désigné l'étage de la maison et ses quelques chambres comme zone de relaxation. Cela ne voulait pas dire "Interdiction de baiser", mais plutôt "Baisez vos putes de manière intime!" Je trouve une chambre vide avec une salle de bain, et en profite pour prendre une douche chaude pour me relaxer.
Après la douche, je sors de la salle de bain pour retrouver, surprise, le lit occupé.
Le daron que j'avais croisé dans le salon se fait lécher par un minet, allongé sur le lit comme un pacha. Et pas n'importe comment, le blondinet commence par les mollets, en passant par les boules, la queue, pour remonter jusqu'aux aisselles. Autant dire, il le vénère comme un dieu.
L'homme me regarde, leva un sourcil et me dit, amusé:
"Ah, c'est toi? Je pensais qu'une autre petite pute allait sortir de la douche pour me faire plaisir. Mais il y a de la place pour deux, viens te mettre à côté de moi."
En disant cela, le daron se décale sur le lit, et tapote l'espace qu'il avait libéré pour moi, faisant signe de m'allonger à côté.
En soi, on avait quelques points communs: Tous les deux grands et actifs, plutôt virils. Mais il est plus poilu que moi, plus de bite, et ... plus monté que moi. Sa bite dépasse la mienne de quelques cms, aussi bien en longueur qu'en largeur. Même si ma queue est au maximum de mon érection, elle fait moins la fière...
Il suit mon regard et plaisante avec un rire gras:
"Alors, c'est avec ça que tu arrives à tringler des passifs? Étonnant."
Avec ses doigts, il donne une petite pichenette à ma bite.
"Eh! Ça fait mal!"
"Hahaha, évidemment que ça fait mal. Elle est toute fragile. Pas comme la mienne."
Ses doigts attrapent et enroulent sa bite, et il faut dire qu'une main est à peine suffisante pour faire le tour. Il glisse ses doigts plusieurs fois, révélant un énorme gland. Je suis hypnotisé. Et je dois bien baver, au vue de sa remarque:
"Haha, ferme ta bouche! Tu pourrais avaler une mouche...Ou une bite." Le daron me fait un clin d'œil.
Pendant ce temps, le blondinet continuait de lécher le corps du papa. Il se concentre maintenant sur les pieds de mon partenaire.
"Allez. J'ai quand même vu que tu étais un bon partenaire de sexe, à tringler le petit minet d'avant."
Il claque des doigts, attirant l'attention du blondinet. "Eh pute. Lèche la bite de mon ami. Il en a besoin."
Le blondinet s'exécute avec plaisir, ravi de repasser à de la viande fraîche. Il me suce en faisant jouer sa langue sur mon gland, en me faisant lâcher quelques gémissements. J'ai la chaleur de sa bouche d'un côté...et de l'autre, la chaleur de mon papa pervers. Qui me sourie de nouveau en me fixant, son sourire s'allongeant de secondes en secondes.
De ses mains, il commence à caresser mes tétons. Oups, c'est mon point faible, enfin, un de mes nombreux points faibles… Je gémis dès que je sens le contact de ses mains musclées, et ni une ni deux, il serre mes tétons pour me faire aller dans les aigus.
Je ferme les yeux pour mieux profiter de la sensation, et je ne suis pas surpris en les rouvrant de retrouver son sourire pervers.
"Alors mon petit pourceau, tu jouis de la bouche de ma pute? Ou tu jouis de mes doigts?"
Il serre un peu plus fort mes tétons, et mon gémissement parle de lui-même.
Il s'adresse au blondinet. "Toi, là. Retourne dans le salon, va sucer d'autres mecs."
Le minet enleve mon engin de sa bouche, et file. Je remarque avec surprise que son cul était rouge vif, marqué par des traces de main. Des fessées?
Mon attention retourne sur mon daron: d'une rapidité et flexibilité surprenantes, il s'installe sur moi, ses deux cuisses puissantes encadrent mon corps, son corps massif sur mon torse, sa bite lourde pointe vers mon visage.
Sous son poids, je me sens prisonnier. Mon papa pervers s'appuye sur moi, assez pour s'imposer, mais pas assez pour m'empêcher de respirer.
"Eh, qu'est-ce que tu fais là?" Je gigote pour me libérer, mais je sens ma bite remplie de sang se redresser, touchant ses fesses velues.
"Ce que je fais? Juste te procurer du plaisir mon pourceau."
Et il pince légèrement mes tétons. Instantanément, je couine comme une femelle. J'essaye de repousser (faiblement...) ses bras, mais il a bien plus de force que moi.
"Tss tss tss. Arrête. Abandonne. Tu es trop faible. Par rapport à moi, un mâle alpha, tu n'es qu'un beta."
Sur ces mots, il torture mes tétons encore plus fort. Je ressens un mélange de douleur et de plaisir, mais par dessus tout, de la honte d'être torturé par un homme qui aurait pu être mon père et me domine de tout son poids.
Je continue de gémir, mais j'arrête de me débattre, et j'observe un peu mieux mon tortionnaire. De mes mains, je commence à le caresser. Son ventre, ses pectoraux, ses bras, ses cuisses. Je sens son odeur de transpiration, sa peau moide, son corps en chair. Et évidemment, ses 20 cm qui reposent sur le haut de mon torse.
"Eh bien voilà. Tu acceptes ta place. Tu vois, petit, la bonne attitude, c'est la soumission aux vrais mâles. Admire mon corps. Admire ma queue."
Hypnotisé, j'oublie mes réflexes d'actif et je continue de le masser. Mes yeux reviennent sur sa queue lourde. Je l'interroge du regard.
"Vas-y, chiot. Attrape ma queue. Dévoue-toi à ma bite. Ne crains rien petit. Ta bouche est le fourreau naturel de ma queue."
Impossible de dire ce qu'il m'arrivait, mais j'ouvre la gueule timidement, et avale son gland. Je l'entends râler, je suis satisfait. Je dois bien faire mon boulot. Je tente d'utiliser une main pour m'aider, mais il l'a déplacée d'un geste sec.
"Ta gueule. Rien d'autre. Si tu ne me satisfais pas, je trouverai un autre chiot pour me décharger."
J’ai envie de l’obéir. J'avale progressivement son membre imposant, provoquant de nouveaux râles. Il me regarde le sucer, avec un grand sourire.
"Petite chienne, tu fais si bien ton travail. Qui l'aurais-cru? Hein? Tu le savais que tu étais une petite salope, mais tu le cachais, n'est-ce pas?"
"Mhh mhh."
"C'est ça. Tu ne peux pas parler. Ta bouche ne sert pas à communiquer. Juste à être souillée par des mâles aux couilles lourdes et pleines."
En prononcant ces mots, mon papa pervers pince mon nez. Surpris, j'essaye d'ouvrir la bouche pour prendre plus d'air, mais il en profite pour enfoncer sa queue dans toute sa longueur dans ma gueule. À ma grande surprise, et même également à sa propre surprise, j'encaisse le coup sans trop de difficulté. Super fier, je le fixe de manière soumise.
"Eh beh. Mais c'est que tu es fais pour ça, petite pute. Quel talent."
Et pendant cinq bonnes minutes, mon daron pervers lime ma gueule. Il alterne entre rythme intensif et un rythme plus lent, mais comme un champion, j'arrive à suivre la vitesse qu'il prenait.
Le mâle se retire brusquement de ma bouche, se leva et claque des doigts.
"À genoux."
Je suis encore bien sonné du limage de gueule, mais j'obéis. Je saute hors du lit, et m'agenouille en face de lui en maintenant le contact visuel. Je sens sa queue à 5cm de ma gueule, mais je continue de le fixer. Je sors timidement la langue.
"Tu as assez sucé pour un moment. Ferme les yeux."
Docile comme jamais je ne l'ai été, j'obtempère. Je ne sais pas ce qu'il mijote, mais je bande toujours dur comme un âne, l'excitation m'empêche de penser correctement.
Je l'entends se déplacer, mais j'ai l'impression qu'il reste à proximité.
"Sors plus ta langue. Bouffe-moi, salope."
Je viens de comprendre. Il me présente son cul! Mes réflexes d'actifs reprennent le dessus, j'adore manger des culs. Je plonge ma langue en avant, et sans surprise, je retrouve le goût habituel des fesses d'un mec. Le mélange de transpiration et d'odeur virile m'enivre. Ni une, ni deux, je pose mes mains sur ses fesses pour les écarter et me donner plus d'accès, et je plonge dans son trou.
"Hey...Tu...Tu te débrouilles pas mal...Mfff, vas-y. Continue..."
Ses mots m'encouragent. Je bouffe son cul comme si c'était mon dernier repas! Il gémit et râle. Je suis fier.
"Oh pu...tain! C'est bon ça hein?... Tu kiffes le cul à papa, hein?"
Je prends une bouffée d'air pour lui répondre.
"J'adore."
Et je recommence à lui travailler son trou. Je l'entends cracher sur sa main, et commencer à s'astiquer. La séance de rimming ne dure pas longtemps, quelques minutes. Je le sens haleter. Entre ma langue qui s'active sur son trou et lui qui se masturbe furieusement, cela ne m'étonne pas. J’adore lécher les culs de mes passifs, je sais que je suis plutôt doué.
D'un coup, il arrête de se masturber, se relève et s'assied sur le bord du lit.
"Viens à mes pieds."
Je me déplace à quatre pattes, car je sais très bien que si je m'étais relevé pour le rejoindre, j'aurai eu droit à une tannée. Je ne me reconnais vraiment pas, à être si docile, mais tout ce que je sais, c'est que je continue de bander comme un âne.
Je relève la tête, il me regarde avec un grand sourire. Son gland est très rouge, il doit être près de l'éjaculation.
"Tu as été particulièrement utile, petit chiot. Maintenant, tu as droit à ta récompense. Lèche mes boules."
Je m'exécute, en plaçant mon visage bien en-dessous de ses couilles pour maintenant le contact visuel. Il se masturbe très lentement, tout comme je le lèche très doucement. Je sens soudainement ses pieds se déplacer et atterrir sur ma queue. Il joue gentiment avec, me donne des petits coups mais qui ne me font pas dévier de ma tâche. Je me surprends à me frotter contre ses mollets et cuisses imposants.
Une minute s'écoule, il halète de plus en plus.
"Tu vas avoir la semance de ton suzerain. Le jus de ton bourreau. Tu le mérites?"
Je ne réponds pas, mais j'acquiesce en battant des yeux, occupé à lécher ses boules.
"Très bien...Ça vient! Mhh....Sale pute, tiens, salope, sale chienne, prend mon jus, prend tout, tu mérites que ça..."
Ses insultes m’excitent et me rendent dingue. Le daron se raidit, et tend ses 20cm sur mon visage. Je sens les jets venir et atterrir sur mon visage. Ils sont lourds, épais, ils sentent tous sa puissance. Un, deux, trois, quatre jets, je ne les compte plus. J'en ai dans les cheveux, sur mon front, mon nez, autour de mes yeux, sur mes lèvres. Je me sens comme une pute. Secrètement, j'adore. Je passe ma langue sur mes lèvres, et goûte son sperme salé. Il a un goût fort.
Je l'entends râler une dernière fois. Et éclater de rire.
"Tu verrais ta gueule en ce moment! T'es juste du sperme. Rien que du sperme."
Je rigole gentiment. "Un petit coup de main?"
"Après des coups de bite, je veux bien te donner un coup de main oui!" On rigole tous les deux.
Débarrassé de son jus à l'aide d'un linge qui traînait, je re-évalue mon daddy. Il est beau, baraqué, grand, viril. Son sourire inspire autant la confiance que la malice. Il pue le sexe.
On redescend ensemble de l'étage en papotant de tout et rien. Je le raccompagne, encore à poil, au vestiaire pour qu’il retrouve ses habits. Il sort son téléphone portable et me demande mon numéro. Après le lui avoir dicté, je jette un coup d’œil à la fiche de contact qu’il a créé: "Actif à initier".
Je souris, gêné mais excité. Il me jette un coup d’œil rempli de malice.
"Libre le week-end prochain?"
"Je peux m’arranger pour l’être..."
"Parfait."
Sans prévenir, il me donne une claque sur les fesses. Je suis surpris et gémis un peu. Ma queue sursaute d’excitation. Ce daddy me fait de l’effet comme jamais!
Le daron me fait un sourire style Colgate: "La prochaine fois, il faudra dire merci à chaque de mes fessées, fiston. Surtout avec un cul comme le tien, je vais me défouler dessus!"
Gêné, je lui réponds: "Oui…Monsieur. Merci, Monsieur".
Il joue un peu avec ma queue, me roule une pelle (qu’est-ce qu’il embrasse bien en plus!) et me murmure à l’oreille:
"Tu verras. Tu vas en redemander. Tu vas plus pouvoir passer de ton daddy."
Il s’éclipse sur ces derniers mots. L’hôte de la soirée m’interpelle, et je rejoins la suite de la partie de jambes en l’air. J’ai un peu enculé durant le reste de la soirée, mais je ne pensais qu’à une chose.
Revoir ce mâle.
J’espère que l’histoire vous aura bien excité. Dites-moi si vous avez eu des expériences du style!
Sam
Seffsam987@gmail.com
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