Salut à tous!
Il s'agit de la première fois où j'ai découvert mon côté versa, et à quel point j’adore pomper un mec comme un pacha. J'espère qu'elle vous chauffera bien!
Quelques mots d'introduction: l’histoire est véridique et s'est déroulée il y a quelques années. J'avais 20 ans et j'étudiais dans une grande ville pour la première fois. Physiquement, j'attire pas mal de mecs, avec mon 1m80, mon corps finement musclé, un caleçon rempli avec 17 cm devant, et un bon cul musclé derrière qui chauffe bien. Sur le torse et les jambes, j'ai un léger duvet, ce qui excite pas mal mes partenaires.
Sexuellement, je suis assez actif, dans les deux sens du terme. Et à 20 ans, j’avais un sacré rythme sexuel - c’est simple, j'étais chaud à peu près toutes les heures de la journée - et les applications habituelles m'aidaient à me vider. Quand je rentrais chez moi après les cours, hop, j'ouvrais mes applis, lisais mes messages, et je me mettais à la chasse. Je n'avais pas de mal à trouver chaussure à mon pied - ou une bouche bien chaude pour ma queue. Il y avait une majorité de mecs versatiles et passifs dans mon coin, et je pouvais recevoir, donc je donnais beaucoup de coups de rein.
J'avais commencé à coucher avec des gars relativement tôt, donc j'avais déjà de l'expérience, et je savais (ou je pensais que je savais!) ce que j'aimais: Me faire sucer la queue et lécher les boules (ne jamais les oublier, les gars!), et prendre des culs bien serrés avec des longs coups de butoirs après les avoir bien léchés et doigtés, même fessés. J’étais en gros un mec actif, un peu directif, sans être trop domi, et les mecs kiffaient ça. Les bonnes lopes, qui couinaient quand je prenais leurs chattes, c’était ma spécialité. J’avais rapidement plusieurs réguliers qui étaient constamment chauds.
Et honnêtement, je suis bien fier de ma queue, elle plaît à tout le monde. Je bande vite, et dur, et je garde ma barre de fer longtemps après avoir éjaculé. Sans le faire exprès, plusieurs partenaires prenaient cela comme une invitation à un "second round". Et ils n'avaient pas trop tort au fond…
Un jour comme les autres, j’étais pas mal chaud après une semaine d’examens et je chattais avec un mec un peu plus âgé, de 27 ans. On l’appellera Pierre. Il n’avait pas de photos de profil, mais il m’en a envoyée directement après avoir échangé quelques banalités. Il se disait plus actif comme moi, mais discret, et voulait juste se poser, prendre un apéro, se branler et se sucer mutuellement. Je rencontrais plus souvent des mecs uniquement passifs, mais Pierre avait l'air bien sympa, et beau gosse.
On s'était échangé quelques photos, sans se montrer nu, mais ni une ni deux, ma queue se réveillait. Un mec masculin, poilu, avec une bonne carrure et des belles cuisses - un détail qui me chauffe chez les mecs. Je filais prendre le métro le rejoindre chez lui, en m’imaginant un bon moment sympa.
Arrivé dans son immeuble, Pierre m’indique son étage via l’interphone et je grimpe deux à deux les marches. Il m’ouvre, et je n’étais pas déçu. Un beau mec de 1m90, avec une mâchoire carrée, une barbe entretenue, des cheveux courts bien coupés. Il portait un simple t-shirt, un short de gym, et des chaussettes blanches. Bref, j’étais déjà sous le charme.
On s’installe dans son salon, et il m’offre une bière. Il y en avait déjà plusieurs d’ouvertes, il m’expliquait qu’il avait aussi fini sa période d’examens et qu’il voulait se vider de son stress…ça me va.
On boit tranquillement nos bières et on parle un peu de nos vies. Rapidement, le sujet vire au sexe. On se ressemble a priori: deux mecs habitués à se faire sucer et à prendre des culs, fiers de leurs queues. Il commence à me parler de sa dernière rencontre, un petit minet de 18 ans qui l'a sucé pendant une heure entière. Clairement, l'entendre revivre son histoire, ça m'excite encore plus, je le regarde un peu avec un oeil fébrile en m'imaginant la scène.
"Une heure? Wow, c’est impressionnant. Je suis jaloux."
"Han, t’es jaloux parce que je me suis fait sucer une heure, ou parce que c’était pas toi qui me suçait pendant une heure haha?"
J’étais un peu interloqué. "…Bah parce qu’un mec t’a sucé pendant une heure. Je suce pas trop moi."
"Ha ouais? Pourtant, un beau mec comme toi, je te vois bien entre des cuisses à lécher des queues."
Je le regarde et fais une moue dubitative. Je lui ai dit que je ne suçais que très rarement. Mais secrètement, c’est pas tellement vrai. Je sais que je suce plutôt bien, au dire des mes partenaires. Et j’aime savoir que je leur procure du plaisir avec leurs bites en bouche. Mais je finis toujours par reprendre le contrôle de la situation et fais en sorte de les arroser de jus à la fin. Pas question que moi je me fasse arroser!
Pierre voit que notre petite conversation me chauffe pas mal, je commençais à avoir une érection qui se voyait, et il prend direct ma main et la met sur son paquet déjà tendu. C’est sacrément dur - et impressionnant! Il me regarde malaxer son entrejambe avec un regard bien vicieux et pervers, et un grand sourire. D’habitude, c’est moi qui prends les mains des autres pour les poser sur ma bite, mais là j’étais hypnotisé par son paquet. Il faut dire que son short de gym ne cachait pas grand-chose de sa queue. Et quelle queue! La masse que je touchais semblait aussi longue que large, et équipée de deux grosses boules que je roulais entre mes doigts.
Pierre commence à enlever son t-shirt. Je fais de même. Rapidement, on est en caleçons chaussettes, un détail qui me chauffe aussi, et on malaxe chacun le paquet de l’autre sur son canapé. Ça m’excite pas mal, je me dis que je vais passer un bon moment.
Il retire sa main de mon paquet et glisse sa main sur mon torse. Sans crier garde, Pierre pince d’un coup un de mes tétons. Je pousse un petit cri, qui se transforme en gémissement! Direct, je pense "Arf mec, c’était pas très masculin ce cri, reprends-toi", mais son sourire s’est élargi après mon cri.
"Alors, on est sensible des seins?"
"Faut croire, on me l’a jamais fait." Je devais rougir comme une tomate.
"Pourtant, ça a l’air de t’exciter, hein ma petite?"
Et de nouveau, il me pince fort mon téton. Et de nouveau, je gémis comme une lope en chaleur. C’est aussi la première fois qu’on parle de moi au féminin, mais j’étais trop excité pour protester. Sa main continuait à me pincer, et je continuais à gémir. J'étais vraiment surpris par cette nouvelle sensation.
Sous le coup de l’émotion, j’avais retiré sa main de son caleçon. Pierre arrête de s’amuser avec mes tétons, se lève et se met en face de moi.
"Enlève mon calbut."
C’est un ordre. J’étais toujours assis sur le canapé, pile à la hauteur de son entrejambe. Je le regarde dans les yeux, et fait lentement glisser son caleçon. J’ai du commencer à loucher, difficile de manquer ses 20 cm assortis de grosses couilles poilues qui penchaient dangereusement vers ma gorge.
"Allez, admire ma grosse bite de vrai mec. C’est pas tout les jours que tu dois en voir des comme ça?"
"…"
"T’as envie de la voir de plus près?"
"…ouais."
J’étais comme obnubilé par sa queue. Elle était plus grosse que la mienne, oui, mais surtout esthétiquement belle. Difficile de dire à quoi ressemble un beau pénis, mais la taille de son engin était en parfaite harmonie avec ses grosses boules, et une légère odeur de transpiration de mâle m’enivrait.
D’un coup sec derrière la nuque, Pierre me pousse le visage sur ses couilles. Je sens ses poils contre mon visage, mes lèvres contre ses boules massives, et je respire à fond son entrejambe. Je ne m'en rends pas tout de suite compte, mais je bande super dur. Je jette un rapide coup d'œil à Pierre: il me domine de son 1m90, et continue de me regarder avec son sourire pervers, ce qui me fait flancher un peu.
Je commence timidement à lécher ses testicules, une par une, en maintenant un contact visuel avec Pierre. Plusieurs partenaires me faisaient ça pour m’exciter à fond. Et c’était la première fois que j’étais - littéralement - sous les boules d’un mec. Pierre soupire d'aise tout en gardant une main derrière ma nuque. Je me sens impressionné par ce mec, un peu macho sur les bords, qui sait ce qu'il veut. Et évidemment, il veut une bonne fellation pour se décontracter.
"Elle est belle ma queue, hein? Tu sens bien l'odeur de mes couilles de mâle viril?"
Si je n'étais pas en train de prendre une de ses couilles dans ma bouche, n'importe qui aurait pu voir que je rougissais comme une vierge.
"Allez, assez joué avec mes boules. Suce ma grosse queue".
Pas besoin de dire plus que ces deux mots. J'engouffre ces 20cm dans ma bouche, comme je peux. En plus d'être longue, elle est large. Mais je me connais, je sais que je suis un bon suceur. J'alterne les coups de langue sur son gland, les gorges profondes, mes mains sur sa rampe et ses couilles. Et ça fait toujours bien son effet, je le cache pas, j’en suis fier! Pierre soupire de plus en plus d'aise, j'en profite pour me branler en même temps.
Après 15 bonnes minutes de fellation, je commence à sentir ma mâchoire se décrocher! Je ne suis pas habitué à cette taille. Je fais une pause, et il en profite pour se remettre sur le canapé. J'étais déjà pas loin de juter.
"Allez! À poil! Vire ton t-shirt et ton caleçon. Mais fais-le doucement, devant moi. Comme un show."
Je m'exécute, sans réfléchir, et fait bouger mes hanches, tout en glissant lentement mon sous-vêtement. Je sais que mon cul musclé attire les mecs, et je suis fier de l’entendre siffler d'admiration en voyant mon cul de près. "Et mince, je dois encore rougir". Mais au fond de moi, je sens que j'aime ça, sentir que je plais à un mâle...
"Merde, t'es sûr que tu es juste actif? Je te bourrerai bien le cul. Il irait bien avec ma bite non? Un gros cul et une grosse queue vont bien ensemble."
"...Non, non, je suis juste actif mec. C'est accès interdit là!"
J'essaie de me redresser, de reprendre ma fierté de mec, mais je me sens comme un con, tout nu au milieu de son salon, alors qu'il continue à se palucher en me matant. D'un côté, j'ai terriblement envie de recommencer à le sucer, à quatre pattes entre ses cuisses, mais de l'autre côté, j'ai aussi envie de me faire sucer et d’inverser les rôles.
Alors que j'allais lui demander de me faire une pipe, (Mec, reprends-toi!) Pierre m'ordonne:
"Mets toi à quatre pattes, entre mes cuisses. Lèche mes boules, je dois passer un appel."
Il a dit quoi? Je suis interloqué, je ne sais pas comment réagir. Je suis actif, merde! Pas un lèche-boules, encore moins pendant que le mec tape la discute avec un de ses potes au téléphone. Mais je regarde son magnifique engin, ses grosses couilles pendantes, et je plonge rapidement entre ses cuisses. Comme une bonne chienne. Je ne me reconnais plus!
"Bien, c'est un bon suceur ça. Allez, fais ton taff, mais reste discret, sinon t'as une baffe!"
J'hallucine. Il me menace de me mettre une baffe! "Mais il se prend pour qui?" Bon, c'est ce que je pense à ce moment, mais en même temps, je roulais déjà une de ces boules dans ma bouche avec ma langue, et je continuais à bander dur.
Pierre laisse sa tête en arrière et soupire, je me sens fier du bon boulot que je fais. Il se ressaissit, me sort un "Bon suceur" qui me fait sourire, prend son téléphone, et le porte à son oreille pour parler avec son pote.
Accro, je continue de lécher ces magnifiques boules, quand après une ou deux minutes, il relève ma tête en me tirant par les cheveux, passe ses jambes derrière ma nuque, et me présente sa bite, dressée toute fière. Je la gobe sans hésiter. Je me sens comme un vulgaire jouet sexuel, mais je sens ma bite si dure, c'est évident que je prends mon pied.
Et là, je me déchaîne sur sa bite. J'alterne entre gorges profondes rapides et lentes, léchage de gland, regards innocent et bien pervers. Je vois ça, il adore et il prend son pied. Il parle de moins en moins au téléphone, et tente de rester concentré. Je je suis bien convaincu de ne pas le laisser indifférent à mes talents de suceur! Après une dizaine de minutes, je l'entends dire:
"Bon allez mec, faut que je raccroche, la lope qui me pompe là va me faire juter. Ouais, t'inquiète, elle encaisse bien! Allez, je te laisse, ciao!".
Je m'immobilise deux secondes, et je lâche ses 20cm. Moi, une lope? Il parlait comme ça de moi au téléphone? Et avouait sans complexe se faire pomper comme un pacha? La situation continuait à m’exciter mais mon orgueil me forçait à me rebiffer.
Et vlam. J'ai droit à une baffe.
"Qui t'a dit d'arrêter? Reprends ma queue salope."
Ce que je fais sans rechigner, encore un peu choqué de la baffe. Mais secrètement je reprends mon travail avec du plaisir. Je remarquais que je continuais de bander, mais je ne me branlais plus: mes deux mains servaient à caresser les cuisses, les couilles et l’engin de Pierre. Pierre qui respire de plus en plus de manière saccadée. Je sens qu'il n'est pas loin.
D'un coup, il se lève, se met devant moi, et continue de se branler. J'ai une vue magnifique: ses couilles tombent quasiment sur mon visage au rythme de sa branlette. Je me branle d'une main, de l'autre je caresse ses cuisses musclées.
"Tu veux mon sperme, petite chienne?" Il met une main sur mon visage, pour bien le caler sous sa bite.
Je ne réponds pas, un peu honteux de prendre du plaisir en l’entendant parler de moi comme je le fais avec certaines de mes lopes. Mais j’ouvre légèrement ma bouche, en faisant sortir ma langue. Pas assez explicite pour lui.
"J'ai pas compris. Dis-moi que tu veux mon sperme."
"…Oui, je le veux."
"Oui, qui?"
"…Oui, maître."
Gloups. Encore heureux qu’aucune de mes lopes régulières ne me voyait complètement soumis à ce mec que je ne connaissais pas il y a une heure!
"C’est bien, petite lope."
On garde un contact visuel. Il halète de plus en plus, moi aussi. Il s’est bien rapproché de moi, à tel point qu’à chaque mouvement de masturbation, ces testicules touchent mon visage. C’est à la fois dégradant…et si excitant.
Et sans m'avertir, Pierre se crispe, grogne, et je sens un premier jet chaud atterrir sur mon front. Il est suivi par un deuxième sur mes cheveux, un troisième, un quatrième sur mon visage. J'arrête de compter après sept jets.
Essoufflé, Pierre recule et me sort un grand sourire style Colgate. Il regarde mon entrejambe, et me sort en s’esclaffant:
"Dis donc, c'est une flaque que tu m'as faite là!"
Surpris, je regarde mon ventre: j'avais joui partout en même temps que lui sans trop m’en rendre compte, et presque comme jamais. Je lui ai répondu par un sourire gêné, mais au fond de moi, j'étais sacrément heureux.
On s’essuie, on se rhabille un peu, on termine nos bières. Je me sens un peu gêné, il y a 10 minutes, je le pompais comme une salope assoiffée, alors qu’il finissait un appel téléphonique comme si de rien n’était. Il le remarque et me sort:
"C’était la première fois que tu te lâchais à fond avec un mec comme ça, comme une bonne lope?"
"Ouais…"
"Sois pas gêné. T’étais super en tout cas. Tu suces super bien".
Je souris, toujours un peu choqué de mon côté soumis que je venais de découvrir.
Pierre me regarde, et avec un grand sourire pervers, me propose:
"Moi, je pense que tu devrais un peu plus explorer. Tu voudrais pas recommencer, mais en plus avec le pote que j’avais au téléphone?"
La rencontre avec son pote à suivre.
P.S.: Je serai curieux de savoir ce que vous en avez pensé!
Sam
Seffsam987@gmail.com
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