1 | Premier en natation, premier en fellation
Salut les mecs,
J'ai publié ma première histoire il y a peu, dans laquelle je racontais comment j'étais passé d'actif directif à suceur de pasha à 20 ans après à ma rencontre avec mec…plutôt bandant. Je n'étais jamais le genre de mecs à me mettre à genoux face aux autres, mais plutôt à me positionner derrière les gars, parfait pour pilonner des petits culs avec ferveur.
Mais secrètement, de temps en temps, j'aime bien sentir une belle bite gonfler dans ma bouche. La raison remonte sûrement à une de mes expériences, quand j'avais tout juste 18 ans. J’ai modifié quelques détails pour garder un peu d’anonymat.
Pour rappel, je m'appelle Sam, plutôt grand avec mon 1m80, un peu musclé (merci la natation et le tennis!), avec un boxer toujours rempli, aussi bien devant avec un outil de 17 cm qui est toujours au garde à vous, que derrière avec un cul musclé. J'étais à l'époque au lycée dans une petite ville. Encore en première à 18 ans (redoublant!), je faisais parmi des plus "vieux", aussi bien au niveau de l'âge qu'au niveau de mon apparence, grâce à des poils qui dépassent de ma chemise, une petite barbe, et un corps de mec.
J'étais ouvertement gay depuis deux ans. J'ai toujours ignoré les commentaires des autres, et sans être le mec le plus populaire du lycée, on m'appréciait bien et j'avais une solide bande de potes. Mon homosexualité éveillait la curiosité de certains, et je recevais des questions curieuses comme la fameuse: "Mais Sam, tu fais la femme ou le mec au lit?". Quelques amis aimaient me charrier, mais rien de plus. Je savais que je n'étais pas le seul mec gay du lycée, d'autres mecs étaient bien maniérés et correspondaient au stéréotype du petit minet efféminé, mais ce n'était pas mon style. Je me fondais dans la masse, plutôt masculin, sans être le mec le plus populaire.
Je n'étais pas puceau - loin de là! J'aime baiser des bouches et pilonner des culs avec des mecs que je rencontrais sur des sites de rencontre, mais aucun de mon lycée...Jusqu'à une journée à la piscine.
Même si je n'étais pas une lumière en maths ou en sciences (à l'exception des langues, où j'étais doué...), j'étais fort en sport. Je nageais régulièrement depuis que j'étais gamin, et j'allais depuis quelques années dans un club de tennis. J'avais développé un corps musclé, et sans être un mannequin, j'étais fier de moi. Vous pouvez vous imaginer que les cours de natation étaient l'opportunité pour moi de montrer mes talents de nageur, mais aussi mon corps - et mon paquet bien rempli qui attirait l'œil de tout le monde, genres confondus.
Après une séance de natation, j'étais le premier à finir mes objectifs, et tandis que mes camarades continuaient de nager, je trottinais vers les vestiaires pour profiter de la tranquillité du lieu. Sûrement pour beaucoup d'entre vous, les vestiaires, c'est un véritable carburant pour alimenter les fantasmes. Tous ces mecs qui se baladent à poil, gonflés par la testostérone, qui se comparent la bite, se branlent un peu pour épater la galerie...et qui sont culs nuls. Un paradis.
Je laissais mon esprit divaguer en pensant aux fesses de mes camarades, quand Théo m'a rejoint. Théo, c'est un beau mec. 18 ans comme moi, 1m85, pas mal de muscles, châtain foncé, une petite boucle d'oreille, et surtout...un paquet impressionnant. Il devait cacher un sacré morceau de jambon, c'était sûrement le seul mec avec un engin au repos plus imposant que le mien. Même si je ne me considérais qu'actif, je me voyais bien prendre soin de sa bite à genoux. Je fantasmais un peu sur quelques mecs de mon lycée, mais Théo était le seul qui me faisait vraiment saliver.
Théo sourit en me voyant déjà dans les vestiaires: "Han, je serai jamais aussi rapide que le Sam!"
"Hey mec, tu sais, je peux pas être juste premier. Il me faut toujours un larbin pour être à mes chevilles." Je rigolais. C'était loin d'être un larbin le Théo, mais j'aimais le taquiner.
Théo ria: "Ouais ouais, je suis peut-être juste après toi en natation, mais dans d'autres domaines, t'es mon larbin." Et il met une main sur son paquet prédominant, en le serrant bien.
Gloups. Je ravalais ma salive. J'étais obnubilé par son maillot de bain. En plus, avec l'eau, il était collé à son corps, c'était difficile de ne pas loucher. Sans compter les gouttelettes d'eau qui glissaient le long de son torse, son sourire type Colgate, ses jambes musclées...
"Bah alors, on louche Sam?" Théo ria de plus fort, en gardant sa main sur son paquet.
Gêné, je bredouillais "Mouais...Elle est pas si grosse que ça...". Mais je ne croyais même pas à ce que je disais. Comme tout le monde, Théo savait que j'étais gay, et il aimait épater la galerie. On me faisait souvent le coup du "Hey Sam, mate ma grosse bite!" aux vestiaires, mais là Théo avait l’air bien sérieux.
Je me déplaçais vers mon casier, en espérant que mon érection n'était pas trop voyante (bien sûr que si elle l'était), histoire de cacher mon trouble. Hors de question que des mecs hétéros de mon lycée devinaient que je pensais à coucher avec eux. Mais je vis du coin de l'œil que mon tortionnaire/fantasme du moment se rapprochait de moi.
À moins d'un pas de moi, Théo baissa sa voix et me dit sensuellement: "Allez, ça restera entre nous. Regarde-la. Je sais que tu en crèves d'envie".
Je détournais le regard et déglutis. Il venait de baisser son maillot de bain, qui, disons-le, ne cachait pas grand-chose de base. Mais sa queue! Quelle queue! Elle était digne d'un acteur porno: il ne bandait pas entièrement qu'elle devait déjà faire 17cm, bien large, avec une belle paire de couilles bien gonflées. Et un gland rose qui ne demandait qu'à être léché. Je sentais mes jambes fléchir, mais il fallait que je me reprenne. Pas question de passer pour le pompeur de queues du lycée (quoique...).
"...Non mais mec...Je...Remballe...remballe-t-ton maillot là. Je suis gay, m-mais...mais pas une lope!" Je parvenais à peine à sortir une phrase complète. Je voulais juste le sucer pour être honnête.
Théo me fit un clin d'œil, réajusta son maillot de bain, et me regarda droit dans les yeux "Toi, mon p'tit mec, tu seras à genoux devant moi un de ces quatre". Et il se dirigea vers son casier, comme si de rien n'était.
D'un coup, nos camarades de classe déambulaient dans les vestiaires, et se dirigeaient vers leurs casiers respectifs. Personne ne se doutait de rien, tout le monde bavardait, se déshabillait...Théo retrouvait ses potes, et filait à la douche. Je retrouvais les miens, mais heureusement, mes potes ne captaient pas que je bandais. À vrai dire, tout le monde se touchait la queue durant ces moments, et c’était courant de voir des érections.
Pendant ma douche, je repassais dans mon esprit le tête-à-tête avec Théo. Je me revois, tremblant devant ce 1m85 de testostérone, avec un sourire pervers. J'avais essayé de maintenir mon statut de mec ouvertement gay, passant pour un hétéro masculin normal, mais sans grand succès.
Plusieurs semaines ont passé, sans incident grave. Je n'avais pas eu de contact avec Théo depuis cette journée à la piscine, mais dès que je le revoyais dans les couloirs du lycée, à l'aide de quelques flashbacks, je ne pouvais pas m'empêcher de sentir ma queue bander dans mon caleçon. La vie d’ado, toujours au garde à vous.
Un jour après les cours, alors que je m'apprêtai à rentrer chez moi, une voix familière m'interpella dans la rue:
"Hey mec, ça va?" me dit Théo avec un grand sourire.
"Heu...Ouais, salut Théo, tranquille et toi?" Je ne m'attendais pas à parler avec mon fantasme de la piscine, surtout qu'il devait prendre le chemin opposé pour rentrer chez lui.
"Ouais nickel. Dis, tu es doué en langues toi, non? Tu pourrais pas m'aider un peu pour l'examen d'anglais? Je galère et mes parents sont sur mon dos là. Je dois gérer pour le prochain test."
"...Heu ouais, pas de soucis."
"Cool! On dit ce weekend? J'ai la maison pour moi tout seul, on sera tranquille" me glisse Théo, en ajoutant un clin d'oeil.
Je ravalais ma salive. C'est moi ou Théo et sa bite de 20cm m'offraient une opportunité de passer un après-midi entier avec lui, dans une maison vide, en me faisant un sourire légèrement vicieux? Adjugé vendu.
"…Ouais, cool. Ça marche! Va pour dimanche aprèm."
"Super mec. On va vraiment s'amuser - les langues, c'est important."
Oh que oui. Surtout sur un gland ou une paire de couilles.
On se retrouve dimanche vers 15h. C'est déjà le printemps, je porte un short et un t-shirt qui montrent bien ma carrure...et mon fessier ferme. Je sonne la porte. J'étais déjà super excité, et je jouais dans ma tête les différents scénarios: Théo allait-il m'ouvrir la porte à poil? Est-ce qu'il reparlera de l'épisode de la piscine? Est-ce qu'il veut juste se moquer de moi et me mener en bateau? Aucune idée, je priais juste pour que mes fantasmes deviennent réalité: sucer ce beau gosse jusqu'à jouissance.
Théo ouvre la porte avec un grand sourire. "Sam! Allez, entre. Bienvenue chez moi."
Je le suivais, mais je mentirais si je vous disais que j'observai l'intérieur de sa maison. Tout ce qui m'intéressait, c'était le short de sport que Théo portait. Et un certain gonflement au niveau de l'entrejambe. Je me léchai les lèvres.
"...Et là, c'est ma chambre. Pose tes affaires sur le bureau, je vais chercher une chaise."
Je me retrouvai sans trop réfléchir dans la chambre de mon fantasme. Là où il devait passer son temps à branler ses 20cm, tirer sur ses couilles remplies, et même baiser. Autant dire que cela m'excitait. Au moment où je remettais en place ma queue dans mon short, Théo revenait avec une chaise.
Et c'était parti pour 1h d'exercices d'anglais. Je ne m'attendais pas à une partie de jambes en l'air directement après avoir franchi le seuil de sa porte, mais quand même. Je m’ennuyais un peu là. Je m'appliquai quand même à revenir sur les bases, et Théo se concentrait pour faire des efforts. En oubliant mes pulsions sexuelles, c'était un moment productif et studieux. Jusqu'à ce que Théo bailla d'un coup, recula sa chaise, et s'étira.
"Bon, assez bossé. On fait une pause. Tu veux faire quoi?" Théo me demanda.
Te pomper jusqu'à ce que j'aspire ton âme par ta queue? Non, c'était trop direct. Mais je crevais de lui sortir un truc du genre.
"Tu fais quoi pour t’amuser?"
"Beh, comme tout le monde. Jeux-vidéos, bière, je me fais pomper, je fume…" énumérait Théo sans sourciller, en plantant son regard dans le mien.
"…Ah ouais c’est s-sûr…C’est cool ça."
"Ouais. Des fois les 4 en même temps haha. Et toi, tu te fais pomper, nan? Il paraît que les mecs sucent mieux que les filles, c’est vrai ça?"
Je respirai un peu. On dirait que Théo était parti sur une discussion entre deux potes qui comparaient leurs expériences. J’étais moins intimidé, c’était plus mon élément. J’aime impressionner les autres mecs par mon aisance en tant que gay.
"Ça mec, je peux pas te le confirmer haha, je me fais sucer que par des mecs, je joue que pour une équipe. Mais les mecs qui me sucent, ouais c’est le pied."
"Ah ouais? Dis-moi plus!" Je voyais les yeux de Théo briller d’excitation.
"Bah, ils lèchent bien le gland, ils prennent les boules en bouche, ils te branlent en même temps, ils ont pas peur de tout prendre en bouche…je te dis, c’est génial!"
"Han ouais? Et toi… Tu pompes?"
"Nan, c’est pas trop mon truc. Je défonce des culs moi, je me mets pas à genoux ou à quatre pattes devant d’autres mecs."
"Ah ouais? Je pensais que t’étais plutôt suceur et que sucé."
"Et bah nan mec! Juste sucé."
"…T’es sûr? Tu fais le mec là mais à la piscine il y a quelques semaines, tu bavais tellement devant ma queue mec!" Théo se mit à éclater de rire.
Merde. J’étais cramé. Je voyais déjà Théo raconter l’épisode au lycée, mes potes de classe se moquer de moi, me traiter de suceur de queues au lycée. Il me restait une année avant le bac, j’allais galérer…mais en même temps, je repensais à la queue de Théo, à son corps musclé, son extra dose de mec viril…
"Allez, t’inquiète je te charrie Sam. Tu sais, je trouve cool que tu sois le seul mec gay qui s’assume au lycée…"
Mais il me faisait des montagnes russes avec mes émotions le salaud! D’un coup, c’était une conversation normale entre deux potes, dix secondes après, il se moquait de moi.
"…mais dommage que t’assumes pas tes envies à 100%."
Théo joignit le geste à la parole et serra ses 20cm de chair tendue dans son caleçon en écartant ses jambes. Le même geste qu’aux vestiaires. Sauf qu’il avait l’air de bander à fond.
Là, il y a eu un battement. C’était la porte ouverte pour me lâcher, une invitation pour le pomper jusqu’au jus. C’était la première fois que j’avais autant envie de sucer un mec, mais même si c’était pas ma première pipe, je n’avais pas trop d’expérience, et ça me faisait hésiter.
Et puis, est-ce que Théo allait crier sur les toits que je suçais de la queue? Pff j’étais déjà ouvertement gay. Mais j’avais quand même un statut de mec sportif, un peu populaire, plutôt viril. Je risquais de me retrouver isolé et humilié.
Théo me fit un clin d’œil, un léger sourire sur les lèvres. Merde, fallait que je me décide maintenant! Je jetais un coup d’œil à son short de gym. C’était un monstre qu’il cachait…Je savais ce que je voulais faire au fond de moi.
En maintenant le contact visuel avec Théo, je me glissa de ma chaise jusqu’au sol, me mis à genoux devant lui entre ses jambes musclées, et avec hésitation, je posa ma main sur sa queue.
Direct, Théo sourit, vainqueur: "Bah voilà. Je savais que tu allais te laisser aller. Maintenant, commence par me branler."
À vrai dire, je le faisais déjà un peu. Je pouvais tout juste faire le tour de sa queue avec une main, mais j’arrivais à serrer mes doigts autour de son engin. C’était génial. Je n’avais jamais vu ou touché une aussi grosse bite. Le fait que ce soit celle d’un camarade de lycée était encore plus excitant…
Théo soupira d’aise. J’étais content. Fier de lui procurer du plaisir, heureux d'avoir une tour de chair entre les doigts. Je fixais sa queue avec envie, chaque mouvement que je faisais provoquait du plaisir au mec le plus masculin du lycée. Je voulais plus que le branler à travers son short, et je regardais vite fait mon entrejambe: il y avait aussi une sacré tente dans mon short!
Théo a dû apercevoir mon regard, et a rigolé: "Bah alors, petite lope, ça t'excite de branler le mec le plus gaulé du lycée?".
Je ne dis rien, mais pas besoin de réponse. Le terme de lope ne me collait pas physiquement, mais mentalement…c’était autre chose.
Sans dire un mot, Théo souleva son bassin de la chaise, et enleva son short. Comme je l'imaginais, il était en mode commando, sans sous-vêtements. Je respirais un grand coup: l'odeur était agréable, masculine, avec un peu de transpiration mais qui enivre...
J'ai du mettre trop de temps à loucher sur la tour de 20cm qui s'érigeait devant moi, car Théo m'a sorti:
"Alors, t'es amoureuse de ma grosse queue? Vas-y, goûte-là, ce sera notre secret."
Je n'avais pas tiqué à l'emploi du genre féminin, mais je m'en fichais. J'étais après tout à genoux, devant le mec le plus masculin et bandant du lycée, que je venais de masturber. Autant aller jusqu'au bout.
Ce n'était pas ma première fellation, mais la première avec un si gros morceau. Je commençais donc tranquillement par lécher la queue de Théo, en jouant avec le gland et ses grosses couilles qui pendaient. Il soupirait d'aise, mais j'en voulais plus, et j'ouvris la bouche en grand pour gober autant que ce que je pouvais.
Théo a du être très surpris, il gémisa d'aise (en faisant un bruit pas très viril, ce qui m'amusa) et étira ses jambes.
"Ohhhh, mec...Tu fais ça trop bien. Tu as appris ça où?"
J'avais une bonne partie de sa queue dans ma bouche, donc vous imaginez que je ne pouvais pas répondre. Et j'étais d'ailleurs trop enivré par sa queue pour m'arrêter et lui donner une réponse.
Il faut dire que je me donnais à fond, en essayant de copier ce que les mecs faisaient à mes 17cm: caresser les couilles, les cuisses musclées et poilues de Théo, branler sa queue au rythme de mes mouvements de succion, utiliser ma langue pour jouer avec son gland...je m'étais même risqué à jouer avec ses tétons, ce qui m'avait valu quelques gémissements supplémentaires.
Après 10 bonnes minutes de pompage en règle, je sentais le corps de Théo se contracter. Il continuait de gémir, les yeux fermés, la tête renversée. J'étais fier de moi, alors que d'habitude, c'était moi qui me faisait pomper.
D'un coup, Théo s'est levé, essoufflé et le visage rouge. Je devais être dans le même état.
"Viens sur le lit."
Chef, oui chef.
On se déshabilla tous les deux, il s'allongea sur le dos, et je me mis directement entre ses cuisses. On commençait un peu à transpirer, et être si proche de son entrejambe me rendait dingue.
Je le fixai du regard en lui alternant proprement bouffage des couilles et léchage de la bite, comme on me le fait d’habitude. Il fermait les yeux la plupart du temps, mais quand il les rouvrait, je le voyais très bien se demander si le paradis ne consistait pas juste à se faire pomper par un mec.
Je profitais au maximum de sa bite, j’arrivais maintenant à prendre plus des trois quarts de sa queue dans ma bouche, ce qui lui causait des gémissements de plus en plus fort.
"Oh putain mec. Une fille m’a jamais pompé comme ça, c’est le pied," Théo murmura "Je…vais pas tarder mec…"
Je devais le pomper depuis vingt minutes, mais même si je voulais continuer, je sentais ma mâchoire se décrocher. Je décidai d’utiliser un dernier tour de mon sac, et sans le prévenir, je passais de ses boules à son trou. Poilu et serré, il me changeait des mecs imberbes. Et pour le mieux.
Théo se rebella mais ma langue titillait déjà son orifice.
"Mec, tu fais qu-oaaah. Wooow. Oh. PU-TAIN".
Je ne pouvais plus maintenir mon regard, mais vu ses tremblements et gémissements, je me disais que j’avais gardé le meilleur pour la fin.
De ma main gauche, je soulevais ses fesses, de ma main droite, je continuais de le branler. Ma salive faisait usage de lubrifiant, et je sentais que Théo n’allait pas tenir longtemps. C’était juste une question de secondes!
Sans prévenir, j’arrêtais mon traitement spécial, et me concentrai sur ses 20cm avec mes deux mains. Je ne savais pas ce qui était le plus rouge, son gland ou son visage…
Théo gémis, et m’annonçait qu’il allait venir. Son corps se contractait. C’était l’heure!
J’étais content, je me retrouvais maître de la situation, maître de son orgasme. Je me suis jeté sur sa bite, je l’avala et sentis de grosses giclées atterrir sur ma langue. Et je profitais en même temps de son orgasme pour enfoncer un doigt dans son cul que j’avais légèrement ouvert!
Son éjaculation était sacrément puissante, j’ai failli m’étouffer avec ses giclées, mais je voulais à tout prix maintenir le contrôle. J’avais beau pomper mon fantasme entre ses jambes, je voulais garder un minimum de dignité, même si cela voulait dire avaler son jus…
Théo continuait de gémir, mais il était épuisé et vidé. J’ai retiré mon doigt de son cul, je ne suis même pas sûr de l’avoir entendu protester. Sa queue ramollissait dans ma bouche, je me suis donc relevé et je l’ai dominé du regard, en lui souriant.
"Alors, j’assume mes envies ou pas?" Je lui lançai d’un air narquois.
Théo, l’air épuisé comme s’il avait couru un marathon, me regardait, leva son pouce vers le haut, et réponda "Respect mec…tu assures."
Il se leva à son tour, et montra ma queue du doigt. Je bandais toujours dur.
"Bah dis donc! T’es toujours chaud mon lapin. T’as bien kiffé!" Je retrouvais le Théo taquin et pervers.
Joignant le geste à la parole, il effleura ma queue. Je crois que cela devait être la première fois qu’il touchait un autre sexe d’un mec vu un léger mouvement d’hésitation. Mes 17cm pointaient fièrement vers le ciel.
À ce contact, il y avait soudainement un autre moment de battement. Comme quand il avait suggéré que je n’assumais pas mes envies. Il regardait avec envie et appréhension ma queue. Avec sa main, il commençait à légèrement me masturber et à jouer avec mes couilles en les faisant rouler entre ses doigts.
Je souris à grandes dents, et caressa son torse. J’avais toujours le contrôle de la situation au final!
Théo arrêta de fixer ma queue, me regarda de nouveau avec hésitation. Mais je n’ai pas hésité: de mes deux mains, j’ai appuyé sur ses épaules pour lui faire comprendre que c’était à son tour de me sucer.
Tout timide, il se laissa pourtant faire et se mit à genoux, pile devant ma queue qu’il fixait. Avant de prendre ma queue entre ses mains, il releva ses yeux, et me dit: "…Ça reste entre nous?"
"Si tu suces bien, ouais…peut-être". Je profitais de ce moment. Intérieurement, je jubilais sadiquement.
"Connard!"
On éclata tous les deux de rire. Il mit sa main sur ma queue, sortit sa langue, et commença sa première fellation. J’étais instantanément parcouru d’un frisson, bandant de plus belle. Il allait prendre cher pour m’avoir torturé depuis notre épisode à la piscine.
La partie 2 à suivre.
N’hésitez pas à me dire si vous avez aimé!
Sam
Seffsam987@gmail.com
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