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10 | Une Journée au sexshop
Depuis que j'étais célibataire, j'avais l'habitude d'aller au sexshop, le carré blanc à Lille (sexshop fermé depuis), pour me vider les couilles. Alors, vous imaginez bien que lorsque je suis devenu presque exclusivement passif, un cul avide de queues, j'y suis allé régulièrement pour que des mecs puissent se vider les burnes dans mon cul.
En plus de vendre tout ce qu'un sexshop pouvait vendre, nous pouvions visionner une vidéo porno choisie dans leur magasin. Pour 8 €, nous avions accès aux cabines individuelles qui se situaient dans l'arrière boutique derrière un lourd rideau de velours bleu royal, si mes souvenirs sont bons. Il y avait, en plus des cabines individuelles, un cabine couple derrière une grande baie vitrée et une salle commune dans laquelle se trouvait des canapés et dans laquelle un film porno hétéro était projeté. Les cabines étaient réparties de parts et d'autres d'un long couloir tamisé où se trouvait un petit renforcement donnant sur le panneau ajouré d'un des rayons du magasin. J'avais l'habitude de m'y mettre afin de regarder les clients qui y entraient.
J'ai choisi de vous raconter le jour où j'ai décidé d'y passer une journée entière après avoir été un cul mis à dispo chez Etienne et Matthieu (Chapitre 9). Je voulais revivre le fait d'être un cul utilisable pendant une journée.
Je m'y rend dès l'ouverture, 10h, après m'être longuement douché. Je suis habillé en jogging noir sans rien dessous si ce n'est un jockstrap d'un rouge très vif, casquette noire vissée sur la tète et sac à dos contenant le nécessaire pour me rafraîchir, gel, poppers et de quoi manger et boire.
Arrivé devant le sexshop, je pousse la porte, déjà bien excité à l'idée de m'en prendre plein le cul. Le gérant et la vendeuse me saluent. Ils commençaient à bien me connaître et m'appelaient par mon prénom. Je me dirige direct vers le rayon film porno gay qui se trouvait au fond à gauche de la boutique pour me choisir un bon porno à visionner.
En quête de la vidéo idéale, je passe en revue chacune des pochettes. Non loin du rayon, se trouvait celui des pornos hétéro où un mec d'une quarantaine d'année maté, à sa manière, les vidéos qui lui étaient proposés. Il n'était pas trop mal, plutôt bien bâti, cheveux bruns courts. Il portait un jean classique et une veste en cuir.
Je n'ai évidemment pas pu m'empêcher de jouer les provocateurs, d'autant plus qu'il faisait tout son possible pour m'ignorer. Je descends donc mon jogging jusqu'à mi-fesses et je m'approche au plus prêt de lui afin qu'il me remarque. Il tourne la tête, je le salue et lui présente mon dos puis me penche comme pour récupérer une vidéo au bas du rayon. Je reste ainsi durant un petit moment avant de sentir une main frôler le haut de mes fesses emprisonné entre l'élastique de mon jogging et de mon jockstrap. Je me relève et me retourne. Un mec d'une trentaine d'années se tenait derrière moi en arborant un sourire éclatant. Il était très bel homme, un bon mètre quatre-vingt, châtain clair et des yeux bleus à tomber. L'autre mec était toujours là, à faire mine de ne pas regarder. Je choisis un film, "Le Coursier" de Cadinot, je les regarde et leur fais un clin d'œil avant de me diriger à la caisse du magasin afin de prendre une cabine. Je repasse devant eux en baissant un peu plus mon jogging avant de m'engouffrer dans l'arrière boutique.
Je rentre dans ma cabine où le film commence. Je me déshabille en gardant mon jockstrap, ma casquette et mes baskets. Je sniffe un grand coup mon poppers que je range dans l'élastique de mon jockstrap, puis je sors. J'arpente le couloir, vêtu ainsi, en matant les mecs se branler dans leur cabine.
Certains yeux se braquent sur moi et j'aperçois le mec d'une trentaine d'années traverser le lourd rideau de velours bleu, avec une plaque à la main correspondant à sa cabine. Il me capte direct et se dirige vers moi en me pelotant les fesses. Il m'embrasse tendrement. Je ne le repousse pas, même si je suis là uniquement pour mon cul. Il me caresse le cul tout en aventurant l'un de ses doigts sur mon trou. J'ai super envie de sa queue que je sens gonfler dans son jean. Je lui défait la ceinture et dégrafe les boutons de son jean afin de libérer sa queue. Je glisse ma main dans son boxer et enserre sa queue. Elle est énorme. Il m'excite en me malaxant les fesses et en me titillant la rondelle. Il est super beau et embrasse divinement bien. Je me laisse faire et le branle lentement. Il remonte ses mains en parcourant ma colonne vertébrale jusqu'à mes épaules afin d'exercer une légère pression vers le bas, m'obligeant à m'agenouiller devant sa grosse queue. Visiblement, il veut que je le suce. Sans hésitation, malgré mon manque d'intérêt pour la fellation, je prends cette belle queue d'un très bon 20 cm en bouche, là, en plein milieu du couloir où deux ou trois s'étaient amassés pour jouir du spectacle. Je fais glisser ma bouche d'avant en arrière sur sa belle queue en lui palpant ses bonnes fesses rebondies. Lui avait posé l'une de ses mains à l'arrière de ma tête comme pour m'inciter à continuer. Certains mecs se paluchent en me regardant lui sucer la bite. Je la sors de ma bouche pour lui lécher le gland qui laisse plusieurs gouttes de mouille couler. Je les récupère avec ma langue puis, chaud pour me faire défoncer, je me redresse, me plaque contre le mur et lui tends mon cul. J'entends alors un mec dire que j'avais un superbe cul et invita le mec que j'avais sucé à m'enculer en lui précisant que je n'attendais que ça. Celui-ci s'approche de moi et place sa queue entre mes fesses, me prend pas mes hanches et la fait glisser doucement. Je sens une main étrangère sur mes fesses et j'entends mon bel homme d'une trentaine d'années préciser qu'il allait me baiser mais que personne ne pouvait toucher. Sur ces mots, la main quitte mon cul. J'entends mon baiseur cracher sur sa bite qu'il frotte désormais sur mon trou puis tenter de forcer l'entrée. Je me dis que j'aurai dû prendre mon gel également en plus de mon poppers que je porte à mon nez. Mais ce mec me fait un tel effet que je veux simplement qu'il se serve de moi pour son seul plaisir. Il commence à s'enfoncer doucement en moi, avant de sortir sa queue lentement pour cracher un gros mollard sur son gland et ma rondelle, pour me la remettre aussitôt. J'adore son petit jeu d'actif. Sa bite est désormais entièrement dans mon cul qu'il baise en continu devant notre petit public. Du coin de l'oeil, j'aperçois le mec d'une quarantaine d'années que j'avais repéré au rayon porno hétéro, traverser à son tour le rideau de velours que séparait le magasin des cabines. Il me regarde, mine de rien, en train de me faire défoncer le cul devant deux ou trois mecs. Le mec d'une trentaine d'années continue à me péter le cul, encouragé pas les regards lubriques des autres mecs, puis il me féconde le cul comme le mâle qu'il était. Il reste un peu au fond de mon cul avant de déculer, remonter son jean et partir.
L'un des voyeurs s'agenouille pour me bouffer le cul et, sans doute, goûter au jus de mon beau baiseur. Putain, il fait ça bien. Je sniffe mon poppers tout en regardant le mec d'une quarantaine d'années qui se caresse le paquet et je lui fait signe de s'approcher. Ce qu'il fait.
"A ton tour. Baise moi le cul."
Mon bouffeur de cul s'arrête et se lève comme pour l'inviter à me défoncer. Le mec d'une quarantaine d'années se place derrière moi et me caresse timidement les fesses. Je l'entend retirer la boucle de sa ceinture et ouvrir sa braguette. Je sens sa queue bien raide se poser sur mes fesses. Il la positionne devant mon trou luisant de foutre, crache sur son gland et m'enfonce sa queue jusqu'à la garde. Il s'agrippe à mes hanches et comme son prédécesseur, il m'encule sans s'arrêter jusqu'à jouir en moi. Puis comme le précédent, il part aussi vite qu'il était venu.
Mon bouffeur de cul, quant à lui, a très rapidement repris son nettoyage. Je le laisse déguster mon trou un bon moment avant de regagner ma cabine. Le film était fini mais j'avais encore envie de me faire mettre par des inconnus. En regardant l'heure sur mon portable, je me suis rendu compte qu'il était déjà près de midi. Je n'ai même pas vu l'heure passer. Je me rhabille sommairement et retourne à la caisse pour leur demander de remettre le film depuis le début. De retour dans ma cabine, je retire à nouveau mon jogging et grignote un morceau.
J'y resors après m'être, cette fois-ci, lubrifier le trou. Je repars donc en chasse, en baskets, jockstrap et casquette avec le cul rempli et lubrifié.
La porte d'une des cabines est entrouverte. Un mec de mon âge se branle, entièrement nu, devant un porno hétéro. Je le mate discrètement. Il a bien la vingtaine. Il est frisé, blond et semble être grand, assis sur la petite banquette rouge. Il est absorbé par son porno et paluche sa grosse queue (plus de 23 cm, j'en mettrai ma main à couper). Sa bite me fait envie. Je me retourne et pousse doucement la porte à l'aide de mon cul afin qu'il ne voit que lui. Je reste ainsi, le cul tendu dans sa cabine et le reste du corps dans le couloir, un petit moment avant qu'il se décide à le toucher. Il caresse mon anus et introduit très rapidement un doigt. Je sens ses mains m'agripper le cul pour l'amener vers lui et il le dépose sur sa queue qui entre en moi sans problème. Je lâche un cri de puceau tellement elle est grosse et longue.
" Ta gueule femelle. Je ne veux pas t'entendre. Je vais te détruire ta chatte de pute."
Assis sur son gros gourdin, je n'ose plus bouger. Il décole un peu mon cul de son bas ventre tout en restant en moi, puis il me baise le cul comme s'il baiser une chatte. Il m'insulte de salope, de pute, de femelle à foutre, tout en me défonçant. Il y va tellement fort qu'on entend sa peau claquer sur mon cul. Il gueule sur les voyeurs qui osent nous mater, en leur demandant de dégager. Je ne cesse de sniffer mon poppers car il ne cherche pas à être délicat. Il veut juste baiser. Il est endurant le salaud. Je n'en peux plus. Je sens le foutre des précédents baiseurs couler de mon cul. Lui, n'en a rien à faire, il me défonce. Après un long moment, il se saisit de mes hanches fermement afin de ramener mon cul sur son bas ventre, si bien que sa longue queue est entièrement en moi. Puis il lâche une très grosse quantité de foutre en moi. Il reste en moi un petit moment avant de pousser mon cul pour libérer sa bite.
"Dégage sale pute. Je ne veux plus voir ta chatte et ta petite gueule de petit pédé."
Je sors de sa cabine complètement cassé. J'ai mal au cul. Jamais on m'avait défoncer aussi violemment. Mais, même si j'étais crevé et j'avais le cul rempli et endolori, j'en voulais encore. Je ressentais un vide dans mon cul que je devais combler.
Le couloir était vide. Alors, le cul complètement éclaté, je me dirige vers le petit renforcement qui donnait sur le panneau ajouré d'un des rayons du magasin afin de voir si d'autres mecs potables s'approchent des cabines. J'observe donc chaque mecs qui foulent le sol du magasin, appuyé contre le panneau et le cul tendu, bien camper sur mes pieds, en bon bâtard que je suis. J'attends et n'arrive pas à quitter cet endroit en espérant voir un mec s'approcher. En attendant, toujours positionner en bon bâtard, je sens une main se saisir de mon cul. Un mec se plaque contre moi et m'embrasse dans le cou.
"Alors ma salope. T'attends quoi comme ça ? Tu veux te faire défoncer la chatte ?" Demande-t-il en me mettant un doigt. " Ah non, j'y crois pas. Tu t'es déjà fait défoncer. T'as la chatte toute humide. Putain tu me fais bander."
Là, il pose sa queue bien bandée sur mon cul. Il a l'air d'avoir une bonne bite. Sa voix grave et ses mots m'excitent comme un fou. Je sniffe mon poppers et me penche un peu plus pour l'inviter à me l'a mettre bien profond.
"Putain, fais pas ça, je risque de te la mettre bien profond pour te faire couiner comme une chienne."
Je tends encore plus mon cul. Il comprend et me met sa bonne queue bien profond comme il me l'avait promis. Il me baise en me traitant de tous les nuits et, à son tour, me rempli le cul.
"Merci beau gosse. J'avais les couilles pleines. Je retourne et vois mon baiseur. C'était un mec d'une bonne quarantaine d'années, peut-être un peu plus, pas trop mal, ni beau, ni laid, avec une très belle queue de 18 ou 19 cm.
Je regagne ma cabine où le film était fini. Je regarde l'heure et m'étonnes qu'il soit 17h passé. Je me rhabille, rassemble mes affaires et sors.
De retour chez moi, le Fantom (chapitre 1) m'envoie un message.
"- Viens me donner ton cul dès que tu rentres."
Je me douche, enfile un jockstrap propre, enfile mon jogging, met ma casquette et pars de chez moi pour le retrouver. Ce jour là, il a été surpris que mon trou soit complètement défoncer mais a adoré le bouffer car il arrivait à aller encore plus loin. Puis l'idée d'être le dernier de la journée à me défoncer et à me remplir le cul, l'excitait beaucoup.
J'espère que cette petite journée au sexshop vous a plu. A bientôt pour de nouveaux souvenirs de mon cul.
Le Cul jouissif
dialogaylille@outlook.fr